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Un jeu qui dérape – Chapitre 1

Un jeu qui dérape - Chapitre 1



Le week-end n’avait, à priori, rien de trop alléchant. Fatou et Emilie, deux bonnes amies à ma copine, restaient trois jours, ce qui était sympa en soi, mais entre le mauvais temps et la perspective d’entendre parler chiffons tout le week-end

  Pourtant, le samedi soir, après un bar et un resto où nous avons un peu bu, la conversation a fini par dériver sur le sexe. Assez finement, je parviens à placer un jeu de société un peu osé dans la discussion, et nous décidons donc de faire une partie. Lola, ma copine, n’est pas très emballée, mais l’alcool l’aide à supporter l’idée.

  Et puis nous n’aurons qu’à nous arrêter avant que ça ne devienne trop chaud, n’est-ce pas ?

  Evidemment, comme je suis le seul mec, c’est moi qui suis désigné pour commencer. Les premiers tours voient s’enchaîner des questions sur le sujet, de plus en plus osées, mais cela reste des questions. Pourtant, l’ambiance commence à monter. Comme il s’agit d’un jeu informatique, nous avons "personnalisé" nos profils.

  Au tour 4, le vrai jeu commence.

"Enzo, retirez le vêtement de votre choix à Fatou ."

  Heureusement, elle n’a pas de chaussettes. Elle n’est vêtue que d’un débardeur et d’une jupe, aussi se retrouve-t-elle directement en soutien-gorge lorsque je retire le premier. J’observe rapidement, pour constater que sa poitrine a l’air tout à fait appétissante. J’ai hâte d’en voir plus !

  Je jette un coup d’il à Lola mais ça va, l’ambiance est encore bonne.

  Jusqu’où laissera-t-elle aller le jeu ?

  C’est à elle de jouer, ensuite.

"Lola, embrassez Enzo langoureusement ."

  Ça va, rien d’inatteignable.

  Puis c’est à Fatou.

"Fatou, retirez un vêtement à Enzo ."

  Evidemment, comme je suis le seul homme, leurs gages risquent d’être principalement tournés vers moi quel dommage !

  Elle me retire alors mon T-shirt, comme pour me rendre la pareille. Elle fait ensuite mine de me caresser le torse en regardant Lola qui en rigole.

  Huummm, huummm

"Emilie, palpez les fesses d’Enzo ."

  Bon, j’ai encore mon short, mais ça reste sympa. Et ça contribue à faire monter l’ambiance.

"Enzo, caressez tendrement la poitrine de Fatou ."

  Elle n’a plus que son soutien-gorge, mais cette barrière ne m’ennuie pas moins. J’en profite quand même, en attendant avec impatience le moment où je pourrai le faire pour de vrai. Effectivement, sa poitrine me semble opulente, ce qui me rend la tâche très agréable.

  Je me suis dépêché, donc Lola ne m’en veut pas trop.

"Lola, retirez un vêtement à Enzo."

  A ce rythme, je n’en ai plus pour longtemps Elle me retire mon short avec un regard gourmand. Je suis déjà en caleçon devant les trois filles qui gloussent.

"Fatou, embrassez Enzo avec passion."

  Je lui prends la tête dans mes mains pour l’embrasser, et nos langues se mêlent joyeusement. Je sais que j’exagère, mais je veux tout ! Heureusement, si Lola semble ne pas trop apprécier, elle ne dit toujours rien. Espérons que je n’aurais pas à le payer plus tard !

"Emilie, retirez un vêtement de manière sexy."

  Génial, elle est en robe ! Sauf qu’elle sait y faire, et parvient à dégrafer son soutien-gorge qu’elle retire sans rien montrer. Encore que ses tétons pointent avec insistance sous le tissu, et que le décolleté vaut le détour.

  Vivement que je malaxe ses gros nichons !

  En effet, si Fatou semble avoir une poitrine tout à fait correcte (contrairement à celle de ma copine, que je trouve trop petite), celle d’Emilie est carrément énorme !! Rien qu’à l’idée de la voir, j’en suis tout excité.

"Enzo, caressez les fesses de Lola pendant une minute."

  Je ne me prive pas. Il faut dire qu’elle a beau être ma copine, je ne me lasse pas de son corps de rêve. Ses fesses sont tellement parfaites

"Lola, retirez un vêtement."

  Elle est en robe aussi, et choisit une stratégie proche de celle d’Emilie. Mais elle retire sa culotte !

