Voilà maintenant presque trois heures que je roule. Il faut que je marrête pour faire une pause. Jai besoin de vider ma vessie mais sur ces petites routes, il ny a pas toujours daire aménagée. Au bout dune ligne droite, un petit bois avec un chemin me semblent approprié. Je my engage et arrête la voiture derrière les arbres. Je descends et menfonce un peu dans les fourrés. Je défais ma braguette et laisse glisser mon bermuda sur mes chevilles. Comme à mon habitude, je ne porte pas de caleçon. Quel plaisir de se dévêtir dans la nature. Je retire également mon teeshirt. Jattrape mes affaires pour ne pas les mouiller et les accroche sur une branche. Je me soulage tranquillement lorsquapparaît un gros chien, type danois. Je ne suis pas très rassuré mais il me regarde un moment sans bouger en remuant la queue, fixant mon sexe. Il savance doucement. Je regarde si son propriétaire le suit mais je ne vois personne. Tout près de moi maintenant, je sens son museau sur mes cuisses, puis sur mon sexe. Je nose pas bouger. Il renifle puis commence à me lécher entre les jambes. Très vite sa langue vient sur ma queue qui a commencé à grossir. Sa langue un peu râpeuse ma fait un effet terrible, englobant ma pine maintenant dressée et mes couilles. Adossé contre un arbre, je le laisse bien volontiers faire, écartant même les jambes pour lui donner accès un peu plus loin entre mes cuisses. Sa langue simmisce entre mes fesses, que jécarte avec les mains, offrant ainsi ma rondelle à sa langue experte. Je me retourne et me penche, écartant largement les cuisses, offrant ma croupe à ce nouveau compagnon. Sa langue explore maintenant ma raie en profondeur, poussant sur ma rondelle que je sens palpiter de plaisir. Je tombe à genoux dans les feuilles mortes, gémissant de plaisir, comme une chienne en chaleur. Car je suis devenue une chienne, sa chienne. Japerçois sa verge entre ses pattes sortie de son fourreau. Elle est déjà bien longue et ses coups de rein montrent son excitation. Il passe ses pattes avant de chaque côté de mes hanche, approchant ainsi son membre de mes fesses. Ses premiers assauts sont un peu maladroit, sa pine tapant mes fesses mais elle pointe vite sur ma rondelle. il glisse facilement dans mon ventre par des coups rapides. Je le sens me posséder, envahir mon ventre jusquà se plaquer contre mes fesses. Ses cuisses musclées et poilues contre les miennes, il halète dans mon coup sans arrêter ses coups de rein. Je le sens grossir encore. Je suis aux anges. Moi aussi je bande et ma queue se balance en rythme sous mon ventre. je voudrais me branler mais je dois garder mon équilibre sous ses assauts. Alors que je sens encore ma rondelle se dilater encore, les premiers jets de semences me font gémir de plus bel. Il me féconde comme une femelle. Il me remplit de son sperme dominant. Je frissonne de plaisirs, possédé comme une chienne en chaleur. je sens mon jus sécouler de ma queue. Je jouis par le cul, baisé par un chien. il se déverse encore dans mon ventre. Chaque jet me fait gémir de plaisir et je savoure ce moment. Ses coups de rein ont cessé mais il est toujours collé à moi, sa verge bien au fond de mon ventre. Devant mes yeux apparaît une paire de chaussures. Je lève les yeux vers un homme qui se caresse. Se queue dressée me semble énorme.
— Je vois que Cisco sest trouvé une jolie femelle en chaleur !
Il mattrape les cheveux derrière la tête pour la maintenir vers lui. la douleur le fait ouvrir la bouche mais sa grosse queue mempêche de crier. Me voilà pris entre deux jolis membres. Instinctivement, je me mets à le sucer, avalant le plus loin possible le gland turgescent. Cisco se recule, libérant mon anus en le laissant ouvert. Je sens sa semence couler le long de mes cuisses. Je continue la fellation, encouragé par les gémissements de son maître. Je magenouille pour pouvoir lui caresser les couilles. Elles sont toutes lisses, bien grosses et pendantes. Je délaisse un instant la tige de chaire pour les gober lune après lautre, passant ma langue loin entre ses cuisses. Sa queue repose sur ma figure, dure et mouillée de ma salive.
— Tu es un bon chien Cisco. On est tombé sur une vraie femelle en chaleur. suce-moi bien toi ! moi aussi je vais te baiser !
Cisco sest couché un peu à lécart et regarde son maître en train de se faire sucer la queue par la femelle quil vient de féconder.
— Tournes toi, me lance-t-il mattrapant les hanches fermement. Montre-moi ta chatte de femelle ! Hummm oui Cisco ta déjà bien dilatée et il ta mis la dose !
Il se met à genoux entre mes jambes et place son gland contre ma rondelle qui souvre à son contact. Je me cambre et pousse pour mieux moffrir. En un seul coup de rein, il est planté jusquà la garde, son ventre contre mes fesses. Commence alors pilonnage puissant. Je sens son gland contre mes chaires intimes me faisant gémir de plaisir. Son ventre claque contre mes fesses et ses couilles se balancent contre les miennes. Très vite je le sens se raidir. Sa queue devient un gros pieu sur lequel il mempale sans ménagement. Il pousse un cri rauque en se plaquant contre mon cul, sa queue plantée au plus profond de mes entrailles. Je sens son foutre gicler en moi. Je contracte mes sphincters en roulant des hanches. Il sassois sur ses chevilles en me gardant plaqué contre lui. Je me redresse avant de redescendre sur son membre. Il donne alors des coups de rein pour se vider les couilles. Je reste immobile, appuyé sur mes mains, le laissant se terminer dans mon ventre. Lorsque je le sens perdre un peu de vigueur, me rassois sur lui un instant avant de me dégager. Sa queue glisse facilement maintenant un peu moins dure et couverte de sa semence. Ma rondelle peine à se refermer. Je me tourne vers lui et le reprend en bouche tout en lui caressant les couilles. il semble surpris mais me regarde en souriant. Cisco sest rapproché et se remet à me lécher le cul. je bande toujours comme un fou. Le maître me repousse et me fait rouler sur le dos. Il attrape ma queue et me branle vigoureusement.
Il ne me faut pas longtemps pour jouir à mon tour. Mon sperme gicle jusquà ma figure et ma bouche grande ouverte. Il collecte mon foutre sur mon ventre avec ses doigts et me les fait sucer.
Il se relève, fouille dans ses poches et me lance un papier.
— Si ça te dit, passe me voir
Il appelle Cisco et disparaît derrière les arbres. Sur le papier, un nom avec un téléphone.
Vais-je me décider à lui rendre visite ?
