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Un stage intéressant – Chapitre 1

Un stage intéressant - Chapitre 1



Je m’appelle David, je viens d’avoir 18 ans. Fils unique de parents ultra catholiques, j’ai été élevé dans un cocon familial où toutes fantaisies étaient exclues. J’ai fait mes études dans un collège privé dans lequel la seule règle était travail, travail et travail. Je n’avais pas d’amis, juste des relations purement scolaires avec les autres élèves. A la maison les règles étaient quasiment les mêmes. Nous n’avions pas de télé. Mes seules distractions étaient la lecture- à ce sujet je peux vous dire que j’ai presque tout lu ce que la littérature dite classique a fait de mieux- et les ballades dans le grand parc de notre propriété. Inutile de vous dire que côté sexualité j’étais complètement ignare, j’avais juste remarqué que depuis un certain temps, je me réveillais, le matin, avec un sexe plus gros et raidi. Sur les femmes j’avais remarqué que, contrairement à nous les garçons, elles avaient une poitrine plus saillante. Un jour, je devais avoir 7 ou 8 ans, j’en fis la remarque à ma mère qui me répondis, évasive, que ces protubérances servaient à allaiter les bébés et quand je lui demandais comment naissaient les bébés elle me répondit: ’On verra cela plus tard’. J’attends encore…

C’était donc l’année de mes 18 ans, j’avais réussi mon bac avec mention et les vacances scolaires commençaient. Le directeur du lycée avait convoqué les bacheliers et leurs parents et leur conseilla de mettre à profit les 3 mois d’inactivité avant l’entrée en université, pour nous familiariser avec le monde du travail. Ceci nous permettrait, en outre, de gagner un peu d’argent pour les longues études qui nous attendaient.

Ma mère n’était pas très chaude de me voir quitter le giron maternel, ne fusse que pour quelques mois. Elle avait bien trop peur que le monde où j’évoluerai, me pervertisse. J’insistais, elle céda. Mais elle usa de ses relations pour me faire entrer dans une résidence pour personne âgées pensant me trouver là un travail sérieux, plus proche de l’oeuvre caritative que de l’entreprise où elle redoutait de me voir confier des tâches dégradantes et pénibles pour un futur énarque. Pour qu’on m’acceptât, ma mère alla jusqu’à refuser la rémunération, arguant que notre famille était suffisamment aisée pour me fournir, elle-même, en argent de poche.

La résidence possédait un certain standing. La directrice me reçut le premier jour en m’expliquant les tâches qui m’incomberaient. Etant donné ma solide constitution, je serais surtout chargé d’aider les personnes invalides ou grabataires dans leurs besoins quotidiens et un week-end sur deux, j’assurerai la permanence de 48 heures qui sera compensée par des jours de repos en semaine.

La directrice me fit faire le tour de la résidence, me présenta au personnel, presque exclusivement féminin (4 hommes pour une vingtaine de femmes), qui me sembla, mis à part 2 ou 3 personnes, presque aussi vieux que les pensionnaires. Je pris mes fonctions dès l’entretien terminé. Si les pensionnaires féminines avaient toutes passé 60 ans, je remarquais qu’elles faisaient toutes des efforts pour être coquettes, bien coiffées, bien habillées, maquillées…

Dés ma prise de fonction je fus confronté à des situations plutôt inhabituelles pour moi. Le plus souvent je devais sortir du lit les pensionnaires ayant du mal à se mouvoir et, lorsque j’enlevais le drap et la couverture, il n’était pas rare de trouver la dame avec la chemise de nuit tirebouchonnée autour de la taille, exposant ainsi à ma vue, leur bas-ventre dénudé. Bien que leur corps n’avait rien de folichon, je ne pouvais m’empêcher de diriger mon regard vers ce triangle velu et cherchais à percer le mystère de la chose qu’il dissimulait. Quelque fois, le mouvement de leurs jambes me donnait une vision fugace de la raie venant du derrière et qui semblait se prolonger sous la toison.

Durant les nuits, mes rêves étaient souvent hantés par ces sexes et le mien avait de fâcheuses tendances à devenir raide plus souvent lui aussi.

A la fin de la deuxième semaine j’avais su me faire apprécier et ces dames ne manquaient jamais de me dire une parole gentille ou de me sourire quand elles me croisaient.

Puis vint ma première garde de week-end. A cause du manque de personnel durant ces deux jours, le travail était plus pénible. Le soir, je n’avais qu’une hâte c’etait de m’allonger sur le lit mit à ma disposition dans le local qui servait d’infirmerie. Normalement, je devais effectuer plusieurs rondes au cours de la nuit pour m’assurer qu’il n’y avait aucun problème mais la première nuit je ne me suis pas réveillé. Heureusement personne ne s’en aperçut. Pour la nuit suivante, je programmais mon réveil.

Minuit, le réveil sonna. M’étant couché tout habillé, je me levais et commençais ma ronde dans les couloirs faiblement éclairés par de rares veilleuses. Je passais devant la chambre de Madame Lucie quand j’entendis des gémissements qui s’apparentaient à des râles. Je collais mon oreille à la porte. Les gémissements s’intensifiaient. N’écoutant que mon courage, j’ouvris la porte (dans ces établissements les portes ne possèdent pas de verrou pour permettre un accès plus rapide en cas de sinistre) et là, surprise, grâce à la lumière émise par le poste de télévision, je vis Mme Lucie, entièrement nue sur son lit, jambes ouvertes Ses deux mains étaient réunies sur le pubis et s’activaient. Durant quelques secondes nous sommes restés figés puis Mme Lucie émit un ’Oh’ d’indignation et moi, rouge de confusion, je bafouillais quelques incompréhensibles excuses en faisant marche arrière.

Cette fin de nuit me parut interminable. J’avais encore devant les yeux le corps de cette vieille femme. Mais que faisait-elle avec ses mains entre ses cuisses? Sans m’en rendre compte, mon sexe avait pris ses dispositions matinales mais cette fois, au lieu d’aller aux toilettes, je le saisis à pleine main et le caressa. Drôle de sensations, agréables sensations. Je me mis alors à palper les différentes parties de mon pénis et je m’aperçus que certains endroits étaient plus sensibles que d’autres. Ce trop plein de bien être me fit peur et je stoppais mes caresses.

Le lundi et le mardi suivant ma garde je fus de repos. Chez moi, dans mon lit je continuais la recherche de sensations. Le plaisir s’amplifiait et il me fallait beaucoup de volonté pour cesser mes attouchements.

Le mercredi matin je repris mon service et à peine avais-je enfilé ma blouse blanche que la responsable me fit part du souhait que Mme Lucie avait formulé. Elle désirait me voir dés mon arrivée.

— ? Où est-elle demandai-je ? ?

— ? Dans sa chambre, vas-y tout de suite, elle te réclame depuis avant-hier. ?

Je pris l’escalier qui menait aux chambres. Mon dieu, me dis-je, je vais me faire enguirlander, elle n’a pas apprécié mon intrusion de la nuit dernière. En frappant à la porte de sa chambre, j’essayais de trouver des mots d’excuse mais rien ne venait. C’était le brouillard dans ma tête.

— ? Entrez ! ?

Mme Lucie avait parlé d’une voix forte et ferme. Je me sentais comme un gamin pris en faute.

Je pénétrais dans la pièce et restais un moment sur le seuil.

— ? Avancez donc, ne restez pas là comme une potiche, et refermez la porte derrière vous ! ?

Mme Lucie était assise dans un fauteuil prés de la fenêtre. Sa voix me glaçait. Elle avait dû être une femme de pouvoir jadis. Enseignante, chef d’entreprise, militaire….

— ? Mme Lucie, laissait-moi vous… ?

— ? Tut, tut ? fit elle ? taisez-vous et venez vous asseoir dans ce fauteuil en face de moi. Ce que j’ai à vous dire n’est pas très facile aussi ne m’interrompez pas.

— …

— ? Mon petit David – cela ne vous gêne pas que je vous appelle par votre prénom ? – Vous pourriez être mon petit-fils, bien, voilà donc : vous m’avez surprise dans une position plutôt embarrassante, vous vous doutez sûrement de ce que je faisais. A votre âge ce sont des choses que vous connaissez et pratiquez certainement. Voici ma première question: En avez-vous parlé dans votre entourage? ?

— ? Non madame je… ?

— ? Bien, coupa Mme Lucie je vous en remercie, cela aurait pu me mettre dans des situations gênantes vis-à-vis des autres pensionnaires notamment masculins. Deuxième question : avez-vous été choqué qu’une vieille dame puisse encore avoir des désirs et qu’elle ai recours à la masturbation pour les assouvir ? ?

— ? Madame Lucie je ne sais quoi vous répondre car… ?

— ? Voyons, mon petit David, me coupa-t-elle une nouvelle fois, Vous devez bien avoir une idée. ?

— ? Excusez-moi, Madame Lucie, mais je ne sais pas ce que signifie le mot ’masturbation’. ?

— ? Vous me faite marcher, vous n’allez pas me dire que jamais vous ne vous êtes masturbé ? ?

— ? Peut-être l’ai-je déjà fait puisque vous me paraissez sûre de vous mais je ne connais pas ce mot. De quoi s’agit-il ? ?

— ? Et bien, se masturber signifie ’se donner du plaisir soi-même en se caressant le sexe’. Plus vulgairement on peut dire aussi ’se branler’. Peut-être connaissez-vous mieux ce nom ? ?

— ? Pas davantage Madame. Vous savez dans ma famille, tout ce qui touche au sexe est tabou. ?

Je racontais alors à Lucie ma jeunesse, ma stricte éducation.

— ? Mon pauvre David, conclut madame Lucie à la fin de mon récit, comme cela vous n’avez jamais connu le plaisir physique ! Pourtant, je suppose qu’il vous arrive d’avoir des érections ? ?

— ? Euhhh… ?

— ? Ca non plus vous ne savez pas! Toute votre éducation est à refaire. ?

— ? Madame Lucie, s’il vous plaît, dites-moi, éduquez-moi. ?

— ? Une érection c’est quand votre zizi grandit et durcit. ?

— ? Ah, ce n’est que cela! Alors oui, il m’arrive d’avoir des érections. ?

— ? Pour ton éducation, on peut dire aussi ’bander’. Et quand ton zizi est gros et dur, que fais-tu ? ?

— ? Avant j’allais aux toilettes uriner et généralement cela se passait tout seul mais depuis un certain temps je le touche un peu et c’est agréable. ?

— ? Jusqu’à l’éjaculation ? ?

— ….

— ? Ah oui j’oubliais, jusqu’à ce qu’une sorte de crème blanche jaillisse de ton sexe ? ?

— ? Non, pourquoi une crème sortirait de mon sexe. ?

— ? Car c’est elle qui sert pour faire les enfants et elle signifie que tu as joui. ?

— ? Joui ? ?

— ? Ecoutes mon petit David, permets-moi de te tutoyer, tout ne peut pas s’expliquer avec des mots. Ton éducation sexuelle est entièrement à revoir. Si tu veux et si tu ne me trouves pas trop vieille, je peux m’en charger. ?

— ? C’est vrai! Vous êtes prête à m’initier ? Là, tout de suite ? ?

— ? Oui, puisque cela te fait plaisir ! Pour commencer, prends une chaise et viens t’asseoir prés de moi. ?

A peine suis installé que la main de Lucie vient se poser sur ma braguette.

— ? Je vois que notre conversation ne t’a pas laissé indifférent, ton sexe que l’on peut nommer pénis, bite, queue et par bien d’autres termes encore, a déjà pris du volume. Allons voir ça de plus prés. ?

La main ouvrit la braguette, se faufila à l’intérieur du pantalon et saisit la hampe par dessus mon slip.

— ? Mon dieu, s’esclaffa Lucie, quel bel engin. Je le sens encore grossir. ?

Sa main imprima un léger va et vient.

— ? Voilà dit-elle, il est complètement bandé. Maintenant voyons son fonctionnement. ?

La main passa sous le slip et saisit ma bite à nouveau. Cet attouchement me fit sursauter et quand la main recommença ses allers-retours, une onde électrique me traversa le corps tout entier.

— ? Tu as l’air d’apprécier ma caresse, commenta-elle, tu sens, je dégage bien ton gland, je passe un doigt sur le filet. ?

Cette manoeuvre me fit bondir tellement c’était merveilleux.

— ? Tu sens maintenant mon doigt qui effleure la base de ton gland. ?

— ? Oh oui, Mme Lucie, continuez comme cela. Oui! Reprenez vos va et vient. ?

— ? Tu vois David, je te branle. ?

Son autre main s’engouffra aussi sous le slip et caressa mes testicules.

— ? Tes couilles sont pleines, elles vont bientôt se vider. Tu sens le plaisir qui monte, la sève qui bouillonne. ?

Brusquement mon corps tout entier se tétanisa et, en même temps que plusieurs jets de liquide jaillissaient de mon sexe, un éclair traversa mon crâne et je retombais inerte sur mon siège.

Reprenant mes esprits je regardais Lucie qui souriait.

— ? Tu vois, dit-elle, nous venons de mettre en pratique les quatre mots que je t’ai appris. Tu a bandé, je t’ai branlé, tu as éjaculé et tu as joui. Content ? ?

— ? Oh! Mme Lucie c’était fantastique. On recommencera hein ! ?

— ? Si tu veux mon petit bien que rien ne t’empêche de le faire toi-même. Pour l’instant va dans la salle de bain ramène-moi une serviette, j’en ai plein les doigts et profites-en pour te nettoyer un peu. ?