  Huummm

  J’ai déjà envie de lui sauter dessus et de lui faire l’amour, mais je me contiens. Surtout que ce serait dommage de se priver des autres Elles, je n’ai pas l’occasion de me les faire tous les jours !

"Fatou, embrassez le sexe d’Enzo."

  Je regrette d’avoir encore mon caleçon, mais je sais que ce temps viendra. La voir poser ses lèvres sur mon sexe, même à travers le tissu, me suffit de toute façon pour l’instant.

"Emilie, insérez un doigt dans le vagin de Lola."

  Génial ! Cette irruption du sexe lesbien me comble de joie. Surtout, qu’une femme caresse ma copine est particulièrement jouissif.

  A ma grande surprise, Lola soupire de plaisir pendant l’insertion. Je pense qu’elle simule, mais le doigt ressort couvert de mouille !

  On va passer une très bonne soirée.

"Enzo, vous pouvez demander à chaque autre joueur de retirer un vêtement de votre choix."

  Héhé. Je fais donc retirer son soutien-gorge à Lola, sa culotte à Emilie (elles n’ont toutes deux plus que leurs robes) et son soutien-gorge à Fatou !

  J’aurais pu me contenter de la voir en sous-vêtements, mais je veux du concret maintenant.

— Bah ça va ! me dit Lola avec réprobation.

— C’est le jeu, éludé-je.

  Je la dévore des yeux tandis qu’elle le retire. Elle fait un bonnet de plus que Lola, ce qui n’est déjà pas négligeable.

  Attends que je te les lèche, que je te les malaxe, que je te les aspire

"Lola, retirez un vêtement à Enzo."

  Ça y est, j’y suis déjà. Elle me retire mon caleçon avec malice (bien fait pour toi ! semble-t-elle dire). Les deux autres filles regardent mon sexe avec un sourire, mais il me semble voir autre chose dans leur regard.

  De l’envie et beaucoup d’intérêt !

— Pas mal ! s’exclament-elles en cur.

  Evidemment, je bande comme jamais.

"Fatou, suçotez le bout du sexe d’Enzo pendant 10 secondes."

  Ça devient intéressant

  Elle s’exécute, mais quand le temps est presque écoulé elle le prend en bouche et commence à faire des mouvements de fellation.

  Ah, tu veux jouer à ça ?

— Te gêne pas ! s’énerve Lola.

  Fatou s’apprête à arrêter, puis sans doute à prétendre qu’elle l’a fait pour rigoler, mais je l’attrape alors par l’arrière de la tête et lui impose des mouvements supplémentaires.

  J’exprime mon plaisir en un râle de bonheur.

— Non mais ça va, là !

  Cette fois, Lola ne rit plus du tout.

— C’est pour rire, tenté-je, bien conscient que je suis allé trop loin.

  Par chance, les deux autres filles rigolent, prennent la chose à la plaisanterie. Et l’alcool aidant, l’évènement est vite oublié.

"Emilie, retirez un de vos vêtements."

  Je bave presque. Elle n’a plus que sa robe, je vais donc pouvoir la mater sans vergogne.

  Et ses loches valent le détour.

— On va peut-être s’arrêter là, tente Lola.

— Tu rigoles ? On commence à s’amuser ! rétorque Fatou.

  Brave Fatou.

  Emilie retire alors sa robe, et sa lourde poitrine apparaît. Je détourne vite les yeux parce que Lola me regarde, mais de toute façon j’ai toute la soirée pour m’en repaître. Mon regard glisse aussi de temps à autre vers son sexe.

"Enzo, embrassez le sexe de Lola."

  Je jette un nouveau coup d’il aux seins d’Emilie (presque un réflexe), puis je m’exécute. Je me glisse sous sa robe, mais je ne me contente évidemment pas du gage qui m’est fixé. Je la lèche, la suçote, j’introduis même un peu ma langue en elle. Ça dure presque une minute, mais personne ne m’arrête.

  Lorsque je ressors de sa robe, Fatou et Emilie rigolent.

— Ça va, on vous dérange pas ? demande la première.

— Oh non ! lâche-je sans pouvoir me retenir.

  Nouveaux gloussements, sauf de Lola.

  Attention à ne pas aller trop loin, ce serait dommage de tout perdre pour une phrase mal placée.

"Lola, embrassez tendrement Fatou."

  Les deux filles échangent donc un baiser passionné. C’est excitant, bien sûr, mais j’en profite surtout pour regarder Emilie. Elle le remarque et, au lieu de ma le reprocher, écarte les cuisses pour m’offrir une vue plongeante sur son sexe, entièrement épilé. Je bave presque.

