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Un chien pour ma chienne – Chapitre 1

Un chien pour ma chienne - Chapitre 1



Un chien si sympathique

Nous avons bâti nos maisons sur deux terrains adossés mais donnant sur deux rues parallèles. Jétais électricien, il était maçon. Nous nous sommes tout naturellement aidés. Quand il fallut entourer nos propriétés nous avons laissé une porte dans la clôture. Ainsi nous pouvions aller dun jardin à lautre pour un repas entre amis ou une partie de cartes ou des travaux de jardinage. Nous évitions un long détour.

Louise mon épouse et Julie, celle de Sébastien, étaient amies. Hélas un mal implacable faucha notre voisin. Sa jeune veuve trouva près de nous du réconfort. Elle nous confia une clé de sa maison pour que nous puissions intervenir en cas daccident : elle se sentait si seule dans sa grande maison. Elle avait lintention, après un délai raisonnable de viduité, de se remettre en couple.

Ce dimanche Louise mentraîna à une opération portes ouvertes dans un refuge de la SPA. Elle tomba en arrêt devant un chien berger allemand

-Vois comme il est beau. Ses yeux sont tristes, nous devrions ladopter. Quand tu es au travail, je me sentirais plus en sécurité avec un gardien de cette taille.

Elle insista, neut guère de mal à me convaincre. Médor, cétait le nom banal dont on avait affublé lanimal, devint notre chien. Il fut bientôt le chien de Louise et de Julie. Il allait dune maison à lautre et la porte de séparation des jardins restait habituellement ouverte. Le vétérinaire obligea ces dames à limiter les friandises et les portions de repas quand il constata que la pauvre bête prenait trop de poids. Cétait un chien superbe , haut sur des pattes épaisses, avec des yeux intelligents, fort et très joueur. Trop de gâteries mettraient sa vie en danger, dit le praticien.

Quand nous partîmes en vacances Julie proposa de garder Médor, elle trouvait ainsi une compagnie et une protection. Le berger habitué à la jeune femme la suivit. A notre retour il manifesta bruyamment son plaisir de nous revoir. Au fil du temps Julie toutefois montra un peu de jalousie. Selon ses dires Médor montrait une certaine préférence pour Julie, séclipsait souvent dans la journée et délaissait sa maîtresse pendant de longues heures avant de revenir triste et amorphe. Ensuite elle décida que notre chien était mal éduqué, lui obéissait mal ou écoutait trop Julie. Enfin elle lui trouva des attitudes étranges :

-Tu te rends compte, quand je le garde dans la maison ou il boude ou il vient tourner autour de moi. Il faut lui caresser le dessus de la tête ou le dos. Au bout dun certain temps il se frotte à mes jambes. Si je suis assise dans la cuisine, il se couche à mes pieds, souffle sur mes mollets ou lèche mes tibias.

— De quoi te plains-tu ? Ce chien est affectueux, il vit avec toi et te montre quil est heureux.

— Oui, mais est-il normal quil pousse son museau entre mes genoux comme pour les écarter ?

-Il se sent bien et recherche affection et chaleur humaine.

— Julie me dit quil fait la même chose avec elle. Ne lui donnerait-elle pas de mauvaises habitudes ?

-Que vas-tu chercher là ? Ce chien a deux patronnes et témoigne son affection de la même manière à chacune.

Ce jour là, à mon retour je cherchais Médor.

— Il est chez Julie, elle la appelé. Heureusement dailleurs. Il sétait dressé sur ses pattes pour me lécher le visage et avait failli me faire tomber. Il a une force incroyable et je me demande parfois si je ne suis pas en danger. Admets quil me culbute et me morde quand je serai son jouet à terre.

— Veux-tu me faire regretter de lavoir adopté ? Je vais consulter Julie pour savoir si elle le craint. Peut-être voudra-t-elle le garder, ainsi tu nauras plus peur dêtre dévorée !

— Tu crois. Tu lui laisserais mon chien ? Il est à moi dabord.

— Bien ! Tu vois que tu tiens à ce compagnon. Je veux quand même avoir lavis de la voisine. Je ne veux pas être responsable dun accident

Je traverse les deux jardins. La porte arrière est entrebâillée, je franchis la cuisine dété, passe le rideau qui donne sur le couloir. Jentends la voix de Julie :

-Allez, gros paresseux, viens là.

Par la porte vitrée de la chaufferie je jette un il dans cette pièce meublée. Je sais que la chaudière est à gauche. A droite il y a une armoire à glace et en face un canapé rouge. Sur le canapé Médor est debout et se laisse caresser le poil par la femme. La main passe du râble sous le ventre et sy attarde. Que fait-elle ? Médor tourne la tête vers la caresse, donne un grand coup de langue au visage de Julie. Elle se rejette en arrière et je vois au bout de sa main la longue tige rouge du pénis de la bête. Julie masturbe mon chien ! Médor pousse un couinement, saute du canapé, tourne autour de la croupe, renifle au passage sous la jupe, remonte sur le canapé et reçoit la main sur le fourreau de son sexe. Il sallonge, Julie baisse la tête. Sa chevelure va et vient. Sa main droite est posée sur lencolure de poils, la gauche calme les soubresauts des pattes postérieures. Aux mouvements des cheveux bruns je devine ce que je naurais pas osé imaginer : cette veuve privée damour et de sexe est en train de sucer la queue de mon chien. Cela explique bien des choses.

