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Un patron très attentionné – Chapitre 3

Un patron très attentionné - Chapitre 3



Salut, c’est votre folle de lycra.

En l’absence de Geneviève, je me suis dépêché de me transformer comme elle me l’avait demandé. Il y avait un body tout en lycra fendu à l’entrejambe, j’avais trouvé ça sur Internet et je m’étais empressé de l’acheter. Il y avait aussi un magnifique collant en lycra opaque bien évidemment, il était fendu lui aussi. La proprio m’avait aussi amené plusieurs très belles paires d’escarpins et elle en avait choisi une qui me galbait très bien les mollets. Perché sur ses chaussures très féminines, je ne me sentais pas à l’aise, question d’équilibre, par contre, je me sentais énormément femme et même un peu femme fatale. Geneviève m’avait trouvé une robe assez courte, qui mettait mes jambes en valeur, par contre, il ne fallait pas que je me baisse, car on était pas loin de l’appel au viol. Ce n’est pas moi qui avais acheté cette robe, c’était un cadeau de ma partenaire, ce qui me plaisait, c’est qu’elle était hypermoulante.

Une fois habillé, je vais vous avouer que je me sentais un peu allumeuse, je pense qu’avec une perruque et un peu de maquillage, dans la rue, de nombreux hommes se seraient retournés sur moi.

J’essayais de marcher avec mes chaussures sexy en attendant Geneviève qui a fini par revenir et là, elle m’a coupé le sifflet. Elle aussi était perchée sur des escarpins, mais elle portait une superbe guêpière noire en lycra avec un peu de dentelle rouge dessus, sur laquelle étaient attachés ses bas noirs eux aussi, avec, pour finir un magnifique tanga assorti à la guêpière. Je n’avais aucun doute quand on voit une femme ainsi habillée, elle a envie de faire l’amour. Je ne parle pas de faire l’amour à toute vitesse, mais plutôt toute la nuit, d’une façon mémorable. Décidément, je n’étais pas au bout de mes surprises avec ma propriétaire, je n’ose imaginer la tête de Claude, s’il m’avait vu ainsi accoutré, mais surtout face à sa femme dans une telle tenue. Sa tenue était une chose, mais ce qui m’intriguait le plus, c’est ce qu’elle avait dans sa petite boîte en plastique, que pouvait-elle bien dissimuler ?

Arrivée à mes côtés, elle m’a fait faire plusieurs allers-retours dans mon studio, elle m’a expliqué qu’il fallait que j’apprenne à rouler un peu des fesses. Je peux vous garantir que ma virilité en prenait un sacré coup avec de telles consignes, mais bon, vu où j’en étais déjà, je n’avais plus grand-chose à perdre.

Ensuite, Geneviève m’a plaqué contre elle, bien évidemment je me suis laissé faire, j’aimais son côté directif. Une fois bien collé à elle, elle s’est mise à me caresser le corps pour savourer la douceur de ma parure, mais surtout pour jouer avec mes petites fesses. C’est elle qui dirigeait les opérations et elle n’en avait que pour mes petites fesses, à ma grande honte, à force de me solliciter, elle était en train de me coller une énorme érection. Sentir cette femme fatale collée à moi, dont le parfum me montait à la tête, mais surtout dont les mains étaient en train de m’exciter l’entrejambe, je ne sais pas ce qui me retenait de l’emmener sur la machine à laver et l’honorer. Elle a récupéré la boîte qu’elle avait amenée et déposée sur ma table de nuit. Quand elle m’a mis l’emballage dans les mains et que j’ai découvert le contenu, je suis devenu rouge de honte.

C’était un gode à ceinture de belle taille, cela laissait sous-entendre que Geneviève avait projet de me prendre par-derrière, voilà pourquoi elle attachait tant d’attention à mon petit cul.

J’ai trouvé ça sur Internet et je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais de m’occuper de toi. Quand je vois la capacité d’accueil de ton petit cul, mais surtout sa capacité de dilatation, je suis sûre que je vais pouvoir te prendre tout en douceur, pour ton plus grand bien.

Geneviève avait le mérite d’être directe, ainsi je connaissais ses projets à mon égard pour la journée. Elle m’a donné à ouvrir le paquet et c’est ainsi que je me suis retrouvé avec un sexe factice dans la main. Je me sentais un peu bête, à le regarder comme ça, comme si je ne savais pas ce que c’était.

Maintenant, il va falloir que tu le suces, pour le lubrifier avant qu’il rentre en toi.

De nouveau une grande gêne de ma part, car je ne me voyais pas prendre ce sexe en bouche, même s’il était en silicone.

Je vais te motiver pour que tu te mettes à le sucer si tu veux.

C’est ainsi que Geneviève a glissé de sex-toy dans son intimité, ainsi le petit joujou allait prendre un goût bien plus agréable. Elle avait bien écarté les jambes pour faciliter l’accès à son intimité et c’est ainsi que j’ai vu le gode disparaître entre ses jambes.

Bien évidemment, Geneviève était en train de me regarder de façon provocante, rien que son regard m’excitait. Elle le faisait rentrer et sortir et je voyais maintenant le sex-toy luire de cyprine, c’est vrai que maintenant, je ne me suis pas fait prier pour prendre ce joujou en bouche. En même temps, je me disais que ce n’était pas un morceau de viande, mais juste un morceau de silicone qui allait prendre place dans ma bouche. C’est ainsi que je me suis retrouvé à faire une fellation à ce sex-toy, sous les yeux observateurs, amusés, coquins et provocants de Geneviève. Au début, je me sentais un peu humilié face à ce regard, mais finalement j’ai fini par trouver ça agréable.

Je trouve que tu t’y prends très bien ma chérie, va chercher les traces de la cyprine le plus haut possible sur notre jouet.

En gros, Geneviève était en train de m’inviter à me faire une gorge profonde avec ce sex-toy. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je pense que c’est la gourmandise d’essayer de retrouver le plus de cyprine possible sur ce morceau de silicone, mais je me suis mis à m’enfoncer le gode le plus profondément possible au fond de ma gorge.

Il ne valait mieux pas que je pense à ce que j’étais en train de faire, sinon j’aurais arrêté tout de suite. C’est là que je réalisai, que quand on demande ça à une femme, il y a quand même un petit côté dégradant. Pendant que j’étais en train de faire une fellation à ce sex-toy, Geneviève s’était agenouillée et avait glissé ses doigts pleins de salive dans l’ouverture de mon body pour aller me lubrifier mon petit trou. Il ne lui a fallu que quelques minutes pour réussir à me rentrer de nouveau trois doigts dans le fondement, le pire c’est que maintenant j’adorais. Pendant que je continuais à faire ma turlutte à ce morceau de plastique, Geneviève avait retiré ses doigts de mon intimité, pour fixer le harnachement du gode. J’étais en train de réaliser que dans quelques minutes, la femme de mon patron allait me prendre par-derrière et sans doute me procurer beaucoup de plaisir.

Je pensais qu’une fois l’opération terminée, elle se dirait qu’elle est arrivée à ses fins, et elle aura réussi à faire de moi une petite soumise qui aime se faire prendre par-derrière.

Je comprenais parfaitement que Claude ne veuille pas rentrer dans ce genre de sexualité, de mon côté j’avais bien compris que c’était la condition impérative, si je voulais continuer à faire l’amour avec sa femme. Au bout d’un certain temps, Geneviève a estimé que son outil était suffisamment bien lubrifié pour qu’elle soit maintenant en mesure de pouvoir le fixer à elle avant de me prendre. Manifestement, c’était la première fois qu’elle s’en servait car une fois qu’elle me l’a retiré de la bouche, elle a été assez longue pour le fixer sur le harnachement. Une fois l’opération terminée, Geneviève s’est retrouvée avec un sexe de la même taille que le mien, mais qui en aucun cas ne pouvait perdre de la vigueur. Elle n’a pas été bien longue à se positionner contre ma rondelle, et elle s’est mise à pousser doucement mais sûrement. Mon anneau rectal était en train de céder, et je commençais à sentir le gode se faufiler dans mes entrailles.

