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Un vol dont je profite – Chapitre 1

Un vol dont je profite - Chapitre 1



UN VOL DONT JE PROFITE

Je vais vous raconter une histoire qui mest arrivée il y a quelques années.

Javais alors une trentaine dannées et je venais dêtre muté pour mon travail dans la région de Saintes en Charente.

Ce jour là ne travaillant pas je faisais des achats dans une grande surface de cette ville, brusquement mon regard fut attiré par une jeune fille très jolie environ 1m40.

Assez fine de corps (36) avec une petite poitrine mais qui paraissait bien ferme car elle tendait son petit haut (80 B).Elle avait une jupe noire qui lui arrivait au-dessus des genoux et laissait voir de jolies jambes assez fines qui se terminaient par des fesses un peu rebondies.

Elle était blonde, les cheveux tirés en arrière et se terminant par une queue de cheval ce qui lui donnait un physique juvénil, au premier abord je lui aurais donné 17 à 18 ans, par la suite je sus quelle venait davoir 19 ans.

Je la regardais sans bouger tellement elle me fascinait, elle était entrain de choisir des sous-vêtements en dentelles.

Je continuais de fureter tout en la regardant faire son choix.

Elle jeta son dévolu sur trois mini slips rouges en dentelle ajourée et trois soutiens-gorge assortis et se dirigea vers une cabine dessayage.

Je pensais en moi-même que jaurai bien voulu être spectateur de cet essayage et continuais mes achats.

Je ne pensais plus à elle quand je la vis ressortir de la cabine, cela faisait à peine dix minutes quelle y était entrée.

Elle se dirigea vers le présentoir des lingeries féminines où elle y reposa un soutien-gorge et un slip mais où étaient les autres !

Je la vis se diriger vers la sortie, je la rattrapais dans la galerie marchande et linterpellais en lui disant que ce quelle venait de faire nétait pas bien.

Elle me regarda dun air surpris, sa figure avait rosi, je lui dis que je venais de lobserver et que javais tout vu, elle me répondit en colère que cela ne me regardait pas (elle navait pas tout à fait tort !) je répliquais en lui disant que je navais quà raconter ce que javais vu au vigile qui était un peu plus loin dans lallée, quil la fouillerait préviendrait les gendarmes et ses parents et quelle aurait des ennuis.

Elle me regardait fixement avec de la colère dans les yeux, hésita un instant et repartit en direction de la sortie, je la dépassais en me dirigeant vers le vigile qui était maintenant à une vingtaine de mètres.

Elle me rattrapa par le bras et me demanda en colère ce que je voulais, ne sachant quoi répondre, je lui répondis que désirais la voir avec les tenues quelle avait dérobées, elle me répondit quil nen était pas question. Je fis semblant de rejoindre le gardien, mais bien avant que je démarre elle me lâcha « un daccord mais vous ne me touchez pas », je répondis que cétait OK.

Nous regagnâmes ma voiture qui était sur le parking, elle monta et commença à se dévêtir, je lui dis que je préférais aller dans un endroit plus discret, elle accepta.

Ne connaissant pas bien la région je lui demandais si elle connaissait un endroit où on serait tranquille, elle me fit signe que oui, me fit sortir de la ville, en discutant de choses et dautres, je lui demandais pourquoi nétait-elle pas à lécole aujourdhui, cest alors quelle me révéla son âge et me dit quelle était à la recherche dun emploi de coiffeuse.

Nous avions quitté la ville et nous nous dirigions à travers la campagne vers une partie boisée elle me fit tourner dans un petit chemin, nous fîmes environ trois cents mètres et nous arrivâmes dans une clairière où elle me fit stopper devant une cabane.

Elle mapprit que cétait à son grand-père qui était chasseur et que là nous serions tranquilles.

Elle fit le tour de la cabane, revint avec la clef et ouvrit, à lintérieur il y avait une table, quatre chaises et un grand canapé.

Je lui demandais son prénom, elle sappelait Josette.

Elle me demanda si elle navait pas cédé, si je serais allé raconter au vigile ce que javais vu, je lui répondis que non, elle eut un sourire, nous discutâmes pendant un bon moment.

Cest elle qui me demanda : alors tu veux voir ?

Je répondis que oui, et je massis dans le canapé tout en ne perdant rien de son effeuillage.

Elle enleva son petit haut, laissant apparaître une petite poitrine bien ferme en forme de poire qui était enveloppée par trois soutiens-gorge quelle enleva pour nen laisser quun seul, un rouge qui ne cachait pratiquement rien.

Elle se prenait maintenant au jeu, elle détacha ses cheveux, laissa glisser sa jupe à terre, je pus apercevoir les trois mini slips en dentelle, elle les enleva et en remis un rouge, je pus constater que cétait une vraie petite blonde avec un pubis en partie épilé.

Je lui fis des compliments sur sa beauté, elle apprécia le compliment, elle tournait, prenait des poses, elle était entrain de mexciter.

Elle changea de sous-vêtement, je me levais et lui demandais si je pouvais toucher, elle me regarda avec un sourire coquin et me répondit oui mais juste un peu.

Je mapprochais et commençais à caresser cette poitrine si désirable.

A mon contact elle eut un léger frisson et ses petits tétons se dressèrent légèrement, jen étais sûr maintenant elle appréciait mes caresses.

Jen profitais pour lembrasser, elle répondit à mes baisers, elle ferma les yeux et se laissa faire, je pris possession de sa bouche et en profitais pour mettre ma main entre ses cuisses quelle desserra pour faciliter mes caresses, je pénétrais son intimité chaude et humide avec un doigt, elle fit descendre son slip et écarta encore plus ses cuisses pour faciliter mes caresses.

Je la fis asseoir sur le canapé jambes bien écartées et me mis entre ses cuisses pour la lécher et la pénétrer de ma langue, elle se mit à gémir et à se tortiller dans tous les sens, elle appuyait sur ma tête avec ses mains, sa chatte coulait énormément, elle prenait beaucoup de plaisir.

Je marrêtais, la regardais dans les yeux et lui demandais si cétait bon elle me répondit par un sourire et par un : Oh oui.

Jen profitais pour lui demander si elle voulait aller plus loin, elle me regarda et me répondit par un oui à condition de faire doucement car elle navait jamais été pénétrée entièrement.

Elle mavoua quelle avait un copain, quils se caressaient, quil avait essayé de la pénétrer mais quelle avait eu très mal et quils avaient dû renoncer.

Je lui promis de lui faire ça en douceur et de me faire confiance.

Je lui demandais si elle prenait la pilule, elle me répondit que oui.

Nous reprîmes nos caresses, je la pistonnais alternativement avec mes doigts et ma langue, elle était très étroite et coulait abondamment, je me dévêtis tout en la caressant, elle avait les yeux mi-clos, elle respirait très fort et très vite, cela faisait au moins deux heures quelle prenait du plaisir, je suis sûr quelle avait joui au moins deux fois.

Elle était maintenant prête, japprochais mon sexe de ses cuisses grandes ouvertes, je présentais mon pénis à lentrée de cette vulve luisante de mouille et là jhésitais un instant car javais peur de lui faire mal, mais lexcitation lemporta, je poussais mon sexe qui écarta ses lèvres et vint en butée contre une certaine résistance, nous nous regardions dans les yeux, je lui fis un baiser, javais investi profondément sa bouche avec ma langue, je sentais maintenant quelle se relâchait, je profitais de ce relâchement pour pousser un peu plus fort, je sentis quelle se contractait mais mon sexe était maintenant en elle.

Je ne bougeais plus et la regardais dans les yeux, elle souriait, cest elle qui bougea la première, mon sexe était comme dans une gaine, je me mis à aller et venir doucement en elle, cest alors que jaccélérais et la pénétrais plus profondément, je lui fis mettre ses jambes sur mes épaules ce qui me permis de linvestir encore plus profondément, elle appréciait et poussait de petits cris.

Elle prenait beaucoup de plaisir, son corps venait à la rencontre de mon pénis pour une pénétration encore plus violente, javais limpression quelle souhaitait plus de brutalité dans notre étreinte.

Je continuais de la pistonner pendant un bon moment, je faillis éjaculer.

Je marrêtais et la fis mettre en levrette la tête en bas bien cambrée je la pris par les hanches et la pénétrais un plus violemment, je touchais maintenant le fond de son intimité.

Javais une vue sur ses petites fesses que jécartais avec mes mains pour découvrir son anus qui paraissait minuscule, je mouillais un doigt avec de la salive et tentais de la pénétrerw²&, son canal étant très étroit je dus appuyer fermement pour mintroduire, elle essaya de se dégager pour éviter cette pénétration, ayant prévu cette réaction, mon doigt étant profondément planté dans son fondement elle ne put sy soustraire, je la pistonnais avec un, puis deux doigts, en tournant pour élargir ce conduit jusquici inviolé, elle commençait à apprécier et je sentis que son anus se distendait et mouillait.

Je sortis ma queue de son vagin pour tenter de la sodomiser, je présentais mon sexe à lentrée de son étroit canal, la tenant bien par les hanches jappuyais fermement, elle se débattait pour échapper à cette pénétration, devant létroitesse de son fondement je renonçais de pénétrer ce petit cul si désirable.

Je repris possession de sa chatte, étant très excité je fis quelques aller et retour en elle et éjaculais par de puissants jets , en me retirant je vis un filet de sperme et de mouille qui coulait de son intimité.

Elle était maintenant affaissée sur le canapé, épuisée mais heureuse davoir pris autant de plaisir.

Je lui demandais si elle avait eu mal, elle me répondit que non et membrassa à pleine bouche.

Je lui promis que la prochaine fois je la sodomiserais, en la préparant avec du gel pour ne pas quelle souffre.

Elle accepta et me promit de nous revoir dans deux jours au même endroit.

Mais cela est une autre histoire

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