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Un doigt dans le trou du cul de Marlies, c'est bien, mais une bite c'est mieux – Chapitre 1

Un doigt dans le trou du cul de Marlies, c'est bien, mais une bite c'est mieux - Chapitre 1



Un doigt dans le trou du cul de Marlies, c’est bien, mais une bite c’est mieux

C’était en septembre 2010 et j’avais passé mes vacances en Crête en compagnie de mon amie Marlies que je connais maintenant depuis 6 ans. Il y a plus de 15 ans que je n’étais allé dans ce pays. Après avoir passé quelques jours dans notre sudio, nous avions tout ce qu’il nous fallait. Maintenant il était temps de passer un après midi à la piscine. La baignade n’était pas mon truc, aussi je suis allé à la recherche d’un ami, que j’avais rencontré il y a 15 ans. Après une heure ou deux, je rentrais d’un voyage raté et mon amie me raconta qu’il y avait un couple d’Anglais prés de chez nous, mais maintenant il étaient au village. Marlies n’en dit pas plus et aprés une demi heure, elle dit :"Ils viennent de là-bas"…

C’était une belle femme d’environ 35 ans et son mari avait à peu près le même âge et avait la peau noire. La femme s’appelait Jane et son mari se nommait Michael, ils venait d’un village situé près de Wimbledon en Angleterre. Elle avait de gros nichons, et un petit bikini jaune. Michael portait un maillot de bain sport et était grand. A première vue, il devait avoir une bite de 20 cm de longueur. Nous avons discuté et l’après midi est passé très vite. iIl est maintenant l’heure de nous raffraichir et de penser au repas du soir. Nous somme entrés dans nos chambres et arrivé là, je remarquais que le slip de bain de Marlies était un peu plus sombre à l’endroit de sa chatte.

J’ai su aussitôt qu’elle était excitée à la vue de la bite de Michael. Quand je lui ai demandé si elle était restée assise avec Michael, elle devint toute rouge et après quelques moments d’hésitation, elle me fit signe que oui…Oui, je devais être seul. Je lui dis que je n’avais aucun problème et qu’elle pouvait bien le regarder. Elle répondit: "Tu regardes bien aussi son cul et ses gros nichons".. Je rougis aussi un peu et je dis : Oui, naturellement, mon slip de bain n’est pas mouillé comme le tien Je l’ai saisie et je l’ai serrée contre moi….J’étais tout retourné à la pensée que mon amie était excitée en regardant la bite d’un nègre et ma bite commença aussi à grossir joliment. Avec ma main droite, j’ouvris l’ouverture de son bikini .

Ses mamelons se dressèrent fièrement, c’était quelque chose que je n’avais pas souvent vue. Nous avons échangé quelques baisers qui nous a fait bien plaisir, et soudain je sentis sa main entourant ma bite qui était dur comme de l’acier. Elle se mit devant moi sur le bord du lit, et retira mon slip de bain soudainement, et commença à lécher ma bite. Avec mes deux mains, je pétrissais aussi ses gros nichons et je frottais fortement ses mamelons dans la paume de mes mains.."Lèche mon con", disait-elle soudain et elle retira son slip de bain. Son con était tout mouillé et il brillait merveilleusement. Elle recula et je baissais mes genoux pour avoir une vue splendide sur sa chatte rasée. Pendant qu’il léchait sa chatoune chaude, j’entendis un léger gémissement.

Elle commença à trembler fortement et elle jouissait pour la première fois…maintenant, je veux sentir ta bite dans mon con, disait-elle. Je fourrais ma bite dure comme l’acier dans sa chatte dégoulinante de mouille et je bougeais lentement d’avant en arrière. Elle me proposa de m’allonger sur le dos sur le lit, ce que je fis naturellement. Ma bite était complètement mouillée par son jus et brillait dans la lumière du soleil qui scintillait à travers la porte de la terrasse. Elle faisait glisser ses mignonnes doudounnes sur ma bite…J’avais besoin de beaucoup plus. Elle se retourna et vint s’asseoir avec sa chatte mouillée sur mon visage, son jus chaud et excitant dégoulinait encore de sa savoureuse chatte. Brusquement ell s’allongea sur le dos et me demanda de me déplacer pour que je puisse décharger dans sa bouche…Cela elle ne l’avait pas encore imaginé, elle ne voulait pas avaler mon foutre auparavant. En trois ou quatre coups, je déchargeais sur sa langue, et je mouillais ses lèvres avec mon foutre, puis elle en enduit une partie sur ses nichons. Je trouvais ça très excitant et soudainement, elle commença à me donner des baisers… Je gouttais aussi immédiatement sa mouille et c’était bien meilleur que j’avais imaginé.

Nous sommes restés étendus sur le lit . Puis nous avons décidé de nous préparer pour aller manger une bricole. Vers 23 heures nous étions de retour dans nos chambres et nous nous sommes couchés. Le lendemain matin, après le petit déjeuner, nous avons été appelés au téléphone. C’était Jane qui demanda à Marlies, si nous avions envie de venir boire un verre sur sa terrasse. "Enlevez votre maillot de bain", cria-t-elle dans le téléphone et elle raccrocha. Marlies ouvrit le coffret et en retira un bikini. Lorsqu’elle le mit dans la salle de bain, je ressentis un onde d’excitation dans mon corps.

Un bikini vert un slip de bain sur les hanches, la partie supérieure cachait aussi les deux mamelons, qui se dressaient bien droit dans l’air. Je te trouve très sexy dans ce bikini, dis-je, tandis qu’elle léchait mon mamelon avec sa langue. Nous avons couru dans le couloir menant à la partie arrière de l’hôtel. Avant de pouvoir frapper, la porte de la chambre n°113 s’ouvrit. Devant nous se tenait Michael portant un short blanc et il nous fit aimablement signe de rentrer. Il me donna une poignée de main ferme et je vis qu’il saisissais le nichon gauche de Marlies avec sa main droite et qu’il lui donnait un baiser sur la bouche, qui dura plus longtemps que d’habitude. Je fis comme si je n’avais rien vu et je pris Marlies par la main. Jeanne était assise sur la terrasse etr entra, lorsqu’elle entendit nos voix. Jeanne embrassa Marlies sur la bouche et m’embrassa aussi.

La vue de la terrasse sur les montagnes était sublime. Une vue magnifique et personne à l’horizon. Lorsque Jeanne et Michael rentrèrent, Marlies me dit qu’il ne devait pas poser de question…qu’elle trouvait qu’il était très sexy. A ce moment Jane revint sur la terrasse et demanda ce qu’il se passait. Parce que mon anglais était meilleur que celui de Marlies, je dis à Jane que Marlies pourrait bien passer la nuit avec Michael ..He has a big dick (Il a une grosse bite). "Bien sur, pas de problème, dit Jane, mais Marlies dit que je ne serai pas d’accord. Je regardais ma petite femme intriguée et mes yeux se posèrent sur ses gros nichons, qui avec le bikini vert semblaient être encore plus gros…Pourquoi pas, dis-je, nous sommes en vacances après tout , et tu ne feras rien derrière mon dos…. Marlies m’a regardé surprise… tu veux dire que maintenant demanda-t-elle…naturellement répondis-je … et je remarquais qu’une jolie boule commençait à pointer dans mon short.

Michael était revenu aussi s’asseoir près de nous, et Jane lui dit que Marlies trouvait qu’il avait une belle bite. "Montre lui à Marlies cria-t-elle, Michael se tenait bien droit et rapidement il est allé devant le nez de Marlies et lui demanda si elle voulait baisser son short…Marlies était mal à l’aise, mais après avoir insisté, elle baissa quand même le short. Une énorme masse de chair, une bite énorme fit son apparition.Toute rouge elle frotta sa main gauche sur sa bite, et le branla doucement de bas en haut … Ton con est complètement mouillé, cria Jane et en fait le slip de bain vert était devenu vert foncé. Pendant que Marlies branlait la bite de Michael, celui-ci défit derrière son dos la partie supérieure du bikini, ses seins vacillaient dans les bonnets. Marlies était debout et Jane s’appréta à retirer son slip de bain dégoulinant. Lorsque le slip fut par terre, Jane lécha la petite prune trempée de Marlies…Elle en fut choquée, mais la laissa faire."Marlies ça te dérange si je joue avec Carl, demanda Jane ? Marlies fit un signe marquant son accord… Pendant que jétais allongée sur le lit, je vis comment Marlies prit dans sa bouche l’énorme bite de Michel avec ses deux mains et elle en était excitée de plaisir.

Le con de Jane était rasée avec un petit raie sur le devant. Elle alla vers moi et écarta avec ses mains les lèvres roses du con, d’où sortait un goutte de mouille, qui tomba sur le sol. Elle retira mon slip et ma bite se dressa vers le ciel droite comme un "I" , elle la prit, commença à la mordre un peu et l’introduit dans sa bouche..et je vis Michael enfoncer sa longue pine dans le con dégoulinant de Marlies, qui commença à gémir. Maintenant c’était à mon tour de lécher gentillement le con et le trou du cul de Jane….Elle sentait le miel et en criant elle jouit.

Suite au cri, Marlies et Michel sortirent et Jane prit la bite de Michel et la suçèrent avidement, Marlies vint au dessus de moi et fit la même chose. Michael s’agenouilla sur le lit et demanda à Marlies de venir sur mettre sur lui, afin qu’il puisse lécher son con. Jane monta aussi sur lui et fourra sa grosse pine dans sa chatte…Je m’agenouillais un peu et enfonça comme un forêt ma bite dans son cul.

Cela alla mieux que je ne pensais, parce que son cul avait été déjà mouillé avec la mouille de son con. Son cul n’était pas trop serré beaucoup moins serré que le trou du cul de ma fille qui aimait se faire enculer par notre voisin après avoir sucé sa bite longuement.

Michael humidifia son doigt et l’enfonça dans le cul de Marlies et se mit à le pousser pour le faire rentrer violemment jusqu’au fond de son étroit puits d’amour. Jane et Marlies, entre temps se donnaient des baisers et Michael essaya une fois encore de rentrer son doigt dans son cul. Cette fois Marlies gémit mais se laissa faire. Marlies vint s’asseoir au bord du lit et prit avec ses deux mains ma bite et la bite de Michael, pendant que Jane léchait le con de Marlies. Au bout de quelques instants, je déchargeais et mon foutre aspergea en trois giclées le visage de Marlies. Vingt secondes plus tard, Michael déchargea à son tour une énorme quantité de foutre sur le visage de Marlies, dont la moitié coula dans sa bouche ouverte à dessein. Jane regettait de n’avoir pas reçu ces jets de foutre et se précipita vers Marlies pour lui lécher le visage.

Nous sommes restés encore un peu allongés, nous avons pris une douche, nous avons bavardé et Jane et Michael dirent qu’ils voulaient rentrer chez eux le lendemain Nous avons échangé des mails, nos adresses et nous nous sommes promis de venir les voir en Angleterre.

Pendant le reste des vacances, nous avons baisé deux fois par jour. Mais aucune fille ne s’est faite enculer.

Nous n’avons jamais passé de si belles vacances.

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