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Un covoiturage avec Guillaume – Chapitre 1

Un covoiturage avec Guillaume - Chapitre 1



Je fais souvent un trajet en voiture qui traverse la France d’ouest en est, 7 heures de route pour me rendre dans ma résidence secondaire dans les Pyrénées. Lorsque j’y vais juste pour quelques jours, je prends un ou deux passagers en covoiturage. Le covoiturage permet de rencontrer des personnes, plutôt jeunes, hommes ou femmes, avec qui la discussion s’engage généralement assez facilement. Sincèrement, je ne pense pas que ce soit un moyen de trouver des "plans cul". Difficile en quelques heures d’arriver à une complicité telle que cela finisse à l’hôtel ou par des ébats sur une aire d’autoroute, et puis il faut rester sur la réserve car les utilisateurs peuvent facilement disqualifier un conducteur ou un passager trop entreprenant. Et pourtant

Ce vendredi à 13 heures je prends en charge Guillaume, un lycéen qui rentre chez ses parents pour le week-end, nous avons 4 bonnes heures de route à faire ensemble. Je lance quelques sujets de conversation qui tombent dans un néant réactionnel, genre "Hein ? Oui, non, j’sais pas", bref un jeune pas très éveillé, le téléphone collé dans la paume de sa main gauche, la casquette vissée sur la tête, qui s’enfonce des écouteurs dans les oreilles pas engageant comme compagnon de voyage, je me consacre donc à la route, je laisse tomber l’espoir d’avoir une conversation.

Il fait encore chaud, dans les 25 degrés fin septembre, vous avez aussi remarqué ces températures qui se maintiennent à un niveau inhabituel. Guillaume porte un tee-shirt et un bermuda, un short qui lui arrive à mi-cuisse. Autant le dire tout de suite je ne suis vraiment pas porté sur les hommes, je suis un hétéro confirmé et je n’ai jamais été attiré par les hommes, jeunes ou pas. Et pourtant

Ce qui va se passer lors de ce voyage est donc tout à fait improbable, et pourtant authentique.

Guillaume est grand, mince, pas très musclé, plutôt frêle même, blond et un léger duvet recouvre ce que je vois de ses cuisses entre le short et ses genoux. Ses jambes sont plus poilues, son visage est pâle avec un peu d’acné juvénile, pas grand-chose.

Nous avons passé une première agglomération sans trop d’encombre, il reste 2 heures de route pour le déposer. J’envisage de m’arrêter sur une aire d’autoroute, je tourne un peu la tête pour lui parler, et … je ne dis finalement rien. Guillaume semble regarder son téléphone, toujours les écouteurs dans les oreilles, mais ce que je remarque c’est qu’il a la main droite entre ses jambes et semble se masser à travers son vêtement. Ce sont des mouvements lents, discrets, mais je suis certain de ce que je vois, il est en train de se caresser doucement. J’essaye avec prudence d’en voir plus, il a les yeux mi-clos, la tête baissée, et pas de doute, il se branle en matant une vidéo sur son téléphone, juste là, à quelques centimètres de moi. Ouf, je ne m’attendais pas à ça, et surtout, je prends un coup de chaud. Je continue de le mater en douce, et aucun doute. Que dois-je faire ? Il commence même à serrer et desserrer ses jambes, comme pour comprimer son sexe dans sa main Bon sang, mais il m’excite ce gamin !

Alors je tente le tout pour le tout. Je suis bien conscient que cela risque de ruiner ma bonne réputation de conducteur sur le site de covoiturage, mais comme il ne fait pas de doute que mon passager est en train de se branler, j’ose, j’avance ma main droite et je la pose sur la peau nue de son genou. Il tressaille, je perçois une surprise, il relève la tête, mais ne me regarde pas, ne dit rien, et laisse sa jambe sous ma main. Très vite je commence à le caresser et à remonter ma main sur sa cuisse, et je la pose finalement sur sa main droite. Je fais bouger lentement sa main sous la mienne, sa respiration s’accélère, il lève la tête, les yeux fermés et je sens qu’il devient très excité. Après quelques minutes de caresse ainsi, je lui dis :

"Tu peux baisser le siège si tu veux, la molette est à droite".

Il ne répond pas mais retire sa main et abaisse le dossier de son siège jusqu’à être bien allongé. Formidable, il en veut ce gamin, et maintenant j’ai directement son entrejambe dans la main droite, que je masse doucement. Je sens son érection et le paquet de ses testicules. Je profite de sa position plus allongée pour remonter ma main sur son ventre en passant sous le tee-shirt, le caresse, puis passe ma main sous la ceinture de son short et de son slip, et j’attrape son sexe. Là, Guillaume se tortille et commence à gémir.

