Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe fétiche

Une mère douce et aimante… Dominatrice SM – Chapitre 1

Une mère douce et aimante... Dominatrice SM - Chapitre 1



Je m’appelle Théo et j’ai 18 ans. Mon père étant décédé et ma grande sur Elena à l’université, ma mère et moi habitons seuls dans une maison. Commençons par moi, je suis au lycée en terminale S, je mesure 1m80, je suis brun, un peu gros et j’ai un pénis moyen (15 centimètres). Je ne m’occupe pas souvent de moi, mes cheveux sont en bataille et ma barbe est négligée. N’étant pas très à l’aise avec les femmes, je n’ai jamais goûté au plaisir de la chair et une bonne partie de mon temps libre est consacré à la masturbation sur des sites pornos (j’aime toutes les catégories, surtout les catégories de footfetish de pegging, mais je préfère par-dessus tout l’inceste, notamment entre mère et fils). J’aime aussi jouer avec mon cul, mes doigts me suffisent la plupart du temps même si j’ai déjà essayé banane et concombres (pour mon plus grand plaisir).

Je pense être plutôt dominé de nature, les vidéos où un homme domine une femme ne m’excitent pas beaucoup, en tout cas beaucoup moins qu’une vidéo d’un homme réduit à l’état d’esclave sexuel par une femme.

J’adore ma mère, c’est une belle brune d’1m74 dotée d’une magnifique paire de 95D. Elle est belle et aimante. C’est une maman comme les autres qui fait très bien la cuisine. A ma connaissance (j’avais tort…) elle n’a jamais eu d’autre homme depuis la mort de mon père. Elle est un peu ringarde sur les bords, incapable d’utiliser son téléphone correctement et qui regarde des vieilles émissions télé. Elle est belle ma mère, une belle poitrine bien fournie, des fesses rondes et parfaites et des petits pieds à croquer. Étrangement bien qu’elle soit seule elle prend toujours le temps de se maquiller et de bien s’habiller (j’aime penser qu’elle le fait pour moi).

Depuis que j’ai des érections (même probablement avant) je fantasme sur ma mère. J’ai pris pour habitude, lorsqu’elle rentre tard du travail ou qu’elle va chez Valentine sa meilleure amie, d’aller dans sa chambre et de me masturber avec ses culottes et ses soutiens-gorge, j’adore la sensation du tissu sur ma verge dure. Je m’étonne d’ailleurs que ma mère n’ait jamais rien remarqué. J’aime aussi sentir ses chaussures et ses sous-vêtements sales, ça a le don de m’exciter.

Chaque fois que je suis avec ma mère, je ne peux m’empêcher de la regarder. De m’imaginer avec ses seins entre les mains en train de lui lécher les pieds ou même de me faire prendre le cul par son gode ceinture. Elle me surprend souvent en train de la regarder, ce qui ne semble pas lui déplaire même si elle me toujours d’arrêter d’avoir la tête en l’air.

Aujourd’hui ,je n’ai pas d’école, et je décide donc d’aller fouiller dans le placard de ma mère. Des culottes, des soutifs et… Tiens, je remarque un sac que je n’avais vu avant. Je décide de l’ouvrir et découvre des objets plus qu’étonnants. Des godes, harnais, menottes, cordes et autres ustensiles SM que je ne saurais pas nommer. Il y a même tout un ensemble en latex moulant ainsi qu’un collier rattaché à une laisse. Je me demande bien ce qu’elle fait avec tout ça dans son armoire. Quelques sex-toys ne m’auraient pas étonné, mais là il y tout un attirail de dominant… Ou bien peut-être de dominatrice. Des cravaches au baillons, tout semble être fait pour transformer quelqu’un en jouet sexuel. Mes théories se confirment lorsque je trouve un étrange objet qui ressemble à une cage de chasteté pour homme comme j’en ai déjà vu dans des vidéos. Toutes ses visions m’excitent énormément et je commence à être à l’étroit dans mon caleçon.

Je commence à renifler des godes, l’odeur renforce violemment mon érection. Il y en a de toutes les tailles et formes. Des petits plugs aux énormes pénis en passant par des stimulateurs prostatique, ce sac ressemble de plus en plus à un véritable temple du sexe où il y en a pour tous les goûts. Mon pénis est gonflé à bloc, mais l’appel de mon cul est trop fort ainsi je décide de d’abord m’occuper de lui. J’attrape un chapelet et du lubrifiant et me mets en quête de plaisir.

Une serviette posée (je sais que les accidents arrivent) sur mon lit et je peux commencer. Je lubrifie bien ma rondelle ainsi que le chapelet et commence l’insertion. Ce dernier étant assez fin, il rentre tout seul. Les va-et-vient commencent et le plaisir arrive, c’est bien mieux qu’avec mes doigts. Au bout de quelques minutes, je décide de le sortir… il m’en faut plus. Une bite en silicone attire mon attention, environ 22 centimètres pour 3.7 centimètres. Je décide également d’attraper une paire de collants et des talons (ma mère fait du 40 donc mes pieds sont un peu à l’étroit). Je les enfile, j’adore la sensation des collants contre mes jambes. Je retourne dans ma chambre et commence à jouer avec ce nouveau gode. Les premiers centimètres sont délicats, mais une fois bien détendus, il rentre tout seul et je commence les va-et-vient. La sensation est extraordinaire, je sens ma prostate titiller à chaque aller-retour.

Tout mon corps est en ébullition, j’accélère de plus en plus jusqu’à me baiser frénétiquement le cul.

Je sens la jouissance peut arriver d’un moment à un autre lorsque j’entends soudain la porte qui s’ouvre…

Pris de panique, je retire vite le gode de mon cul, l’essuie rapidement et me dirige vers la chambre maternelle en courant. Je range le mieux possible tous les ustensiles dans le sac, le remets à sa place et ferme l’armoire. Je retourne dans ma chambre, me rhabille en vitesse et descends dire bonjour à ma mère comme si de rien n’était…

Le lendemain soir, je me pense hors de danger lorsque ma mère rentre soudain dans ma chambre, le gode de mes plaisirs de la veille entre les mains et me dit :

Théo, il va falloir qu’on ait une petite discussion mon garçon…

C’est le premier chapitre de ma première histoire, nhésitez pas à me donner votre avis, la suite est déjà en cours d’écriture.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire