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Une tante avide – Chapitre 1

Une tante avide - Chapitre 1



Lors d’une soirée entre amis, où l’alcool coule à flots, ma tante bien plus âgée que moi s’approche de moi.

C’est une grande femme au regard ravageur, ses longs cheveux roux qui lui tombent sur les épaules, lui donnent un genre de vampe, elle a un corps superbe, je pense que beaucoup de femmes l’envient.

Je fantasme sur elle depuis quelques années déjà, quelques fois je me masturbe en pensant à elle, surtout à ses formes parfaites.

Elle se penche sur moi, j’ai une vue plongeante dans son décolleté:

Tu danses ? Qu’elle me demande.

Je bégaie un peu:

Si tu tu veux !

Mes yeux son scotchés sur l’échancrure baillant de son chemisier.

Elle le remarque et se penche davantage, je rougis, elle me fait un clin d’il et dit:

Allez, viens, je te fais pas peur j’espère ?

Je me lève, et au centre de la pièce, je l’enlace.

Mes premiers pas sont maladroits, elle me fixe de son regard noir et me sourit.

Plusieurs couples nous rejoignent.

La lumière se tamise.

Ma tante se plaque contre moi, son bassin ondule contre le mien, elle me murmure à l’oreille:

Tu as quel âge ?

Je réponds timidement:

Je viens d’avoir dix-huit ans !

Elle pose sa joue contre la mienne, je sens son souffle chaud glisser sur mon visage.

Tu as une copine.

J’hésite avant de répondre.

Non, je suis trop absorbé par mes études, je n’ai pas la tête à ça !

Pendant ce temps à table, mon oncle drague ouvertement une amie, sa main glisse doucement sous la robe de la femme, je ne sais ce qu’ils se racontent, car elle rit aux éclats.

Ma tante décolle sa joue de la mienne et me dit:

Ouah tonton est en forme !

Je pense que je vais rentrer seule ce soir !

Tu le laisses faire ?

Oh tu sais cela fait déjà un bon moment que nous faisons chambre à part !

Tu le trompes aussi ? Que j’interroge.

Elle ne me répond pas, et pose sa tête contre mon visage, ses lèvres charnues sont contre ma joue, elle donne un petit baiser furtif en appuyant son bassin plus fort contre mon bas-ventre.

Son déhanchement torride m’affole, de temps en temps la coquine lève légèrement la jambe, sa cuisse volontairement appuie sur mon engin, je soupire.

Comme je ne suis pas de bois, mon membre enfle dans mon pantalon.

Elle se rend compte de mon érection, la vicieuse appuie plusieurs fois de suite sa cuisse contre sexe qui commence à me faire mal, le carcan de tissus qui l’emprisonne l’empêche de bouger.

Elle s’écarte légèrement, me fixe à nouveau de son regard enjôleur, elle entrouvre légèrement la bouche, passe sa langue sur ses lèvres humides, et me dit:

Tu bandes mon cochon, tante te fait de l’effet hein !

Je murmure

Tu es une salope !

Elle répond par un large sourire qui découvre ses dents blanches, et dépose un rapide baiser sur mes lèvres.

Tu veux faire l’amour avec ta tante ?

Tu es sérieuse là ?

Oui, aujourd’hui je veux me faire un jeunot comme toi par exemple !

Elle glisse sa main entre nos deux corps qui ondulent toujours, et caresse sans aucune formalité mon mat douloureux.

Je lui retire la main et extirpe de mon pantalon mon membre bandé.

Elle dit doucement à mon oreille tout en saisissant mon engin.

Tu es en rut mon petit chéri !

Elle le branle doucement, les danseurs qui évoluent à côté peuvent voir la main de ma tante s’activer sur mon manche.

Le DJ prolonge le slow et réduit davantage l’éclairage, nous ne sommes que les formes sur la piste, la sphère à facettes, nous éclaire juste pour distinguer le voisin.

Je prends mon courage à deux mains, et dégrafe un à un les boutons du chemisier de ma tante, glisse mes mains dans son dos et dégrafe le soutien-gorge, deux obus se dressent, je les caresse longuement avant de gober les pointes, elles enflent dans ma bouche gourmande, la succion est telle, que ma tante pousse un cri qui attire l’attention de quelques danseurs.

Rapidement un petit groupe de curieux se forme autour de nous, une femme se colle même contre les fesses de ma tante et frotte son bassin sur les demi-sphères charnues.

Ma tante geint de plaisir, ses mamelons sont devenus énormes, la femme tire sur le zip de la jupe et le fait glisser sur le sol, elle fait tomber aussi le chemisier.

Le string ne tarde pas à suivre.

Je prends ma tante par la main et la conduis à l’écart.

Un homme crie :

Tout le monde à poil !

C’est le signal.

D’autres couples se mettent nus, les attouchements se multiplient, les gémissements ne tardent pas à se faire entendre.

Je baisse mon pantalon et mon slip, ma tante se met à genoux face à moi, prend d’une main ma verge et en lèche le gland, sa langue râpeuse titille le frein puis s’enroule autour du gland, je me cabre.

Petit à petit, elle avale la hampe tendue, elle sévertue à faire monter et descendre sa bouche vorace sur le manche de chair.

Je couine et grogne comme un animal en rut.

Elle suce divinement, sa bouche vorace me procure un plaisir intense, je me raidis tellement la pression et forte en moi.

Ses doigts agitent, triturent longuement mes bourses peines de semence.

Elle délaisse mes couilles et enfonce deux doigts dans mon anus étroit.

Je grogne, le ramonage est intense, la succion sur mon gland est terrible, je me cabre et envoie une quantité phénoménale de sperme brûlant dans la gorge de ma tante.

Elle déglutit avec gourmandise et avale jusqu’à la dernière goutte.

Avec rage, elle me pilonne le cul rigoureusement, cela a pour effet de me faire gicler davantage.

Elle s’assoit sur une chaise et ouvre les jambes.

Maintenant, fais-moi jouir je suis surexcitée !

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