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Une soirée débridée – Chapitre 1

Une soirée débridée - Chapitre 1



Ce soir, c’est vendredi, il est dix-sept heures, c’est le début du week-end. Je suis un peu fatigué, mais j’aimerais me faire une petite sortie entre collègues. Je propose alors à Barbara et Françoise de venir avec moi dans un bar ambiance qui offre à la fois le dîner, mais aussi permet de faire quelques pas de danse.

Les deux filles sont d’accord, de plus l’une d’elles connaît un pub qui réunit les deux plaisirs. Nous validons en commun ce choix. Je rentre à présent chez moi, dans un appartement sympathique, mais que je trouve toujours aussi petit. Bref, je ne suis pas là pour râler, mais pour me préparer à sortir.

Je vais à la douche, je me rase, m’épile, on ne sait jamais, je pourrais tomber sur le prince charmant, moi qui suis célibataire depuis six mois maintenant le manque se fait un peu ressentir. Je m’enfile à présent un ensemble soutien-gorge et string blanc, avec une robe rouge. Je me maquille légèrement, puis me pose devant la télévision.

À cette heure-là, entre les télé-réalités et les débats politiques le choix est plutôt réduit, du coup, je mets une chaîne musicale afin de me mettre dans l’ambiance, façon de parler. Il est maintenant dix-neuf heures, je quitte mon domicile et pars en direction de l’arrêt de tramway le plus proche.

J’arrive à la station Henry IV, puis me dirige vers le pub. Les filles sont déjà présentes. Nous entrons dans le lieu, et je suis plutôt surprise puisque les serveurs sont habillés avec un kilt noir. Françoise fait la bise à l’un d’eux, puis nous sommes invités à rejoindre une table.

Le garçon nous propose de prendre un apéritif, pour ma part, je vais choisir un porto, Barbara prend un martini, et Françoise un kir royal. Nous discutons de tout et de rien, mais aussi des petites histoires de l’entreprise. Personnellement, je m’y sens bien donc aucun souci. Le serveur, nous interrompt afin de nous donner le menu, nous prenons trois salades landaises, accompagnées d’un vin rouge de la région bordelaise.

Le repas est succulent, puis en guise de dessert, nous prenons un sorbet. La soirée est comme je le souhaitais, en mode détente. Ça fait un bien fou. Il est vingt-deux heures trente, un disc-jockey laisse filer des musiques diverses et variées. Le rock, le reggaeton, les années quatre-vingt, tout y passent. Dans un premier temps, je ne bouge pas trop, je me contente de remuer le bassin sur ma chaise.

Avec les filles, nous prenons un verre de vodka caramel. La chaleur commence à monter au niveau de mes joues, mais rien d’extraordinaire. Le serveur revient avec le même breuvage, et je ne sais pas pourquoi, mais audacieusement, je lui demande si lui et ses collègues sont nus sous leur kilt, ce dernier me répond avec un grand sourire, et avec un mot simple, (secret).

Avec les filles, on pouffe de rire. Puis, nous prenons la décision de danser. L’ambiance est au top. Un homme vient se coller contre mon dos, je remue un peu le bassin, tandis que Françoise et Barbara n’ont pas attendu très longtemps pour avoir leurs cavaliers. De mon côté, je me suis retourné face à cet homme, nous partons en direction du bar, j’apprends qu’il s’appelle Gérard, et qu’il a cinquante-deux ans.

Je trouve qu’il est plutôt charmant, malgré les vingt-ans d’écart qui nous sépare. Nous prenons un verre, puis nous retournons au bout de dix minutes sur la piste. La musique a changé, c’est à présent du rock qui est diffusé. L’homme me fait tournoyer comme jamais, il a un vrai talent dans ce domaine, j’en aurais presque la tête qui tourne.

J’essaye tout de même de tenir le bas de ma robe afin de ne pas montrer mon intimité à tout le monde, mais c’est assez difficile. L’ambiance s’apaise un peu, avec les filles et nos compagnons du soir, nous nous retrouvons autour d’une table, puis nous trinquons à cette soirée sympathique. Le disc-jockey change alors de registre puisque maintenant se sont des slows qui s’échappent des enceintes du pub.

Naturellement, et d’une façon galante, il m’invite à le rejoindre sur la piste de danser. Dans le même temps, François et Barbara embrassent leurs cavaliers respectifs.

