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Une étrange voisine – Chapitre 1

Une étrange voisine - Chapitre 1



Ces événements se sont déroulés dans un coin reculé de l’arrière-pays languedocien, il y a peu de temps, et c’est le récit de l’aventure qu’a vécue un tout jeune couple.

Marie et Simon étaient mariés depuis seulement quelques mois, et ils habitaient dans un petit deux pièces, en centre ville.

Marie n’avait que 22 ans. Elle avait été élevée dans une famille catholique conservatrice, et elle était arrivée vierge jusqu’à sa nuit de noces.

C’était une très jolie jeune femme, mince, aux cheveux d’un roux sombre et à la peau mate, et aux grands yeux verts. Mais elle ne mettait jamais sa beauté en valeur, s’habillant toujours de manière très stricte, et attachant sa superbe chevelure. Elle était employée à temps partiel au secrétariat de l’évêché, et ce n’était donc pas dans son environnement professionnel qu’elle pouvait être incitée à s’émanciper

Simon était âgé de 25 ans, et il avait reçu lui aussi une éducation très sévère. Ce grand brun pratiquait la course à pied et la natation, et son physique était, pour lui aussi un atout, dont il ne jouait pourtant pas. Il venait de terminer ses études de kiné, et vivait de vacations, en attendant de pouvoir ouvrir son cabinet.

Le couple rêvait de s’installer en dehors de la ville, en pleine nature et loin de l’animation citadine, mais leurs revenus ne leurs permettaient pas d’envisager l’accession à la propriété avant plusieurs années.

Aussi, quand Marie découvrit dans sa boîte aux lettres un flyer présentant une maison à vendre, elle n’en crut pas ses yeux. Il s’agissait d’une vieille bâtisse en pleine campagne, dans l’arrière pays. La vente se faisait en viager, et la rente demandée était inférieure à leur loyer! Le jour même, elle téléphona au notaire, et prit rendez-vous pour le lendemain.

Le notaire était installé dans un village reculé, et le couple fut étonné par l’aspect vieillot de l’étude. Les bureaux semblaient avoir un siècle, et on n’y voyait aucun écran d’ordinateur. Le notaire était une femme brune, très belle, mais à l’allure sévère. Elle les emmena visiter la maison, et ils tombèrent instantanément sous le charme.

C’était une vieille construction en pierre, couverte de tuiles, au milieu d’un environnement de garrigue, et près d’un petit bois de chênes. On entendait seulement le chant des cigales, et une ferme très ancienne entourée de bâtiments constituait le seul voisinage. La maison nécessitait des travaux, mais elle était tout à fait saine.

La notaire leur expliqua que la maison était mise en vente par la propriétaire de la ferme, une femme âgée qui vivait seule. Marie et Simon ne réfléchirent pas longtemps, et prirent rendez-vous pour le lendemain afin de formaliser leur accord.

Ils utilisèrent leurs quelques économies pour faire réaliser les travaux indispensables à leur installation, essentiellement l’aménagement d’une salle d’eau et la rénovation de l’électricité, et ils emménagèrent très vite, pour profiter de l’été qui s’avançait.

Ils se plurent immédiatement dans cette maison, et peu de temps après leur arrivée, ils décidèrent d’aller rendre visite à leur voisine, la propriétaire de la ferme. Ils ne l’avaient pas encore rencontrée, car l’acte de vente avait été signé par la notaire, qui bénéficiait d’une procuration.

Ils se présentèrent donc à la porte de la vieille femme, qui vint leur ouvrir dans un fauteuil roulant. Ces cheveux étaient dissimulés sous un foulard, et son regard était voilé par de grosses lunettes aux verres fumés, qui couvraient une partie de son visage. Malgré la chaleur, elle était vêtue d’une tunique à manches longues, et d’une large jupe paysanne qui descendait jusqu’à ses chevilles. Elle se prénommait Sarah.

— Je suis désolée de vous recevoir ainsi, s’excusa-t-elle, je ne m’attendais pas à votre visite. Mais entrez, asseyez-vous!

Les volets fermés assombrissaient la pièce, mais elle réserva un accueil chaleureux à Marie et Simon, et ils discutèrent longuement. Sarah voulait tout savoir du jeune couple, et des raisons de leur décision d’acheter en viager sa vieille bicoque. Elle-même vivait seule, recevant seulement de temps en temps la visite d’une petite nièce, et d’un lointain arrière-petit cousin. Les jeunes gens lui proposèrent de lui rendre de menus services, notamment de lui rapporter quelques courses; Sarah accepta, et les remercia chaleureusement de leur offre.

Marie était toute heureuse de pouvoir appliquer à sa voisine ses principes de charité chrétienne. Simon avait repris son travail, mais Marie était encore en congés pour quelques jours. Avant de descendre en ville et d’aller au supermarché pour faire ses courses, elle passa chez Sarah, qui lui confia une liste de choses dont elle avait besoin.

De retour dans l’après-midi, elle retourna chez sa voisine, pour lui livrer ce qu’elle lui avait demandé. La vieille femme, reconnaissante, lui proposa d’entrer quelques minutes. Une fois assise, Marie remarqua un très vieux livre posé sur la longue table de ferme. D’une épaisseur imposante, il était relié en cuir, et malgré son ancienneté, les couleurs de la peau, rouge et or, gardaient une incroyable vivacité. Marie réussit à déchiffrer le titre, "LE CULTE D’ASTARTE", qui l’intrigua, mais elle n’osa pas interroger Sarah.

— Si vous avez un moment, je vais vous faire goûter mon jus de pommes, proposa cette dernière. Ce sont des fruits du verger que j’ai, derrière la ferme.

Marie accepta, et s’extasia devant le goût délicieux de ce jus. Elle n’en avait jamais bu de comparable, et la vieille femme a rempli plusieurs fois son verre, pendant qu’elles bavardaient toutes les deux.

La conversation vint sur les petits soucis liés à l’âge, que devait supporter Sarah. Elle souffrait de douleurs et d’une violente sciatique, et elle supportait mal les médicaments.

— Si vous voulez, Simon pourrait passer vous examiner, proposa Marie. Vous savez, des massages pourraient sûrement vous soulager.

Sarah accepta la proposition, et Marie rentra bientôt chez elle.

Elle avait beaucoup transpiré dans sa voiture, et elle décida de prendre une douche, avant le retour de Simon. Elle se déshabilla, et se dirigea vers la salle de bains. Elle se sentait "bizarre", et se surprit à admirer son corps nu, dans le miroir de son armoire. Elle s’arrêta devant la glace, et passa ses mains sur ses seins ronds, haut plantés, aux petites aréoles grenues comme des framboises. Elle les sentit durcir sous ses doigts, qui descendirent lentement vers le bas de son ventre. Ses yeux s’attardèrent sur sa petite toison, couleur de feu, mais elle se ressaisit, et se précipita sous la douche.

Mais contrairement à ce qu’elle espérait, l’eau fraîche ne la calma pas. Elle ne put s’empêcher de glisser sa main sur sa chatte, elle eut l’impression que son sexe se liquéfiait, et elle sentit la cyprine couler entre ses cuisses. Ça ne lui était jamais arrivé, elle qui avait toujours résisté à la tentation de se masturber, même seule le soir dans son lit quand elle était ado.

Lorsqu’elle sortit de la douche, elle n’avait aucune envie de se rhabiller. Elle traîna ainsi dans la maison, en tenue d’Eve, et repensa soudain au livre qu’elle avait vu sur la table de Sarah. Elle alluma son ordinateur, et lança une recherche sur "Astarté".

Elle découvrit que c’était une déesses adorée au proche orient, dans l’antiquité, à l’origine de la croyance dans d’autres divinités, Aphrodite chez les Grecs, Vénus chez les Romains, déesses de la beauté, de l’amour, et de la séduction. En approfondissant sa recherche, elle lut que le culte d’Astarté s’accompagnait souvent de scènes de débauche. Elle éteignit son ordinateur, et retourna dans sa chambre pour s’habiller, avant le retour de Simon.

Lorsque celui-ci rentra, elle l’embrassa voluptueusement, faisant tourner sa langue dans la bouche de son mari. Celui-ci fut un peu surpris, Marie n’étant pas d’habitude si démonstrative, mais il s’expliqua son attitude par le plaisir qu’elle éprouvait à vivre dans leur nouvelle maison. Il se trompait, sa jeune épouse commençait à ressentir la montée d’un désir violent, comme elle n’en avait jamais connu.

Elle réussit néanmoins à se contenir, et la soirée se déroula à peu près normalement. Ils dînèrent sur la terrasse, profitant des derniers rayons du soleil, discutèrent de choses et d’autres, et Simon décida de prendre une douche, pendant que Marie se couchait la première. Mais lorsqu’il sortit de la salle de bain, en pyjama, et entra dans la chambre, il eut un choc!

Depuis leur mariage, Marie dormait toujours avec une chemise de nuit. Il la voyait rarement nue et, lorsqu’ils faisaient l’amour, deux ou trois fois par semaine, elle éteignait la lumière.

Là, sur le lit, il vit Marie, la chevelure dénouée, en tenue d’Eve, qui le regardait avec une expression plus que coquine. Ses seins étaient gonflés, leurs pointes dardaient, et elle écartait largement les cuisses, offrant à son mari le spectacle de sa fente luisante, juste sous sa petite toison rousse. Elle promenait une main sur sa poitrine, pendant qu’elle caressait légèrement son minou de l’autre main.

— Enlève ton pyjama, et viens me rejoindre, lança-t-elle.

— Tu tu n’éteins pas la lumière, bredouilla Simon, désarçonné.

— Non, ce soir, je veux te voir, mon amour, et te montrer mon corps.

Simon ne savait plus s’il devait se réjouir de cette transformation, ou être choqué. Il avait l’impression de se trouver face à une autre femme que celle qu’il avait épousée il y a quelques mois. Il enleva malgré tout son pyjama et se coucha à côté de Marie. Complètement déstabilisé, il ne bandait pas. Pas encore

— J’ai envie de tes mains partout sur moi, lui murmura-t-elle à l’oreille, en l’enlaçant tendrement.

Comme il commençait à la caresser timidement, elle prit sa main, et la guida vers ses seins. Elle l’obligea à les serrer fort, pour lui en faire éprouver la fermeté, tournant elle-même entre ses doigts ses tétons pour les faire saillir, et lui montrer ce qu’elle attendait.

La main de Marie descendit le long du ventre de Simon, et trouva sa queue, qui commençait à durcir et à se dresser. Tout en l’embrassant, elle fit durer longtemps cette caresse, jusqu’à ce qu’il bande comme un taureau, avant de lui demander à mi-voix:

— Regarde mon minou, lui aussi a besoin que tu t’occupes de lui, que tu lui fasses des bisous.

Simon se redressa sur un coude, et vit Marie, les cuisses largement ouvertes, écarter ses petites lèvres avec ses doigts, pour découvrir son petit bouton et l’entrée de sa grotte. Il fut submergé par le désir, et oublia sa réserve. Sa bouche descendit sur les seins de Marie, il les embrassa, mordilla les pointes, et glissa ses doigts dans sa fente. Il fut surpris de la trouver aussi trempée de cyprine, jamais elle n’avait mouillé comme ça.

Marie le guida, pour qu’il fouille son minou tout en stimulant son clito, et elle se mit à gémir. Elle qui, d’habitude, réprimait même ses soupirs quand elle faisait l’amour, se mit à feuler comme une chienne en chaleur.

Il fallut encore qu’elle le dirige, pour qu’il lèche et suce son petit bouton. Cette fois, elle poussa un petit cri aigu, lorsqu’il toucha le point sensible, et elle se mit à le branler. L’excitation leur fit oublier, à tous les deux, les restes de leur pudeur.

— Baise-moi, prends-moi, supplia Marie. J’ai envie de ta grosse queue, remplis bien ma chatte.

— Oui, mon amour, je vais te faire jouir comme jamais tu n’as joui!

Elle s’aida de ses mains pour écarteler ses jambes au maximum, et offrir à son mari sa fente béante. Il vint entre ses cuisses, prit appui sur ses bras tendus, et sans même guider son dard, le plongea d’un seul coup dans l’abricot de sa femme. Il s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles butent contre les fesses de Marie, et il se mit à la baiser avec une véritable rage, comme s’il voulait rattraper le temps perdu.

Après la précipitation de ce premier assaut, il ralentit le mouvement, pour faire durer le plaisir. Il se mit à aller et venir, tantôt lentement, tantôt très vite, jouant, à certains moments, à faire juste coulisser son gland au bord de la chatte de Marie, et à d’autres, s’enfonçant au plus profond de son ventre. La jolie rousse semblait devenir folle.

— Ouiii, c’est bon!!! Continue comme ça. Aaaah, plus vite! Oh je vais jouir

Marie fut tétanisée par un premier orgasme. Mais Simon se contrôlait, et continuait de labourer sa chatte, sans faiblir. Elle était ruisselante de sueur, des larmes de plaisir coulaient de ses yeux mi-clos, mais elle s’agrippait à ses hanches pour mieux s’emmancher sur sa bite.

Elle hurla quand il la fit jouir une deuxième fois. Ce n’était jamais arrivé. Une idée extravagante traversa lesprit de Simon.

— Regarde, lui dit-il en se retirant, je veux que tu me vois jouir aussi.

Marie baissa les yeux, juste à temps pour voir le mandrin de son mari trembler, puis libérer un flot de sperme, qui éclaboussa jusque sur ses seins.

Le souffle court, les deux époux s’abandonnèrent sur le lit, s’embrassant et se caressant tendrement. Mais petit à petit, Marie sentit le désir renaître entre ses cuisses. Elle branlait doucement Simon, mais il tardait à récupérer.

Elle se pencha sur lui, et prit la verge au repos dans sa bouche. Les goûts mêlés du foutre et de sa mouille, loin de la rebuter, lui semblaient au contraire délicieux. Comme si elle avait eu une longue expérience, elle se mit à sucer le gland, qui gonfla rapidement entre ses lèvres.

Le désir la submergea de nouveau. Tout en poursuivant sa fellation, elle enjamba le corps de Simon, et vint sur lui en 69.

— Bouffe-moi mon minou, lèche-moi, lui ordonna-t-elle, trouvant qu’il ne prenait pas l’initiative assez vite.

Il s’exécuta aussitôt. Simon découvrit, pour la première fois, les saveurs de la sève de Marie. Le cunni qu’il lui prodigua lui arracha très vite de nouveaux gémissements. Elle se redressa, se retourna, et vint s’empaler sur le pieu dressé qui avait retrouvé toute sa rigidité. Les yeux fermés, savourant chaque centimètre de cette pénétration, elle écartait ses petites lèvres, jusqu’à ce que sa grotte soit remplie totalement.

Alors, elle se lança dans une sorte de chevauchée sauvage, ponctuée de cris et de gémissements. Avec un art consommé, elle variait le rythme des mouvements de ses hanches, se penchant en avant, en arrière, contractant ses muscles autour du dard planté en elle.

Ils jouirent encore. Pour Marie, ce furent trois orgasmes, à quelques instants d’intervalle, puis Simon déchargea, cette fois dans sa chatte. Et ils s’endormirent presque aussitôt, sans penser à éteindre la lumière.

Le lendemain matin, ils se demandèrent s’ils n’avaient pas rêvé, et aucun des deux n’osa évoquer cette folle nuit pendant le déjeuner.

Avant que Simon ne parte travailler, Marie se rappela de sa conversation avec Sarah, et de sa promesse d’en parler à son mari. Celui-ci accepta bien volontiers de passer masser la vieille dame, après sa journée à l’hôpital.

En début d’après-midi, Marie retourna chez Sarah, pour lui en faire part. Celle-ci l’accueillit encore très chaleureusement, et les deux femmes passèrent un long moment à discuter, autour d’une bouteille de jus de pomme.

En rentrant chez elle, Marie ressentit de nouveau une impression étrange. Dans son jardin, la chaleur du soleil provoquait en elle un désir de se libérer de ses vêtements, de sentir ces rayons caresser chaque centimètre carré de sa peau. Très vite, ce désir devint impérieux.

Elle alla chercher un tapis de plage, datant de ses dernières vacances au bord de la mer. Puis elle enleva tous ses vêtements, et ressortit dans le jardin. Jamais elle ne s’était mise nue ainsi, dehors. C’était une sensation nouvelle, indescriptible. Elle éprouvait une excitation douce et agréable, ses seins étaient redevenus tout durs. Elle déroula le tapis sur le pavage disjoint qui servait de terrasse, et s’allongea en plein soleil.

Très vite, elle réalisa qu’il fallait qu’elle se protège des coups de soleil et de l’insolation. Elle rentra chercher un chapeau de paille et de la crème solaire. En passant devant la glace, elle admira une nouvelle fois le reflet de son corps nu. Elle avait du mal à se reconnaître dans cette image de femme belle et libre.

Son regard s’attarda sur son mont de Vénus. Une envie inattendue de modifier son aspect, de le rendre plus sexy, s’empara d’elle. Elle entra dans sa salle de bains, et rasa sa chatte, ne laissant qu’une étroite toison taillée en ticket de métro.

Elle retourna sur son tapis de plage, et s’y étendit, cuisses largement ouvertes, pour exposer son intimité aux rayons du soleil. Elle s’enduisit de crème solaire, ses mains s’attardant longuement sur les zones les plus érogènes de son corps. Ses doigts étaient attirés par sa fente comme par un aimant. Elle céda à la tentation, et commença à se caresser.

Marie fit durer très longtemps ce premier bain de soleil intégral, et sa peau prenait une belle couleur cuivrée. Elle ne s’était pas encore rhabillée quand Simon quitta l’hôpital. Comme convenu, celui-ci se rendit directement chez Sarah.

Lorsqu’il frappa à la porte de la ferme, la vieille femme vint lui ouvrir, en se déplaçant toujours dans son fauteuil roulant. Elle remercia avec effusion Simon d’avoir accepté de tenter de la soulager de ses douleur, et elle lui proposa de s’asseoir, pour goûter à son jus de pomme.

Tout en conversant, Simon aperçut sur une étagère plusieurs très vieux livres, dont les titres faisaient référence au culte et aux adorateurs d’Astarté. C’était décidément troublant.

Il découvrit à son tour le breuvage dont Marie lui avait parlé. Ce jus de fruit était excellent, et il ne pouvait se comparer à aucun de ceux qu’il avait bus auparavant. Ils restèrent assis devant la table de ferme, discutant de choses et d’autres pendant près d’une demi-heure.

— Si vous voulez, je peux vous masser maintenant, lui dit-il.

— Avec plaisir, mais il ne faut pas que ça vous dérange. Comment voulez-vous faire?, répondit Sarah.

— Le mieux, c’est que vous alliez dans votre chambre, que vous vous déshabilliez, et que vous vous allongiez sur votre lit, sur le ventre. Appelez-moi quand vous serez prête.

Sarah s’éclipsa, et quelques minutes plus tard, Simon entendit sa voix à travers la porte de la chambre. Il entra. La pièce était encore plus sombre que le séjour, et seule une petite lampe diffusait une faible lueur orangée.

Simon devinait plus qu’il ne voyait Sarah étendue sur le lit, ses fesses couvertes par une serviette. En s’approchant, il s’aperçut qu’elle avait aussi enlevé le foulard qui cachait sa chevelure, étonnamment brune pour une femme de cet âge. De même, sa silhouette n’était pas comparable à celles de ses vieilles clientes.

Les mains de Simon se posèrent sur la nuque de Sarah, et suivirent la colonne vertébrale, jusqu’aux reins, pour localiser les points douloureux et déceler d’éventuelles anomalies. Puis il fit de même en palpant ses jambes, cherchant les symptômes d’une sciatique. Il interrogeait régulièrement sa vieille voisine, pour qu’elle lui dise si elle avait mal, et où: elle se plaignait de douleurs à des points précis, concordants avec les signes d’arthrose ou de sciatique, mais ce que Simon sentait sous ses doigts était très différent, et surtout il était surpris par la fermeté du corps de Sarah.

Sans faire de commentaires, il débuta par un massage de son dos. Il exécutait ses gestes avec son habituelle rigueur professionnelle, mais il éprouvait une sensation étrange, un trouble qu’aucune patiente n’avait jusqu’à présent éveillé chez lui. Les réactions de Sarah renforçaient ce trouble: elle étouffait de faibles soupirs, et Simon avait l’impression que sa chair devenait de plus en plus tonique, comme celle d’une jeune femme. Au bout d’un moment, il s’aperçut, à sa grande honte, qu’il bandait.

Le jeune masseur délaissa le dos de Sarah, pour commencer à manipuler ses jambes, et son trouble ne fit qu’augmenter. Il sentait sous ses mains deux mollets magnifiquement galbés, deux cuisses musclées, et il résistait difficilement à l’envie d’enlever cette serviette qui cachait ses fesses.

Tout bascula quand les doigts de Simon remontèrent entre les cuisses de Sarah, et les trouvèrent trempées de cyprine.

— Vous serez peut-être plus à l’aise pour travailler comme ça, lui dit la femme d’une voix transformée, en faisant tomber la serviette sur le parquet.

Simon avait l’impression de devenir fou. Hypnotisé, il ne pouvait détacher son regard de ces deux globes aux formes parfaites, sur lesquels la lumière orangée de la lampe de chevet semblait se concentrer. Comme dans un rêve érotique, il posa ses mains sur ce magnifique cul, qui se cambra sous sa caresse.

— Vous ne pouvez pas savoir combien votre massage me fait du bien, Simon. J’ai l’impression de rajeunir sous vos mains, vous êtes un magicien

Il ne savait pas comment interpréter les paroles de Sarah. Se moquait-elle de lui? Mais il n’eut pas le temps de trouver la réponse à cette question: elle avait déjà replié ses jambes en se cambrant et en écartant les cuisses. La main du jeune masseur suivit le sillon entre ses fesses, et descendit jusqu’à la vulve offerte, dégoulinante de mouille.

Sarah tourna vers Simon son visage, dont il ne pouvait voir les traits dans l’obscurité. Il sentit les doigts de sa patiente ouvrir son jean, et empoigner sa verge dressée. Elle était d’une adresse diabolique, et elle se mit à le branler avec des gestes pleins de sensualité.

— Vous savez, Simon, reprit-elle, je pense que vous pouvez me faire du bien avec autre chose que vos mains. A lorigine de la douleur, il y a toujours des facteurs psychosomatiques, au moins en partie. La disparition du plaisir est autant la cause que la conséquence du vieillissement.

Simon comprit ce que Sarah attendait. Il arracha, plus qu’il n’enleva, ses vêtements, et il s’agenouilla entre les jambes écartées. Elle avait glissé sa main entre ses cuisses, et écartait ses petites lèvres, pour offrir sa fente au superbe gland qui en approchait. Elle poussa un cri, lorsqu’il s’enfonça en elle.

Il fut surpris par ce qu’il ressentait. La grotte de la vieille femme mais il ne croyait plus qu’elle soit  vraiment si âgée était d’une douceur incroyable. Il sentait les parois se contracter spasmodiquement autour de sa tige, et elle mouillait tellement qu’il la pénétra complètement d’une seule poussée.

Il voulut marquer un temps d’arrêt, pour faire grimper son désir, mais elle se mit à bouger ses hanches, pour s’empaler elle-même sur sa tige. Elle ahanait, en coulissant sur le pieu qui la perforait, comme une hardeuse. Simon se lâcha, et commença à pilonner de toutes ses forces cette chatte qui paraissait si avide de plaisir.

Soudain, il vit la silhouette de Sarah se découper sur la glace de l’armoire, éclairée en contre jour par la lampe de chevet. Il fut surpris de découvrir une superbe poitrine, ronde, sculpturale, qui bougeait au rythme du coït, et non pas les seins tombants d’une vieille femme, ballottant tristement. Incrédule, il prit les deux globes dans ses mains; ils étaient aussi fermes et gonflés par le désir que ceux de Marie, la nuit précédente.

Il la baisa pendant de longues minutes. S’il en croyait les cris que poussaient Sarah, et ses réactions, elle semblait jouir, mais elle ne se calmait jamais, comme si elle recherchait toujours de nouveaux orgasmes.

Simon se contrôlait de plus en plus difficilement, et Sarah marqua enfin un temps d’arrêt. Mais ce n’était qu’un court répit. Elle se dégagea de la bite qui avait chauffé son minou à blanc, pour mieux la guider entre ses fesses. Simon n’avait jamais sodomisé de femme, son éducation l’ayant amené à considérer cette pratique comme répugnante et contre nature.

De manière incompréhensible, cette répugnance s’évanouit instantanément, lorsque la main de Sarah empoigna son chibre, et le guida vers son petit trou. Il écarta de ses mains les deux superbes fesses, et elle amena son gland, enduit d’une épaisse couche de cyprine crémeuse, vers l’illet tout plissé. Simon ferma les yeux quand il pénétra l’étroit fourreau, qui s’ouvrit sans difficultés pour laisser le passage à son dard gonflé à en devenir presque douloureux. Il n’avait jamais bandé aussi fort, ni ressenti un tel désir.

Pendant tout le temps que dura la pénétration, Sarah feulait de plaisir, et remuait ses hanches doucement. Bientôt, les couilles de Simon touchèrent le cul somptueux.

— Allez-y, Simon, l’encouragea Sarah. Enculez- moi bien fort, à fond, faites-moi jouir encore.

Aiguillonné par la crudité des mots de sa voisine, il se mit à l’emmancher avec violence. Tout le corps de Sarah était secoué par ses coups de reins, au risque de tomber du lit, et elle se mit à hurler. Le contact sur son membre des parois de l’anus de Sarah, qu’elle contractait lorsqu’il ralentissait, le transformait en taureau furieux.

Cette fois encore, elle partit dans une succession d’orgasmes multiples, jusqu’à ce qu’il crie:

— Je vais jouir!!! Oh, je viens!!!! Mon dieu, comme c’est bon

— Ouiiii. Allez-y, Simon, supplia-t-elle. Inondez moi de foutre! Je veux que vous jouissiez dans mon cul.

Il éjacula alors, plus fort qu’il ne l’avait jamais fait. Il lui semblait que le flot de son sperme ne tarirait pas, et il en macula les fesses et le dos de Sarah, quand il se retira. Il se releva, trempé de sueur, et se rhabilla, après s’être sommairement essuyé avec la serviette tombée sur le sol. Sarah ne disait pas un mot, le bruit de sa respiration étant juste entrecoupé de petits ronronnements de chatte satisfaite. Il sortit de la chambre, pour la laisser récupérer et remettre ses vêtements, et l’attendit dans la pièce principale de la ferme.

Au bout de quelques minutes, Sarah le rejoignit. Simon fut stupéfait de la revoir, portant les mêmes  vêtements que lorsqu’il était arrivé, son foulard cachant ses cheveux, ses grosses lunettes, et se déplaçant à nouveau en fauteuil roulant. Comment croire que c’était cette femme qui avait joui peu de temps avant comme une chienne en chaleur, dans ses bras?

— Je ne sais comment vous remercier, Simon, lui dit-elle d’une voix redevenue calme. Vous êtes le meilleur kiné que je connaisse, et je me sens tellement mieux. J’ai une idée pour vous manifester ma gratitude, et j’en parlerai à Marie, quand elle reviendra me voir.

Simon prit congé, et rentra chez lui, où il retrouva Marie, qui s’était rhabillée, après son bain de soleil. Il ne lui raconta pas comment s’était terminé son massage Le soir, après le dîner, le jeune couple refit l’amour, avec le même enthousiasme que la veille, et Simon fit découvrir à Marie les plaisirs de la sodomie. Elle ne s’y refusa pas, et eut plusieurs orgasmes.

Le lendemain, Simon retourna à son travail, et Marie se retrouva seule. Elle ressentit le besoin impérieux de revoir Sarah, et commençait à se poser des questions sur son fameux jus de pomme:  avait-il un effet aphrodisiaque? Était-ce une sorte de philtre magique? Avait-il un rapport avec la pomme offerte par Eve à Adam? En fin de matinée, elle retourna chez sa voisine.

— Je ne sais pas s’il vous l’a dit, mais la séance de kiné que m’a prodiguée votre mari a eu sur moi un effet extraordinaire. Ce matin, je ne ressens aucune douleur, et je voulais faire quelque chose pour vous remercier. Je sais que vous vouliez remettre en état la terrasse pavée devant votre maison, et j’ai eu ce matin au téléphone Antoine, mon arrière petit cousin dont je vous avais parlé. Il est paysagiste, et il pourrait venir chez vous dans deux jours, pour faire le travail.

Marie remercia chaleureusement Sarah de son idée: elle serait beaucoup mieux installée, pour ses bains de soleil!

Elle grignota une salade le midi, en pensant à son bronzage. Avec Simon, ils iraient sans doute à la plage avant la fin de l’été. Ils allaient toujours dans une crique tranquille, et elle n’avait plus du tout envie de remettre ses anciens maillots, bien trop pudiques.

Une boutique de charme s’était ouverte récemment en ville. On y vendait des vêtements sexy, de la lingerie coquine, et plein d’accessoires. Elle s’y rendit en début d’après-midi, les yeux cachés par de grosses lunettes noires, de peur que quelqu’un la reconnaisse.

Elle fut toute heureuse de trouver tout un choix de maillots, deux-pièces, strings, une-pièces très échancrés ou transparents, tous plus sexy les uns que les autres. Elle prit plaisir à les essayer, même si certains lui semblaient impossibles à porter en public. Elle finit par choisir un splendide bikini bleu, composé d’un string et d’un petit soutien-gorge, dont les étroits triangles coulissaient sur des ficelles.

De retour chez elle, elle l’enfila pour un bain de soleil, mais très vite, elle le retira pour poursuivre son bronzage intégral.

Lorsque Simon rentra le soir, elle lui montra son acquisition. Elle craignait qu’il soit choqué; ce fut tout le contraire, et il lui fit de nouveau l’amour, avant le dîner.

Le lendemain matin, alors que Simon venait juste de partir, on frappa à la porte. Marie ouvrit, et se retrouva face à Antoine, le petit cousin de Marie, qui venait remettre en état la terrasse. Elle fut sidérée par sa beauté: c’était un grand brun, aux yeux bleus, au teint hâlé. Il portait un bermuda et un tee-shirt moulant, qui laissait deviner une musculature d’athlète. Il était accompagné d’un jeune homme d’une vingtaine d’années, tout aussi beau. Il le présenta comme étant Clovis, l’apprenti qui l’aidait.

Marie lui montra la terrasse, et Antoine approcha son petit camion. Elle rentra pour prendre sa douche, laissant les deux hommes travailler.

Toute la matinée, elle entendit leurs voix et le bruit des outils, sans oser sortir, autant pour ne pas les déranger, que par crainte de succomber à la tentation qu’elle sentait monter en elle.

Vers 13 heures, le bruit cessa, et elle ne put s’empêcher d’aller voir où en était le chantier. Elle fut stupéfaite: là où Simon avait prévu une semaine de travaux, Antoine et son aide avaient quasiment tout fait en une matinée. Elle leur proposa de rentrer pour leur offrir un rafraîchissement, mais ils refusèrent, expliquant qu’ils avaient prévu leur repas.

Au contraire, ce fut Antoine qui offrit à Marie un verre de vin, en précisant qu’il provenait d’un bout de vignoble appartenant à Sarah. Elle craignait de le vexer en refusant, et il lui servit un grand verre d’un vin aux reflets rouge sang. Elle le goûta du bout des lèvres, appréciant sa fraîcheur, et elle lui trouva un bouquet très particulier, à la fois capiteux et léger. Elle but rapidement son verre, puis un deuxième, pendant que les deux hommes mangeaient, avant de rentrer dans la maison.

Elle entendit de nouveau le bruit des outils, et elle ne pouvait s’empêcher de laisser son imagination divaguer. Elle ressentait aussi l’envie de se bronzer au soleil, mais la présence des deux hommes lui interdisait le nudisme, et elle repensa à son nouveau bikini: pourquoi ne pas l’étrenner?

Elle se précipita dans sa chambre, enfila son mini maillot, admira son reflet dans la glace, et sortit. Lorsqu’elle apparut dans l’embrasure de la porte, Antoine et Clovis marquèrent un temps d’arrêt pour l’admirer. Ils avaient enlevé leurs tee-shirts, dévoilant leurs torses ruisselants de sueur. C’était la première fois qu’elle sentait le regard d’inconnus sur ses fesses nues et bronzées, et un trouble nouveau l’envahit.

Elle avait pris son tapis de plage. Elle l’installa dans l’herbe jaunie, à quelques mètres de la terrasse, et elle ouvrit son flacon de crème solaire. Elle commença à en enduire ses épaules, son buste, son ventre, et le désir montait en elle. C’est presque avec une sorte de soulagement, qu’elle entendit la voix d’Antoine, derrière elle.

— Voulez-vous que je vous aide, madame? Je peux vous mettre de la crème dans le dos.

— Oui, merci, répondit Marie en rougissant un peu, et en s’allongeant sur le ventre.

Il prit un peu de crème dans le creux de sa main, et l’étala sur les épaules de Marie. Ses mains étaient étonnamment douces, malgré son métier. Pour éviter qu’il ne le tache, Marie dénoua les liens de son soutien-gorge, et le posa dans l’herbe.

Antoine prenait tout son temps. Il insistait pour faire pénétrer entièrement la crème solaire dans la peau cuivrée de Marie, et elle frissonna quand ses mains effleurèrent les côtés de ses seins, avant de descendre vers le creux de ses reins. A ce moment, elle sentit deux autres mains se poser sur ses jambes. Surprise, elle se redressa, découvrant sa poitrine: c’était Clovis, qui massait ses mollets, en remontant vers ses cuisses.

— Sincèrement, je n’ai jamais vu une femme aussi belle que vous, la complimenta Antoine. Votre maillot vous va à ravir, et l’absence de marques sur votre bronzage ajoute à votre charme.

— Merci, répondit Marie. D’habitude, je ne mets pas de maill, mais elle se rendit compte qu’elle venait de commencer une phrase de trop.

— Mais ii ne faut pas vous gêner pour nous, vous savez, nous ne voulons pas déranger vos habitudes.

Les mains de Clovis avaient atteint le haut de ses cuisses, à la naissance de ses fesses. Incapable de la moindre réaction, elle laissa Antoine défaire les nuds qui retenaient son string. Après tout, son bikini laissait déjà voir son petit cul. Le string alla rejoindre son soutien-gorge dans l’herbe. Elle était nue. Ce qui était pour elle impensable quelques jours auparavant, lui paraissait maintenant délicieux et la faisait mouiller.

— Voulez-vous que nous continuions?, demanda Antoine.

Le désir de s’exhiber devant les deux hommes était devenu impérieux. Elle se retourna, leur offrant le spectacle de ses seins gonflés, et de son mont de Vénus surmonté de sa toison soigneusement rasée et taillée.

Les quatre mains reprirent leur ballet sur le corps de Marie, et elle ne cherchait même plus à cacher son excitation. Au contraire, elle gémissait, les yeux mi-clos, et elle avait plus qu’entrouvert ses cuisses déjà humides. Mais les deux hommes poursuivaient leur massage, sans montrer leur désir, et ils évitaient soigneusement de toucher sa chatte. Elle n’en pouvait plus.

Enfin, ils enlevèrent shorts et slips, ils la firent se lever, et l’entraînèrent sur une table, qui servait habituellement aux repas du couple. Elle s’y retrouva, allongée sur le dos, ses jambes pendant de part et d’autres du plateau. Antoine et Clovis s’étaient placés de chaque côté, et malaxaient ses seins aux pointes dressées.

Sans réfléchir, elle prit leurs deux verges dans ses mains, et commença à les branler simultanément. C’était deux engins magnifiques, encore plus imposants que celui de Simon. La bite d’Antoine était longue et épaisse, parcourue de veines saillantes, tandis que celle de Clovis était encore plus longue, plus fine, mais dotée d’un énorme gland. Marie se mit à les sucer, alternativement, et elle eut l’impression de retrouver sur ces queues le goût capiteux du vin de Sarah. Une main fouillait son minou, mais elle ne chercha même pas savoir auquel des deux elle appartenait.

— Lequel de nous deux souhaitez-vous recevoir en premier dans votre antre d’amour?, lui demanda galamment Antoine.

— Vous, Antoine, répondit-elle.

Il se plaça au bout de la table, souleva les cuisses de Marie et, sans même s’aider de sa main, la pénétra avec douceur. Elle était si trempée qu’Antoine enfila toute sa longue verge, jusqu’au fond de son intimité. Elle entoura la taille d’Antoine avec ses jambes, et imprima elle-même les premiers va-et-vient du phallus dans sa fente.

Il se déchaîna, et se mit à la pilonner, en lui arrachant de longs cris de plaisir. Heureusement, la maison était isolée! Marie savourait ce mandrin qui la défonçait, pendant qu’elle suçait le gland turgescent de Clovis, attendant le moment où, lui aussi, la tringlerait. Et elle n’attendit pas longtemps Clovis vint prendre la place de son patron, et planta son dard d’une seule poussée, pendant que Marie retrouvait sur la verge d’Antoine les effluves de son propre sexe.

Elle a joui soudainement, sans avoir pu contrôler quoi que ce soit, en hurlant. Mais ses partenaires étaient résistants. Pendant plus d’une demi-heure, ils se succédèrent entre ses cuisses, avec une force et une puissance incroyables, et la jeune femme eut encore plusieurs orgasmes. Eux-mêmes finirent par éjaculer, chacun leur tour, dans la bouche de Marie, qui avala avec gourmandise le sperme qui envahissait sa gorge et coulait sur son visage.

Les deux hommes aidèrent Marie à se relever, mais ils n’en avaient pas fini! Ils la ramenèrent sur son tapis de plage. Elle s’abandonnait totalement à son désir et au leur. Agenouillée, les reins cambrés, elle écarta de nouveau les jambes, quand elle sentit la tête d’Antoine plonger entre ses cuisses.

Il déposa de petits baisers sur son minou, rougi par les allées et venues des deux gros phallus, et écarta délicatement ses petites lèvres. Le clito de Marie était là, gonflé par le désir, saillant hors de son étui, et il glissa sa langue sur sa tige. Marie poussa une longue plainte, en se cambrant encore plus, pendant que Clovis investissait sa bouche. Elle se mit à le sucer, avidement, et l’énorme gland reprit tout son volume.

La pointe de la langue d’Antoine se glissa dans sa grotte, et reçut le flot de cyprine qui s’en échappait. Puis les doigts d’Antoine remplacèrent sa langue, qui remonta tout doucement le sillon séparant les fesses de la jeune femme, jusqu’au petit illet plissé qui y nichait. La salive de l’homme se mêla à la cyprine qui avait coulée jusque là, pour lubrifier l’étroit orifice, dans lequel il introduisit un doigt. Surprise, Marie poussa un petit cri, mais sa première expérience de sodomie avec Simon lui avait donné le goût de cette pratique, et elle gémit de plaisir quand Antoine enfonça un deuxième doigt dans son petit cul. Elle se mit à onduler des hanches, en gémissant de plaisir, pendant qu’il vrillait son petit trou.

Il s’allongea sur le dos, la bite dressée à la verticale, comme le mât d’un bateau. Marie délaissa Clovis, pour venir s’emmancher dessus, les yeux brillants de désir. De ses doigts, elle écartait sa fente, plus pour découvrir son clito, que pour les besoins de la pénétration.

— Oh oui, c’est bon, délirait-elle, comme ça me fait du bien, ta grosse bite dans mon minou. Oh, ouiii! Je te sens bien!

Avant qu’elle ne se tringle elle-même sur la verge plantée dans sa grotte, Clovis vint s’agenouiller derrière Marie, et commença à écarter ses fesses.

— Oui, vas-y, encule-moi, l’encouragea-t-elle. J’ai envie de vous sentir tous les deux en moi.

Elle se cambra encore plus, pour mieux offrir son anus à la pénétration du gland turgescent. Il se dilata si facilement qu’elle même eut du mal à réaliser ce qu’il se passait. Bientôt, Clovis fut en elle, dans son petit cul, encore vierge il y a deux jours.

Il marqua une courte pause, avant de commencer à aller et venir entre ses fesses. D’abord doucement. Mais chaque poussée de Clovis faisait coulisser la chatte de Marie sur le dard qui la transperçait. C’était si bon que plus rien ne comptait pour elle, en dehors de ses deux orifices complètement investis, et elle se mit à crier.

Encouragé par les cris de Marie, Clovis accéléra le mouvement. Puis se déchaîna. Marie avait l’impression que la mince cloison qui séparait sa fente et son anus allait se déchirer, mais elle n’avait jamais rien connu d’aussi bon. Comme elle regrettait le temps perdu, quand elle s’obstinait à préserver sa virginité! Lorsqu’elle sentit l’orgasme arriver, elle s’y abandonna, convaincue que d’autres suivraient, aussi forts. Non, plus forts.

Elle ne s’était pas encore remise, que les deux hommes s’échangeaient déjà leurs positions. Antoine était bien décidé aussi à faire jouir Marie par son petit trou, même s’il était difficile pour elle de savoir si c’était son cul ou sa chatte qui était la source de sa jouissance, tant elle était comblée des deux côtés.

La queue d’Antoine était plus grosse, ses mouvements étaient encore plus puissants, et Marie avait l’impression que des feux d’artifice éclataient les uns après les autres dans le bas de son ventre et au creux de ses reins. C’est à peine si elle sentait les mains de ses partenaires qui parcouraient son corps, pressaient ses seins gonflés, ou titillaient son petit bouton. La sève coulait de sa fente, qui se transformait en fontaine.

Et finalement, elle jouit de nouveau. Non pas une seule fois, car les orgasmes se succédèrent, comme les vagues d’une mer démontée. Elle poussait de véritables hurlements, chaque fois que le plaisir la submergeait, tétanisée, remuant spasmodiquement ses hanches et ses fesses.

Elle aurait été incapable de dire combien de temps cela avait duré, et ce n’est que lorsqu’elle fut au bord de l’évanouissement qu’Antoine et Clovis se retirèrent. Ils n’avaient pas éjaculé.

Ils relevèrent Marie, et la firent agenouiller entre eux. Son visage était à la hauteur de leurs bites, et elle les prit dans ses mains, hypnotisée par les deux glands prêts à exploser. Elle n’eut que quelques mouvements de poignets à faire. Clovis déversa sa semence le premier, suivi de quelques secondes par Antoine, dans un concert de grognements.

Pour eux aussi, la jouissance semblait interminable. De longs jets de sperme jaillissaient de leurs méats, remplissant la bouche ouverte de Marie, maculant son visage, ses épaules, ses seins. Ils déversaient sur la jeune femme des torrents de foutre, dont elle fut bientôt couverte.

Il y eut un moment de calme et de silence, puis le trio se releva. Marie se doucha la première, suivie des deux hommes, qui prirent congé, après qu’elle les ait longuement remerciés. Ils montèrent dans leur camion et partirent.

Simon rentra peu après. Il admira le travail fait, en si peu de temps, sur leur terrasse. Mais Marie n’osa pas raconter tout ce qu’avaient fait les deux hommes par ailleurs

Le lendemain, Marie rendit sa visite, maintenant quotidienne, à sa vieille voisine. Elle la remercia elle aussi, pour lui avoir envoyé son arrière petit cousin; mais elle crut sentir une pointe d’ironie dans la voix de Sarah, lorsque celle-ci l’interrogea sur les travaux qu’il avait réalisés. Avant qu’elle ne parte, Sarah invita Marie et Simon, pour le samedi suivant, en fin d’après-midi.

Le week-end arriva, et le jour dit, Marie et Simon se rendirent à la ferme. Ils frappèrent à la porte, mais à leur grande surprise, ce ne fut pas Sarah qui leur ouvrit: c’était une très belle femme brune, qui semblait âgée d’une trentaine d’année. Mais ils furent encore plus étonnés par sa tenue, une longue toge en voile transparent, sous laquelle elle était nue. Ils reconnurent enfin la notaire, qui avait négocié la vente en viager de leur maison!

— Bonjour, leur dit-elle. Sarah est dans une dépendance et vous attend. Suivez-moi.

Elle entraîna le jeune couple jusqu’à un long bâtiment étroit, dans le fond du terrain, et ils y entrèrent. Ils le traversèrent et en ressortirent par une grande porte de bois précieux, ornée sculptures anciennes et de décors en bronze, et ils se retrouvèrent dans un immense patio.

Le sol était recouvert d’un dallage de marbre, entourant un grand bassin. Dans le fond, de hautes colonnes antiques habillaient la façade d’une sorte de temple. Autour du bassin et dans l’eau, des hommes et des femmes se prélassaient au soleil, et Marie reconnut Antoine et Clovis parmi eux.

Au bord du bassin, une superbe femme brune était étendue dans une pose voluptueuse sur un amoncellement de coussins richement brodés. Ils ne voyaient pas les traits de son visage, mais les proportions de son corps étaient parfaites, et elle ne portait, pour seuls vêtements, que de lourds bijoux anciens en or mat.

— Ô Astarté, déesse de l’amour et du plaisir, lui annonça la notaire, Marie et Simon sont arrivés. Veux-tu les accueillir parmi tes disciples?

La beauté brune se retourna, et les gratifia d’un sourire irrésistible.

Marie et Simon restèrent bouche bée: Astarté n’était autre que Sarah,

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