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Une occasion – Chapitre 2

Une occasion - Chapitre 2



Une occasion (2)

Mayant relâché, Daniel minvita à masseoir sur un des deux canapés du salon en sexclamant de sa voix prenante : « Mais je tavais invité à venir prendre un verre. Que dirais-tu dun whisky ? » M asseyant comme jy étais invité, un peu déçu de linterruption de notre étreinte si sensuelle, je répondis « OK ». Je le vis saccroupir devant un meuble bas pour louvrir, me présentant son cul bien bombé, à la raie profonde et poilue, les couilles dépassant entre les cuisses. Un spectacle fascinant qui ne fit quaccroître mon érection. Se relevant, il revint devant moi, la verge à lhorizontale, me tendit un verre et y versa une bonne rasade de liquide ambré. Ayant ensuite rempli un second verre, il déposé le flacon de whisky sur le sol et sassit à mes côtés, sa jambe contre la mienne.

Après avoir trinqué « à nos amours », nous avons bu dun trait cet alcool. Jai senti une chaleur intense envahir mon corps. Daniel avait avalé également son whisky et reposé son verre par terre. Maintenant le bras gauche passé autour de mes épaules, de sa main droite il caressait mes abdominaux, passait ses doigts dans la toison de mon pubis, puis glissait le long de ma hampe palpitante, avant denserrer tendrement mes testicules contractées et enfin de dégager mon gland du long prépuce qui le masquait, pour sentir sa peau douce et humide. Jamais une main dhomme navait touché mon sexe, sinon la mienne et cette sensation a failli me faire jouir brusquement. Heureusement Daniel la senti et a retiré sa main et jai pu me retenir.

— « Détends toi mon ami. Je ne pensais pas te faire un tel effet. Serais-tu puceau ? »

— « Oui, avec les hommes et aussi pour certaines pratiques sexuelles comme la masturbation et la fellation. »

— « Tu me plais de plus en plus. Si tu veux, je vais tinitier. Sois sans crainte. Je nirai jamais au delà de ce que tu veux bien accepter. »

Penché vers moi, il avait repris ses caresses, sur ma poitrine et mes seins, mes tétons, puis mon ventre, enfin mes jambes. Instinctivement jécartais celles-ci et me renversais en arrière, les yeux fermés, pour mieux apprécier le glissement de cette main virile sur ma peau enflammée. Je sentais clle-ci passer du haut de mes cuisses sous mes couilles, pour explorer mon scrotum et un peu plus loin ma raie des fesses. Je tremblais de tous mes membres et un gémissement sortit de mes lèvres entrouvertes. Pour la première fois de ma vie je me sentais dominé. Mon corps était devenu une chose offerte à cet étranger puissant, poilu, sentant la sueur et à la vois envoûtante.

Quant il sest mis à genoux entre mes cuisses écartées et sest penché vers mon sexe, jai compris ce quil allait me faire et dune voix étranglée et faible jai murmuré : « Oh oui, suce moi, jen rêve depuis des années, mais doucement ». Jai alors senti sa langue se poser sur mon gland, cherchant le méat, léchant les gouttes de liquide séminal qui suintaient, puis ses lèvres entourer mon gland, le serrer, laspirer et enfin descendre lentement le long de ma verge gonflée de sang, lavalant tout entière. Les dents serrées, respirant profondément, je cherchais de toute ma volonté à retenir la jouissance qui montait de mon bas ventre sous laction de la langue experte de mon amant dans la douce chaleur de sa bouche. Les mains dans ses cheveux, je le repoussais pour reprendre souffle, mais il revenait à la charge, avalait mon vit en feu et commençait à me pomper.

Suant de tous mes pores, la bouche sèche, je tentais encore de léloigner de mon sexe, mais il tenait ferme celui-ci dans sa bouche et lune de ses mains sactivait maintenant sur mes couilles, faisant rouler mes noisettes, serrant mes bourses, tirant sur la peau. Ny tenant plus, avide, je cherchais maintenant le fond de cette gorge de mon membre tendu à lextrême, heurtant la glotte de mon partenaire, alors que de mes deux mains posées sur sa nuque, je pressais son visage sur mon pubis. Ivresse de ce moment unique, passionné ou mon pénis surchauffé, aspiré par cette bouche baveuse et ferme, tressautait sous lafflux de vagues de sang et que ma sève montait inexorablement de mes couilles malaxées avec vigueur.

Sans avoir pu avertir mon amant, dans un spasme violent, la jouissance memporta au 7ème ciel et avec un grand cri jéjaculais à grands jets dans la bouche de Daniel. Je nen finissais pas de décharger ma semence au fond de cette gorge, le corps contracté et brûlant.

Lhomme a avalé tout mon sperme, nen laissant pas échapper une goutte et a nettoyé proprement ma verge qui se ramollissait avec sa langue et ses lèvres. Se redressant, il a enfin échangé avec moi une longue pelle, me faisant goûter à cette occasion mon propre jus, acre et visqueux, ce jus qui avait fécondé ma femme quelques mois auparavant. Dans ce moment dapaisement du désir, je repensais à elle avec tendresse, mais sans honte. Puisquelle ne pouvait pas me donner ce genre de plaisir, il ny avait pas de mal à le chercher ailleurs, avec un mec. Cela ne tirait pas à conséquence.

Daniel sétait à nouveau assis à mon côté, menlaçait avec douceur et de cette voix grave qui me troublait tellement me proposait : « Si tu est libre, passe donc la nuit ici, avec moi. Il est déjà presque minuit. Cest bien tard pour ressortir. »

Effectivement rien ne mappelait chez moi ce soir. Pourquoi ne pas profiter jusquau bout de cette liberté précieuse. Et puis je voyais bien que Daniel, sa verge épaisse et veinée toujours bandée, navait pas encore eu son plaisir. Je la touchais timidement de ma main gauche, la sentis frémir à ce contact et je répondis, sans plus réfléchir : « Daccord, tu sais bien que je ne peux plus rien te refuser. Et puis demain cest dimanche, je ne travaille pas ».

« Superbe » me répondit-il en se relevant, « on prend une bonne douche et on se couche. La chambre damis est toujours prête et si tu le veux bien, je ty rejoindrais ». A ces mots je sentis mon membre viril reprendre des forces et je me jetais à son cou, me pressant contre ce corps musclé et poilu, pour lembrasser avec fougue. Ma bite collée contre la sienne reprit toute sa vigueur, me promettant de nouveaux plaisirs.

(à suivre)

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