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Un travail parfait ? – Chapitre 3

Un travail parfait ? - Chapitre 3



Jen aurais sursauté, si je navais pas le sextoy qui vibrait en moi et me retenait à la chaise ! Merde ! Qui avait bien pu me photographier dans cette position plus que gênante ? Lentement, je mavançais, sortant le sextoy centimètre par centimètre de mon derrière il vibra encore un peu, tout humide, au milieu de la chaise, avant de sarrêter. Javais un peu mal, mais en même temps, ne plus avoir le jouet créait un grand vide en moi Mais je ne pouvais me concentrer sur ce vide, mon esprit en état de panique à cause du flash. Je sortis la tête du cagibi mais ne vis personne. Il fallait que je me rhabille, puis que je fouille létage Il fallait aussi que je nettoie le sperme que javais laissé sur la chaise, sur le sol non, ça après, dabord retrouver qui mavait photographié donc dabord remettre mes vêtements

Mes vêtements ?

Je sentis la sueur froide couler le long de mon épine dorsale et mes cheveux se dresser sur ma tête : mes vêtements nétaient plus là ! Ils étaient pourtant bien derrière la chaise (javais trouvé cela une bonne solution, pour éviter que mon sperme ne les salisse !) je regardais tout autour de moi, mais plus de vêtements ! Jétais tellement occupé à me donner du plaisir que je navais pas entendu quelquun sapprocher, piquer mes vêtements, et me photographier ! Jétais totalement dans la merde !

Complètement nu, je sortis du cagibi. Je vis aux petits chiffres digitaux rouges immobile que les ascenseurs nétaient pas en mouvement. Sur ma gauche, les bureaux vides et les bureaux de Stéphanie et dAndréa étaient sans lumières et complètement silencieux. Quallais-je faire ? Je nallais quand même pas rentrer à poil ! La seule lumière de létage venait de mon bureau. Mon bureau où se trouvait mon manteau ! Avec lui je pourrais rentrer chez moi plus ou moins discrètement, en tout cas sans me faire arrêter pour outrage à la pudeur sur la voie publique !

Je me rendis dans mon bureau pour constater que mon manteau nétait plus là ! Catastrophe ! Je portais mes mains à ma tête ne sachant plus quoi faire en tournant sur moi-même, je vis la porte du bureau de Nancy grande ouverte et sur son bureau mes vêtements ! Jentrais, en réalisant que si les lumières étaient allumées et la porte ouverte, cest que je marrêtais au milieu de la pièce et tournais sur moi-même, vers les fauteuils, sentant sa présence. Elle y était assise, sirotant un verre de vin blanc, me regardant. Mais pas avec un sourire sensuel ou des yeux rieurs. Elle avait le regard dur et les lèvres serrées Lèvre quelle entrouvrit pour dire, dune voix dure

— Pathétique !

— Je

— Pathétique, comme tous les hommes ! On leur offre une situation de rêve, un poste prestigieux, de largent, et ils mettraient tout par terre juste pour sentir le plaisir de leurs petits sexes qui éjaculent

Le rouge aux joues, honteux, je baissais la tête, cachant mon sexe derrière mes mains. Elle posa son verre de vin sur la table basse, juste à côté dun appareil photo, puis se leva, et vint vers moi. Je sentais quelle me toisait du regard, mais nosait pas la regarder dans les yeux, je gardais la tête baissée Alors, avec une force et une vivacité que je ne lui aurais jamais devinée, elle écarta mes bras, violemment, et attrapa mes testicules, à leurs bases, juste en-dessous de mon pénis. Et elle serra fort ! Je serrais les dents sous la pression, la douleur

— Cest pour ça que nous vous dominons. Parce que pour nous, le sexe nest pas une drogue, pas que du plaisir, cest une arme, une arme de pouvoir

Il y a des choses que je ne comprenais pas, mais la pression quelle exerçait mempêchait de parler, de penser

— Jai de quoi te faire virer, des photos très compromettantes, tu comprends ?

Je hochais de la tête, pour lui dire que je comprenais

— Est-ce que tu veux être viré ?

Je fis « non » de la tête.

— Est-ce que tu veux que jaffiche ces photos dans tout limmeuble ?

Je refis « non » de la tête.

— Alors tu veux rester près de moi et mobéir complètement et totalement ?

Je fis « oui » de la tête

— Bien alors à genoux !

Elle me lâcha les testicules, et je me mis à genoux, devant elle. Je voyais ses chaussures noires à talons hauts, ses bas résilles, sa robe noire elle leva sa robe, et je vis un petit slip en dentelle noire, doù dépassait le gland de son sexe à demi-bandé

— Viens le lécher !

Toujours sur mes genoux, je mapprochai delle, et allais le dégager avec mes mains, lorsqu’elle me dit impérativement :

— Mains derrière le dos !

Je gardais donc mes mains derrière le dos. Ma tête savançais seule vers son entrejambe, se posant doucement contre son ventre lisse, ma langue allant à la rencontre de ce gland dépassant du slip en dentelle noire ma langue le rencontra, il était doux et chaud, jen léchais le pourtour avant de le prendre en bouche. En le prenant, puis la hampe, mon visage sabaissait, abaissant par la même occasion sa culotte, la faisant rouler au fur et à mesure, jusquà libérer complètement sa verge et ses jolies testicules je commençais à la sucer, ma bouche allant et venant le long de sa hampe, mes mains toujours derrière le dos Me tenant par les cheveux, elle maida, imprimant le rythme quelle voulait

— Par Héra, je naurais jamais cru que tu y serais arrivée si vite !

Du coin de lil, je vis sa sur, Kimberly qui nous regardait, les yeux pétillants. Elle marcha vers nous. Elle avait aussi des talons hauts, des bas couleurs beiges, une jupe couleur crème. Arrivée près de sa sur, elle leva sa jupe Les bas beiges étaient tenus par des jarretelles, elles aussi couleur crème, en dentelle, qui faisait le tour de sa taille, surmontent quatre petites lanières, en dentelles elles aussi, pour accrocher les bas et comme elle ne portait pas de culotte, son sexe pointait vers moi. Il était aussi de belle dimension, un tout petit peu plus gros que celui de Nancy. Cette dernière sortit son sexe de ma bouche, et guida ma tête vers le sexe de sa sur, que je commençais à lécher, puis à sucer, sans faire de manière

— Ce nétait pas si difficile que ça quelques vidéos dhypnoses, nos puissants phéromones, nos corps de rêve, et le reste va tout seul !

— Pas comme le dernier, hein, tu nas pas été très habile avec lui !

— Bon ça va, Kimberly, jai arrangé les affaires, lenquête est close. Je naurais jamais cru quaprès être surpris en flagrant délit devant les vidéos, il se jette par la fenêtre ! Heureusement mon petit Pierre, a été plus intelligent, hein Pierre ?

Je hochais la tête, le sexe de Kimberly en bouche je ne prêtais pas vraiment attention à la conversation, me concentrant pour bien la sucer. Nancy frotta son sexe sur ma joue, me signalant que cétait son tour. Je lâchais donc le sexe de Kimberly pour enfourner celui de Nancy.

— Noemy est contente que tu aies pu arranger cette affaire, surtout maintenant. Nous sommes à quelques semaines de la convention à New York, il faut être prudentes.

— Pfff, Noemy est jamais contente de toute façon toujours à donner les ordres de son bureau elle a tous les esclaves quelle veut, elle

— Nancy ! Ne parle pas comme ça, noublie pas Noemy est notre sur, mais aussi notre reine !

Sans ménagement, Kimberly tira ma tête, par les cheveux, et lamena sur son sexe, que je suçais avidement.

— Regarde-toi Kimberly, malgré tes airs sérieux, tu as les mêmes besoins que moi Noemy doit comprendre que nous avons aussi besoin de nos esclaves, pour tenir le coup !

Kimberly commençait à aller et venir plus rapidement dans ma bouche, jusquà ce quelle éjacule son jus, tiède et épais, dans le fonds de ma gorge je bus le tout et léchais encore son sexe qui débandait dans ma bouche Elle alla sasseoir dans un des fauteuils, se servit un verre de vin et le bu.

La main de Nancy me prit par la nuque, et mamena près de sa sur, me posant à quatre pattes entre ses jambes Son sexe suintant était visible, posé sur sa robe elle caressa ma tête, comme on ferait pour un petit chien, et lamena à nouveau vers son sexe A quatre patte entre ses jambes je recommençais à le lécher. Derrière moi, je sentis Nancy sapprocher, me caressant les fesses, puis lanus soudain, je sentis son gland se frotter à mon anus, avant de pousser doucement contre lui, puis plus fortement

— Non Kimberly, ne me regard pas comme ça, il est à moi, cest à moi à le dépuceler !

Je voulus lever la tête, mais Kimberly me la plaqua contre son sexe, qui reprenait petit à petit vigueur Je sursautais quand le gland de Nancy passa ma petite porte et entra doucement en moi

— Mmmm létroitesse des puceaux, ya que ça de vrai

Dit-elle la voix vibrante de désir puis elle commença à aller et venir en moi, doucement dabord, puis au fur et à mesure que mon fourreau se faisait à elle, plus rapidement, plus profondément aussi la sensation désagréable de brulure disparut petit à petit, et une sensation nouvelle, très plaisante grandissait au creux de mes reins ça devenait de plus en plus plaisant, beaucoup plus que le petit jouet vibrant de la tantôt !

— Continue Nancy, il commence à aimer ça, il me suce mieux, moins contracté !

Elle intensifia son rythme, avant que je sente son sexe battre en moi frottant ma prostate

— Le cochon, il vient déjaculer sur ton fauteuil !

Nancy éjacula tout son foutre en moi, jeus cette sensation extraordinaire pour la première fois de ma vie jétais en extase, au comble du plaisir, nayant même pas fait attention où javais moi-même éjaculé !

— Mmmm que cest bon Kimberly ! Oh, fait pas ta frustrée, je vais appeler les autres esclaves, tu pourras tamuser aussi Pendant

que je vais les appeler fait-le nettoyer mon fauteuil !

Avec un « plop » qui me parut très sonore, elle sortit son membre de moi, en un coup ! Javais une sensation de vide comme jamais, après avoir été remplis par elle comme elle lavait fait ! Du sperme sécoula de mon anus, le long de mes testicules, quelle sensation agréable Je passais un doigt le long de mes testicules, ramassant son sperme, et mis ensuite ce doigt en bouche Kimberly me prit soudainement par la nuque, et mit mon visage dans le sperme qui maculait le fauteuil.

— Et alors ! Cest quoi ça ? Vilain esclave ! Pas propre ! Nettoie tout, avec ta langue !

Elle me fit lécher mon sperme, puis essuyer la tâche avec une lingette. Sur ces entrefaites, Nancy revint, suivie de Stéphanie et dAndréa. Quest-ce que mes deux collègues faisaient ici ? Elles étaient toutes deux habillées identiquement : des escarpins blancs, avec des talons dau moins 20 cm, la boucle fermée par un cadenas, de long bas résilles blancs, string blanc en dentelle, soutien blanc assorti, et une nuisette blanche transparente qui recouvrait le tout, faisant comme une jupette qui se terminait à mi-cuisse, et une sorte de collier en cuir rose autour du cou mais le plus surprenant pour moi était de voir une jolie bosse dans chaque string, marquant lemplacement de leurs pénis !

Amusées Nancy et Kimberly me regardèrent

— Avant dêtre la jolie brunette Stéphanie et la pulpeuse blonde Andréa, Stéphane et André ont été nos assistantes comme toi mais comme tu vois, elles ont eu une promotion !

Elle claqua des doigts, et Stéphanie et Andréa se retournèrent, et sarque boutèrent au bureau de Nancy Elle sapprocha de Stéphanie, lui caressa les fesses offertes puis elle plaça son membre à demi bandé entre ses fesses, et savançant, se reculant, caressa son sexe le long du sillon de Stéphanie, jusquà ce quil reprit vigueur Kimberly, elle, sapprocha dAndréa, et déplaçant la petite bande de tissu du string sur sa fesses, lui doigta lanus, avant dy introduire son membre bandé Elle commence ses vas-et vient en elle, tandis que Nancy de son côté fait de même, écartant la bande du string pour laisser le passage à son membre, qui sintroduit dans lanus de Stéphanie. Elle me fait signe dapprocher toujours sur mes genoux je mapproche, me mettant entre elles à ma gauches, je vois Nancy qui va et vient dans lanus de Stéphanie, à ma droite, Kimberly qui fait la même chose à Andrea Jentends les murmures de plaisir, les sons humide des verges qui vont et viennent, le petit claquement des testicules contre les fesses à chaque coup de boutoir Soudain, Nancy sort son sexe du cul de Stéphanie et me le présente je lengloutis dans ma bouche directement, le suce avidement, puis il redisparait et replonge dans lanus de Stéphanie elle fait cela plusieurs fois de suite, Kimberly aussi

Ensuite, je vois Andrea se cabrer, laissant passer un souffle de plaisir lavant de son string se tache elle jouit ! Je ne peux mempêcher de penser au sperme à son goût, sa tiédeur, sa consistance, la façon dont il coule lentement dans la gorge bon sang, jen deviens complètement addict ! Je lève un peu ma tête, et lèche lavant du string dAndréa, suçant le tissu pour aspirer un peu de sperme Kimberly le remarque et un sourire narquois aux lèvres, baisse le string, découvrant le petit sexe humide, et blanc de sperme, qui coule encore, dAndréa je me jette dessus, le lèche

— Tu as raison, quel affamé celui-là !

— Il devait avoir ça en lui !

Elles pouffaient de rire, tandis quAndrea était aux anges de se faire sodomiser et sucer en même temps Lorsquelle navait plus rien à donner, je la délaissais, et attendis près de Stéphanie. Nancy abaissa son string, me faisant signe de prendre les devants je mis donc le sexe bandé de Stéphanie en bouche, tandis que Nancy accéléra ses mouvements ses coups de boutoirs devinrent plus fort, plus profond Stéphanie ne tint plus longtemps, et se vida dans ma bouche je bu tout son jus avec délectation Puis Kimberly dabord, suivie juste après par Nancy, je les vis éjaculer leurs liqueurs dans le cul de Stéphanie et Andréa, dans un râle de jouissance quasi commun Elles me présentèrent ensuite leurs verges, que je nettoyais avec contentement

— Maintenant, va les nettoyer elles !

Les anus de Stéphanie et dAndréa palpitaient encore, légèrement béant, du sperme sen échappant je commençai par lécher leur testicule, lune puis lautre, puis ma langue tournoya autour de lanus de lune puis de lautre, avant de sintroduire dans lanus dAndréa, de laper tout ce que je pouvais laper, puis fis de même avec Stéphanie ma bouche, mon menton et mon nez étaient humide, collant de sperme la pièce sentait tout entière le sperme et la luxure

Epuisé, je mécroulai sur le sol. Quelque chose en moi était complètement cassé. Je navais plus envie de réfléchir, de prendre des décisions. Je voulais juste obéir et connaître le plaisir. Je ferais tout ce que Nancy me demandait. Elle me passa un collier rose autour du cou, je me laissais faire.

Puis Stéphanie et Andréa maidèrent à me relever, et nous suivîmes Nancy. Nous prîmes lascenseur, vers le premier des trois étages « interdits ». Nous débouchâmes dans un hall très chic, un appartement ultra-moderne, et ultra-luxueux. Je partageais la chambre avec Stéphanie et Andréa. Avant de nous laisser, Nancy me mit une sorte de petite cage autour du sexe. « Pour vous empêcher de jouer entre vous », me susurra-t-elle, un sourire coquin aux lèvres. Mais jétais trop épuisé que pour encore penser à quoi que ce soit de sexuel !

Les jours suivants, je compris assez rapidement les règles de ma nouvelle vie. Jappartenais entièrement aux surs Posséis Jétais habillé normalement lorsque je travaillais au bureau pour Nancy, et devais revêtir les escarpins blancs, avec des talons dau moins 20 cm, la boucle fermée par un cadenas, les longs bas résilles blancs, le string blanc en dentelle et le soutien blanc assorti, et la nuisette blanche transparente qui recouvrait le tout, qui semblaient former « luniforme » des esclaves de Nancy et Kimberly dès que je remontais à lappartement. Nous nous occupions de lappartement, faisions le service lors de soirée très sélect, qui finissaient toujours en orgie, et étions les sextoys vivants des surs Posséis. Et elles avaient un de ces tempéraments ! Elles nous faisaient les sucer à tour de rôle, se vidaient dans nos bouches, dans nos rectums, plusieurs fois par jour !

Je ne me souciais plus de ce qui se passait à lextérieur, jappris incidemment que la société Posséis avait mis fin au bail de mon appartement, avait payé mon propriétaire. Je devais éviter le syndicaliste, Gérard, et toutes les personnes qui me connaissaient.

Un soir, alors que je faisais le service de table, je vis la sur aînée des Posséis, Noemy. De ma vie, jamais je navais vu de femme si belle. Le même visage que ces surs, avec des yeux dun bleu envoûtant, des cheveux dun noir de geais, un port altier, une assurance royale, et un corps parfait elle sentretint quelques instants avec ces surs avant de repartir vers son étage, sans même un regard pour nous. Jentendis Kimberly et Nancy discuter entre elles, de cette fameuse convention à New York, et des derniers préparatifs à faire. Cela devait être un événement important, je sentais la tension que cela provoquait chez elles. Leurs pulsions sexuelles augmentaient en conséquence, et nous pouvions le sucer le double de fois par rapport à dhabitude

Jeus même loccasion de la faire à laéroport ! Jétais en costume-cravate, assistant de direction parfait. Javais fait enregistrer les bagages (étonnements volumineuses, par rapport au peu de vêtement avec lesquels étaient habillées les deux surs !), valider les cartes dembarquements, fait passer les douanes nous attendions pour embarquer lorsque Nancy me prit par le bras et memmena vers les toilettes. Elle entra dans les toilettes homme, moi sur ses talons, et dans une des cabines WC me fit agenouiller devant elle

— Les voyages en avion mont toujours rendue si nerveuse faut que je refasse descendre la tension !

Elle souleva la jupe de son tailleur et pu constater quelle bandait ! Je fis passer son membre dur par-dessus le slip et commença à la sucer avec gourmandise A chaque cest à ce moment que je remarquais à quel point jétais accro ! Quand son gland se posait sur ma langue, que sa verge me remplissait la bouche, que son goût memplissait le palais à chaque fois jen avais un hoquet de plaisir, me disant « quest-ce que ça me manquait ! » Tandis que je mappliquais à la sucer, je ne fis quà demi attention à la porte dentrée des WC qui avait claquée le va et vient de sa verge dans ma bouche retenait toute mon attention mais je me sentis soudain observé Jarrêtais ma fellation, la masturbant dune main, et vit quelle avait laissé la porte de la cabine entrouverte, et quun black nous mâtait, sans trop croire à ce quil voyait : une superbe femme qui se faisait sucer le chibre par un petit blanc en costume cravate ! Mais je neus pas le temps de penser, elle me fourra son membre dans la bouche, avec un « Continue ! » Je sentis sa jambe bouger, du bout de son escarpin elle ouvrit la porte plus grande je continuais à la sucer alors quelle fit signe au black de sapprocher et lui dit

— Il adore se faire prendre par des inconnus dans des lieux publics vas-y, te gêne pas, son cul est divin, jen sais quelque chose !

Elle me prit par les cheveux, et commença à furieusement me baiser la bouche le type, voyant comment je me laissais faire senhardit je sentis une main nerveuse défaire lattache de mon pantalon, ouvrir ma braguette, descendre en un coups le pantalon et le slip puis un doigt me caresser lanus, avant de le pénétrer et de fouiller mon rectum puis un gland assez gros, mais pas aussi gros que celui de Nancy, presser ma rondelle, avant que le gars senfonce en moi un parfait inconnu me limait la rondelle dans les toilettes de laéroport ! Elle ne perdait pas une miette du spectacle, et je sentis sa bite grossir dans ma bouche, comme si ça lexcitait de voir cette grosse queue me prendre tandis quelle me baisait la bouche Là aussi, je me rendis compte à quel point jaimais avoir mes orifices remplis par ses queues chaudes et palpitantes !

Je ne pus mempêcher de jouir lorsquelle jouit en moi, remplissant ma bouche et ma gorge de son sperme épais le gars se déversa furieusement en moi peu après, son jus chaud me remplissant le cul Tous ce temps elle laissa son sexe dans ma bouche, où il débanda lentement, déversant tous son jus sur ma langue gourmande puis lorsque le gars fut parti, elle se rhabilla et mordonna de faire de même. Nous retournâmes vite et juste à temps pour lembarquement.

Noemy était partie la veille, avec le jet privé de la compagnie. Nous, nous embarquâmes dans un gros airbus, transcontinental, où elles avaient un petit salon privé au second étage de lappareil, dans la partie réservée aux très riches passagers. Le vol se fit sans histoire, agrémenté de champagne Après latterrissage à New-York, je moccupais de toutes les formalités, puis rejoins la limousine de location qui nous emmena à lhôtel, un des palaces les plus prestigieux de la Big Apple

Alors que je pensais avoir droit à une nouvelle nuit de sexe et de plaisir, car sitôt arrivé à lhôtel je dus troquer mon costume-cravate pour le costume de ma condition, le costume desclave, les escarpins blancs à talons, la boucle fermée par un cadenas, les longs bas résilles blancs, le string blanc en dentelle, et le soutien blanc assorti, et la nuisette blanche transparente faisant comme une jupette et finalement le collier en cuir rose autour du cou. Mais au lieu de samuser avec moi, elles memmenèrent dans une chambre où se trouvaient déjà Stéphanie et Andréa, mirent les petites cages à nos sexes, ainsi quun gag dans la bouche, nous empêchant de proférer le moindre son et elles nous firent entrer dans des grandes cages cubiques, où un homme pouvait tenir assis, guère plus. Elles refermèrent à clef les portes des cages après que nous y soyons entrés

Soudain Noemy entra dans la pièce. Elle était splendide. Rayonnante. Elle nous regarda tous les trois.

— Demain est un jour important ! Vous devez rester dans ces cages, pour réfléchir à votre condition, laccepter, lintégrer. Par

Héra, de mâle que vous étiez, vous êtes maintenant esclave, esclave de nos corps, de nos désirs. Cest lavenir des hommes ! Mes surs et moi devons rester pure jusque demain, au moment où la lune sera complètement pleine, à son apogée, pour que Sélénée et Artémis puissent bénir le rituel. Ensuite vous pourrez jouir à votre tour de ce que nous vous donnerons

Sur ces paroles énigmatiques, elle sen alla. Nancy et Kimberly jetèrent de grandes couvertures sur les cages, les recouvrant complètement. Jentendis des pas puis la porter claquer, puis plus rien Depuis des jours jétais habitué, tous les soirs, à avoir un sexe en bouche ou dans le cul et là ça me manquait ! Je sentais mon petit anus palpiter, mon ventre se nouer jamais je navais ressenti une telle envie de sexe ! Je ne sus dire combien de temps sécoula des heures certainement mais cela me sembla une éternité Soudain, jentendis le bruit de la porte souvrir. Je ne pouvais proférer le moindre son, mais mes sens étaient aux aguets, javais tellement envie de voir la couverture se retirer, et le gros sexe de Nancy pointé vers moi Mais au lieu de cela, je sentis la cage comme soulevée, puis je fus bousculé de gauche à droite bon sang, on transportait les cages ! Puis ce fut plus stable, et jentendis le bruit de roues sur le tapis, puis sur le linoleum. Les cages avaient été mises sur un chariot. Jentends le bruit distinctif de portes dascenseur souvrir et se refermer, le bruit des roues du ou des chariots sur le béton, le bruit de la porte coulissante dune camionnette qui souvre puis la cage est de nouveau transbahutée, puis poussée. Jentends le tintement dune autre cage qui cogne la mienne. Un dernier bruit, puis la porte de la camionnette qui recoulisse pour se refermer

Tandis que le moteur senclenche et que le véhicule commence à rouler, je suis dans un tel état de manque que je ne me demande pas « où memmène-t-on ? » mais plutôt « y aura-t-il du sexe là où on memmène ? » La camionnette ne roule pas si longtemps que ça, avant de sarrêter. Le manège reprend : porte coulissante qui souvre, cages transbahuté, puis il me semble quon nous fait descendre (sur un monte-charge ? le bruit est assez difficile à discerner), on nous transbahute encore avant de nous poser. Jentends des voix étouffées, puis plus rien. De nouveau lattente dans le noir total.

Puis des bruits de pas, des bruits de conversations, des bruits de chaises tirées. Une salle assez grande, et du monde qui arrive. Pas mal de monde. Après un brouhaha certain des « shhhhht » reconnaissant quon demande le silence. Puis une voix qui sélève, haute et claire. Les mots sont parfaitement audibles, la voix assurée, celle de Noemy.

« Mes surs, je suis heureuse de vous voir si nombreuses en ce grand jour. Cette convention cache notre première assemblée depuis presque un siècle. Un siècle que nous navons pu nous réunir. Mes surs charnelles, Nancy et Kimberly, mont aidé à vous retrouver. A nous rassembler. Pour enfin accomplir le destin qui est le nôtre. Certaines de notre peuple sont encore disséminées çà et là dans le monde, mais nous terminerons le rassemblement, tout en passant à laction.

Car de laction, il va y en avoir ! Nous allons rétablir les choses comme elles doivent lêtre. Il y a des millénaires, les premières sociétés étaient matriarcales. La femme, donneuse de vie, régulait le monde. Puis vint le temps de lhomme chasseur. Et il supplanta la femme, la transformant en poule pondeuse, la tenant dans la soumission, lui volant tous les pouvoirs Les gardiennes des sociétés matriarcale furent pourchassées et massacrées. Celles qui restaient se rassemblèrent en un peuple. Les amazones. Nous sommes leur descendante. Nous avons la beauté et le charme féminin, exprimés par nos seins généreux et nos formes avenantes, mais aussi la force et la détermination virile, exprimés par nos pénis puissants.

Pendant lantiquité, cachées, nous avons pu rassembler un trésor, rassemblé grâce au pillage et aux mines de diamant. Puis de nouveau les grecs et les romains nous ont pourchassées. Plutôt que de tout recommencer à nouveau ailleurs, notre reine, Hestia, dont je descends, décida de cacher le trésor, et de nous mêler au monde, de nous cacher, pour pouvoir refaire surface quand le moment serait bon. Certaines ont essayé durant le moyen-âge, mais linquisition les fit brûler vive. Leur pénis étant la marque du démon selon eux, ils ont pris nos surs pour de vrais succubes.

Après les deux guerres mondiales, certaines de nos surs via les mouvements de suffragette ont essayé de rétablir légalité, mais si elles connurent quelques avancées, le moment nétait pas encore là.

Maintenant, cest le moment ! Pourquoi ? Ma famille descendant de la famille royale a toujours été gardienne du trésor des amazones. Ma grand-mère, installée aux Etats-Unis, eut la brillante idée de déterrer le trésor, et de le faire fructifier, au lieu de laisser sous terre. Nous possédons maintenant des billiards de dollar, en cash et en or, mais aussi en sociétés, en matières premières, en matières transformées. Nous pesons sur léconomie mondiale. De plus, les avancées scientifiques modernes nous ont fait prendre conscience dune arme contre laquelle les hommes ne peuvent rien Nos ancêtres étaient connues pour leur habileté à larc ou à la lance mais ce nest pas nos meilleures armes non nous avons bien mieux »

Soudain, le drap fut soulevé. Je clignais des yeux, avant de mhabituer à la luminosité heureusement faible de la pièce. Nous étions dans une sorte de crypte. Des flambeaux accrochés aux murs donnaient une lueur irréelle à la scène, tandis que des spots idéalement camouflés donnaient léclairage juste-comme-il-fallait. Sur une petite scène, il y avait un trône en pierre qui semblait assez ancien. Un manteau royal était posé sur le siège, où Noemy était assise. Face à elle, dans la salle, des tables rondes entourées de chaises, chaises sur lesquelles étaient assises des femmes. Rien que des femmes. Toutes en tenue de soirée. Du champagne et des mignardises étaient aussi sur les tables. Et toutes regardaient vers nous. Nancy et Kimberly apparurent dans mon champ de vision. Elles ouvrirent les portes des cages et nous firent sortir. La voix profonde de Noemy repartit.

« Ces trois-là sont des hommes. Tous avaient des positions respectables, et assez hauts placés. Des responsabilités. De belles voitures. Un très beau salaire. Bref tout ce qui fait la réussite dun homme ! »

Elle avait appuyé sur le mot homme avec une pointe de dégoût condescendant.

« Et regardez-les, pitoyables, en sous-vêtements féminins ! Vous trois ! Vous voulez regagner votre liberté, redevenir de vrais hommes, et même prévenir le monde que nous voulons le dominer ? Allez-y, je vous libère ! Je nessayerai pas de vous empêcher de partir ! Mais si vous restez, ce sera lesclavage, pour toujours ! »

Les femmes présentent retinrent leur souffle, une tension se fit sentir. Un spot éclaira une porte, sur notre gauche. Un coin de mon cerveau me souffla quil fallait déguerpir. Prévenir tout le monde de ce qui se tramait ici Mais au même moment, Nancy et Kimberly ouvrirent leurs robes, qui tombèrent au sol. Elles ne portaient si soutien, ni slip. Elles étaient nues, leur sexe pointant fièrement vers nous. Il fallait se sauver, tout mon être savait qu »il ny aurait pas dautres chance, si je ne menfuyais pas maintenant, ce serait lesclavage pour toujours ! Mais mon il ne pouvait voir autre chose que la hampe, le gland, qui tressautait doucement, entre les jambes de Nancy Cest presquen trance que je me ruais et me jetais à ses pieds, que je commençais à lécher sa hampe, son gland, avant de commencer à le sucer avec avidité. Du coin de lil, je vis que Stéphanie et Andréa léchaient de la même manière le sexe de Kimberly

La tension dans la pièce changea, elle devint sexuelle.

« Avez-vous remarqué mes surs, comme nous sommes vite excitées ? Comme nous avons besoin de faire souvent lamour ? Et comme nous sommes dominante dans le sexe ? Jai fait étudier la chose, et nous nous sommes rendu compte que nos phéromones, à nous les amazones, sont quatre fois plus puissants que ceux des humains « normaux ». Nos pulsions sont plus fortes aussi, ainsi que nous hormones. Notre sperme est plus fertile, mais aussi plus érotisant, plus addictif que celui des hommes. Cest grâce à cela que nous avons transformé ces trois hommes en esclaves : les charmer dabord, ce qui ne pose pas de problèmes grâce à nos phéromones et nos corps parfaits. Puis quelques vidéos dhypnose pour les rendre dominés, soumis et ayant envie de pénis. Et puis il suffit de les nourrir de notre sperme, et ils ne savent plus sen passer regarder les comme ils sucent avidement mes surs !

Oui nous allons dominer le monde. Nous allons en cette période ou la liberté sexuelle na jamais été aussi forte, nous allons réduire les hommes en esclavage, en faire des sextoys vivant, et éliminer ceux qui refusent ce destin. Les femmes deviendront nos reproductrices, enfantant une nouvelle génération damazones oui demain, nous dominerons le monde ! Et pour commencer cette uvre, ce soir je mettrai enceinte une vierge choisie par nos soins, selon lancienne coutume ! Ces hommes sont pour vous ce soir, amusez-vous avec eux ! Et en assouvissant vos désirs avec eux, sentez la puissance que nous avons sur leur pitoyable « virilité » !»

Nancy et Kimberly nous poussèrent en arrière, et des mains me prirent, mattirèrent vers une table. Je sentis mon corps caressé, palpé, mon sexe dans sa petite cage moqué, mes fesses écartées. Un sexe jaillis devant moi, et sans poser de question, je commençais à le sucer des doigts jouaient avec mon anus, puis il fut pénétré par un sexe puissant, et de fort jolie taille Tandis quun premier sexe éjaculait dans ma bouche, et je reçu ce sperme avec un soupir daise, un autre le remplaça bien vite, tandis quon glissait ma main sur un autre. Toute cette chaire, tiède et dure, ce sperme chaud, ces seins, ces anus que je léchais, ces giclées de sperme qui marrivaient sur le corps, quel plaisir !

Je ne remarquais pas la jeune fille, blonde, aux hanches larges, nue, qui fut apportée devant Noemy. Elle fut gentille avec elle, la mis à laise, lui fit boire du champagne, puis ses surs la couchèrent sur une sorte dautel en pierre, et commencèrent à la caresser, les seins, les hanches, les tétons, puis Kimberly commença à lécher et suçoter le clitoris, tandis que Nancy soccupait de ses seins et de ses tétons puis, lorsquelle fut prête et que son sexe était suffisamment humidifié, Noemy sapprocha et caressa son vagin avec son gland. Elle avait un sexe aux belles dimensions Elle se positionna, et pénétra doucement la fille Dans la salle, cétait lorgie, Stéphanie, Andréa et moi sucions des sexes palpitants, tandis que dautres allaient et venaient dans nos culs, nos mains en branlaient dautres, tandis que du sperme coulait déjà sur nos visages, nos épaules, nos ventres malgré la cage qui mempêchait de bander, du sperme sécoulait de mon sexe, et de la-dite cage, tandis que je jouissais, des orgasmes anals comme je nen avais jamais connus ! Les bruits de plaisirs, de succions, dorgasmes, remplissaient la pièce, tellement que quand Noemy déchira lhymen de la fille, le cri de douleur de cette dernière ne sentendit pas et bien vite, elle haleta de plaisir, Nancy soccupant bien delle, tandis que Noemy semblait une amante hors pair Kimberly, avec un calice ancien, récupéra un mélange de sang et de mictions de la jeune ex-vierge, et lorsque dans un cri rauque Noemy éjacula en elle, Kimberly vida le contenu de la coupe sur le ventre, qui porterait bientôt lenfant de la reine des Amazones

Je ne me rappelle plus bien le reste de cette soirée. Je bus des litres de sperme, jen suis sûr, et lorsque les dernières amazones furent parties, mon corps était entièrement maculé de sperme, et lorsquon maida à me relever, du sperme coula de mon anus béant Jétais dans un état second, un état orgasmique permanent jamais de ma vie je navais connu un tel plaisir !

Et cela termina ma conversion je ne pouvais plus vivre sans sperme. Il men fallait, deux à trois fois par jour. Comme un sexe bandé dans ma bouche, ou dans mon cul. Ma prostate en redemandait, encore et encore Le jour, je servais les surs Poseis comme assistant de direction, homme à tout faire, et sextoys quand le besoin sen faisait sentir, tandis quelles plaçaient leurs pions pour prendre le pouvoir, et transformaient dautres hommes en esclave, dont des gens très très haut placé. Le soir nous participions à des orgies sans fin et vraiment, je ne voudrais plus dune autre vie !

— THE END —

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