Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe noir

une education trés précoce – Chapitre 3

une education trés précoce - Chapitre 3



Quelques jours plus tard, ma sur Cécile est revenue du collège très excitée, elle n’avait pas eu de cours l’après-midi, et elle avait été chez son amie Maud, avec qui elle semblait avoir des relations toutes particulières.

Elle m’a dit qu’elle avait découvert avec Maud un plaisir encore plus intense, et que demain mercredi, elle allait me révéler son secret, mais il fallait pour cela que je sois très obéissante.

Quand nous nous sommes mis au lit, après avoir fait notre toilette, elle m’a fait fermer les yeux et m’a dit de sortir ma langue, puis j’ai senti sur mon visage et ma bouche le contact d’un tissus, elle m’a dit « lèche ». j’ai senti alors une odeur et un goût très puissant, elle me demandait de lécher le fond de sa culotte, qui après ses expériences avec Maud, était trempée de jus. Puis elle m’a mis sa culotte sur la tête, avec le devant sur mon visage, et m’a dit que mon épreuve sera de dormir ainsi.

Avant que nous endormions, elle m’a montré son sexe tout gonflé, avec les petites lèvres très rouges et très sensibles, ainsi que ses seins, dont la pointe était si gonflées qu’elle n’avait pas pu remettre son soutien-gorge, elle m’a embrassé sur la bouche très tendrement, et m’a dit que demain j’allais découvrir des sensations incroyables.

Comme la dernière fois, dès le matin, elle m’a ordonné de ne pas aller faire pipi, car elle pensait que le traitement à la « Maud » serait encore meilleur avec la vessie pleine. Mon frère Julien encore troublé par la séance du mercredi précédent, nous tournait autour en se demandant ce que nous allions bien encore inventer. Cécile lui a dit que cette après-midi, nous allions me faire découvrir une surprise dont lui comme moi serrions très étonnés. Qu’il aurait bien sûr un rôle à jouer, et que nous allions tous les trois vivre quelque chose de fort.

Ces déclarations m’ont un peu effrayé, et aussi beaucoup excité. La matinée s’est passée à expédier nos devoirs scolaires et Céline a préparé le repas de midi avec ce que notre mère avait laissé dans le réfrigérateur.

Après avoir rempli le lave vaisselle, nous nous sommes installés dans la cuisine, Céline m’a déshabillé très lentement ainsi que Julien, elle a alors retiré chacun de ses vêtements, et m’a embrassé avec la langue, et elle a demandé à Julien de faire de même, mais il ne savait pas comment faire, il tournait sa langue sans arrêt, alors, elle lui a montré comment faire en prenant son temps, en passant la langue sur les lèvres de l’autre, de lui donner de sa salive, et de caresser sa langue avec la sienne, il a rapidement fait des progrès.

Céline a dit que aujourd’hui, c’était ma fête, que tous les deux ils devaient se consacrer entièrement à mon plaisir. Tout d’abord, Céline m’a parfumé avec le parfum de maman, en mettant un petite goutte sous chacune de mes oreilles, une entre mes deux petits seins, et une sur chacune de mes aines, puis elle m’a coiffé mes longs cheveux et m’a demandé de me regarder dans la grande glace située dans la salle de bain. Je me suis trouvé belle, et Julien avait bien envie de me toucher partout, mais Céline lui a ordonné d’obéir strictement à ses ordres, il ne devait me faire que les choses qu’elle lui demanderait et lui a interdit de toucher son propre sexe.

Céline m’a amené de nouveau dans la cuisine et a disposé sur la grande table des coussins et une grande serviette de toilette et m’a demandé si j’étais prête à subir cette initiation très spéciale. Elle m’a précisé qu’elle avait subit la même chose hier avec Maud, et que si au début c’est assez douloureux, après le plaisir est si intense, que le lendemain, elle se sentait encore « toute chose ». Puis elle a mis un CD de musique très douce et a un peu fermé les volets pour faire une ambiance plus suave.

je me suis allongée sur la table, nue avec les cuisses ouvertes, comme demandé par ma sur, puis elle m’a caressé tout doucement en partant de mes cheveux, ma bouche, mon cou, mes épaules, s’est attardé sur mes petites pointes de seins, déjà bien dressées. Puis elle est descendu tout le long de mon ventre, de l’intérieur de mes cuisses, sans toucher à mon sexe, pourtant, je pensais bien qu’elle se serait occupé de ma petite fente.

Elle a alors demandé à Julien de téter mes petits seins, doucement, et sans arrêt en augmentant la succion progressivement. Il s’y employa et rapidement, cette succion m’a fait mal, j’avais l’impression que mes seins gonflaient, que les pointes allaient éclater, mais elle lui a dit de continuer sans s’occuper de ce que je disais, et que si je bougeais, elle se verrait contrainte de m’attacher.

Elle a pris alors sur une chaise une règle en bois de 30 centimètres, et après m’avoir fait un baiser sur la petite fente, m’a ordonné d’écarter le plus possible les cuisses et de remonter mes genoux vers le haut, sans gêner Julien qui continuait à téter mes seins.

Elle a alors frappé mon pubis avec la règle, clac! J’ai sursauté, mais ce n’était pas douloureux, j’étais tout tendue vers elle pour découvrir ce qu’elle avait décidé, puis elle a donné un 2ème coup sec sur ma grande lèvre droite, puis sur la gauche. Céline m’a demandé de lever les fesses, puis elle m’a mis un coup beaucoup plus fort sur chacune de mes fesses, la cuisson commençait à irradier tout mon cul, et augmentait mon envie de faire pipi.

