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Une grosse poitrine pour un vieux – Chapitre 3

Papa l'homme de ma vie. - Chapitre 4



Cette histoire est une suite du premier numéro dune grosse poitrine pour un vieux.

Lété suivant dun commun accord nous avons choisi le même endroit pour nos vacances et également le même moment pour toujours éviter la foule du mois précédent.

A notre arrivé nous avons eu la joie de retrouver Henri même si Sarah ne mavait toujours pas révélé ce qui sétait passé un an plus tôt. Nous profitions de la plage qui à linverse du camping était assaillit par les locaux et par lensemble des estivants présents sur les autres campings. Le soir de en temps en temps nous invitions Henri pour lapéro. Lors de ces soirées Henri navait pas perdu lhabitude de plonger son regard vers les seins de ma femme, il était certain que son envie de les toucher était encore présente. En milieu de semaine il me fallut faire la remarque à Sarah :

-Tu as remarqué quHenri louche toujours sur tes seins.

-Tu ne vas pas recommencer comme lannée dernière!

-Non mais il narrête pas et ça na pas lair de te déplaire.

-Oui cest vrai jaime est regardé avec envie mais je te rappelle quil a 69 ans quand même, tu ne vas être jaloux dun homme de cet âge !

Jétais déconcerté quelle mette autant de conviction pour me convaincre quil ny ai aucun danger avec Henri alors quun an auparavant elle avait couché avec lui.

-Ok, cest vrai, mentais-je.

-Quel jaloux tu fais ! Allez bonne nuit.

Et je mendormis avec cette excitation déjà vécue lannée précédente et que je ne pouvais pas contrôler. Le lendemain alors que nous étions sur la plage une fois de plus envahie par les vacanciers Sarah me fis une proposition :

-Tu ne veux pas que lon cherche une autre plage il y a vraiment trop de monde cet après-midi ?

Il est vrai que la plage était bondée il ny avait presque plus de place disponible et le fait davoir les pieds du voisin de serviette sous le visage ne me plaisait pas énormément.

-Daccord avec toi je nen peu plus !

Nos serviettes récupérées nous regagnâmes notre mobil-home et à laide dune carte nous recherchions désespérément une plage isolée lorsquHenri assis à sa terrasse nous interpella.

-Alors déjà finit la plage.

Je lui répondis.

-Non mais il y a un monde fou et lon cherchait sur cette carte une plage un peu plus isolée pour être au calme, vous connaissez peut être un endroit plus tranquille ?

Henri réfléchit un léger moment puis en venant à notre rencontre.

-Oui effectivement cela fait tout de même 35 ans que je viens ici, mais lendroit est difficile daccès.

Henri tenta tant bien que mal de nous expliquer le moyen dy accéder mais au bout dun certain temps il était évident quentre la voiture puis les différents chemins à prendre nous narriverions jamais sur cette fameuse plage. Cest Henri qui nous proposa la solution :

-Si vous voulez je vous accompagne comme ça on ne perd plus de temps et de cette façon vous pourrez y retourner seul.

-Ok parfait on y va !

Nous avions accepté quHenri se joigne à nous pour cette après-midi afin de trouver une plage au calme et à labri de la foule. Une fois quitté la voiture le chemin daccès à la plage était vraiment tortueux voire invisible pour des non-initiés. La récompense fut malgré tout magnifique puisque arrivé au terme de la randonnée une toute petite plage totalement vierge de vacanciers nous apparut.

-Merci Henri cette plage est vraiment parfaite ! Sarah était aux anges.

Nous alternions entre le sable et leau tout au long de laprès-midi et Henri louchait de plus en plus sur les seins de Sarah il me sembla même décéler un début dérection lors quil se retourna sur sa serviette. Alors que nous étions sur le point de quitter les lieux Sarah remercia Henri.

-Bravo et merci Henri de nous avoir fait découvrir ce petit coin de paradis.

-De rien ça ma fait plaisir de vous accompagner.

— Comment te remercier ?

Alors même quelle prononça ces mots Sarah compris quelle avait involontairement ouvert une porte pour Henri. Elle essaya maladroitement de se reprendre.

-Je pense quun apéro sera parfait en guise de remerciement !

— Je ne voudrais pas abuser mais de toucher tes seins comme lannée dernière serait parfait comme cadeau mais sans vêtements cette fois !

Un silence venais de sinstaller entre nous trois, Henri comme moi étions suspendu à la réponse de Sarah, elle sembla me questionner du regard mais elle était apparemment perdu ne savant quoi faire. Cest moi qui la sortie de lembarras, lexcitation ayant pris le pas sur la raison :

-Tu pourrais dire oui, lannée dernière il est resté sur sa faim et cette année il nous fait profiter de cette plage

Henri restait immobile et Sarah resta silencieuse un moment qui me parut interminable, jusquà ce quelle reprit la parole en se mettant à genoux :

-Viens Henri

Henri ne se fit pas prier pour se placer derrière ma femme. Pour ma part je restais de côté en simple observateur. Une fois en place ses mains prirent place sur la poitrine de ma femme et il commença à les malaxer puis à les caresser. Sarah retira les mains dHenri et lui chuchota un « attends » puis elle retira son haut de maillot et elle reposa les mains dHenri sur ses seins tout en laccompagna dans ses caresses. Le pelotage en règle séternisait lorsque Sarah releva le visage pour le poser contre le torse ridé de notre sexagénaire, ses mains quittèrent celles dHenri pour se poser en arrière sur le crâne chauve de son amant. Sarah commençait à emmètre des gémissements lorsquHenri se mit à déposer de petits baisers dans le cou de Sarah, elle se retourna et à ce moment les lèvres se rencontraient dans un échange des plus torrides. Je nexistais plus à leurs yeux même si ma femme me lança un regard me faisant comprendre quelle nétait plus en état de stopper Henri.

Il quitta sa place pour faire face à Sarah et lui lécher les tétons comme un fou, par la même occasion il saisit une des mains de Sarah et la glissa sous son maillot pour quelle le branle doucement. Au bout de quelles minutes il baissa son short et alors quil était toujours en train de bouffer le 95F de Sarah et quelle le branlait il éjacula de grands jets qui sécrasèrent sur le ventre de Sarah. Il lâcha les obus de ma femme pour sa bouche et la congratulant dun « merci ».

En se retournant il comprit que la scène mavait également excité puisque je tenais mon sexe en main et je venais moi aussi déjaculer.

Jattends vos commentaires pour la suite.

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