Je me retrouve maintenant contre le torse de Gérard. Il est légèrement bedonnant, mais cela ne me dérange pas plus que ça. Dans un premier temps, par pudeur, je le prends autour du cou, et ce dernier à ses mains posées sur ma taille. Puis, petit à petit, je sens ses doigts parcourir mon dos avec une douceur incroyable. J’en ai des frissons.

Ce dernier perçoit certainement cette sensation, me prend par la nuque, et échange avec moi un baiser langoureux. Le disc-jockey ne loupe pas cette scène, et au micro félicite les amoureux que nous sommes. Les filles entendent cette annonce, tournent leur tête en ma direction et échange de nombreux sourires.

Nous nous asseyons de nouveau autour de la table, nous consommons une petite bière, puis avec Gérard, nous nous faisons des accolades. Dans le même temps, Barbara nous annonce qu’elle va partir avec son compagnon du soir. Nous ne trouvons aucune objection à dire.

Nul doute que cette dernière ne va pas jouer au domino avec lui. Je suis contente pour elle. Françoise de son côté part danser avec son cavalier, Sébastien, et moi, je me retrouve seule avec mon quinquagénaire. Nous échangeons plusieurs baisers, plusieurs accolades puis ce dernier pose une main sur la partie dénudée de ma jambe.

Je sursaute légèrement, je n’ai plus trop l’habitude qu’un homme me touche, mais Gérard me dit de ne pas m’inquiéter.

Je le laisse donc faire, je suis totalement en confiance avec lui. Je jette tout de même un il à ma montre, il est une heure et demie, le pub va fermer dans trente minutes, puis je retourne à mes occupations. Mon cavalier continue de caresser ma jambe, et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme l’impression qu’il tente de monter de plus en plus haut.

Machinalement, je décroise mes jambes, elles ne sont pas écartées vulgairement, mais ce signal est perçu positivement par Gérard. Ce dernier ne se prive pas pour atteindre la lisière de mon string avec ses doigts. Je sursaute de nouveau, et sens que le bas de mon ventre réagit. À l’intérieur de moi, je suis une cocotte-minute prête à exploser. Une cloche retentit, mais je n’y prête pas attention, les derniers clients du bar partent.

Françoise nous rejoint avec son compagnon, nous dit de ne pas nous gêner. Nous sourions à cette remarque, comme deux jeunes adultes pris en flagrant délit. Elle ne semble pas dépiter, au contraire, elle nous encourage. Elle repart de nouveau en direction de la piste de danse. De mon côté, Gérard n’est plus l’homme sage que j’ai connu deux heures auparavant.

Il est beaucoup plus entreprenant, cela ne me dérange pas, mais ici dans un pub, ça ne fait pas très sérieux. Je l’invite à mon domicile. Mais ce dernier veut profiter des dernières notes de musique avant de partir. Nous prenons un petit verre de bière puis nous nous câlinons de nouveau. Sa main est à présent clairement sous ma robe, que dis-je, dans mon string. Ce dernier s’active sur mon clitoris, joue avec mes lèvres baveuses puis porte les doigts à sa bouche.

Un bruit métallique me fait sortir de ce moment de plaisir. C’est le rideau du pub qui se ferme. J’essaye de retrouver du regard Françoise, elle est sur un fauteuil en train de De faire une fellation à son cavalier.

Je suis complètement surprise puisqu’elle est tout de même mariée depuis vingt-ans. Bref, dans tous les cas, je ne suis pas ici pour la juger. Le disc-jockey remballe son matériel, les barmans nettoient les verres, et moi, je suis sur ce canapé avec Gérard. Nous nous câlinons de nouveau, ce dernier se recule un peu, remue un peu les fesses puis dans un élan de confiance, sort son sexe.

Je trouve que son comportement est exagéré. Je lui explique, que nous sommes tout de même dans un lieu public. Gérard réplique aussitôt en me disant qu’avec une main dans le string, je n’étais pas gêné par le fait que nous étions dans un pub. Il vient de marquer un point. Il est vrai que je le trouve charmant, qu’il est sympathique que j’ai aussi envie d’échanger un plaisir charnel avec lui, mais tout de même.

J’essaye de trouver une alternative en essayant de trouver Françoise du regard, mais elle est en train de se faire prendre en levrette sur un canapé. Gérard se rapproche de moi, m’embrasse, je ne le recale pas, puis ce dernier reprend son jeu de séduction. Il pose une main sur mon dos. Me fait quelques caresses puis enlève une bretelle de ma robe.

Il touche à présent le haut de ma poitrine à travers mon soutien-gorge. De mon côté, je commence à caresser son membre. Celui-ci grossit très rapidement suite à ses attouchements. Malicieusement, Gérard enlève ma deuxième bretelle, puis dégrafe mon sous-vêtement. Je suis seins nus, face à lui, mais aussi face aux quelques employés encore présents dans le pub.

Mes tétons pointent fièrement, l’homme me les malaxe, les titille, et les mordille légèrement lorsqu’il se penche sur moi. Mon excitation continue d’augmenter petit à petit. Je me décide à le prendre en bouche. Je me mets dans une position un peu plus confortable, à genou sur le canapé, puis je lui offre une fellation.

Je fais coulisser ma langue de haut en bas sur sa verge. Je joue avec son gland, l’aspire. Je vois qu’il prend du plaisir son visage rougi fortement. Puis soudain, je sens qu’une main glisse sous ma robe et me touche les fesses. Cela ne peut pas être Gérard, du coup, je sursaute, je me retourne et vois le serveur à qui j’avais fait la blague concernant sa nudité sous le kilt.

Je lui dis qu’il ne faut pas se gêner, que ce n’est pas sérieux. Il entrouvre alors le bas de son vêtement, et me lance le fameux mot (secret). Effectivement, le garçon ne porte rien puisque sa verge apparaît alors fièrement.

Gérard me saisit par le cou, et dirige ma tête en direction de son sexe. Je reprends alors ma fellation, alors que le serveur a soulevé ma robe et a enlevé mon string. Il m’offre un cunnilingus d’une divinité sans nom.

Je sens sa langue dans mon puits d’amour, mais aussi sur mon petit trou. Au bout de cinq minutes, des frissons apparaissent, le bas de mon ventre se contracte, et je pousse un premier cri de jouissance.

Je sens alors son gland se frotter contre mes lèvres, puis d’un coup puissant me pénètre. Je suis prise en levrette, et dans le même temps, j’offre à mon quinquagénaire une fellation. Le serveur a un côté bestial qui me plaît bien, mes fesses claquent contre le bas de son ventre puis ce dernier, m’allonge sur le dos.

C’est maintenant Gérard qui prend sa place. Il se couche un peu sur moi, m’écarte les jambes outrageusement puis me pénètre à son tour. Il est un peu plus doux, mais pas trop. Au début, ses mouvements sont lents, puis il soulève mes compas, et les poses sur ses épaules.

Il me prend alors avec beaucoup plus de vigueur. Nous changeons de position, il est assis sur le canapé et je m’empale sur son membre. Je monte, et descends avec beaucoup d’envie. Au bout de dix minutes, je pousse un deuxième cri de jouissance.

Le serveur est à côté de moi, quelque fois, je le prends en bouche, puis il s’assoit à côté de nous. Je m’empale sur lui, son sexe est un peu plus gros, j’ai l’impression qu’il va me déchirer. Puis, je pousse un troisième cri de jouissance. Sa verge est trempe de cyprine.

Je le suce brièvement, puis me remets sur Gérard. Je monte, je descends, puis soudain, le serveur caresse mon petit trou, puis le doigte. Je devine aisément son souhait. Je n’ai même pas le temps de dire quoi que ce soit, que je suis prise par ce garçon. Les deux hommes s’activent avec passion dans mes entrailles.

Au bout de quinze minutes, le serveur sort de mon petit trou et Gérard fait de même avec mon vagin. Le premier se positionne entre mes seins, s’offre une cravate de notaire, puis envoie plusieurs jets de sperme sur mon menton, mais aussi au bord de ma bouche. Le quinquagénaire, quant à lui, se masturbe entre mes cuisses. Son liquide s’écrase sur ma vulve. Alors que nous sommes en train de reprendre notre souffle, Françoise nous applaudit de façon moqueuse.

Cette dernière nous propose de finir la soirée dans sa demeure, son mari n’étant pas présent ce soir, nous avons carte blanche. Nous acceptons sans aucun souci cette invitation. La suite de la soirée promet

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