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Un hasard parfait – Chapitre 1

Un hasard parfait - Chapitre 1



Bonjour à tous et à toutes, je me présente:

Gyall, jeune homme de 21 ans, pas très grand (1m78) et large d’épaule. Pratiquant les art martiaux avec assiduité depuis l’âge de 4 ans je suis musclé sans être bodybuildé.

Lecteur régulier sur ce site, j’ai décidé de vous raconter mes expériences dans un premier temps, mes fantasmes par la suite. Mon but étant de vous transmettre un peu de moi dans mes récits, ma vision "idéaliste" des choses.

Ça c’est passé durant l’été 2014. Je travaillais en tant que serveur dans le restaurant d’un camping, un job d’été dans un coin de paradis : un magnifique camping en restanque au dessus d’un lac, les montagnes dans le dos ainsi que dans le lointain. Dans cette atmosphère détendue j’ai fais la rencontre d’un couple plus âgé que moi, deux motards, tout juste la quarantaine ici pour se détendre. Étant moi même motard nous avons rapidement sympathisé et le lendemain soir je leur ai montrer ma moto garée juste sous la terrasse du restaurant. Madame ayant la petite sur de ma moto (même marque mais plus petite), elle est tombée amoureuse de ma moto comme seule une passionnée peu le faire (son homme n’ayant pas de moto a ce moment la, je pense que cela a beaucoup joué en ma faveur). après une agréable soirée généreusement arrosée nous somme allez nous coucher chacun de son côté le sourire au lèvre.

C’est le lendemain matin, alors que je servais les petits déjeuners que le hasard m’offrit un magnifique cadeau.

Un bonjour joyeux me fit lever la tête de mes plateaux et tombé sur le charmant sourire d’une jolie motarde.

"Salut !" répondis-je

"Je suis passé voir ta moto de ce matin !"

"Alors? toujours aussi belle?"

Comme vous vous en doutez je parlais toujours de la moto, je n’aurai pas osé faire une telle remarque à une cliente. Je fus donc très surpris d’entendre en retour :

"Oh merci !"

et voir deux pommette a croquer rosir. Après une seconde de retard qu’elle ne sembla pas remarqué je lui répondis :

"Avec plaisir madame, si cela vous intéresse je peux même vous proposer un tour de moto ce soir après mon service de l’après midi"

Après avoir accepter mon offre je la vie repartir excitée comme une petite fille. J’accomplis toute mes taches de la journée le sourire au lèvre en savourant ma chance bien que j’étais loin de m’imaginer la suite des évènements…

Terminant mon service je file sous la douche, enfile mon équipement de moto et rejoint les deux motards sur le parking. Madame me confie qu’elle aime la vitesse et de pas m’en faire si je roule vite, j’en suis enchanté ! Nous voila partis, il est 21h, le soleil commence a décliner.

Durant les premiers tours de roues j’observe ses réactions et devant sont aisance en tant que Sac De Sable (nom donné au passager en moto car il tassent la roue arrière comme des sac de…) je hausse le rythme jusquà franchement rouler comme un goret dans les gorges que je connais par cur. Faisant frotter régulièrement les cales pieds, je nous amène rapidement a un surplomb ou on s’arrête. La vue est a coupé le souffle, 300m en dessous on voit la rivière, en face de nous des montagnes, a droite le lac avec dans le prolongement le soleil couchant… Je regarde ma charmante passagère et lui souris au moment. C’est alors qu’elle s’est lentement approchée, ses lèvres à quelques centimètres des miennes.

"merci" m’a-t-elle murmuré avant de tendrement m’embrasser.

Un baiser doux, reflétant la magie de l’instant, puis plus fougueux telle la fureur contrôlée qui nous animé lorsque nous roulions en moto. Mes mains se referme sur elle, la plaquant avec force contre moi. Profitant de ma force elle me saute dans les bras pour enrouler ses jambes autours de ma taille sans relâcher mes lèvre une seule seconde. Je lui pose une main sur ses fesses fermes tant dis que mon autre main file comme l’éclair pour ouvrir son blouson et caresser ses seins a travers le léger tissu de son haut.

Je la repose alors, et enlève rapidement son haut : un visage fin illuminé par un sourire coquin, deux seins fermes qui mettent en appétit sans être opulent, une taille de guêpes, autant vous dire que mon jean était bien rempli…

Heureusement pour moi a bienfaitrice a libéré mon sexe pour me branler tout en m’embrassant. Après plusieurs minute collé l’un contre l’autre a se caresser son jean a rejoint le mien au moment ou je la soulevé pour la posée sur le petit muret derrière nous. Ses jambes grande ouverte encadrant mon visage j’ai senti le doux parfum de son puits d’amour sur le quel je me suis avidement abreuver. Remontant lentement le long de sa fente a un rythme lent avant de venir sucer son clito. Au dessus de moi des gémissements sélève de plus en plus intense tant dis que sa chatte se mis a couler abondamment.

"bouffe moi, bouffe moi, bouffe moi c’est boooooooon"

je lui ai mis deux doigts juste à temps pour sentir son vagin se contracter violemment dans un bruyant orgasme.

sentant sa main dans mes cheveux je continuer à lui lécher la chatte mais plus lentement, heureux de l’avoir fait jouir.

"redresse toi, à mon tour de te faire du bien"

je vis alors ma queue bien gonflé disparaitre dans sa petite bouche, comment une petite lutine pouvait avaler une queue aussi vite? j’en sais rien mais putain quel pied ! je sentais sa langue partout avant de m’enfoncer dans sa gorge largement ouverte.

Je maperçus alors qu’une voiture c’était garée a coté de nous et que une femme d’une trentaine d’année et une autre d’une cinquantaine d’année nous regardaient en se caressant mutuellement. Quand été elle arrivé? Ma motarde ne me laissant pas le temps de trouver la réponse.

"j’ai envie de toi, maintenant" me dit-elle en se retournant, une main posée sur le mur, l’autre tirant ma queue à elle. Je posais donc mon gland sur sa chatte toujours aussi trempée lorsqu’elle m’arrêta

"non pas la, je suis encore trop sensible, encule moi"

excité comme jamais j’appuyais donc sur sa rosette jusquà ce qu’elle commence a s’ouvrir, puis rentrer lentement dedans jusquà la garde.

"raaaaah ce que tu es large, bourre moi petit cochon".

Ma queue compressée dans son cul je commençais les va et vient, accélérant progressivement jusquà ce que mes couilles claquent franchement contre son vagin. Dans mon dos un long gémissement de jouissance s’éleva, décuplant mes ardeurs.

"je viens"

"Ah…vide toi ah…en moi, rempli moi petit cochon" cette phrase entrecoupé de ses gémissements au raison de mon endurance et j’explosais dans son fondement en exprimant toute ma jouissance.

après une minute de répit, la voiture parti et ma douce amante vint se lover contre moi pour m’embrasser tendrement.

N’hésitez pas à commenter, nous avons pu nous revoir une fois avant la fin de son séjour, ça sera ma prochaine histoire.

Bonne soirée à tous.

V

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