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Une collègue sympa – Chapitre 2

Une collègue sympa - Chapitre 2



Après cette superbe pipe, je n’avais d’autre idée en tête que d’aller plus loin avec elle. Dès le lendemain, une surprise m’attendait à la gare à nouveau. J’apercevais sa voiture, garée au même endroit que la veille. J’allais la rejoindre.

— C’est moi que tu attends S. ?

— Bien sûr, monte.

Je m’exécutais rapidement. A peine rentré dans la voiture, je tentai de coller mes lèvres aux siennes, mais elle me repoussa.

— Tu ne veux plus ? Mais pourquoi tu es là alors ?

— J’ai très envie au contraire, mais pas ici, pas maintenant. J’ai envie de prendre plus de risques, au bahut par exemple…

Je reste quelques instants silencieux, avant de reprendre mes esprits.

— Ça me va, mais je veux te baiser aujourd’hui.

— Oh oui, et j’espère que tu le feras plusieurs fois… dit-elle en passant la main sur ma bite qui commence déjà à durcir.

Quelques minutes après, nous voilà arrivés devant le bahut. J’observe quelques va et vient autour du bâtiment quand je sens sa main passer sous mon pantalon. Je la regarde, et elle m’embrasse, tout en sortant mon sexe gonflé. Ses lèvres sont rapidement passées de ma bouche à mon gland. Cette sensation chaude m’avait déjà manquée. Je pressais doucement sur sa tête pour imposer un rythme, ce qui la fit gémir de plaisir. Il ne me fallut vraiment pas longtemps pour exploser dans sa bouche. Ne l’ayant pas prévenue, elle eut un mouvement de recul, mais 2 jets supplémentaires vinrent se coller dans ses cheveux et sur son joli visage.

— Salaud, tu aurais pu me prévenir, regarde moi ça maintenant, dit-elle en se regardant dans le rétroviseur. Je vais devoir me nettoyer, ne m’attends pas.

Je rangeai vite fait mon sexe dans mon pantalon, et sortis de la voiture pour rejoindre la salle des professeurs. S. arriva quelques minutes plus tard, sans aucune trace sur elle.

Le reste de la matinée se déroula normalement, mais à la fin des cours, avant la pause-déjeuner, et sentant une envie pressante, je me dirige vers les toilettes hommes. Je commençais à peine à déboutonner mon pantalon en attendant que la porte se referme derrière moi qu’une main vint la pousser et fermer à clé. C’était S. bien entendu.

— Mmmm, je vois que tu es prêt…

Elle avait vu ma main sur mon pantalon.

— C’est pas pour ça enfin, tu te doutes bien que je venais ici pour autre chose…

— Et bien maintenant, tu es ici pour me baiser.

Elle se colla contre moi, la main sur mon pantalon, tandis que nos langues s’entremêlaient. Mon sexe durcit à nouveau, mais avant qu’elle prenne l’initiative de se mettre à genoux pour une nouvelle pipe d’enfer, c’est moi qui me suis mis à genoux, en commençant à caresser son minou à travers sa jupe. Elle la souleva immédiatement, et quelle ne fut pas ma surprise de la découvrir nue en dessous.

— Mais, tu es comme ça depuis ce matin ?

— Non, je viens juste de quitter ma culotte avant de venir te voir, mais si tu me baises bien, je ne la remettrai plus aujourd’hui.

Quelle chienne, elle adore la bite, ça se voit et ça s’entend. Ma bouche se colla alors sur sa chatte, et ma langue commença à lécher son intimité. La voilà qui commence alors à gémir et à appuyer sur ma tête, imprimant à son tour un rythme entre sa chatte et son petit bouton gonflé d’excitation lui aussi. Elle pose un pied sur la cuvette des WC, ses jambes sont écartées devant moi, et je ne peux m’empêcher d’aspirer ce jus qui sort en abondance et qui a un goût sublime. Elle appuie de plus en plus fort sur ma tête, je la sens près de l’orgasme et j’accélère la cadence. Elle se crispe, puis je sens une grande quantité de liquide m’inonder le visage… Elle gémit plus fort, puis me regarde, et se met à rire.

— Mais… il s’est passé quoi là ?

— Il s’est passé que tu es le deuxième homme à m’avoir fait jouir comme ça, mais j’y comptais bien, regarde toi, tu es pire que moi ce matin.

Sa mouille de femme fontaine m’avait dégouliné partout sur le visage, dans les cheveux, et bien entendu le cou et les vêtements.

— Ah tu veux m’inonder, alors inonde ma bite maintenant.

Sans crier gare, je la pousse contre le mur, me place derrière, le sexe bandé comme un arc, et pousse d’un coup sec dans sa chatte trempée. Elle ne peut s’empêcher de hurler tant la chose est soudaine.

— Chut…. t’es folle, les autres vont rappliquer

— C’est toi qui es fou, tu m’as défoncée.

— Oh non, t’as encore rien vu

Je ressors alors ma bite complètement avant de rentrer à nouveau jusqu’au fond, ceci plusieurs fois de suite.

— Arrête, s’il te plait, c’est un supplice, baise moi fort

J’exauce alors son souhait, je me mets à la pilonner en règle, de plus en plus vite. Ses cris recommencent à prendre de l’ampleur, elle plonge alors sa tête sur un de ses bras pour les étouffer au maximum. Je n’arrête pas pour autant, et redouble même de force à chaque poussée en elle. La voilà qui me repousse en arrière, pour jouir comme la fois précédente. Ca jute sur ma queue, puis tombe à terre, ses jambes tremblent, je dois presque la retenir pour ne pas qu’elle tombe dans la flaque énorme qu’elle vient de créer, et j’en profite pour m’insérer à nouveau en elle. J’ai l’impression qu’elle a perdu ses repères, sa jouissance a été très forte, mais je veux moi aussi l’inonder de plaisir, je recommence donc à la baiser encore plus fort. Elle passe une main entre ses jambes pour se branler en plus de me sentir en elle. Cela redouble mon plaisir, et je suis sur le point de craquer. Je suis à nouveau interrompu par une autre jouissance de S. qui cette fois glisse à terre et se retrouve à genoux devant moi. Elle se retourne et semble incapable de parler. Elle ouvre simplement la bouche et me tend la langue. L’invitation est bien reçue, je me branle devant son visage. Quelques secondes suffirent, voilà que j’explose aussi dans un râle de bonheur sur son joli visage. Je rate sa bouche volontairement plusieurs fois et je recouvre son minois de ma semence. Elle me sourit et a l’air satisfaite.

— Tu me feras encore jouir comme ça s’il te plait ?

— Autant que tu voudras S. J’ai jamais eu autant de plaisir qu’avec toi.

— Alors avant ce soir, tu prendras mon cul.

Je restais bouche bée… moi qui avais toujours eu une sexualité plus que banale, en 2 jours je vivais un rêve…

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