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Une chaude prof asservie – Chapitre 1

Une chaude prof asservie - Chapitre 1



Une chaude prof asservie 1

Hot teacher enslaved 1

Coulybaca / Auteur inconnu

Madame Lucy Harper, du haut de ses 43 ans était fière de ses formes académiques.

Faire classe était sa vocation !

La semaine précédente elle avait pris un de ses élèves à tricher lors d’un test sous les sifflements admiratifs de ses condisciples lorsqu’elle tourna le dos.

Elle avait l’habitude de ces sifflets d’admirateurs mâles lorsqu’elle se dé-hanchait devant eux en rentrant chez elle.

Il n’y avait pas de miracle, son 95 c faisait tourner bien des têtes d’autant plus qu’elle portait souvent des sweaters très moulants qui mettaient ses miches en valeur et des jupes courtes.

Cependant les sifflements admiratifs de ces élèves forts impertinents étaient inacceptables.

Elle espérait que le jeune John, du haut de ses 18 ans tirerait une bonne leçon de cet incident.

Lucy appréciait sa vie rangée avec un mari qui réussissait dans son travail et son adolescent de fils.

Ils formaient une famille unie, respectable.

Le seul nuage était les penchants de son fils pour le jeu.

Quelques semaines après avoir surpris et sanctionnait John, elle découvrit que son fils Brian devait beaucoup d’argent à un gang de la ville connu pour sa violence.

Il avait perdu au jeu et le gang menaçait de le tuer s’il ne payait pas rapidement ses dettes.

Il s’agissait d’une très grosse somme, et elle se demandait encore comment il était tombé dans les griffes de ce gang.

Elle accepta de rencontrer deux membres du gang dans un café pour négocier un arrangement.

Mais à l’insu de Lucy, John était membre de ce gang et, en fait c’était lui qui avait entraîné Brian à jouer et perdre de fortes sommes. C’était une façon de préparer sa revanche sur sa vieille pute de prof !

— Tiens, tiens, tiens, comme on se retrouve madame Harper… Ricana-t-il au grand embarras de Lucy qui lui faisait face vête de longue veste brune, de sa jupe aux chevilles, et d’un chemisier blanc.

Il lui offrit alors :

— Pour vous montrer que je n’ai pas de rancune je vous offre un café !

Prenant sa tasse il feignit de lui mettre de la crème et du sucre alors qu’en fait, il versait une puissante drogue induisant une dépendance immédiate qui venait de tomber en possession du gang.

Lucy sirota plusieurs rasades de son café pour se relaxer puis intervint :

— Brian vous doit 20.000 $… Il ne peut pas payer une telle somme ! Je ne le peux pas non plus ! Peut-on trouver une solution ?

— Mais oui ma chère madame Harper nous pourrons peut-être négocier un arrangement, mais pourquoi ne termineriez-vous pas votre tasse de café… Nous pourrons alors faire une promenade dans le parc, nous pourrons discuter de notre problème en dehors de toutes oreilles indiscrètes ! En fait, John attendait que la drogue agisse.

Lucy avala nerveusement le fond de sa tasse. Elle n’aimait pas l’idée d’aller n’importe où avec ces voyous, mais elle avait besoin d’aider Brian à s’en sortir… En entrant dans le parc, Lucy se sentait étrange, confuse, excitée… Pourquoi ?

Elle ne comprenait pas… Elle sentait ses jambes faiblir, la tête lui tour-nait.

Ouvrant ses yeux, Lucy se retrouva dans une sale petite pièce mal entretenue, une douzaine de jeunes hooligans l’entouraient. Ce devait être le repaire du gang.

Comment avait-elle donc pu atterrir dans cet endroit ?

Elle était à genoux, ses poignets menottés à une chaîne qui pendait du plafond.

Sa veste jonchait le sol.

— Oh mon Dieu que lui arrivait-il ?

Elle releva la tête et cracha misérablement :

— Que me voulez-vous ? Je vous en prie laissez moi partir… Je me débrouillerai pour trouver l’argent ! Je vous en prie…

Elle se débattait pour se relever.

Une gifle vicieuse lui incendia la joue.

John lui sourit

— Tout d’abord on va s’amuser avec toi ! Puis nous trouverons un argent pour te permettre de GAGNER l’argent que tu nous dois… Rappelle toi bien : l’intérêt est de 20 % par semaine aussi as-tu vraiment beaucoup de fric à GAGNER pour nous rembourser.

Lucy bafouilla :

— Gagné ? Comment ? Que voulez-vous ? Laissez-moi partir !

Ses jambes ne la soutenaient plus, la tête lui tournait, étrangement tout cela lui arrivait depuis leur arrivée au parc…

— J’espère que tu as apprécié ton café… J’y avais versé quelque chose de spécial… Ricanait maintenant John.

Cet aveu éclaira Lucy :

— VOUS M’AVEZ DROGUE ? Laissez moi partir… Je vous en prie… Le suppliait misérablement Lucy alors que sa poitrine la brûlait et ses tétons raidissaient. Son visage lui semblait écarlate…

Son entrecuisse était trempé de cyprine.

Qu’y avait-il dans son café ?

Le plus grand, à l’air de brute, 20 / 25 ans se posta face à elle, souriant d’une oreille à l’autre.

Il lui caressa la joue. Sa main glissa sur son chemisier, et la lui arracha violemment exposant sa fière poitrine enveloppée dans un joli soutien-gorge de dentelle, celui-la même qu’elle avait acheté pour allumer son tendre mari.

Ses nichons durcirent pointant au travers du fin tissu.

— Matez-moi les nichons de cette vieille prof ! Magnifiques non ? Elle est chaude comme l’enfer… On va voir ce qu’elle cache encore la dessous ! Poursuivit, la grosse brute alors que les spectateurs éclataient de rire. Ils la mataient tous avec concupiscence.

Accrochée à sa chaîne elle ne pouvait se défendre. Ses miches la brûlaient. Elle avait une sensation de chaleur entre les cuisses.

Oh mon Dieu ! Quelle sorte de drogue cela pouvait-il bien être ?

La même brute dégrafa sa très élégante jupe marron, elle chut au sol, les rires redoublèrent.

— Hey les gars ! La petite culotte de la maîtresse d’école est trempée ! Voyons ça de plus près…

La brute épaisse lui arracha alors sa petite culotte exhibant aux yeux de tous son buisson fourni protégeant sa féminité. Elle haleta alors qu’un doigt fureteur forçait l’entrée de sa caverne et s’agita dans sa grotte embrasée.

Extirpant son doigt de sa chatte engorgée de cyprine il la montra à tous.

— Regardez les gars… Elle est trempée… Vieille mais drôlement chaude la prof ! Allez prof, il est temps de gagner de quoi payer les intérêts de cette semaine… On va s’amuser avec toi !

Les rires redoublèrent à ces mots.

Les hooligans se levèrent d’un même mouvement et se mirent à poils agitant railleusement leurs bites érigées.

John laissa tomber la chaîne et l’altière et fière Lucy s’écroula au sol.

Puis les voyous dénudés s’approchèrent d’elles, lui arrachèrent son soutien-gorge, pinçant, étirant, triturant ses mamelons.

D’autres plongeaient profondément leurs doigts dans sa chagatte la malmenant sans vergogne. Etonnement sa cramouille était très lubrifiée. Des bites la frôlaient de toutes parts. Et ils continuaient imperturbable-ment à la peloter, la caresser, la rudoyer.

— Je vous en prie arrêtez… Pas ça… Arrêtez… Arrêtez… S’il vous plait… Non, pas ça… Je vous en prie… Je vous en prie, n’arrêtez pas… N’arrêtez pas… Nonnnnnn…

Les lamentations désespérées de Lucy n’étaient ni écoutées, ni entendues.

Elle pouvait toujours se plaindre !

Un à un les membres du gang lui écartèrent les cuisses, plongèrent leurs épaisses bites dans sa moule et lui remplirent l’utérus de foutre.

Certains lui souriaient, un lui cracha à la figure, trois lui triturèrent brutalement les miches, puis éjaculèrent sur son visage et dans ses cheveux un flot épais de foutre qui coula ensuite sur ses joues.

Deux autres la retournèrent et l’enculèrent sauvagement alors que deux autres, tour à tour se vidaient les couilles dans son arrière-gorge l’étouffant à moitié quand elle dut avaler leur semence onctueuse.

Incapable de les faire arrêter, Lucy sentait que la drogue ingurgitée amenait son corps à se réjouir de ses abus.

Les grosses bites coulissaient à leur aise dans sa chagatte embrasée, elle se rendait compte que leurs grosses mentules risquaient de la mener tout droit à l’extase.

Lucy, cette femme si dévote frissonnait sous les vagues de plaisir qui couraient dans son corps drogué.

Chaque fois qu’un des membres du gang plantait sa bite dans sa cramouille et le violait de nombreuses ondes de plaisir la remplissaient d’extase.

Le dernier éjacula dans sa chevelure, rit à gorge déployée et se recula la regardant tremblante de honte et d’humiliation.

Puis ils lui tinrent bras et jambes tandis que John s’approchait un rasoir à la main.

Bientôt son mont de Venus fut aussi glabre que le mont chauve.

Une autre brute s’approcha tenant en main un appareil garni d’aiguilles, qui vibrait.

Il traita longuement le mont de Venus rasé de Lucy et lorsque finalement il se recula pour mieux apprécier son ouvre il s’exclama :

— J’’espère que tu aimeras ton tatouage… C’est l’emblème de notre gang… Tu porteras toujours notre blason… Un oil injecté de sang !

— C’était ton premier paiement… La drogue crée une forte dépendance… Tu en mourras si on arrête de t’en fournir… Tu devras faire d’autres remboursements trois fois par semaine, parfois plus si ça s’avère nécessaire !

De nombreux clients adorent les femmes mures dans ton style, si tu satisfais leurs appétits tu devrais pouvoir rembourser les intérêts hebdomadaires et peut-être même une petite partie du principal… Ricana le chef du gang, puis il ajouta :

— Ramenez-moi cette pute dans le parc !

Elle se réveilla dans le parc, nues, le corps marqué de marques rouges.

Baisant les yeux elle vit le tatouage qui ornait maintenant son bas ventre rasé de prêt.

Sa veste brune et sa jupe gisaient à courte distance, mais aucune trace de sa petite culotte, de son soutien-gorge de dentelle et de son chemisier.

Son cour s’emballa au souvenir ce qui lui était arrivé.

Qu’allait-il se passer maintenant ?

Allaient-ils de nouveau venir la menacer ?

Pouvait-elle en parler à son mari ?

OH MON DIEU…. NON…

Réfléchissait-elle la bouche imprégnée de leurs flagrances masculines.

Texte anonyme trouvé sur le web

Traduction par Coulybaca

1er août 2008.

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