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Un week end bien agité – Chapitre 5

Un week end bien agité - Chapitre 5



Le lundi matin

Je me réveille vers 5 heures du matin, Charlotte est toujours dans le lit, son bras droit sur moi. Je me dégage doucement, me lève et vais faire un tour au toilettes. Après une petite douche, je reviens dans la chambre. Charlotte est réveillée.

-Bonjour monsieur, comment allez vous ? Vous avez bien dormi ?

-Très bien pour les deux questions madame et vous-même.

-Parfaitement bien. Tu viens me câliner un peu pour bien me réveiller ?

-Bien sûr.

Je retourne dans le lit, je lenlace et ce nest quune suite de caresses, câlins, baisers pendant un bon quart dheure. Pas de sexe, juste de la tendresse.

-Jai besoin dune douche, tu viens me frotter le dos ?

-Jarrive.

Nous allons dans la salle de bain, elle fait couler leau, me tend le gel douche.

-Savonnes moi.

Je la suis sous la douche et lui passe du gel douche sur tout le corps, en mattardant, bien sûr, sur ses seins et son sexe. Elle réagit doucement, comme si elle sortait à peine de son sommeil, mais ses mains se posent sur mes épaules et appuient vers le bas. Je maccroupi, lui saisis les fesses et plaque son sexe sur ma bouche. Son clitoris réagit immédiatement et gonfle sous les titillements de ma langue.

-Oh oui, tu sais que jaime.

Je lui suce littéralement le clitoris comme un sexe, il me parait encore plus gros que cette nuit. Ses mains viennent ma caresser la tête, et soudain appuient plus fort contre sa vulve. Elle jouit bruyamment une nouvelle fois. Je sens son ventre venir à ma rencontre, son sexe palpite, elle écarte les jambes pour me permettre daccéder à sa vulve. Jintroduis ma langue dedans en la faisant virevolter. Elle tremble de tout son corps. Petit à petit, elle se calme. Je me redresse, lenlace et lembrasse sous la douche. Elle sent ma bite contre son ventre et remarque quelle est en forme.

-A toi maintenant.

Elle saccroupie et commence une superbe fellation. Je me laisse faire en profitant du moment. Je sens monter en moi ce plaisir. Mes plantes de pieds sélectrisent, cest le début, londe remonte le long des jambes vers le ventre, le cur, la tête. Mon corps senflamme, je joui. Elle me plaque contre sa bouche pour ne rien perdre de ma semence. Elle se redresse, prend le gel douche et me savonne du haut en bas en insistant sur mon sexe. Après nous être rincés et séchés, nous retournons nous allonger sur le lit côte à côte un petit quart dheure. Elle bouge et me monte dessus à plat ventre, collant son corps contre le mien.

-Que fais tu ce matin ?

-Je pense que je vais rentrer chez moi, Luc ma demandé damener Sylvie en ville car sa voiture est chez le garagiste, elle la récupère cet après midi.

-Moi aussi je rentre en ville, je pense que je vais aller faire un peu dexhibition aujourdhui, je suis toute excitée par ce week-end.

-Tu texhibe ?

-Oui, jadore ce sentiment de danger.

-Tu fais ça ou ?

-Un peu partout, dans des parcs, des magasins, des sex-shops, partout ou je le sens.

-Je peux taccompagner ?

-Pourquoi crois-tu que je ten parle ?

-Ok, à quelle heure ?

-Nous navons quà partir ensemble, tu dépose Sylvie et tu me suis chez moi.

-Ok.

Nous descendons au petit salon, le petit déjeuner est déjà prêt. Louise a tout préparé.

-Bonjour Louise.

-Bonjour madame.

Elle vient vers Charlotte pour lui déposer un baiser chaste sur la bouche.

-Bonjour Louise.

-Bonjour monsieur.

Elle vient vers moi pour me faire la même chose.

-Tu fais parti de la famille maintenant.

-Madame a raison, je suis à votre entière disposition.

Nous nous installons, Louise ma préparé un café noir, juste comme jaime. Décidément, cest une perle.

Tout le monde descend petit à petit.

-Après ce que nous avons entendu venant de ta chambre, nous avons préféré vous laisser seuls.

-Bonne initiative. Jean et Viviane ne sont pas là ?

-Non, ils viennent de partir il y a une demi-heure, ils bossent tôt aujourdhui. Tu nas pas pu les entendre partir, puisque vous vous amusiez sous la douche.

Le petit déjeuner fini, tout le monde se prépare et nous quittons Luc.

-Je te contacte pour dans quinze jours, jorganise une petite fête, nous serons une petite douzaine. Jespère que tu pourras te libérer.

-Ok, à bientôt.

Je dépose Sylvie à son travail et je suis Charlotte chez elle. Nous arrivons devant une grande maison entourée de hauts murs. Une fois le portail fermé, personne ne peut voir ce qui se passe à lintérieur.

-Cest lhéritage de mon second mari, il est mort dans un accident davion de tourisme et ma laissé toute sa fortune qui était assez conséquente. Elle lest toujours dailleurs.

-Doù cette splendide Aston-Martin.

-Et oui, jaime les belles voitures.

Nous entrons dans la maison, ou nous sommes accueillis par une femme dune trentaine dannées.

-Jean, je te présente Michelle, la gardienne des lieux, cest ma Louise.

-Bonjour madame, bonjour monsieur.

-Bonjour Michelle.

Comme Louise, Michelle vient déposer un baiser chaste sur la bouche de Charlotte.

-Comme tu peux le voir, nous sommes très proches. Viens, nous allons visiter la maison.

Elle est immense, Charlotte la complètement réaménagé après la mort de son mari. Toutes les chambre ont une salle de bain et des toilettes, en plus dune grande salle de bain communautaire avec une baignoire pouvant contenir plusieurs personnes au milieu de la pièce, la cuisine est ultra moderne, limmense salon principale est meublé très moderne, un second grand salon qui sert de salle à manger est meublé lui de meubles empire avec une gigantesque table entourée de 20 chaises et une bibliothèque dangle meublée Louis XIV. Le tout avec goût et élégance.

-Cest Luc qui ma aidé à décorer la maison. Cest un peu son métier. Mets-toi à laise, je vais me changer. Michelle, occupes toi de Jean.

Charlotte monte à létage pendant que Michelle me sert à boire une boisson fraîche.

-Vous êtes au service de Charlotte depuis longtemps.

-Je suis rentrée au service de monsieur Victor, le mari de madame, à 16 ans, juste avant leur mariage. Depuis je nai pas quitté la maison. Cela va faire 16 ans dans un mois et demi.

Donc, elle a 32 ans, et est très jolie. Un peu mince à mon goût, mais de belles petites fesses, que moule bien son pantalon, et une poitrine assez volumineuse pour son gabarit, au moins du bonnet C. Cest ce que lon appelle une belle femme.

Charlotte redescend et là, je suis scotché. Elle porte une micro jupe noire qui lui recouvre tout juste les fesses, évidemment sans culotte, laissant voir ses longues jambes, un corsage blanc plus que transparent qui laisse voir la totalité de sa poitrine libre. Elle tient à la main un manteau de cuir assez court.

-Madame va faire un tour dans la ville ?

-Tu as tout compris. Prépare nous à manger pour 13 heures, et prévois de nous accompagner cet après-midi.

-Oh, merci madame.

Charlotte enfile son manteau, nous sortons pour prendre le car. Je crains une démonstration à la Juliette mais elle reste sage pendant le trajet. Arrivés à notre arrêt, nous nous dirigeons vers un grand magasin. Là, elle déboutonne son manteau. Dans lescalator qui nous mène aux étages, une femme se met derrière nous. Evidemment, étant trois marches en dessous, elle à une vue ascendante sur les fesses de Charlotte qui pour lui faciliter la tâche, écarte un peu les jambes.

-Jaime mexhiber, jaime sentir ces regards sur mes parties intimes, je ressens une chaleur dans tout le corps.

Arrivés au dernier étage, nous redescendons vers le rayon femme au rez de chaussée. La femme nous suit toujours. Charlotte choisie deux ou trois robes et va les essayer. Elle ne tire pas complètement le rideau de sa cabine de manière à permettre de voir à lintérieur. La femme prend une cabine en face décalée de deux emplacements pour pouvoir voir ce qui ce passe. Je massoie sur un banc au fond du salon dessayage et je remarque que la femme a laissé assez despace avec le rideau pour que je puisse voir ce quelle fait. Je peux voir les deux femmes de mon poste dobservation. Charlotte est nue en quelques secondes, mais met beaucoup de temps à enfiler les robes, elle passe s main sur son clitoris et le fait ressortir un peu plus. La femme nen perd pas une miette, elle a relevé sa jupe et baissé sa culotte, elle est appuyée face a moi sur la paroi de côté et se masturbe en regardant Charlotte.

-Jean, tu peux venir maider ?

-Jarrive.

Charlotte ouvre le rideau presque entièrement, elle est toujours nue. La femme nen peut plus et se branle frénétiquement.

-Peux-tu demander à la vendeuse de mapporter les même une taille en dessous.

Elle me tend deux robes. Elle tire en partie le rideau. Je vais voir la vendeuse, pour quelle fasse léchange. Elle arrive quelques secondes plus tard avec deux nouvelles robes. Charlotte ouvre le rideau, toujours dans la même tenue et prend les robes des mains de la vendeuse qui la regarde avec un sourire en coin.

-Besoin dun coup de main, madame.

-Oui, pourriez-vous remonter le zip sil vous plait.

-Bien sûr.

Sans tirer sur le rideau, Charlotte enfile une robe et se tourne le dos à la vendeuse. Celle-ci lui remonte la fermeture rapide.

-Voila madame.

-Merci mademoiselle.

Elle se retourne avec un petit hochement dépaule, ce nest pas la première fois quon lui fait le coup. De nouveau Charlotte fait semblant dessayer ces robes quand jentends un râle sourd sortir de la cabine de la femme. Elle vient de jouir. Charlotte se rhabille et sort avec les robes quelle me tend. Elle se dirige vers la cabine de la femme, lui prend la tête entre ses mains et lui dépose un baiser sur la bouche. Elle se retourne, prend les robes quelle va rendre à la vendeuse et nous sortons du magasin.

-Tu vois, jai fait une heureuse. Viens, allons prendre un pot, je connais un super bar.

Nous entrons dans un établissement dont le bar a la particularité dêtre recouvert de glaces, ce qui fait que si tu tassois sur un tabouret haut, les clients peuvent voir le bas de ton corps. Evidemment, Charlotte enlève son manteau, laissant apercevoir ses fesses et sassoie de manière à ce que tout le monde voit son entre jambe. Les clients derrière peuvent voir sur les glaces son sexe et ses seins. La barmaid reste les yeux scotchés sur ses seins et est visiblement dérangée quand elle doit servir dautres clients. Nous restons une demi-heure à boire une boisson chaude.

-Rentrons à la maison, je dégouline de partout, jai envie de jouir.

Nous rentrons chez elle, elle me prend la main et mentraine dans sa chambre. Elle se déshabille en deux secondes et se jette sur son lit, sur le dos, les jambes écartées.

-Viens.

Le temps de me déshabiller, je monte sur le lit à quatre pattes et je plonge ma tête entre ses jambes.

-Oui, suces moi le clito, jaime.

Je lui aspire le clitoris, en lui caressant les seins. Il ne lui faut pas plus de trente secondes pour quelle parte dans un orgasme bruyant.

-Ouf, jen avais besoin. Cette femme ma vraiment excité, dhabitude mes virées durent plus longtemps, mais là je nen pouvais plus dattendre. Michelle, tu peux venir.

Michelle entre dans la chambre, elle sest changée depuis le matin. Elle est un jupe moulante et corsage blanc, sans rien dessous. Je vois ses seins fermes tressauter sous le tissu.

— Prépares-nous un bain dans la grande salle de bain sil te plait.

-Oui madame.

Elle nous tourne le dos et sort en ondulant un peu exagérément des fesses. Je remarque quelles sont libres de toutes contraintes sous le tissu tendu de sa jupe.

-Elle est belle, tu ne penses pas.

-Très belle.

-je la sens un peu jalouse de toi, car elle est lesbienne et est éperdument amoureuse de moi. Nous partageons souvent mon lit pour de folles nuits damour. Je dois dire que moi aussi je suis très attachée à elle. Ceci dit, elle sera toujours très agréable et disponible avec toi, rien que pour me faire plaisir à condition de ne jamais essayer de la baiser ou sodomiser, elle est vraiment unisexe. Elle a eu une méchante histoire quand elle avait 15 ans, mais je ne ten dirais pas plus.

Nous restons un petit moment allongés, puis Charlotte mentraine dans sa salle de bain.

-Prépares toi le cul, il y a tout ce quil faut.

Je me fais un lavement poussé et nous nous dirigeons vers la grande salle de bain. La baignoire est pleine deau chaude moussante. Michelle est debout derrière la baignoire, nue. Comme Charlotte, elle est intégralement épilée et bronzée, ce doit être une règle pour travailler chez Charlotte et Luc. Elle tient un flacon de savon gel, elle nous attend. Nous entrons dans la baignoire et nous installons en vis-à-vis. Charlotte sallonge sur le dos en posant sa tête sur le rebord de la baignoire et ses pieds sur mes épaules. Elle se raidi et son corps émerge de la mousse.

-Savonnes moi sil te plait.

-Oui madame.

Michelle se penche sur sa maitresse, dans tous les sens du terme, et commence à lui laver le ventre, les seins sur lesquels elle sattarde, les jambes pour remonter vers le sexe. Charlotte, la tête sur le rebord de la baignoire, ferme les yeux. Michelle arrive au sexe et commence par pincer le clitoris qui est un peu sorti, elle le fait rouler entre ses doigts, le clitoris gonfle. Les pieds de Charlotte commencent à me serrer le cou, elle se contracte de plus en plus et joui entre les doigts de Michelle. Une fois calmée, elle se retourne et présente ses fesses aux mains expertes de Michelle. Celle-ci se contente de la laver.

-A ton tour.

Je me positionne comme Charlotte tout à lheure, Michelle me savonne partout en sattardant un peu sur mon sexe, mais sans plus. Une fois le devant terminé, je me retourne. Michelle me savonne les épaules, le dos, les fesses, les jambes et remonte vers mes fesses. Ses doigts se glissent entre elles et viennent titiller ma rondelle.

-Il aime, tu peux insister, il sest préparé, prend le gel spécial.

Une main vient enlever la mousse sur mes fesses et menduit lanus dun gel anal. Elle glisse vers mon cul et des doigts senfoncent doucement en dilatant mon sphincter. Je monte au maximum mes fesses pour faciliter la pénétration. Les doigts en pointe senfoncent de plus en plus et mélargissent le cul. Elle essaye de me fister. Charlotte mécarte les fesses au maximum, ajoute du gel et Michelle parvient à menfoncer complètement sa main dans le fion. Elle me pistonne doucement et amplement. Son rythme est régulier et cette lenteur augmente mon impatience et mon excitation.

-Tu peux te laisser aller, joui comme tu veux.

Une main sest emparée de ma bite et la masturbe doucement. Les prémisses de la jouissance apparaissent, mes plantes des pieds sélectrisent, mes jambes suivent, mon ventre, mon cerveau et ny tenant plus, je me vide les couilles dans la baignoire empalé par le bras de Michelle. Elle le retire doucement. En fait ses mains ne sont pas si petites que ça, entre Charlotte et Louise.

-Monsieur aime les forts diamètres.

-Oui, mais une petite bite peut être très efficace si elle est bien utilisée. Le diamètre ne fait pas tout, il peut même être gênant et douloureux si la personne qui officie ne sy prend pas bien.

-Viens nous rejoindre.

Michelle entre dans le bain et monte à plat ventre sur Charlotte. Celle-ci lui caresse le dos, les fesses et ses mains disparaissent sous leau. Les fesses de Michelle émergent de la mousse, Charlotte me fait signe de les lécher avec ma langue. Je me positionne derrière Michelle et pose ma langue sur une fesse. Elle a un petit mouvement desquive mais très vite se laisse aller à ma caresse. Elle écarte les jambes, je vois ma main de Charlotte sactiver sur son sexe. Ma langue atteint sa rondelle que je titille. Je nose pas lenfoncer dans son anus après ce que Charlotte ma dit. Michelle se raidi soudain et pousse un long râle de plaisir. Ses fesses redescendent sous leau et elle enlace Charlotte en lembrassant. Quelques instants plus tard, nous sortons du bain, passons sous la douche pour enlever la mousse. Michelle essuie Charlotte, elle-même messuie et je fais de même pour Michelle. Je sens son corps ferme, ses fesses rondes, son ventre plat et ses seins durs dont les tétons pointent orgueilleusement. Elle me sourit.

-Merci de navoir rien tenté.

-Cest normal, si vous naimez pas les hommes, il ny a aucunes raisons de vous forcer.

-Ce nest pas lavis de tout le monde, jai été violée à 15 ans par un copain de classe que je refusais dembrasser. Le procès a été odieux et jai du changer de ville, cest comme ça que jai atterri ici. Lui, il na rien eu, il parait que je faisais semblant de refuser pour lexciter un peu plus. Vous savez, les « non » qui veulent dire « oui ». Mais ce nest pas ce qui ma rendu lesbienne, je létais avant, je lai toujours ressenti comme tel, jai toujours préféré les filles aux garçons.

Tout le monde descend sans shabiller dans la salle à manger ou Michelle a mis la table. Nous mangeons tous les trois, le repas est léger et très bon. Une fois tous rassasiés, Charlotte et moi-même allons nous détendre sur le grand divan quelle a recouvert dune grande serviette.

-Le cuir déteste les peaux nues.

Je métends sur le dos, la tête sur laccoudoir et Charlotte écarte mes jambes et vient se vautrer sur moi, sa tête sur mon thorax. Nous restons ainsi quelques minutes.

-Nous sortons vers 15 heures, ça te va ?

-Parfaitement, je vais essayer de dormir un peu, je suis quand même un peu fatigué de tout ce week end, noublie pas que je nai plus 20 ans depuis longtemps.

-Ok, je te laisse, je vais voir ce que fait Michelle.

Charlotte sen va et je mendors sur le canapé.

La journée n’est pas finie, mais ceci est une autre histoire.

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