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Une gourmandise très attendue – Chapitre 1

Une gourmandise très attendue - Chapitre 1



Je travaille loin de la maison et pars souvent pour plusieurs semaines.

Je suis entouré de femmes dans mon métier et ça inquiète quelque peu la mienne qui y voit une sorte de concurrence, d’autant qu’à 35 ans, je suis sollicité par un panel plutôt large.

Dernièrement, en rentrant de 2 mois de déplacement, j’ai eu droit à un accueil "particulier" de sa part.

Une gourmandise très attendue

01h00 du matin, un vendredi soir de décembre.

Après 15 heures de trajet, je rentre enfin à la maison, engourdi par le froid et la fatigue. Je jette mon sac dans l’entrée et file directement à la douche. Hors de question de rejoindre Jeanne, ma femme, avec l’odeur des transports en commun mélangée à celle de ma sueur journalière.

Sous cette douce pluie chaude, après avoir parfait le rasage de mon anatomie, je décide de me soulager un peu de toute cette tension sexuelle accumulée depuis mon départ.

Ça fait 2 mois que je suis parti, même si notre libido est un peu en berne ces derniers temps, je ne voudrais pas paraître grossier à partir de tout de suite quand elle me tiendra entre ses hanches.

D’autant qu’il y a une collègue qui a joué de ses charmes sur moi pendant quelques jours, si je ne m’étais pas fait violence, je lui aurais bien montré ce qu’il en coûte de me chercher… Bref !

En pensant à cette semaine passée à mater son cul moulé dans sa jupe en cuir, je jouis dans la minute.

Je sors de la salle de bain, enveloppé dans mon peignoir, mes cheveux trempés et le souffle encore court.

Tiens, la cheminée est allumée ?

Tant mieux, j’adore me poser nu dans le fauteuil devant et sécher ma peau à la chaleur brûlante qui émane du foyer.

Je m’installe confortablement et délace la ceinture de mon peignoir, laissant ce dernier s’ouvrir de lui même le long de mes cuisses.

Je laisse aller mes pensées sur ce que j’ai à faire dans la semaine à venir quand je sursaute. Une main venant de derrière moi vient de se glisser dans mon cou et descend délicatement vers mon torse, elle est accompagnée d’un "chuuuuut" sensuel et délicat qui me rassure aussitôt.

Jeanne que je pensais endormie comme d’habitude est là, elle me demande à l’oreille si j’ai fait bon voyage.

Je n’ai pas le temps de répondre que sa main arrive sur mon sexe qui se gonfle aussitôt.

Que c’est bon d’être entrepris de la sorte.

On dirait que tu as encore quelques forces malgré la route !

Toujours pour toi, tu le sais bien ma chérie.

Huuuum, on va voir ça.

La voilà qui se place devant moi, je découvre un tableau qui me laisse sans voix.

La clarté des flammes sur son corps souligne un porte-jarretelles, des bas qui lui arrivent juste à hauteur de l’entrejambe et des talons aiguilles noirs magnifiques.

Je dois rêver, Jeanne n’est pas dans ce genre de fioritures d’habitude, moi, personnellement, j’adore et mes yeux n’en perdent pas une miette.

Le haut n’est pas mal non plus avec juste un déshabillé noir translucide qui laisse deviner sa poitrine lourde et que j’espère sur mon visage depuis si longtemps.

Mes mains s’avancent vers cette croupe si joliment mise en valeur, elles ne reçoivent qu’une tape avec un "non !" ferme et sans appel.

Là, c’est certain, je rêve ! Ma Jeanne n’aurait pas cette audace dominatrice, je suis sur le cul et je ne réagis même pas en la voyant s’accroupir devant moi.

Elle m’empoigne le sexe et d’un coup de langue assuré, le parcourt d’un trait depuis le scrotum jusqu’au gland.

Elle m’a manqué ta bite.

Et c’est parti pour la pipe la plus goulue qu’elle ne m’ait faite jusque-là !

Je la vois s’activer de bas en haut tout en tournant autour de mon pieu, s’arrêtant juste pour mieux me lécher les couilles. Ma parole, elle a faim !

Si j’en doutais encore, je sais que je vais passer un sale quart d’heure.

Je bande comme un dingue, je passe ma main dans ses cheveux pour les tirer et lui faire ralentir la cadence de salope qu’elle m’impose.

Ça ne te plaît pas ?

Si si, j’adore, mais doucement, tu vas me faire gicler.

Ha non, pas tout de suite !

Remettant ses cheveux en chignon, elle se relève et se tourne. Sa chatte nue se détache dans la lumière de la cheminée, sublimée par la dentelle suspendue des bas qui brille dans la lueur dansante. Jamais une ombre chinoise ne m’a excité ainsi.

Elle s’allonge sur moi, m’offrant son cou à lécher et à mordiller. De sa main gauche, elle m’attrape la nuque et se contorsionne pour me rouler une pelle énorme tout en me branlant en frottant ma bite sur son cul.

Je lui caresse les seins, bordel, ils sont durs comme la pierre, je lui pince les tétons, elle adore ça et pousse des petits cris.

Ses nichons sont d’une douceur incroyable, elle aime que je finisse dessus, mais on nen est pas là.

Elle s’arrête et me dit:

Je t’aime. Prends-moi.

Je ne me fais pas prier et m’enfonce entre ses lèvres qui coulent de désir, littéralement.

Une main sur son cou alternant avec ses seins et l’autre sur son clitoris dressé, je la laisse se tordre sur moi pour aller au plus profond d’elle même.

La sueur commence à perler sur mon torse, je relève son haut pour me coller à son dos.

Nos fronts se cherchent tout comme nos langues.

Elle se tend et un premier orgasme vient la secouer.

J’adore quand elle jouit. Je prends un malin plaisir à appuyer le mouvement afin de l’entendre gueuler d’envie.

Fin de la première partie

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