Je vais vous avouer qu’au début, j’ai ressenti quelques douleurs, mais ces dernières ne furent que passagères et rapidement, j’ai commencé à prendre du plaisir.

Tel un homme, Geneviève me tenait par les cuisses, et elle était maintenant entièrement en moi, j’avais vraiment la sensation d’être la secrétaire que le patron était en train de prendre sur son bureau. Je sentais maintenant Geneviève donner des coups de reins, déterminée à aller toujours plus loin en moi. Quand j’ai constaté que ma partenaire était en train de sourire, je m’interrogeais, mais j’ai rapidement compris que ce qui la mettait à ce point de bonne humeur, c’est de voir que j’avais une érection monstrueuse sans qu’elle ne touche à mon sexe. Il n’y avait pas de doute, Geneviève me donnait énormément de plaisir par cette issue. Par moments, elle s’arrêtait bien profondément calée en moi, et elle me caressait les hanches ; il n’y a pas à dire, elle était la maîtresse de cérémonie. À plusieurs reprises, j’ai essayé de lui saisir les seins, qui étaient très bien mis en valeur dans sa guêpière, mais j’ai toujours essuyé un refus.

Finalement, au bout de la cinquième ou sixième tentative, elle a fini par accepter que je lui saisisse sa poitrine, si désirable et attirante.

Tu vas voir ma belle, je suis sûre que dans quelque temps, tu ne pourras plus te passer de mes visites dans ton issue de secours. Tu te rends compte que si un homme te faisait ce que je suis en train de te faire, tu prendrais aussi ton pied.

Elle avait l’air bien plus experte que moi au niveau sexe, même si j’avais l’impression que c’était la première fois qu’elle sodomisait un homme. Ce n’était pas grave, en même temps, même si c’était une première, elle s’y prenait très bien et me donnait beaucoup de plaisir. Maintenant, elle avait saisi mes tétons à travers mes vêtements, et elle s’était remise à me besogner mon intimité. Il n’y a pas à dire, je pense que cela a été l’élément déclencheur, c’est ainsi que je me suis mis à jouir comme un fou, et pour la première fois, je n’avais pas touché mon sexe pour cela. J’ai voulu exprimer ma jouissance en criant, mais Geneviève m’a rapidement donné un oreiller pour étouffer mes cris.

Tu vas voir, désormais tu vas assimiler ton travestissement à de la jouissance, avec le temps, à chaque fois que tu voudras jouir, tu sauras qu’il faudra que tu te fasses belle.

L’avantage du sex-toy était qu’après la jouissance, il ne risquait pas de débander, et c’est ainsi que ma partenaire est restée encore de longues minutes en moi, par moments elle bougeait, mais elle essayait de rester immobile. Il n’y a pas à dire, elle voulait absolument que je me fasse à la présence d’un intrus dans mon intimité. J’étais un peu gêné car j’avais éjaculé dans mon body, Geneviève s’amusait à appuyer sur le tissu pour que ma semence s’étale un peu partout dans mes vêtements, elle faisait ça avec un regard pervers. Bien évidemment, ma semence a traversé la texture et elle en avait plein les doigts, cela a été plus fort qu’elle, mais il a fallu qu’elle me les donne à sucer, mais qu’elle les suce elle aussi. C’était la première fois de ma vie que je goûtais à du sperme, même le mien, cela était un peu amer et salé ; je vais vous avouer que j’aurais préféré sucer quelqu’un de diabétique, peut-être aurais-je pu y déceler un petit goût sucré.