Elle m’a donné à nouveau des baisers sur le sexe et sur ma bouche, et m’a demandé comment çà allait. J’ai dit que j’attendais la suite.

Elle a recommencé à donner alternativement des coups sur mes grandes lèvres, mon pubis et mes fesses, puis tout d’un coup la règle s’est abattue sur mes petits lèvres et ma vulve, la douleur a été intense, comme irradiant tout mon ventre, puis les coups ont repris méthodiquement sur toutes les parties de mon intimité. Céline m’a dit que ma chatte était trempée et elle m’a passé sa langue sur mes petites lèvres et sur ma vulve. Elle a surpris Julien qui se tripotait sous la table, elle lui a infligé immédiatement un coup de règle sur la verge, Julien à repris ses succions avec plus de vigueur, l’intérieur de ma poitrine me brûlait comme du feu.

Céline a dégagé mon petit clitoris de son capuchon, puis m’a redonné des coups de règles systématiques, y compris sur les petites lèvres qui étaient en feu, je l’ai suppliée d’arrêter, mais elle m’a dit qu’il n’était pas encore temps, que le meilleur était à venir.

Elle tapait alternativement chacune de mes petites lèvres, de plus en plus fort, puis soudain elle a suspendu la règle un long instant, puis soudain, l’a abattue très fort sur mon clitoris qui avait bien grossi. Là la douleur a été intense, j’ai hurlé en me cambrant sur la table, Céline a demandé à mon frère de me tenir par le bout des seins, et m’a dit que j’allais bientôt connaître quelque chose d’unique, elle m’a susurré à l’oreille qu’elle m’aimait et que je devais lui faire confiance.

Elle a repris ses coups de règle, et m’a dit que quand elle frapperait à nouveau mon clitoris, je devais me laisser aller à faire pipi, puis elle enchaina les coups cinglant toute ma chatte, je sentais dans mon bas ventre une boule de feu, et je découvrais des sensations de contraction à l’intérieur de ma vulve, de mon vagin tout neuf. Les coups continuaient à pleuvoir quand soudain le plat de la règle a frappé directement mon pauvre clitoris, l’éclair m’a éblouit, une houle a secoué tout mon ventre je tendais mon pubis martyr vers le plafond alors que Julien cramponnait mes pointes de seins, j’ai alors relâché toute mon urine dont le jet a jailli, et est retombé sur moi et Julien en une douche chaude.

Céline m’a alors pris dans ses bras et m’a tendrement embrassé sur la bouche et m’a dit que maintenant nous étions vraiment surs, que nous avions subi la même épreuve, et que rien ne pourra jamais nous séparer.

Julien, lui nous regardait avec étonnement, il ne comprenait pas vraiment ce que nous ressentions, mais il était très excité et avait son sexe dur et dressé, et il se frottait contre nous en nous embrassant.

Il a regardé mon minou, tout tuméfié et palpitant, on voyait encore les ondes nerveuses parcourir tout mon ventre, la cuisson était très forte, et j’avais du mal à bouger, et mes petits seins dont les pointes avaient été aussi bien malmenées étaient si douloureux que je ne pouvais pas les toucher, j’avais l’impression qu’ils pendaient sur ma poitrine. J’avais la sensation d’avoir des nichons!

Céline m’a accompagné dans ma chambre, et m’a mis une poche de glace sur ma petite fente, et m’a dit de me reposer. Elle devait aller ranger et nettoyer la cuisine pour que tout soi impeccable quand maman reviendrait de son travail en fin d’après-midi.

Julien lui est resté blotti contre moi, bien embarrassé de ne savoir quoi faire pour me soulager, mais j’étais si contente, si heureuse d’avoir ressenti une telle dose de sensations que même si mes petits tétons étaient à vif, je lui ai permis de me les lécher très doucement. Il m’a demandé pardon pour les douleurs qu’il m’avait infligé aux seins, mais je lui ai dit qu’elles étaient finalement très agréable, car je n’avais jamais rien ressenti avec mes seins, et que maintenant, je pouvais imaginer ce que les femmes pouvaient ressentir quand elle faisait l’amour, ou qu’elles avaient un enfant.

Il m’a confié que son sexe lui faisait mal chaque fois qu’il était excité, car la peau du prépuce était très étroite et lui empêchait de décalotter son gland. C’est pourquoi, quand il se caressait, il frottait sa verge entre ses mains, alors qu’il savait très bien que les autres garçons faisaient coulisser la peau. Un médecin avait dit aux parents, qu’il faudrait envisager un opération si cela ne s’arrangeait pas tout seul.

Je lui ai dit que je pouvais essayer de l’aider, et que désormais chaque jour, nous trouverions un moment pour agrandir son prépuce. Il m’a demandé de ne pas en parler à Céline, car il avait peur qu’elle se moque de lui. Promis cela restera entre nous.

Le soir quand Maman est rentrée de son travail, elle m’a trouvé bien fatiguée, et devant mes seins très sensibles, elle a dit que je devenais une femme, et que samedi elle irait m’acheter mon premier soutien-gorge et des culottes. Quelle journée, Céline avait bien raison, des sensations pareilles cela vous change la vie, je me sentais devenir plus femme, et quand je voyais mes copines dont certaines jouaient encore à la poupée, je me sentais riche d’une expérience secrète et sensuelle.

À suivre…………….

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire