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Un weekend bien chargé à décharger… – Chapitre 5

Un weekend bien chargé à décharger... - Chapitre 5



Juste avant 21 heures, j’ai entendu sonner à la porte et, quelques instants plus tard, Aanja criait "j’y vais"! Je suis passé dans le salon pour prendre mon portefeuille et je l’ai vue qui revenait, les bras chargés, vers la cuisine. Évidemment, son tablier couvrait à peine son côté face et rien de son côté pile, comme le livreur pouvait en juger, les yeux ronds qui semblaient vouloir sortir de leur orbite. Là-dessus, j’ai vu Belinda courir vers la porte d’entrée en tenant deux billets en main. Comme j’avais promis de payer, je l’ai suivie pour honorer ma promesse, sans plus penser que j’étais à poil. En arrivant dans le hall d’entrée, j’ai vu le malheureux livreur bouche bée devant la belle black qui se débattait pour récupérer sa serviette de bain qui venait "accidentellement" de tomber à terre. Aanja essayait de l’aider mais réussissait surtout à montrer son cul et son entrejambe. Nu comme un ver, j’ai tendu l’argent au jeune homme en lui disant de garder la monnaie et en le poussant vers la sortie, expliquant "excusez-les, elles sont très taquines…".

Celui-ci me regarda de haut en bas et me dévisagea "Vous semblez mieux prédisposé que moi pour apprécier leur tempérament, je vous souhaite une excellente soirée". Une fois la porte fermée, j’ai commencé à sermonner les deux gonzesses "hé les filles, franchement, le pauvre gamin, qu’est-ce qu’il va raconter maintenant… ils me connaissent dans cette brasserie quand même !" mais elles étaient l’une sur l’autre à même le sol et mouraient de rire, fières de leur petite mise en scène. Quant à moi, je me demandais si le petit livreur n’allait pas trouver un prétexte quelconque pour repasser plus tard dans la soirée. Après tout, je lui avais laissé un pourboire de près de 20…

Peu avant de passer à table ; j’avais dressé les plateaux, dressé la table, mis de la glace dans un seau pour le champagne, disposé quelques chandelles… ; Aanja s’exclama " On ne va quand même pas faire banquet à poil ?!". Cela ne me semblait pas une si mauvaise idée pourtant, mais si elle voulait pimenter notre repas, pourquoi pas ?! Belinda sembla accorder un peu d’attention à cette requête un brin brutale et l’invita à passer dans sa chambre pour y choisir quelques vêtements adéquats… J’ai continué à mettre la table, me disant que les fruits de mer méritaient aussi un peu d’attention.

Alors que j’allumais les bougies, les deux gazelles ont fait leur apparition ! Belinda était "vêtue" de harnais en cuir rouge qui rehaussaient sa poitrine, ses hanches, son sexe, et de hautes bottes toujours en cuir rouge qui la propulsaient 10 centimètres plus haut que sa taille normale. Cette vision me laissa pantois, au point que j’ai failli me brûler avec l’allumette qui devait servir à allumer la dernière bougie. J’avais rarement vu une femme noire aussi belle avec si peu de "vêtements". Je précise ici, pour les connaisseurs, "noire" car le cuir rouge est pour moi un "must" pour ce genre de peau. Mais aussi la dentelle, le satin, ou la soie… pourvu qu’elle soit rouge ! Aanja la suivait, vêtue d’une gaine en résille large noire qui lui va des pieds au cou avec l’entrejambe et les seins ouverts. Malgré sa sveltesse et la petite taille de sa poitrine, je la trouve au moins aussi excitante que sa complice noire. Et je me dis que la soirée va être longue, sensuelle et voluptueuse !

À ce moment, je commence à me caresser les couilles en pensant au menu à venir, mon ex-belle-sur me lance "tu ne crois quand même pas que tu vas rester tout seul à poil…?!". Je m’étonne, mais une petite idée naît dans ma tête, "vous avez une tenue de soirée pour moi" m’enquis-je. "Une toute nue de soirée, oui, juste pour toi… pour te faire belle !". Bien sûr, mon ex avait de nouveau trop parlé. Mais c’est elle qui un soir, de retour d’un bar à rhum, m’a dit "on va se faire un petit porno à la télé et tu vas mettre ça !" Voilà, ça, c’était un string blanc en dentelles, un porte-jarretelles rose avec des bas assortis et un soutif blanc… "Tu mets tout ça, gentiment, tu essayes de ne pas éjaculer tout de suite et on va baiser devant la TV…!". Effectivement, j’ai tout enfilé… J’imagine qu’elle avait dû remarquer que ses dessous n’étaient pas toujours à la même place, et en avait conclu, correctement, que je les portais en cachette. Pour mon télétravail, ou pour aller travailler ou faire des courses, je revêtais ses dessous les plus sexys : un petit porte-jarretelles, une culotte (fendue ou non), une belle paire de bas… Rien que de sentir la dentelle sur ma peau, ma bite semblait vouloir percer le string ou se projeter en dehors.

Il m’arrivait d’aller dans les WC pour me déshabiller lentement et me branler, me caressant à travers les fragiles fibres des dessous. Elle avait vu juste, et depuis ce moment nous avons souvent baisé en dessous de soie ou de satin pour nous deux, nos corps se frottant à travers les doux tissus. Et je me retrouvais devant sa propre sur qui me tendait un ensemble complet violet, m’ordonnant "vas-y, il paraît que tu bandes comme un mulet quand tu mets ça !". Non seulement elle avait vu juste pour la taille mais aussi pour ma réaction quasi animale… Je bandais comme un buffle au fur et à mesure que j’enfilais les bas, le porte-jarretelles, le string et le soutif… Elles ont apprécié ma rapidité et ma dextérité ; j’ai aimé le style et le tissu, et surtout la mince ficelle qui traversait ma raie fessière… juste une cordelette !

Je n’avais aucune gêne devant ces deux vicieuses qui ne portaient guère plus de tissus que moi, et je savais qu’elles aimaient me voir bander sous le string et pensaient déjà à cette cordelette qui frôlait mon anus. Elles savaient déjà qu’elles allaient profiter de mon trou de balle et de ma bite jusqu’au petit matin ; qu’elles allaient vider mes couilles et me faire pisser, et me faire pisser dessus ; que j’allais bourrer tous leurs trous et leur faire boire mon foutre et à leur tour ma pisse… car mon ex leur avait tout dit de mes envies, désirs fantasmes. Le contraire était impossible, mais pourquoi ?! J’ai dit "A table ! Nous avons besoin de reprendre des forces !" Nous nous sommes assis, en tenues outrageusement sexy, et avons fait un sort aux fruits de mer !

Et ils étaient fameux ! Mais avec la bouteille de champagne et la bouteille de vin, on se sentait tous les trois un peu vannés. On plongeait petit à petit dans une douce somnolence quand Aanja a décidé de nous réveiller " Belinda, si tu nous montrais ta collection de joujoux ?!". Notre gazelle noire réagit en un tour de main, "tu as raison, on s’endort ici, je vais les chercher…". Trois minutes plus tard, elle nous revenait les bras chargés d’une collection de sex-toys qui aurait rendu vert de jalousie une boutique érotique ! Il y en avait de toutes les formes, de toutes les couleurs, de toutes les tailles. Certains ressemblaient à de gros stylos, d’autres à des concombres, d’autres à des engins de torture… Aanja s’est emparée d’un double-dong et d’un petit vibro annelé ; Belinda a choisi un gros vibro à deux têtes et des perles anales. Il restait sur la table un bel assortiment parmi lequel j’ai aperçu deux godes-ceintures et un bel engin à ventouse. Les deux premiers me faisaient imaginer les deux belles bien harnachées en train de s’enculer ou en double… Le vibro à ventouse me semblait idéal pour m’amuser en solo pendant que les deux filles jouaient leur match en double.

Longueur standard (22 centimètres) à vue de nez, légère courbure, plus fin au niveau du gland, et légèrement annelé. J’allais me le chouchouter ce beau gode, bien au chaud dans mon rectum…

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