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Un si délicieux amant – Chapitre 2

Un si délicieux amant - Chapitre 2



Et donc lété dernier lattitude de Romain a encore évolué à mon égard.

Sur la plage au début des vacances, en labsence de Thomas, après quil mait confié ses aventures sexuelles de cette année scolaire, il a ajouté:

— Cest cool je vais retrouver Zoé et Alexa en septembre. Mais jaurais préféré que ce soit avec toi la première fois

Je restais quelques instants interloquée.

— Cest pas vrai, tu rêves ma parole, tu es trop jeune voyons, je suis comme ta grande sur et jai un homme dans ma vie tu le sais bien.

— Hé alors!

— Arrête Romain, là tu exagères.

Sur ce, il est parti faire une bonne heure de surf puis nous sommes rentrés en parlant de choses et dautres.

Seule dans lappartement, je nai pas pu mempêcher de repenser plusieurs fois dans la soirée à cette avance de Romain, car cen était bien une. Comment un mec de son âge pouvait il sintéresser physiquement à une fille de 5 ans son aînée? Comment pouvait il imaginer que je pourrais avoir une aventure avec lui?

Nous avions lun pour lautre une profonde affection, toujours heureux de nous retrouver chaque été ou, à Bordeaux, à loccasion de repas entre nos parents. Je ne voyais pas comment ce lien affectif, tissé par de nombreuses années de complicité, avait pu ainsi évoluer chez lui.

Je navais rien fait pour cela, pas eu dattitudes ou de paroles qui avaient pu le placer sur ce terrain aussi mouvant.

Jétais déstabilisée et craignais par dessus tout que quelque chose soit cassée entre nous. Je trouvais finalement le sommeil en me disant quaprès tout je devais faire partie de certains fantasmes, que çà lui passerait avec les inévitables copines de vacances.

A mon réveil mes premières pensées furent pourtant pour Romain. Si javais été énervée voire choquée par ses avances, je ressentais maintenant une sorte de fierté. Certes il a toujours été un peu flatteur, blagueur, mais il avait mis de la conviction et de la sincérité dans sa déclaration.

Je reconnaissais malgré moi quil avait réussi à me troubler et mobliger à le regarder différemment.

Jai attendu quil vienne me chercher. Ce jour là et les jours suivants, il a fait des bises près de mes lèvres, a porté des regards appuyés sur mon corps, puis, quand nous nous baignions, au lieu de se mettre sur mon dos comme les années précédentes, il sest collé à moi contre mes seins nus les yeux dans les yeux, ses jambes croisées sur mes reins, ses mains caressant mon dos, mes fesses jusquà me faire tomber. On jouait, je jouais avec le feu aussi car je promenais mes mains sur ses cuisses, son dos. Nous étions suffisamment loin des autres vacanciers, alors je le laissais faire. Cest lorsque je ressentais des picotements bien agréables sous le nombril que je mettais un terme à ces débordements sensuels par des chatouilles.

Ne pas réagir efficacement à ces manuvres dépourvues dinnocence cétait les accepter.

Jai discuté avec lui, longuement, lui précisant que notre amitié devait rester dans un cadre daffection réciproque, quil nétait plus un enfant, que jaimais trop Thomas pour mamuser ainsi avec lui, etc., etc… bref quil devait se trouver une copine de son âge, au lycée. Je ne me suis pas sentie persuasive, victime de ma sensualité à fleur de peau dont il avait eu la preuve plusieurs fois, de mon affection pour lui, mais aussi de son corps que je trouvais décidément très beau.

Je résume ses réactions qui me laissèrent sans voix.

— « Je men fous des autres filles, cest toi que je veux. Tu crois peut-être que je ne me rends pas compte que çà te plaît quand je suis contre toi dans leau. Je sais que taimes Thomas, et çà mest égal, mais tas raison il est grave sympa. »

Pendant quelques jours on sest baignés comme si de rien nétait, gentiment. Sans men rendre compte je devenais moins vigilante. Il a dû sen apercevoir, a tenté de remettre le couvert, mais jai réussi à le contrer. Son assiduité et ses ardeurs étaient intacts. Pourtant de nouveaux sentiments naissaient pour lui et une réelle attirance physique me tenaillait, jattendais impatiemment lheure pour lemmener à la plage.

Le jour de son anniversaire, la veille du 15 août, après une course poursuite dans leau, il est parvenu à ses fins. Je ne me suis pas débattue, trop essoufflée et désireuse. Après quelques minutes pendant lesquelles nous avons repris nos caresses, jai nettement senti quil bandait, malgré leau froide. Il devait forcément savoir que moi aussi je savais. Jai été parcourue de nombreux frissons, ces ondes de déclenchement du plaisir. Comme les autres jours les pointes de mes seins continuaient à durcir et pas seulement à cause de la fraîcheur de leau, cela il le savait aussi.

Une vague de bonheur ma envahi. Jai eu envie de lui, voulu quil me prenne là, dans leau. Mes mains ont parcouru son dos, ses fesses, ses cuisses. Je réussissais à glisser mes doigts loin dans son maillot trop serré au risque de le faire craquer, sur ce petit cul ferme que je palpais pour arriver à le serrer plus fort contre moi. On ne se quittait pas des yeux, il souriait, moi aussi, on était bien.

Jai déposé un baiser sur ses lèvres et lui ai demandé de descendre.

Il sest écarté, a peloté mes seins, en a sucé les tétons érigés puis a brusquement fait la planche en creusant les reins, ses jambes toujours nouées dans mon dos. Je nai pas eu le temps de retirer mes mains de son slip, qui descendit sous ses fesses. Je vis alors ce que javais senti et tirai encore vers moi son maillot distendu. Autour de cette superbe offrande, mes mains libérées, je taquinais un bon moment de mes doigts la peau douce de ses cuisses presque imberbes et de son bas ventre parsemé de poils clairs. Quel changement en un an me suis je dit. Il avait un beau membre et je mimaginais le posséder dans mon vagin.

Jhésitais à me saisir de ce sexe dressé et de ces petites boules sous leau. Romain ouvrit ses jambes. Il disparut en apnée, séloigna et ressortit derrière moi. Il a posé ses mains sur mes hanches et vite détaché mon bikini. Pendant que je rattrapais mon maillot ce garnement, cet ado en sortit et il en a profité pour mettre une main sur ma moule. Je tardais volontairement à remettre mon bikini. Jécartais les jambes pour lui faciliter la tâche lui permettant de prendre possession de mes parties charnues, dinspecter ma raie cuillère, titiller mon illet, de fouiller mes grandes lèvres et visiter lentrée de ma chatte, branler mon petit bouton, faisant grimper ma température. Je me donnais, je mouillais, javais accepté quil me donne du plaisir et lui en avais laissé le temps, mais lui sétait offert puis dérobé alors que peut-être on aurait pu Tant pis, pour le moment il fallait que je revienne sur terre.

Je mis une main sur le devant de son maillot. Calme plat presque revenu.

— Viens lui dis je, Thomas va bientôt arriver, cest le week-end du 15 août et aujourdhui cest ton anniversaire. Tu me diras demain ce que tu veux comme cadeau, sinon je morganise avec ta maman.

— Cest toi que je veux comme cadeau et tu en as envie aussi je le sais.

Je ne savais pas quoi dire en revenant sur la plage. Jétais tiraillée entre le plaisir que nous venions de partager, ma culpabilité, mon amour pour mon compagnon et limpossibilité daller plus loin avec mon « ptit copain ». Je narrivais pas à regretter ces quinze, vingt minutes très coquines avec Romain, pire jen voulais plus. Nous avions une attirance physique de plus en plus forte. Tout à coup jai réalisé que je venais de tromper mon compagnon et pris peur. Pour relativiser, je tentais de me convaincre quil ny avait pas vraiment tromperie, puisque Romain ne mavait pas pénétré.

— Dis Véro, tu as lair bizarre, tu regrettes?

— Non pas de regrets, au contraire, cest pour çà que jai le sentiment davoir trompé Thomas.

— Tu pousses un peu là, on ne trompe pas son mec si on ne fait pas lamour avec un autre non?

— Et nos préliminaires tu en fais quoi?

— Oui, dommage quon sest arrêté, les gens auraient trouvé çà louche, javais bien envie de faire lamour avec toi.

Il sest douté de ma réaction et a commencé à courir. Je le poursuivais et abandonnais vite ce combat inégal.

Avant darriver à lappartement jai demandé à Romain de garder secrètes nos relations.

Jai été heureuse de revoir mon homme 2 heures plus tard. Repas vite expédié pour nous retrouver au lit et soffrir une mémorable partie de jambes en lair une bonne partie de la nuit. Mon bain de mer mavait mise en appétit.