Mon lycéen se révèle être en fait une petite salope !

Ce n’est pas tout ça, j’avais le projet de m’arrêter, je ralentis donc et entre sur la première aire d’autoroute. Évidemment, je retire momentanément ma main droite, et je vais me garer au bout du parking, il n’y a pas beaucoup de voitures. Guillaume ne bouge pas, dès que j’ai arrêté le moteur je me retourne vers lui, et j’ai les deux mains libres. Je remonte son tee-shirt, et je caresse sa cuisse et son ventre. Pas de réaction, pas de parole, ses mains sont pendantes de chaque côté de son corps, il est totalement passif, offert à mes caresses qu’il apprécie manifestement. Il se tortille, comprime ses cuisses, puis les ouvre, il est manifestement déjà très excité. J’utilise mes deux mains pour libérer son sexe, j’ouvre sa ceinture et sa braguette, baisse son slip jusque sous ses couilles. Son sexe est assez long et fin, un sexe d’adolescent, entouré d’une toison vraiment blonde. Je le prends en main et le masturbe doucement quelques minutes. Puis je me décide à le prendre en bouche, je me penche sur lui et avale son sexe, que je titille de la langue Et dire que c’est la première fois que je fais une chose pareille !

Guillaume se réveille, gémit carrément, bascule sa tête de droite à gauche, bouge son bassin sous ma fellation, ne dit rien d’intelligible. Cela dure quelques minutes, pas très longtemps et il éjacule brutalement avec un mouvement brusque du bassin. Je ne suis pas bégueule, et surtout je n’ai pas envie de tâcher les sièges de ma voiture, alors j’avale tout et je reste un moment avec sa queue en bouche, à la masser doucement avec mes lèvres et ma langue. Lorsque je suis sûr qu’elle est "propre" et qu’elle ne coulera pas, je la libère, je me redresse et je regarde Guillaume. Il a la tête tournée à droite, vers la vitre, et je ne vois donc pas bien l’expression de son visage, il a les yeux fermés, une respiration calmée, il ne dit toujours rien et ne bouge plus.

Inutile d’essayer d’aller pisser, je bande trop ! Alors je remets le contact, démarre et retourne sur l’autoroute. Guillaume n’a toujours pas bougé, il semble assoupi, le tee-shirt remonté sur son ventre, le short et le slip baissé sur ses cuisses et le sexe débandé couché sur le côté. Après quelques minutes, comme je continue de le mater et que je suis toujours aussi excité de ce qui s’est passé, je retends ma main droite, la pose sur son ventre, le caresse et descends à nouveau vers sa bite. Je la prends en main et commence à aller et venir, elle se raidit rapidement et à nouveau Guillaume gémit et recommence à se tortiller. Je le masse de plus en plus sauvagement, j’attrape ses couilles, passe ma main aussi bas que possible, bon sang j’ai presque envie de l’enculer cette petite frappe. Mais en fait je n’ai pas de préservatif et je n’ai pas envie que ça devienne scabreux. Je m’arrête sur l’aire suivante, on prend du retard sur le trajet, mais on prend aussi du plaisir en passant. Comme il y a une quinzaine de minutes, je stoppe à l’écart, et je replonge sur la bite de Guillaume qui est reparti pour un deuxième tour. Toutefois j’ai donné un peu d’aise à mon sexe, j’ai desserré ma ceinture, ouvert ma braguette et sorti ma bite qui est congestionnée et commence à me faire mal tellement je suis excité. Je suce à nouveau Guillaume qui gémit sans retenue jusqu’à l’éjaculation, j’avale tout alors qu’il reste à nouveau amorphe sur son siège.

Je me suis redressé sur mon siège dont je baisse à mon tour le dossier et que je recule au maximum. Ouf, ma bite est plus à l’aise, je remonte aussi mon tee-shirt et me tortille pour baisser un peu mon pantalon et mon slip les jean’s c’est pas le plus pratique pour cette circonstance. Quand je suis à l’aise, le sexe érigé et libéré, j’attrape Guillaume par le bras gauche pour le relever :

"Écoute, il va falloir que tu me soulages, tu m’as vachement excité et là, j’ai besoin de toi."

Il regarde mon sexe, semble vraiment hésitant, alors je lui passe la main derrière la nuque et je l’attire à moi. Il essaye de résister un peu puis finalement se laisse faire, et je lui fais doucement baisser la tête jusqu’à mon sexe.

"Oah, elle est grosse !"

En réalité non, pas tant que ça, mais ce sont ses premiers mots depuis longtemps et son ton est finalement plutôt encourageant, il ne se rebiffe apparemment pas à l’idée de me faire une pipe, c’est bien. Néanmoins je lui dis "suce moi" en appuyant sur sa nuque pour qu’il comprenne bien ce que j’attends de lui, et du coup il se penche de lui-même et prend mon sexe en bouche.

Ouh que c’est bon ! Oh la petite salope qui commence à me sucer, c’est chaud, doux et je ne vais pas tarder à venir je le sens très vite. Je maintiens fermement sa nuque de la main droite et de la gauche je lui caresse les cheveux, il a l’air d’apprécier et continue consciencieusement son uvre. Comme j’ai toujours le souci de ne pas tâcher le siège de ma voiture, il va falloir qu’il avale tout et proprement.

"Oh, c’est bon, salope, je te préviens tu vas devoir avaler Oui, vas-y, ça vient, putain t’es une vraie petite salope "

Ça a l’air de lui plaire que je l’insulte, en plus, il pompe de plus en plus fort et me fait monter dans les tours, comme c’est bon, la garce.

"Oui, continue, c’est bon, attention Je vais bientôt venir Continue comme ça, c’est bon, vas-y Oui, oui, ooooh !"

Et j’explose dans sa bouche ! Il a un mouvement de recul, mais je le tiens ferme sur ma bite, il n’a pas le choix, il doit tout avaler, je ne le lâcherai pas avant que tout soit nettoyé. Après une ou deux minutes, je sens que j’ai assez débandé et je relâche mon étreinte sur sa tête, il reste encore un peu à me sucer doucement, puis je lui relève la tête. Je tourne son visage vers moi, et malgré l’inconfort de la place conducteur je lui roule une pelle vorace. Il est surpris, tente encore une fois de se retirer (un peu mollement quand même) mais je le maintiens ferme à nouveau et on reste comme ça à s’embrasser quelques minutes, je finis par le relâcher complètement mais c’est lui qui finalement me prends la tête dans ses mains pour continuer à m’embrasser fougueusement.

On reprend notre souffle tous les deux, sans rien dire, chacun sur son siège allongé. Je remballe mon matériel, je lui conseille de profiter de la pause pour aller aux toilettes, je le suis. Mais non, il ne se passe rien de plus dans ce lieu assez sordide, juste une "vidange" bienvenue. Nous retournons à la voiture en silence, on s’installe, on remonte les sièges, on a encore à peu près une heure de route à faire ensemble.

"Merci Guillaume, c’était pas compris dans le covoiturage, mais franchement c’était super"

"Oui Merci, j’ai trouvé ça bien aussi Merci".

On reprend la route, sans beaucoup plus de conversation qu’avant nos intermèdes. Je me contente de mettre de temps en temps ma main sur son genou, je remonte un peu, il pose aussi sa main sur la mienne, comme des amoureux ! On arrive enfin à l’arrivée où je dois le déposer, je stoppe la voiture, il regarde autour "Ma mère n’est pas encore arrivée", alors il se retourne vers moi, me regarde dans les yeux et à nouveau m’embrasse fougueusement. Il ouvre la portière, je descends de mon côté et il prend son bagage dans le coffre.

"Salut Guillaume, j’espère que ce voyage t’a plu, moi j’ai été ravi, je te mettrai une excellente note sur le site."

"Oui, merci, ça a été super, je m’y attendais pas, vraiment, super. Bonne route !".

Je suis reparti, la tête complètement chamboulée, j’avais encore 2 heures et demi de route, et j’avais l’impression d’avoir tout rêvé. Je ne suis pas homosexuel Enfin, je ne sais plus, je croyais.

Quatre semaines plus tard, je dois refaire le même trajet, je remets donc une annonce sur le site, je n’ai pas eu de nouvelle de Guillaume, je n’ai pas non plus pris l’initiative de lui envoyer un message, je n’avais pas particulièrement envie de recommencer cette aventure tellement inattendue.

Deux heures après, j’avais une réservation pour Guillaume. J’ai modifié le nombre de places libres, j’ai affiché complet, on sera à nouveau tous les deux On verra bien.

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