Lorsque 5 minutes plus tard je revins au salon, les yeux de Lucie étaient bien plus brillants que lorsque je l’avais quitté. Ce n’est que plus tard que j’en ai compris la raison.

Je serais bien resté en compagnie de Lucie mais la matinée était très avancée et je me devais aux autres pensionnaires.

— ? A demain Mme Lucie ?, dis-je en lui faisant un clin d’oeil complice.

— ? A moins que ce soir tu ais quelques minutes à me consacrer. Tu viens de comprendre le fonctionnement du sexe masculin, ne serais-tu pas intéressé par celui du sexe féminin ? ?

— ? Si, bien sûr, je vais essayer de trouver un créneau. ?

— ? Merci mon petit David, à tantôt alors, je suis impatiente. ?

La journée me parut interminable. Je repensais sans cesse à ce qui venait de se passer et je fus obligé de m’isoler dans les toilettes pour expérimenter ce que je venais de découvrir. Je trouvais rapidement les gestes qui m’amenèrent à l’éjaculation et si le plaisir ressenti me soulagea, il faut reconnaître qu’il fut moins violent que celui que m’avait procuré Mme Lucie ce matin. ?

Je me sentais un autre homme ou plutôt je me sentais enfin un homme et cela devait se voir car les pensionnaires et le personnel trouvaient quelque chose de changé en moi. De mon côté j’étais sur un nuage, je me surpris à regarder toutes ces femmes de 50 à 75 ans avec un autre oeil, croyant retrouver en chacune d’elles une Lucie potentielle. Cette idée relevait de l’utopie mais la suite me prouva le contraire.

Le soir, je ne pus rendre visite à Mme Lucie. A la maison ma mère aussi me regarda d’un drôle d’oeil. Je n’étais plus sa chose, je commençais à vouloir exister par moi-même. Ma nuit fut agitée. Dans mon rêve des tas de mains cherchaient ma queue, voulaient la toucher, la caresser. Au petit matin je courus à la salle de bain pour effacer les traces qui avaient tachées mon pyjama. ?

A peine le seuil de la résidence franchi, je me précipitait dans la chambre de Lucie. Elle était encore au lit. Je lui fis un récit plutôt confus des pensées qui m’avaient assaillies. Elle me fit un grand sourire. A cet instant je la trouvais belle et je le lui dit.

— ? Merci mon petit David, c’est toi qui me rends belle, tu me fais oublier mon âge. Moi aussi j’ai eu une nuit agitée. Hier quand je t’ai donné du plaisir, as-tu un seul instant pensé que ce que je te faisais j’aurais aimé qu’on me le fasse aussi. Te rappelles-tu de ce dimanche alors que je regardais le film érotique de M6 et que tu m’as surprise nue sur le lit, les mains entre les cuisses. Que t’ai-je dit lorsque le mercredi suivant j’ai désiré te voir ? ?

— Attendez que je me souvienne. Vous avez dit:  ? Trouvez-vous bizarre qu’une vieille femme comme moi ait encore des désirs et ai recours à la masturbation pour les assouvir. ?

— ? C’est ça, exactement ça! Alors d’après toi qu’ai-je bien pu faire hier, après ton départ et même avant, pendant que tu étais dans la salle de bain. ?

— ? Et bien vous vous êtes… ?

— ? Je me suis… masturbée. Eh oui, je me suis branlée. Une première fois pendant que tu te nettoyais, j’étais tellement excitée que je suis venue en 30 secondes. Puis une nouvelle fois quand tu as quitté la chambre et puis je t’ai attendu, j’avais encore envie mais je me disais que ce serait meilleur si c’était toi qui me le faisais mais tu n’es pas venu. ?

— ? Désolé Mme Lucie mais…

— ? Mais tu es là maintenant et je suis là à t’attendre avec mon envie… ?

Lucie repoussa les draps et la couverture d’un coup de pied rageur vers le bout du lit. Elle était nue. Je fus surpris de voir que son corps n’avait pas trop souffert de l’outrage des ans. Sa peau était encore lisse, bien sûr ses seins, un peu lourds, avec de grandes aréoles brunes et de gros tétons forts saillants, pendaient légèrement de chaque côté de son torse, son ventre était bombé, ses hanches larges surmontaient des cuisses un peu fortes. Malgré tout elle était désirable.

— ? Assieds-toi, sur le lit et regarde moi. Regarde comment une femme se fait jouir. En même temps sors ta queue et caresses la. Tu dois savoir le faire maintenant car tu as dû essayer n’est-ce pas?

— ? Oui, mais j’aime mieux votre main. ?

— ? C’est normal comme moi je jouirai mieux sous tes doigts mais avant, regarde comment je fais, apprend comment est faite la chatte d’une femme. ?

Lucie releva les genoux et ouvrit largement le compas de ses jambes. Malgré l’abondante toison, la posture permettait d’apercevoir tous les détail de son sexe. Lucie m’expliqua en les touchant, les différentes parties de sa chatte. Ainsi je passais des grandes lèvres très bombées, aux petites lèvres saillantes et gonflées par le désir, sa fente rose et humide, son trou à pipi, son vagin, dans lequel elle enfonça trois doigts, montrant ainsi les possibilités élastiques puis son clitoris qu’elle avait très développé surtout quand, et c’était le cas en ce moment, elle était excitée. ?

Lucie commença sa masturbation. Je suivais avec intérêt la danse de ses doigts sur sa chatte qui mouillait de plus en plus, faisant entendre d’édifiants clapotis. Moi je bandais mais j’évitais de me caresser car, devant un tel spectacle, la jouissance surviendrais bien trop vite. Je me délectais, je découvrais enfin les mystères du sexe féminin bien que je savais que j’avais encore beaucoup de choses à découvrir.

— ? David, je vais jouir, regarde moi et jouis avec moi. Aaaaaah…. ?

Les fesses de Lucie décollèrent du lit. Le flot de mouille qui jaillit de sa chatte et le sperme qui gicle de ma bite, se mêlent.

— ? David merci, il y a bien longtemps que je n’ai pas eu une telle jouissance. Ce n’est tous les jours qu’il m’arrive d’expédier une telle quantité de mouille tu sais. Et toi, tu as bien joui ? ?

En me posant cette question Lucie se saisit de ma queue qui ramollissait.

— ? Oh la pauvre petite limace. Approche la de ma bouche, je vais lui faire sa toilette. ?

Avec un air un peu idiot je fis ce qu’elle demandait et posais mes fesses prés de son oreiller. Lucie se tourna vers moi, sur son flanc et emboucha ma queue.

— ? Non, Mme Lucie, pas ça, c’est sale! ?

J’essayais de me dégager mais, avec une force que je n’aurai pas soupçonnée pour une femme de son âge, elle parvint à me maintenir dans cette position. Les bienfaits de sa fellation eurent raison de ma résistance. Lucie en profita pour me saisir la main et la poser sur sa chatte. Mes doigts partirent en reconnaissance et, après avoir palpé toutes les zones de son sexe, je me suis mis à la branler en essayant de me rappeler la façon dont elle avait procédé. Je ne devais pas trop mal m’y prendre car, même avec ma queue dans sa bouche qui, au passage, avait recouvré toute sa superbe, elle arrivait à émettre des borborygmes de contentement. J’éjaculais sans avoir eu le temps de la prévenir mais, à la façon dont elle avala mon sperme, je compris que ça ne la dérangeait nullement. Tout en déglutissant, Lucie se mit à jouir. Mes doigts furent aspergés par une quantité impressionnante de mouille.

Chaque matin, pendant les jours qui suivirent, Lucie et moi, nous nous branlions. Le soir, ma mère me plaignait car, mes traits accusant une certaine fatigue, elle était persuadée que mon travail était la cause principale de ma fatigue. Je pris bien garde de ne pas la contredire…

A la résidence j’étais apprécié par toutes et tous mais plus spécialement par la gente féminine. Très souvent elles faisaient appel à moi pour les sortir du lit et n’hésitaient pas à faire des mouvement qui avaient pour effets de découvrir leur bas ventre ou bien pour les mener aux toilettes ou au bain et là, elles me demandaient de rester à proximité afin de pouvoir les secourir en cas de problème et, bien sur, elles s’arrangeaient pour laisser la porte entrouverte. Au bout de deux semaines j’avais aperçu, pour la plupart d’entre elles, leurs seins, leurs fesses et leurs pubis.

Madame la directrice, me croisant un jour, me fit part des louanges dont me gratifiaient les pensionnaires et m’en félicita. Ce que je n’ai pas compris c’est le clin d’oeil complice qu’elle me fit en tenant son discours. Je le sus un peu plus tard.

Vint mon week-end de garde. Lucie en profita pour m’inviter dans sa chambre le dimanche soir vers minuit.

— ? Pour commémorer notre première rencontre avait-elle dit. Nous regarderons ensemble le film érotique et pour une fois ce sera ta main plutôt que la mienne qui me fera jouir. Et, avait-elle ajouté, si tu es sage, je te réserverais une surprise. ?

A minuit pile, ce dimanche, j’entrais dans la chambre de Lucie. Le film n’était pas encore commencé. Elle me fit déshabiller entièrement et me fit allonger à côté d’elle sur le lit. C’était la première fois que nous étions nus tous les deux et sentir son corps chaud contre le mien me fit bander immédiatement.

— ? Qu’elle est belle ta bite me dit Lucie, tu sais, je suis veuve depuis 15 ans et c’est la première queue que je touche depuis le décès de mon époux qui, en passant, était loin d’en posséder une aussi grosse. Mais, dis-moi ce que tu aimes, parle moi, montre moi que toi aussi, maintenant tu sais dire des choses cochonnes. Fais-moi mouiller. ?

— ? C’est vrai que j’ai bien du mal à sortir de ma réserve, vous savez, on ne balaye pas en quelques jours tant d’années d’éducation ultra puritaine. Mais j’aime quand vous me parlez de ma bite, de mes couilles, ça me fait bander comme en ce moment. Moi aussi j’aimerai bien parler de votre chatte baveuse, du plaisir que j’ai à la branler, de vos éjaculations, de vos…

— ? Oui, David, continue, je mouille, je ne vais pas pouvoir attendre, je vais me caresser le minou en t’écoutant et toi, tu vas te branler aussi. ?

— ? Non ! Vous allez me sucer. J’éteins la télé, nous n’avons pas besoin d’images pour jouir. ?

Lucie se mit tête-bêche et enfourna ma queue tout en se masturbant. C’est vrai que j’aimais la caresser jusqu’à la jouissance mais je crois que j’aimais encore plus la voir se donner du plaisir elle même.

Je perdais peu à peu de ma réserve :

— ? Elle est bonne ta bouche, et ta langue sur mon gland, ta main qui me caresse les couilles … ?

Mes mots la galvanisaient. Elle accéléra la cadence. Bientôt ce ne fut plus que soupirs et gémissements puis des cris de jouissance.

— ? Oh! Mon David chérie. Je n’ai jamais été aussi heureuse. J’ai été trop longtemps épouse au lieu d’être femme. Il a fallu que je devienne veuve pour oser me lâcher. Je me suis abonné à des revues cochonnes et j’ai commencé à me branler, chose que je n’avais jamais faite durant ma jeunesse et ma triste vie de femme mariée. Tu ne peux pas savoir mon bonheur quand, pour la première fois, sous mes doigts, j’ai ressenti l’orgasme. Regarde moi, j’ai encore envie, je vais me faire jouir encore. ?

Lucie se branlait furieusement, je posais ma main sur la sienne comme pour l’accompagner dans son délire mais elle enleva sa main et mes doigts plongèrent dans sa chatte en feu. Elle saisit un de mes doigts, se branla avec et jouit intensément, longuement, le corps secoué de spasmes. Sous mon doigt je sentais battre sa chatte comme un deuxième coeur.

Le calme venait de revenir au sein de la chambre quand j’entendis comme une sorte de râle venant de la salle de bain mais avant que je ne l’interroge, Lucie me fit mine de me taire puis me murmura à l’oreille d’aller, discrètement, y jeter un oeil. Je me suis approché de la porte entrebâillée et l’ai ouvert brutalement. Derrière celle-ci, assise sur le rebord de la baignoire, la directrice, nue sous un peignoir largement ouvert. Elle avait les jambes écartées, la main posée sur sa chatte et finissait de savourer, semble-t-il, l’orgasme qu’elle venait de se donner.

Derrière moi j’entendis la voix de Lucile.

— ? Surprise pour toi mon David chéri ! Nicole, vient nous rejoindre… ?

Je m’effaçais pour laisser passer la directrice. Nicole, comme venait de la nommer Lucie, passa devant moi en renouant les pans de son peignoir et, s’approchant de Lucie, lui donna un baiser sur les lèvres.

— ? Bon dieu, qu’est-ce que vous m’avez excité ? dit elle.

— Tu as joui lui demanda Lucie?

— ? Comment aurais-je pu résister? Je ne vous voyais pas, je vous entendais seulement mais vos commentaires étaient si édifiants que je pouvais facilement vous imaginer, David se faisant sucer et toi te branlant. Mes doigts ont trouvé le chemin sans m’en rendre compte. ?

— ? Vilaine petite branleuse va ! ?

— ? Un peu de respect, clama Nicole, on ne parle pas ainsi de sa directrice. ?

Toutes deux éclatèrent de rire.

— Débarrasse toi de ta robe de chambre et viens me rejoindre sur le lit. Il est temps de parfaire l’éducation de David, tu verras, il apprend très vite.

— ? Je n’en doute pas, il a des arguments convaincants ? ajouta Nicole en jetant un oeil vers ma queue qui reprenait du volume. ? Assez papoté, mets-toi en position. ?

Lucie s’allongea sur le dos, cuisses ouvertes. Nicole monta sur le lit et se mit sur elle tête-bêche.

— ? Ma petite branlette m’a mise en appétit ? dit la directrice  ? j’espère que ta langue saura me faire grimper aux rideaux. Ouvre bien ta moule ma chérie, tu vas voir ce qu’une langue de directrice sait faire. ?

J’étais abasourdi. Non seulement je me retrouvais avec la directrice entièrement nue mais, en plus, je voyais deux femmes qui allaient se donner mutuellement du plaisir. Cette relation contre nature m’effraya mais elle me faisait tant bander que je finis par m’installer confortablement dans le fauteuil pour assister à leurs ébats. Les deux femmes se léchaient maintenant. De temps en temps l’une d’elle relevait la tête, et la bouche luisante de mouille, faisait quelque commentaire.

— ? Elle est bonne ta chatte, je vais te bouffer le clito ! oui, Suce moi ! Oui! Comme ça, vas-y, plus fort ! ?

Non seulement leurs langues étaient actives mais leurs doigts pénétraient leurs vagins. J’allais de découvertes en découvertes. Ceux de Nicole, réunis entre eux, avaient été entièrement absorbés par la chatte de Lucie. Un vrai garage à bite avait dit Nicole pour commenter ce qu’elle était en train de faire.

Et moi je bandais toujours. Quand les deux femelles lubriques jouirent, j’éjaculais une quantité impressionnante de foutre sans me toucher.

— ? Quel gâchis ! ? hurla Nicole en se précipitant sur moi pour lécher les dernières gouttes de sperme qui s’échappaient de ma queue.

Nous étions momentanément rassasiés. Lucie et Nicole en profitèrent pour me faire part des circonstances qui les conduisirent à avoir des rapports aussi intimes et, grâce à leur récit, j’appris que, dans la résidence, il se passait des choses qu’un regard extérieur aurait eu bien du mal à imaginer.

— ? Il y a un an environ commença Lucie, j’avais besoin d’un peu d’eau fraîche et comme la cuisinière ne se manifestait pas, je me suis dirigé, avec mon déambulateur, vers les cuisines. Là surprise. La cuisinière…

— ? Justine ? ? demandai-je.

— ? Oui, Justine la cuisinière, cette bonne femme bien en chair, avec son énorme poitrine et ses énormes fesses, était en train de brouter le minou de Nicole, allongée sur la table.

— ? Et Justine n’a pas son pareil pour vous faire reluire ? commenta Nicole. ? Elle a une langue qui vous emmène au 7ème ciel en un temps record ?.

— ? Je confirme ? continua Lucie.

— ? Parce que toi aussi tu as profité du don de la cuisinière ? ? demandai-je d’une voix faussement indignée.

— ? Bien entendu ! Donc, quand je les ai surprises, j’ai tout de suite pensé au plaisir que je pourrai en tirer. Cela faisait trop longtemps que je m’astiquais la moule toute seule. Aussi quand la directrice vit que je n’avais pas l’air choquée, elle sut que je saurais être discrète mais que j’attendais quelque chose en retour. Je leur fis comprendre que je serais partante, moi aussi, pour une séance de cunnilingus. Aussitôt mon souhait fut exaucé. Les deux femmes s’occupèrent de moi comme d’une V.I.P et, en une demie heure, elles m’ont envoyé 3 fois au paradis. Bon sang quand j’y repense, quel pied ! Regarde Nicole j’ai l’impression que notre petite histoire fait son effet. ?

En effet je bandais ferme et d’une main distraite je me branlottais.

— ? Et ce jour là ? reprit Nicole ? après t’avoir fait jouir, tu nous as regardé nous branler mutuellement. ?

— ? Oui, j’ai aimé vous regarder, j’aurai bien aimé vous rendre tout le bonheur que vous m’aviez donné mais j’étais trop fatigué pour cela. ?

— ? Cela n’a été que partie remise car, avant de sortir, tu nous as gentiment invités dans ta chambre pour le lendemain. Tu te rappelles lorsque nous nous sommes mises à deux pour satisfaire Justine, heureusement que ton lit comportait une alaise car tes draps étaient trempés tant elle mouillait. ?

Quand Nicole et Lucie se tournèrent vers moi pour voir où j’en étais, trois ou quatre giclées de sperme vinrent s’écraser sur le plancher de la chambre.

— ? Pas de chance, dit Nicole, depuis le temps que je rêve de me faire prendre par une belle bite je vais devoir attendre un peu. Je vais encore avoir recours à tes services, Lucie, pour me calmer un peu car ces souvenirs m’ont échauffés les sens. ?

Lucie ne se fit guère prier et avec sa science consommée du cunnilingus, expédia Nicole au nirvana en deux temps trois mouvements .

— ? Et vous madame la directrice, questionnai-je, comment en êtes-vous arrivée à dévergonder la cuisinière ? ?

— ? Disons que cela s’est fait d’un commun accord. Depuis quelques temps déjà je soupçonnais certaines de mes pensionnaires de s’adonner à des plaisirs saphiques. Il suffisait de coller son oreille aux portes pour entendre soupirs et gémissements et il n’était pas difficile de faire la différence entre plaisir solitaire ou plaisir à deux. Chaque fois, après avoir écouté, j’étais dans un état d’excitation extrême que je soulageais dans l’urgence. Une fois, je me masturbais dans la cuisine croyant Justine repartie chez elle quand, les yeux clos au moment de l’orgasme, Justine se manifesta et plaqua sa bouche sur ma chatte pour y recueillir le jus de ma jouissance. C’était nouveau pour moi mais sa langue était si habile que je la laissais faire et repartis aussitôt vers un nouvel orgasme. Après la tempête qui emporta mes sens, Justine me parla de son lesbianisme. J’étais un peu surprise car rien, jusqu’à présent, ne m’avait laissé supposer qu’elle préférait les femmes. Aussi, pour la récompenser de m’avoir fait divinement jouir, j’entrepris de la branler en lui promettant, que si elle voulait bien continuer à me satisfaire, je lui promettais de lui rendre la pareille mais que pour l’instant, elle devrait se contenter de mes branlettes. Pour sceler notre accord nous nous sommes allongées et, imbriquant nos jambes jusqu’à ce que nos chattes soient en contact, nous avons échangé nos mouilles en nous branlant mutuellement. ?

Il commençait à se faire tard, nous étions fatigués et, moi dans le fauteuil, Lucie et Nicole dans le lit, nous nous sommes assoupis. Je fus tiré de ma torpeur par la directrice qui, s’étant aperçue que dans mon sommeil une nouvelle érection était survenue, avait enfourné ma bite dans son con et me chevauchait. Je connaissais la main et la bouche d’une femme mais la sensation de ma queue insérée dans ce fourreau chaud et onctueux, c’était indescriptible. Comme j’avais déjà éjaculé plusieurs fois, je réussis à garder ma semence et mon érection assez longtemps pour faire jouir Nicole puis ensuite Lucie qui voulut également connaître la pénétration, la première depuis très longtemps. C’était comme un nouveau dépucelage.

Avant de nous, séparer nous avons convenu de nous retrouver régulièrement. Elles me promirent de me faire visiter la cuisine de Justine mais ne purent pas m’assurer de sa participation car elle était une lesbienne convaincue. Je pourrais toujours profité du spectacle… Et bien, vous me croirez si vous voulez mais je réussis à obtenir d’elle un 69 au grand étonnement de Nicole et Lucie. Au fil des jours, je gagnais en assurance et parmi toutes les pensionnaires qui m’aguichaient, je me permis d’en satisfaire quelques unes en les branlant ou en les suçant avec beaucoup de compétence, grâce aux cours pratiques que Lucie et Nicole me dispensaient. Elles me remercièrent d’avoir su réconcilier leur corps fatigués avec les plaisirs de la chair auxquels elles ne pensaient plus avoir droit.

La fin de mon stage arriva. Lorsque je dus partir, c’est avec une grande tristesse que Lucie, Nicole, Justine et moi nous nous sommes séparés. Je leur promis de revenir les voir à la moindre occasion. Quand à toutes les autres je ne me fais guère de soucis pour elles, j’ai réussi à réveiller leur sensualité et faute de David, elles pourront toujours se servir de leurs doigts et, pour quelques unes que j’ai réussi à amener à se rencontrer, elles pourront se rendre mutuellement visite et profiter non seulement de mains amies mais aussi de leurs langues.

Cette expérience me fut grandement salutaire. Grâce à ces femmes d’un âge certain, dirons-nous, grâce à leur gentillesse, leur savoir-faire, leur jeunesse de coeur, j’ai pu mener une vie d’adulte parfaitement bien remplie et équilibrée. Si vous avez aimé le premier volet de mes péripéties, je vous raconterai l’épisode suivant où, pour les besoins de mes études supérieures je dus loger dans une pension de famille recommandée par le curé de mon village et tenue par deux soeurs, deux braves dames patronnesses, du moins en apparence…

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