  Mais Lola et Fatou ont déjà terminé leur baiser, aussi le jeu reprend-t-il.

"Fatou, retirez un vêtement."

  Sa jupe tombe à son tour, ce qui la laisse en culotte.

  C’est long, je veux du sexe !

"Emilie, placez le sexe d’Enzo entre vos seins et faites-lui plaisir ainsi pendant une minute."

  Mon Dieu, celui-là a été fait sur mesure !

  Je regarde Lola, un peu inquiet.

— Je peux ? demande-je.

— Comme tu veux, répond-t-elle d’une voix qui laisse peu de place au doute.

  Cela veut clairement dire : « tu n’as pas intérêt ». D’un autre côté, c’est trop tentant et je n’aurai qu’à jouer au con

  Je m’approche donc d’Emilie, le sexe tendu comme jamais, et elle l’attrape pour l’insérer entre ses seins. Puis elle commence à le masturber ainsi, tout en donnant des coups de langue sur le gland à intervalles régulier.

  Je veux me retenir de gémir de plaisir mais je ne peux pas, c’est tout simplement trop bon. Lorsque le temps est presque écoulé, je repousse ses mains et place les miennes à la place. Je tiens enfin ses grosses loches, que je malaxe à loisir !

  Et je me branle avec.

— Vous nous dîtes si vous préférez qu’on s’en aille ? lâche Lola avec mauvaise humeur.

  J’ai peut-être été loin, là.

  En effet, la minute est bien écoulée et on est un peu sorti du cadre. Mais comment faire autrement ? C’est le jeu, non ?

  Et c’est déjà à moi de jouer.

"Enzo, malaxez les seins de Fatou pendant une minute."

  Dommage que ce ne soit pas ceux d’Emilie, mais je m’en contenterai bien. Je m’approche de l’heureuse élue, qui m’observe avec des yeux de chatte en chaleur.

  Je pose mes mains sur ses seins, je caresse déjà les tétons avec mes pouces. Ils réagissent très vite à la sollicitation : ils s’érigent et durcissent. Je prends ensuite un grand plaisir à les malaxer. Ils sont un peu plus gros que ceux de Lola, ce qui est parfait.

  Lorsque la minute est écoulée (très rapidement), je suis incapable de mettre fin à l’attouchement. Au contraire, je m’approche pour lui téter les seins. Ses tétons sont érigés, elle sursaute presque lorsque mes lèvres les effleurent. Des frissons parcourent son corps, elle ne peut s’empêcher de gémir.

— C’est bon, c’est fini, là ! s’énerve Lola.

— C’est le jeu, rétorque Emilie en s’approchant d’elle.

  A ma grande surprise, elle se colle à Lola et l’embrasse langoureusement. Plus étonnant encore, Lola se laisse faire !

— On va le rendre jaloux, murmure Emilie.

  Pas de risque, ça m’excite plus qu’autre chose ! Et ça me laisse le champ libre, ce dont je profite : je glisse ma main dans la culotte de Fatou, lui caresse le sexe tout en la tétant. Elle se trémousse, soupire plus que jamais.

— Prends-moi, soupire-t-elle à voix basse.

— Pas tout de suite, réponds-je, attends que le jeu le demande

— Mais si tu as un orgasme avant ?

  J’insère un doigt dans son vagin.

— Je te jure que je garderai tout pour toi, promets-je.

  Elle glousse légèrement, je me retire.

— A qui le tour ? demande-je innocemment.

— Lola, prodiguez un plaisir oral au joueur de votre choix.

  J’en trépigne d’impatience. Une petite pipe est exactement ce qu’il me faut pour me détendre Mais Lola ne se dirige pas vers moi, mais vers Fatou ! Elle lui retire sa culotte d’un air décidé.

— Pas de raison que tu sois la seule habillée ! lui lance-t-elle.

  Puis elle pose ses lèvres contre le vagin de son amie, qui se trouve être déjà trempé par mes caresses !

— Je vois que tu as apprécié le petit massage d’Enzo…

— Oh oui ! ne peut retenir Fatou.

  Voir Lola lécher ainsi une autre fille me rend fou. Je suis à deux doigts de sauter sur Emilie pour lui infliger le même traitement mais je me retiens. Sauf que Fatou, qui était déjà follement excitée, ne peut retenir un orgasme foudroyant ! Elle hurle son plaisir tout en maintenant bien le visage de Lola contre elle.

