Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe sœur Histoires porno

Une mère seule et triste – Chapitre 2

Une mère seule et triste - Chapitre 2



Lors du dernier chapitre, moi et Karine, ma mère, nous avons fini par nous embrasser langoureusement et passionnément. Et cela jusquà ce quelle me propose de terminer notre petit jeu ailleurs, et elle memmena à létage, ma main dans la sienne, elle me trainait jusquà sa chambre. En entrant, elle se retourna face à moi, et passa ses bras autour de mon cou et me déposa un léger baiser sur les lèvres et me demanda :

— Où en étions-nous ? (sur un air coquin et en se mordant la lèvre)

— Je crois que tu étais en train de membrasser comme ça

— Hmmmmm oui, cest bien ça, et ensuite ?

— Ensuite nous sommes montés ici

— Et maintenant, que faisons-nous ?

— Je pourrais tallonger sur le lit, et continuer ce que nous faisions en bas

— Daccord !!! Vite, allongeons-nous sur mon lit.

Et lors de notre baiser, nous reculions jusquau lit pour nous laisser tomber dessus sur toute la largeur, et nous échangeâmes de longues pelles dans cette position pendant plusieurs minutes, puis soudain, ma main droite sest glissée jusque sur son épaule pour pouvoir ôter la bretelle de sa robe et la gauche partit en direction de sa cuisse et la caressa doucement en remontant jusquà son aine. En atteignant ce niveau, je repris un peu mes idées et me retirai des lèvres de ma mère et elle me dit :

— Quy a-t-il mon chéri ? Quest-ce qui ne va pas ?

— Maman, est-ce que tu réalises ce que nous faisons ?

— Oui, nous prenons du plaisir ensemble, et alors ?

— Et alors !?! Tu ne te rends pas compte que tu es saoule et que tu prends du plaisir avec moi, ton propre fils !

— Si, mais je ne vois pas ce quil y a de mal, nous sommes tous deux conscients et consentants de cela Quy a-t-il de mal ?

— Ce quil y a de mal, cest que si cela se sait, nous pourrions aller en prison !

— Oui, mais si personne ne le dit à personne, on ne nous dira rien, et nous pourrons continuer ce que nous avons commencé (et en me disant cela, elle me lécha le cou, loreille, et se rapprocha de plus en plus près de moi)

A ces mots, je réalisais que ce que venait de dire ma mère était tout à fait vrai, et pour affirmer ces idées, je me laissais faire par ma mère qui avait réellement lintention de terminer ce quelle avait commencé. Nous reprenions nos places, quand soudain, elle lâcha un « hmmmmmm » qui me laissait entendre quelle prenait plaisir aux gestes que javais pour elle, et cette réaction me poussa encore plus à vouloir coucher avec ma mère.

Nous nous sommes ensuite allongés « correctement » (la tête au niveau des oreillers et les pieds à lopposé, et non à travers, comme quelques minutes avant). Jai enfin pu lui ôter sa robe, et je fus stupéfié de cette vue, qui me remplit de bonheur, de joie, de plaisir et de désir. Elle était face à moi, en sous-vêtements, soutien-gorge et string assortis, noirs lacés de rouge, elle approcha de moi telle une panthère, et me déshabilla de mon pantalon et de ma chemise, et je me retrouvais en boxer devant elle. Je lattrapais par les bras et la forçai à échanger nos positions pour que ce soit moi qui soit au-dessus delle. Lorsque cela fut fait, je mempressai de lui sortir un sein de son emballage pour commencer à lui titiller et lécher le téton. Au moment où je commençais à lui embrasser le sein, elle se mit immédiatement à faire ressentir son plaisir au travers de quelques cris de bonheur tels que « Hmmmm », « ouiiii », « continue !!! »etc. Quelques minutes plus tard, je me mis à la conquête de son second trésor, puis elle se mit à caresser mon sexe à travers mon boxer, déjà à moitié bandé.

Après quelques dizaines de minutes à sucer, lécher, mordiller les seins de ma mère chacun leur tour, et elle à me branler, caresser et me titiller le gland, elle me retourna pour pouvoir me coucher sur le dos, et me sucer profondément. Lorsquelle commença sa fellation, jeus le reflexe de fermer les yeux pour pouvoir profiter au maximum de ce plaisir, elle savait y faire la salope avec les bites, elle suçait dune façon divine et fabuleuse que je ne pus me retenir très longtemps :

— Maman, ahhhhh, Maman, je vais jouiiiiir !!! Attention !!!

— Vas-y mon chéri, jouis dans ma bouche, jouis dans ta jolie maman que tu aimes tant !!!

— Ouiiii, Maman, je taime, ahhhhhh !!!

Je me vidais dans la bouche de ma mère en de violents jets de sperme en hurlant mon bonheur. Après mon éjaculation, elle ouvrit la bouche pour me montrer la quantité de semence que je lui avais balancée et lavala dune traite et rouvrit la bouche pour me faire voir quelle avait tout avalé. On sembrassa à pleines lèvres et nous nous sommes endormis, elle sur mon torse et moi dans son lit.

Le lendemain matin, à mon réveil, jouvris les yeux pour voir que ma mère était encore endormie à ma droite et que les rayons de soleil qui sétaient faufilés à travers le volet, venaient sécraser sur son doux visage qui respirait le bonheur. Je ne pouvais ôter mon regard de cette merveille qui brillait face à moi, jétais comme hypnotisé. Elle se réveilla à son tour et me dit « bonjour chéri, ça va ? ». Jétais paralysé par la beauté de son visage au réveil (la plupart des mannequins ne sont pas très belles au réveil, sans maquillage, coiffureetc. mais ma mère, elle, était resplendissante, même pour 41 ans, elle savait prendre soin delle). Elle sapprocha de moi, et nos lèvres se sont jointent pour un énième baiser. Pendant plusieurs minutes, elle membrassait et moi je lui caressais les cheveux, pour descendre sur le dos, les cuisses pour enfin lui agripper ses merveilleuses fesses. Après cette longue embrassade, nous sommes descendus pour prendre le petit déjeuner. Elle préparait le café et moi je me prélassais sur la terrasse, en ce mois de juillet, la température y est idéale dans le Sud de la France, la vue de la Méditerranée et le son des criquets

Elle me rejoignit dans le jardin après avoir terminé nos boissons et me fit un bisou sur le bord des lèvres et sassit face à moi, dans son peignoir tout en soie et me sourit en buvant son café. Ne pouvant plus attendre, je lui demandais de venir sasseoir sur mes genoux pour pouvoir lenlacer. Elle accepta et je la serrais de mes bras « puissants et musclés » comme elle dit soudain. Après son café, elle me dit quelle montait shabiller pour ce samedi, mais lorsque je suis moi-même monté me préparer, jais entendu un bruit provenant de sa chambre, la porte entrouverte, je me permis de jeter un coup dil, et je lai vue nue, devant son miroir, et elle maperçut elle aussi dans le reflet de sa glace, et se retourna brusquement et me dit :

— Tricheur, tu nas pas attendu pour pouvoir mobserver lorsque je mhabille ! Mais puisque tu es là, entre, ne reste pas là planté comme un idiot.

Jentrais dans sa chambre et massis en bout de lit pour continuer à la mater en train de se changer. Elle me demanda comment je voulais quelle shabille aujourdhui pour nos « nouveaux jeux, un peu plus érotique à partir de maintenant ». Je me mis à fouiller son dressing et sortis une jupe noire, une chemisier blanc, et une veste noire, pour les sous-vêtements, je lui proposais une paire de bas noirs, un assortiment porte-jarretelle/string et soutien-gorge noirs eux aussi. Je lui dis aussi denfiler une paire de bottes en cuir à talons. Elle me dit ensuite :

— Ok, je me prépare va toi aussi te changer, puis va dehors appeler un taxi.

— Pourquoi appeler un taxi ?

— Et la voiture, tu crois quelle reviendra à la maison toute seule en plus, je te prépare une surprise pour ce soir

— Ok, jy vais vite, à tout de suite.

De ce pas, je me dirigeai dans ma chambre pour mhabiller décontracté puis dans le salon pour trouver le numéro dun taxi, qui arriva 5 minutes après. Lorsque jattendis ma mère sur le pas de la porte, elle mapparut magnifique dans sa tenue de salope, ce qui me fit bander dur en la voyant, elle enfila un long manteau et nous montions dans le taxi pour aller chercher la voiture près de la boîte de nuit dhier

La suite de nos aventures dans le chapitre suivant

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire