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Un week-end particulier – Chapitre 4

Un week-end particulier - Chapitre 4



J’entends dans mon sommeil un bruit que je n’identifie pas et replonge dans un sommeil réparateur. Je suis en plein rêve érotique, ma main va vers mon sexe. Elle bute sur une tête, j’ouvre les yeux et vois Carole qui s’active doucement. Elle est à genoux sur le lit et s’active sur ma queue. Je jette un regard sur le réveil, il est 7H30. Je sens que je vais jouir, je lui tiens la tête enfoncée et je jouis dans sa bouche. Carole avale, un peu de sperme sort sur le coin dans sa bouche. Je la lâche. Elle finit d’avaler et me regarde :

— bonjour Maitre. Avez-vous bien dormi ?

— Très bien, prépare mon bain

Je me prélasse dans le lit, fait le point. Elle est obéissante, disponible, souriante, aurais-je trouvé la perle rare ? Elle revient me dit que mon bain est prêt. Alors que je suis dans mon bain, elle est attentionnée. Elle me tend la sortie-de-bain, me sèche. Je regarde comment elle est vêtue, une robe décolletée, des sandales. Je passe la main sous la robe, elle ne porte pas de sous-vêtement. Je caresse sa chatte, rentre deux doigts. Ma femelle mouille. Carole m’a dit dans le bus qu’elle adorait faire l’amour. Je sors mes doigts, lui donne à lécher. Je la prends rapidement avant de descendre prendre notre petit déjeuner. Une fois celui-ci pris, nous allons nous préparer pour la rando sur le chemin des douaniers. Nous retrouvons en bas au point de rencontre. Nous sommes un petit groupe, c’est Claire qui nous accompagne. Elle a mis un legging qui lui va à ravir. Carole a mis un short et un caraco. Je la fais passer devant moi, comme cela je peux admirer son cul bien mis en valeur par son short. Je trouve une petite badine en noisetier et m’amuse à la faire siffler. Alors que nous faisons une pause, Carole me dit avec un petit sourire

— Je suis sûre que vous savez vous servir de ce genre d’engin et que celle qui la reçoit comprend ou est sa place.

— C’est un vrai plaisir de voir des fesses striées, cela me fait toujours bander

— J’adore quand vous bandez, répond Carole avec un sourire mutin.

Nous reprenons notre balade. Nous sommes les derniers du groupe. De temps en temps je donne des petits coups de badine sur le short de Carole. Rien que cela me fait un petit effet. La balade se termine. Nous nous retrouvons à l’hôtel. Carole me regarde d’un sourire malicieux et dit :

— J’ai envie de vous voir bander

Nous montons dans ma chambre, Carole se dévêt rapidement, la badine siffle, ses fesses se strient. Carole se tourne, ouvre ma braguette, sort avec beaucoup de mal ma queue qui est raide et commence à me sucer. Je joue de la badine sur son dos. Je me retiens de jouir, Carole est une bonne suceuse. Alors que le dos de Carole est plein de strie, je la fais mettre à quatre pattes et la pénètre. Sa chatte est trempée, elle pousse un soupir de plaisir quand ma queue s’enfonce en elle. Il me faut que quelques va et vient pour jouir. Après avoir joui, je continue pour permettre à Carole de jouir à son tour ce qu’elle fait très vite.

Alors que nous reprenons nos esprits, je regarde Carole. Elle est encore un peu dans les vaps.

— Femelle, tu as joui sans mon autorisation, tu es punie. Mets-toi à genoux, droite, main sur la tête sur le balcon.

Carole s’exécute. Elle est nue sur le balcon, elle ne dit rien, ne bouge pas. Le soleil vient la réchauffer

Je vais dans la salle de bain, prend une douche, m’habille, je reviens dans la chambre, Carole n’a pas bougé. Je m’approche, passe une main sur sa chatte. Ma main est gluante de sperme, je lui donne à lécher ce qu’elle fait sans sourciller

— Je descends. Je te ferais un signe de la main, là tu pourras venir me rejoindre, habillée, bien sûr.

Une fois arrivé en bas, je m’installe de façon à avoir une vue sur le balcon. Je peux apercevoir Carole. Je vois juste les mains posées sur le haut de sa tête. Elle est obéissante. Je discute avec des personnes du groupe. Elles sont ravies du séjour et trouvent les animatrices très gentilles. Justement, en parlant animatrice, Aurélie vient vers moi.

— Vous êtes seul ? Cela fait plus d’une heure que je vous vois discuter avec tout le monde mais je ne vois pas Carole.

— Elle va arriver, ne vous en faîte pas. Quand on a trouvé ce que l’on cherche, il faut bien faire comprendre à cette personne ce que l’on veut

— Je vous fais confiance, je suis certaine que vous savez vous faire comprendre

Aurélie s’en va voir d’autres personnes, je regarde ma montre, cela fait une heure et demie que Carole est punie. Je la vois toujours, elle est dans la même position et à la même place. Je lève ma main. Je retourne discuter avec un couple. Ils sont amoureux, ils doivent avoir 60 ans et on croirait des ados. Je trouve cela touchant.

Carole nous rejoint. Elle a passé une robe courte. Ses genoux sont rouges. Elle me fait un grand sourire, dit bonjour au couple et entame la conversation. Tout en discutant, nous nous restaurons au lunch.

A un moment, quand nous sommes tous les deux, Carole me dit qu’elle a très mal aux genoux et qu’elle a bien compris. Elle ajoute qu’il y a quelqu’un qui est venu sur le balcon d’à côté et a regardé. C’était une fille, Carole en est certaine, mais elle n’a pas réussi à voir qui c’était, elle n’a pu qu’apercevoir ses pieds.

Nous prenons notre café. Aurélie nous rejoint

— Je ne vous voyais pas Carole. Je m’inquiétais, mais Thomas m’a rassuré. Vous venez voir le village tous les deux ? Le car part dans un quart d’heure. Vous verrez, je vous ferais découvrir des endroits sympas.

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