  Lorsqu’elle peut enfin se dégager, Lola a le menton gorgé de mouille, mais un sourire satisfait. Donner un tel plaisir à une autre femme n’a pas semblé lui déplaire. Bien sûr, je fais mine d’être offusqué.

— Tu peux dire de moi, mais je ne m’investis pas autant dans ma tâche, moi. Tu exagères quand même !

— C’est le jeu, répond Lola avec un sourire mutin.

  Le poisson est ferré, la partie est gagnée !

"Fatou, laissez chaque joueur vous donner une fessée."

  Pas mal, ça lui laissera le temps de se reposer un peu. Emilie commence, puis Lola. Lorsque c’est mon tour, je lui assène une claque pas trop forte, mais surtout je laisse trainer ma main quelques secondes, je palpe ses fesses. Je fais même coulisser mon index le long de ses lèvres intimes. Il en ressort trempé.

"Emilie, empalez-vous sur le sexe dressé d’Enzo."

  Lola pince légèrement des lèvres mais ne dit rien.

— Il ne s’agit pas de faire l’amour, explique-je.

— C’est le jeu, répète-t-elle, à moitié convaincue seulement.

  Je prends ça pour une acceptation. Je m’allonge donc sur le dos et Emilie vient se placer au-dessus de moi. Lorsqu’elle descend sur moi, je commence par promener mon gland le long de ses lèvres, insistant sur le clitoris.

— Il faut qu’elle soit humide, tente-je de justifier.

  Je n’aurais pas pu trouver plus hypocrite : c’est tout juste si sa cyprine ne dégouline pas le long de sa cuisse

  Enfin, elle engouffre mon engin dans son vagin. Je ne peux retenir un râle de plaisir. Presque instinctivement, je lui attrape les seins et commence à lui faire l’amour. Je sais que ce n’est pas demandé et que Lola risque de mal le prendre, mais ce n’est plus possible.

  Elle n’est d’ailleurs pas en reste, elle me chevauche sans cacher son plaisir. Le bonheur que j’éprouve à la ploter est colossal.

  Nous arrêtons toutefois assez rapidement, il faut bien sauver un minimum les apparences

"Enzo, faîtes l’amour à Fatou pendant une minute."

  Je jette un coup d’il à Lola, mais il est de pure forme et on le sait tous les deux : nous sommes déjà allés trop loin pour nous arrêter maintenant.

  Fatou me regarde, apparemment satisfaite de son sort. Elle s’approche de moi, prête à s’empaler. Mais je ne l’entends pas de cette oreille : je la retourne, la cale contre le canapé et l’enfile en levrette.

  Je ne peux retenir un nouveau râle de satisfaction. Ce quick-sex est trop plaisant, surtout quand il est adultère et devant sa femme ! Je lui attrape les seins et la tringle sans tendresse. Du coin de l’il, je vois Emilie et Lola qui commencent à se caresser. Parfait, ça me laisse le champ libre.

  Je la baise bien au-delà de la minute demandée, le jeu ne m’intéresse plus. Aucune des filles ne semble d’ailleurs s’en offusquer, et surtout pas Fatou. Pourtant, au bout de 3 à 4 minutes, je me retire, laissant la malheureuse dans l’incompréhension.

  Je me saisis alors d’Emilie, qui était pourtant enlacée avec Lola, et je la fais prendre sa place de force. Avant qu’elle ait pu comprendre ce qui lui arrivait, je la besogne déjà en lui malaxant les seins.

  Mon dieu qu’ils sont beaux !

— Lola, mets-toi à côté, ordonne-je.

  Je suis complètement possédé par le plaisir, je ne prends même plus de gants et je les traite comme des actrices de hard. Heureusement, elles semblent être compréhensives. Lola s’exécute donc.

  Je me retire alors d’Emilie et enfile aussi sec Lola. Elle laisse échapper un petit cri lors de la pénétration mais il est vite remplacé par des gémissements de plaisir. J’ai trois femmes à ma disposition, toutes plus belles les unes que les autres, et qui ne demandent rien de mieux que de se faire baiser !

  Malheureusement, cet état de fait ne m’aide pas à tenir. Je sens vite l’orgasme monter, aussi je préfère me retirer et les faire s’accroupir devant moi.

  Elles sont toutes les trois alignées, soumises, tandis que je me masturbe sous leurs yeux. Je termine alors joliment en éjac’ faciale, en essayant au maximum de répartir la semence équitablement.

  C’est tout juste si elles ne se battent pas pour en obtenir

  Salopes

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