Finalement, Geneviève a fini par se dégager de moi, elle avait l’air très heureuse de ce qu’elle venait de me faire vivre.

Le petit plaisir a été, quand elle a sorti mon sexe de mon body, pour le prendre en bouche et le nettoyer. Même si je venais de me faire enculer par un sexe fictif, une bouche féminine sur mon sexe était vraiment quelque chose de divin. Ensuite, Geneviève a poussé le vice jusqu’à glisser ses doigts entre mon corps et le body car il y avait encore plein de semence gluante. C’est avec un regard provocateur qu’elle se suçait les doigts, il n’y avait pas de doute, elle ne cherchait qu’à m’exciter encore, en me fixant ainsi des yeux. Elle est ensuite venue s’allonger sur moi, entre mes jambes, pour m’embrasser et me caresser les hanches. Il était évident qu’en venant ainsi se coller à moi, elle allait se mettre plein de sperme sur sa guêpière, mais n’était-ce pas ce qu’elle désirait. J’avais l’impression de franchir une étape supplémentaire, à chaque fois que je me retrouvais à faire des folies sexuelles avec Geneviève.

Je ne pouvais me retenir de penser à mon patron qui passait à côté de tant de choses avec sa femme, mais pourquoi ne la touchait-il pas ? Elle est restée quelques instants collée à moi, comme si elle voulait me déguster, me savourer, puis ensuite elle s’est relevée et elle m’a dit que c’était fini pour aujourd’hui.

J’avais vraiment l’impression d’être son jouet sexuel, mais pour quelqu’un qui était très timide avec les filles, comme je le suis, je ne pouvais rêver mieux qu’une relation avec Geneviève. Ma partenaire a disparu, comme si elle s’était trouvée près de la machine à laver juste pour m’attendre. Avant de tomber sur elle à la machine, j’étais parti pour lancer une lessive, et je pouvais donc me mettre à ma tâche ménagère. J’ai tout déposé dans le tambour, en glissant de la lessive dedans car je n’aime pas m’embêter avec les programmes qui déposent de la lessive quand on leur demande. À mon goût, des machines d’aujourd’hui sont beaucoup trop sophistiquées, mais ce n’est que mon humble point de vue. Une fois l’opération terminée et la machine lancée, je n’ai pu me retenir d’aller jeter un petit coup d’il dans le bac à linge sale de la famille.

voir tout ce qu’il y avait à laver et en constatant que Geneviève n’avait pas lancé de lessive, il n’y avait pas de doute, elle m’attendait à cet endroit. Je n’ai pu me retenir de sentir plusieurs de ses culottes, il s’en dégageait une odeur vraiment formidable d’autant que je commençais à bien connaître la propriétaire.

C’est en reprenant la direction de mon studio que j’ai réalisé que j’étais venu lancer une machine habillée en femme. Bien évidemment, le reste de la journée, je ne dirais pas que j’avais mal aux fesses, mais je ressentais des sensations bizarres. Je vais vous avouer que je n’avais qu’une envie, c’est de me tirer sur l’élastique dans cette tenue. En fait, je me suis allongé sur le lit, en me mettant sur le ventre, et je me suis frotté le sexe contre mon body cela me faisait un effet de fou. J’étais en train de simuler un acte sexuel avec ma queue dans une forme étonnante, mon prépuce sortait de sa cachette à chaque fois que je donnais un coup de reins vers l’avant. Pour m’aider à me faire du bien, je me remémorai tout ce que j’avais déjà vécu avec Geneviève. Finalement il ne m’a pas été bien long à éjaculer de nouveau dans mon body, et je me suis laissé aller à tourner de l’il, tellement j’étais bien et heureux.

Quand je me suis réveillé j’ai réalisé que j’avais au moins dormi deux heures ou trois heures. Finalement, je n’ai pas bougé du week-end, je suis resté dans la tenue que m’avait suggéré ma partenaire et j’ai même dormi avec. J’ai repris la semaine avec une grosse envie de m’occuper de nouveau de Geneviève.

J’étais toujours mal à l’aise à chaque fois que je croisais Claude, j’avais toujours le droit à ses petites tapes sur les fesses, mais disons que maintenant elles ne me laissaient plus indifférent. Ce serait mentir de ma part que de vous dire qu’il me collait une petite main aux fesses tous les jours, mais je pense que j’y avais droit tous les quinze jours, mais je le prenais toujours sur le ton de la rigolade. Claude était légèrement plus âgé que mes parents et je me sentais un devoir de respect, pas un respect dû à son âge, mais plutôt un respect dû à tout ce qu’ils avaient construit de ses mains ; sa réussite il ne la devait qu’à lui. Il avait toujours le même regard complice avec moi, même si maintenant j’avais l’impression qu’il me déshabillait des yeux, mais je pense que je me montais des films.

Un soir dans la semaine, quand je suis rentré à la maison, il y avait un colis devant ma porte, le curieux que je suis s’est empressé de regarder ce qu’il y avait dedans. À ma grande surprise, il y avait une paire de cuissardes à ma pointure, avec des talons d’une dizaine de centimètres, le tout accompagné d’une petite lettre.

Coucou ma chérie, je t’ai trouvé ça, je pense que tu vas te trouver encore plus belle ainsi chaussée.

Vous vous doutez bien que je me suis empressé d’aller les enfiler pour voir comment j’étais dedans, j’étais assez surpris car elle était en lycra laqué et il y avait une fermeture éclair d’une vingtaine de centimètres, pour que mes pieds puissent descendre correctement. Une fois bien enfilées, j’ai pu constater qu’elles m’arrivaient presque au niveau des fesses. Les talons étaient assez fins et durant dix bonnes minutes, je me suis promené chez moi en me sentant belle. Quand j’ai enfilé une douce robe longue par-dessus j’ai été sidéré par les sensations magnifiques que l’on pouvait ressentir avec le frottement de la robe sur les douces cuissardes. Maintenant, il ne me manquait plus qu’une perruque, pour pouvoir être à peu près présentable, car j’avais de la chance de ne pas avoir un système trop développé, voire pas du tout. Je pouvais me permettre de ne me raser que tous les quinze jours avant que cela commence à se voir.

Je n’ai pas vu ma propriétaire pendant presque quinze jours, je peux vous garantir qu’elle m’a vraiment manqué.

Un samedi, alors que je rentrais d’être allé faire les courses, elle m’est tombée dessus, rien qu’à la voir, il n’y avait pas de doute, elle avait envie de s’envoyer en l’air. Elle était parée d’un ciré rose et en dessous, une magnifique guêpière noire avec des bas assortis et la foufoune à l’air. Elle m’a aidé à porter les courses dans mon appart, avant de s’engouffrer avec moi dedans, elle m’a quand même aidé à ranger les produits frais dans le frigo, avant de s’allonger sur mon lit.

J’ai envie que tu me bouffes la friandise et qu’après, tu me fasses l’amour comme un fou.

Je commençais à connaître le personnage et je savais que ses désirs étaient des ordres. Voilà comment je me suis agenouillé entre ses jambes bien écartées, j’étais sur le point de passer à la cave, quand elle m’a dit :

Tu ne crois pas que tu as oublié quelque chose, je veux que tu me baises, uniquement quand tu es habillé en chienne docile et offerte. Va te faire belle, je t’attends.

Je peux vous garantir que je n’ai pas été long à me préparer, car Geneviève était vraiment très désirable, et en plus, cela faisait longtemps que je n’avais pas tiré sur l’élastique.

Viens me faire l’amour, comme tu sais si bien le faire et après, je vais t’avouer quelque chose.

Mais qu’est-ce que Geneviève veut confesser à Franck ? Vous le saurez dans le prochain chapitre.

Gros bisous à vous.

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