Le lendemain matin je laissais Thomas se reposer, nous devions nous retrouver chez mes parents pour le déjeuner. Romain me rejoignit. Pour lui faire honneur, sans dessous comme souvent, javais décidé de mettre un joli chemisier pas trop transparent mais suggestif, boutonné jusquà la naissance de mes seins. Bisous chastes, et nous partîmes lui acheter un slip de bain. Cest ce quil voulait et jen convenais malicieusement, recevant en retour une petite claque limite caressante sur mes fesses.

On est entré dans une boutique que nous connaissions bien. Embrassades, bon anniv. etc. Solange, la patronne, que nous savions très libre à 40 ans à peine et toujours aussi belle, ne refusant pas à se faire des jeunes, garçons ou une fille de temps en temps comme moi il y a plusieurs années, sest occupée de mon cavalier qui a exigé mon avis alors que lon fouillait les rayons. Son décolleté vertigineux cachait difficilement une poitrine arrogante et volumineuse, ce qui ne nous a pas échappé, comme la constaté Solange.

— Non je ne mets toujours pas de soutien, ni de dessous dailleurs. Jadore être épilée, cul nu, sentir lair frais sur mon minou, toi aussi si je me souviens bien, me dit-elle en vérifiant la douceur de mon puits damour sous ma jupe en jean.

Cet attouchement réveilla mes sens.

— Romain, va dans la cabine du fonds on sera plus tranquille, lui dit-elle. Elle ajouta en chuchotant et me montrant la cabine, tu sais, même si tu vis avec Thomas et que tu laimes, rien ne tempêche de le prendre comme amant. Il na dyeux que pour toi, nattend que çà cest sûr, et il te plaît, çà se voit. Je me trompe?

— Non, je suis vraiment bien avec lui. On se parle beaucoup, il sintéresse à tout, il est très gai et sait me faire rire. Il ma fait des avances depuis début août et hier on a failli faire lamour dans leau. Je trouve quand même que çà risque dêtre très compliqué comme relation.

— Tu sauras gérer çà, je te connais. Laisse parler ton cur et ton corps, vas-y fonce, je suis certaine que cest un bon coup. Cà durera ce que çà durera. Bon, laisse moi faire tu vas voir.

Romain ouvrit le rideau une fois changé.

— Tourne toi, montre à Véronique de quoi tu as lair. Tu vois, tu es trop serré là-dedans, mes doigts arrivent à peine à passer.

Je vis deux doigts disparaître dans le slip et sy attarder sous les yeux arrondis de Romain.

— Je vais chercher la taille au-dessus nous a dit Solange en me lançant un clin dil.

Elle revint avec le nouveau maillot. Romain referma la cabine pour se changer.

Solange attendit quelques secondes et ouvrit le rideau.

— Héééé ! faut pas vous gêner là, dit mon amoureux en nous tournant le dos, les fesses à lair.

— Hé ben, quel beau ptit cul nous avons là ma Véro.

Elle fit pivoter Romain quand il eut enfilé son slip. Effectivement il serrait beaucoup moins, mais laissait apparaître une protubérance trahissant une excitation certaine.

Elle écarta des deux mains le maillot, vérifia de visu le contenu.

— Tu es devenu un petit homme toi dis donc! Hum si tu as envie dune petite gâterie ou plus, reviens me voir quand tu veux.

Elle baissa le maillot jusquaux genoux et me présenta la verge en semi érection. Romain ne réagit pas et guettait ma réaction.

— Regarde Véronique, viens vérifier toi même, cest pas du XL mais çà devrait le faire. Tu en as de la chance.

Solange riait.

Elle ma poussé vers Romain qui nattendait que cela visiblement. Je nai pas pu résister à lenvie irrésistible de jouer quelques secondes avec ses coucougnettes bien remplies et enfin saisir sa queue entre mes doigts.

Sous les yeux de Solange, ravie, mes doigts entrèrent en action deux ou trois minutes, suffisantes pour donner du volume et de la longueur à ce bel engin. Rien à voir avec celui de Thomas, mais vigoureux aussi, attirant, avec une jolie prune bien mûre. Mon sexe shumidifiait dangereusement. Chemisier ouvert jusquau nombril, mes seins pointaient, exposés et excités par les menottes adroites de mon éphèbe, lui comme moi nullement gênés par la présence de la patronne.

— Cest une taille qui me convient effectivement, si Romain est satisfait moi aussi.

Éclats de rires.

Dehors, il a mis sa main dans la mienne. Jai porté sa main à mes lèvres pour y déposer un baiser.

(à suivre)

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