Voilà quelle se relève, pousse le chien, sassied sur le canapé, remonte sa jupe, ouvre ses cuisses. Je distingue son sexe poilu entre ses cuisses blanches.

— Viens, lèche !

Le chien avance dans ce chemin ouvert pour lui. Julie de ses deux mains tire sur les lèvres de sa vulve. La langue du chien est immédiatement au contact des chairs roses et parcourt le sillon odorant. Les fesses de la femme glissent sur le siège et offrent le pénil et le sexe aux lapements vifs. Larrière train de Médor entame une danse et des trépignements qui le font cogner contre les jambes tendues. Soudain les pattes avant se projettent sur le haut des cuisses féminines et la croupe de lanimal se pousse vers lavant. Veut-il pénétrer le sexe offert ? Il ne réussit pas à latteindre ou pas assez profondément. Pourtant il sarc-boute sur ses pattes, pousse vers le haut à la rencontre dune cramouille béante. Il ne trouve pas la cible, laisse tomber et fait un tour dans la pièce. Julie, toujours offerte a glissé au bout des fesses. Le chien retourne au four, fait de nouveau courir sa langue sur les chairs. Et hop, il saute sur le bas du corps, secoue sa croupe, pédale avec ses pattes arrière, pousse un gémissement et se retire. Japerçois la tige de son pénis qui se rétracte. Dépité il renifle une jambe, un flanc, tourne autour des pieds. A cet instant je remarque les bottes qui protègent le bas des jambes. Julie se laisse aller au sol, accomplit un demi tour, se positionne à genoux face au canapé

-Viens mon chien, saute-moi.

La jupe remonte, le fessier bien en chair apparaît, se fend quand les genoux se désunissent. Sous lil sombre de lanus sétale la vulve gonflée, blonde soulignée par une lisière de poils sombres.

-Allez, quest-ce que tu attends. Tu es déjà fatigué? Est-ce que Louise ta fait quelque chose?

Un pavé me tombe sur le crâne. Quoi ? Louise et le chien ? Mais le spectacle reprend, Médor prend Julie comme tout chien qui prend sa chienne en chaleur. Ses antérieures ont franchi les hanches et le bas des pattes recourbé saccroche à lavant des cuisses de la veuve. Son ventre sagite sur les fesses rondes et je vois sa verge dégainée qui cherche son objectif. La tige a grossi, frotte sur la peau, ne trouve pas le trou, ses pattes arrière escaladent nerveusement les cuisses, retombent. Le chien arque son dos, travaille un peu dans le vide, fatigue et passe sur le côté. De nouveau il fait le tour de ce corps, flaire, revient lécher lentre fesse et les traces liquides quil a laissées sur la peau au cours de cet assaut. Julie lappelle, se donne une claque sur la fesse pour désigner lendroit à viser. Dun bond Médor se retrouve en position, il peine, bouge vite. Sa queue sest relevée, son pénis gonflé va sappuyer au bas de la vulve, guidé par une main venue à son secours. Il donne un coup de reins, Julie crie de joie.

-Vas-y, défonce-moi, brave mon chien, oui bouge, force. Ohhh

!

Pour défoncer, il y va. A une allure folle, en couinant, il se démène et la manuvre est rythmée par les deux pattes qui griffent lextérieur des cuisses de la maîtresse sexuelle de mon chien. Ce pédalage tantôt à droite, tantôt à gauche, finit parfois par lever simultanément les deux pattes. Elle râle de bonheur. Son cri plus fort marque une étape, la double boule au bout du sexe animal vient de disparaître à la suite dune poussée plus violente, pattes décollées. Toute la masse animale a pesé sur le point de jonction des deux sexes. Elle a plongé le gourdin entre les lèvres et il a entièrement pénétré le vagin. Pendant deux ou trois minutes larrière-train de Médor bat la mesure sur le cul de Julie. Elle lui crie de baiser, de défoncer, de cracher. Et je vois sourdre dans le bas de la vulve un liquide blanchâtre qui va mouiller le ciment du sol. Le chien simmobilise, tête couchée, gueule ouverte et couverte de bave sur le dos heureusement habillé de la femelle prise.

-Brave chien. Cétait bon. Va maintenant.

Elle a levé un bras pour le chasser, il a glissé le long du flanc de Julie, mais reste coincé dans lentonnoir de la zézette envahie. Ils sont côte à côte, elle fait des ronds avec son cul, le chien prisonnier du con tire en arrière mais lorsquil fait un gros effort je vois la peau du vagin en partie retournée qui dessine une grosse bosse. Et Julie alors recule pour éviter de se faire retourner lintérieur du réceptacle. Elle parle à son ami amant, le rassure. Je sais quavec le temps Médor a réussi un mouvement, ils sont maintenant cul à cul, toujours accouplés t incapables de se désunir Le chien regarde vers la porte et pousse une plainte, comme un appel au secours. A-t-il senti ma présence?

Il est temps daller vérifier létat des jambes, des cuisses et des flancs de mon épouse

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À suivre.

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