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Une famille bien recomposée – Chapitre 6

Une famille bien recomposée - Chapitre 6



Chapitre 6 – Explication : Le pourquoi du comment

ATTENTION : Dans ce passage, je modifie un élément pour mieux introduire certains évènements à venir, désolé encore pour cela :

— Le travail de Mathilde : ici, elle ne travaille pas à Auchan mais dans une petite épicerie du village quelle gère seule, sans salarié.

    Depuis que Norman ma révélé ce midi que je manquais à ma mère, je ne peux plus menlever de la tête, les images du corps nu de Mathilde lorsque je lai découvert avec mon propre cousin. De plus, lidée que je puisse moi aussi me la faire mexcite au plus haut point.

    17h05, le cours de Chimie tarde à se terminer et en plus de cela, la prof parle en continu à une lenteur incalculable ce qui fait que le temps passe moins vite. Étant donné que cest le dernier cours de la journée, je narrête pas de me dire que je vais vite rentrer chez moi, que je vais enfin retrouver ma mère.

    17h10, *DRINNNG*, la sonnerie de fin de journée retentit à peine, que je suis déjà dans le couloir à courir en direction de larrêt de bus qui me mènera à la maison. Dans le car, Norman et moi renouons contact et nous échangeâmes, dans la plus grande discrétion, les « aventures » qui nous sont arrivés avec nos tantes respectives. Je lui explique à mon tour comment jen suis arrivé à faire lamour avec Marie puis avec sa secrétaire. Le passage sur le duo lesbien de ce matin lémoustille fortement et je pense que si Marie et Amélie seront encore ensemble ce soir, elles passeront toutes les deux à la casserole avec Norman. Lui, mexplique comment il a réussi à coucher avec ma mère : un soir après les cours, vers 19h, Marie demanda à Norman daller faire quelques courses, il accepta et se dirigea vers lépicerie de ma mère. Arrivé là-bas, il vu Mathilde assise sur sa chaise se faisant les ongles, vu lheure tardive et le peu de clients dans les rues et dans le magasin pour ne pas dire aucun. Ils discutent quelques instants puis il se balade dans les rayons à la recherche de ce que Marie lui a demandé dacheter. Lorsque vient le moment dacheter les fruits et légumes, ne sachant pas comment les choisir, il demande de laide à Mathilde. Celle-ci arrive à grands pas et linterroge sur les articles qui lui faut. Pour commencer il lui parle des fruits, étant donné le temps, elle lui conseille de prendre des melons. Elle lui explique quil faut « les choisir bien mûrs comme les femmes ». Sur le coup, il ne réagit pas mais avec un léger moment de réflexion, il comprend le sous-entendu de Mathilde et ajoute en souriant :

— Bien ronds et bien fermes comme leurs seins et fesses pendant que tu y es ?

— Pourquoi pas ? dit-elle en souriant elle aussi en le soutenant du regard.

— Oh, tu vas pas me dire que ça ne te plais pas une femme dâge mûr avec de beaux seins ronds qui ne tombent pas ?

— Si si, mais que ce soit toi qui men parle, cest un peu déstabilisant.

— Quest-ce que vous pouvez être coincé les jeunes. Pour parler entre vous sur nous, il y a du monde, mais seul en face de nous, il ny a plus personne. Bon, pour en revenir à nos melons, tiens, regarde par toi-même.

    Et en disant cela, elle attrapa la main de Norman et le glissa sur sa poitrine par-dessus le tee-shirt quelle portait. Norman, pétrifié, nosa pas bouger sa main et il fallut que ce soit elle qui guide sa main sur ses seins.

— Alors, comme les trouves-tu ces melons ? Ronds ? Fermes ? Mûrs ?

— Tout à fait, ils sont comme tu me les as décrits.

— Ensuite, il te faut quoi comme fruits ?

— Je crois que je vais prendre des fraises.

— Pour cela, il faut les goûter, il faut quelles soient sucrées, juteuses et bien rouges, comme si elles étaient gorgées de soleil.

    Elle en prend une quelle croque suavement, et la fait entrer et sortir en mimant une fellation. Elle ajoute « Goûte celle-ci » et en joignant le geste à la parole, elle pose la fraise entre ses lèvres et lapproche de celles de Norman. Le fruit passe de bouche en bouche, guider par leurs langues et finit sous les dents de Mathilde qui coupe la fraise en deux et en donne une moitié à son neveu. Ils avalent leur moitié et elle continue de le regarder en lui disant :

— Alors, elle est comment ?

— Délicieuse, tout comme ton baiser. Dit-il en se rapprochant delle.

— Tiens, il me reste un peu de fraise sur la langue.

    Et elle lembrasse à nouveau en passant ses bras derrière la nuque de Norman. Ses bras à lui semblent bouger tous seuls pour se placer dans le dos de sa tante. Se décrochant, elle semble heureuse et une lueur brille dans ses yeux. Elle va pour fermer la porte du magasin et baisser le rideau. Elle se dirige derrière la caisse et passe dans le petit local qui sert à stocker les marchandises. Avant dy entrer, elle lui fait signe de la suivre, ce quil fait en courant. Elle commence à se déshabiller devant lui, ôtant son tee-shirt qui ne cachait que sa poitrine libre de tous sous-vêtements, ses sandales et son short, se retrouvant en culotte blanche en coton devant son neveu, le regard ébahit et la bouche bée :

— Désolé pour cela, je navais pas prévu de coucher avec mon mignon petit neveu ce soir dans mon magasin. Dit-elle accompagnant cela dun clin dil.

— Euh, je sais pas mais on dirait que tas lhabitude de le faire ici, avec le canapé, les petites bougies parfumées, etc

— En effet, mais pas si souvent que tu penses, et les rendez-vous que jai ici sont strictement professionnels.

— Donc tes en train de me dire que tu couches avec tes fournisseurs ? Pourquoi ?

— Pour les rabais sur les marchandises, voyons !

— Ça métonne pas, mais bon, pour linstant, cest moi qui vais en profiter du rabais. Tu vas voir, je vais bien le mérité.

    En deux secondes, Norman ôte tous ses habits et se découvre un sexe bandé comme jamais, ce qui fait aussi plaisir que envie à sa tante qui semble senflammer tant elle sourit en se suçant deux doigts avant de les porter à sa chatte déjà bien mouillé. Il porte sa tante sur le canapé. Allongée sur le dos, le long du meuble, elle voit son neveu lui enlever le dernier rempart à sa nudité. Une main écarte les cuisses pour que la langue se balade sur un sexe affichant ses désirs. Lautre main monte et atteint un sein quelle empaume du mieux quelle peut, elle le malaxe doucement, délicatement, sensuellement. Sous le joug du plaisir, Mathilde pousse un peu plus son bassin vers lavant afin que Norman aie bien la fente de sa tante dans sa bouche. Sa première main glisse de la cuisse à lentrejambe et vient décalotter le bouton qui pointe le bout de son nez. Cette langue incestueuse qui semble avoir de lexpérience vient lui tirer des gémissements de plus en plus rapprochés. Lidée de cet énorme mandrin qui va la baiser ? La qualité de cette langue, de cette bouche ? Lépicière senvoie en lair dans un orgasme démesuré.

    Quand elle sent cet homme au-dessus delle se relever, quand elle sent sa queue qui glisse le long de sa cuisse pour sarrêter devant son con humide et ouvert à souhait, elle ne peut plus attendre un instant et sempare du braquemard et le glisse dans sa fente. Le passage de lair libre à la gaine chaude et soyeuse du vagin de Mathilde laisse Norman rêveur, il nétait plus puceau. Le plaisir le remplit soudainement et une montée dadrénaline lui donna la puissance quil faut pour faire jouir la femme avec qui il couche en quelques minutes. Sa jouissance nétant pas venu au second orgasme de Mathilde, elle décide alors de le prendre en bouche. Norman laidant un peu, il agite sa main sur sa queue et éjacule dans la gorge de sa tante. Il savachit dans le canapé et elle vient se coller à lui dans une étreinte qui semble ne pas se terminer tant leurs câlins et leurs bisous les retiennent tous les deux se promettant de recommencer dans un futur proche.

Les deux amants se renvoyèrent assez souvent pour ne pas dire 3 fois par semaine. Ainsi, ils ont pu recréer cette scène et en inventer de nouvelles : dans la voiture sur le parking du magasin, dans le bois derrière notre maison, dans la piscine du voisin lorsquil était en voyage avec sa femme, et dans les vestiaires du club de Zumba où elle avait lhabitude daller se trouvant dans le même bâtiment que le club de sport du lycée.

Toute cette histoire mavait mis leau à la bouche et lorsque Norman descendit du bus au coin de la rue où il habite, je ne tenais plus en place et tout ce que jespérais, cétait de pouvoir séduire ma mère afin de vérifier les dire de mon cousin et faire lamour à ma mère.

(La suite au prochain chapitre)

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