Histoires gays Premières histoires de sexe

Vacances 2002 – Chapitre 1

Dilatator - Chapitre 2



Il y avait longtemps que nous n’avions pas profité des choses simples de la vie avec mon épouse ; Les enfants, le travail, la maison, le stress…nous cantonnaient à une vie de routine. Nous profitions donc de nos vacances ou nous nous retrouvions tous les deux, pour nous amuser : Plage, bain de soleil, balades, restaurants et boite de nuit. Pas de folies mais des activités qui nous faisaient plaisir. Nous décidâmes ce samedi soir de manger dans ce restaurant chic pour ensuite aller danser dans une discothèque.

Nous nous étions habillés pour la circonstance, surtout Annie qui était franchement sexy. Une mini-jupe ultra courte qui laissait deviner son string lorsqu’elle se baissait, des bas, ainsi qu’un petit haut largement ouvert sur sa magnifique paire de seins à peine voilés par son soutien-gorge.

Malgré un air coquin, Annie, plutôt prude abordait le sexe et tout ce qui s’y rapportait avec frilosité ; J’avais malgré tout, réussi à la décoincer un peu, le temps et la pédagogie aidant. Ceci étant, nous n’avions jamais fait d’escapades d’un côté comme de l’autre.

Le repas fut léger et copieusement arrosé ; Sans tomber dans l’ivresse, nous étions tous deux passablement éméchés et de ce fait plutôt enclin à la rigolade. L’alcool avait un effet inhibiteur et Annie se laissait aller plus facilement à la gaudriole.

Nous partîmes bras dessus, bras dessous, et arrivâmes enfin au ’ PREDATOR ’ boite de nuit en vogue sur la côte.

’ Bonsoir nous dit le videur chargé de contrôler les entrées,

’ Bonsoir ’ Une vaste entrée s’ouvre sur plusieurs pistes de danse, elles-mêmes entourées de tables et de chaises avec en circonférence des cabines quasi fermées qui permettent une certaine intimité. Je demande donc si c’est possible d’avoir une cabine au videur qui me répond que l’on doit prendre à minima une bouteille de whisky pour y prétendre. Sans demander avis à ma femme j’achète le bon pour l’entrée, la bouteille de whisky et entraîne ma moitié dans le box le plus retiré de la piste. ’ ’T’es fou me dit t’elle en riant, on ne va jamais boire tout ça et puis j’aime pas le whisky ’

’ Bah, ils offrent les jus de fruits et le coca, tu trouveras bien de quoi étancher ta soif ’ lui dis-je.

Le box est en effet assez isolé et comprend deux grandes tables et un total d’une dizaine de chaises, vides pour l’instant. Je m’installe, ma femme fait de même, je l’attrape, l’enlace, l’embrasse avec ferveur et lui caresse les seins et le sexe qui ne tarde pas à être trempé. Craignant l’arrivée d’autres personnes, je me calme mais lui ôte son soutien-gorge que je range dans son sac.

’ Bon je vais aller chercher les boissons ’ lui dis-je.

Le bar est immense avec déjà pas mal de consommateurs, j’attends mon tour, récupère mes bouteilles et retourne au box.

A mon grand désespoir, environ dix personnes se sont installées, ont empiété sur notre table et discutent déjà avec Annie avec un verre à la main.

’ C’est Christine me dit-elle, la jeune femme avec qui j’ai sympathisé dans la résidence de vacances ’

Elle se lève, me tend la main ’ Bonsoir ’, je lui rends son salut ’ bonsoir ’

C’est une très belle femme, très sexy aussi mais plus jeune d’au moins quinze ans que nous. Les autres, tous des jeunes hommes me saluent et continuent de boire et de discuter. L’ambiance est bonne et hormis deux loustics tatoués de la tête au pied, tous semblent sympas. Entre mes bouteilles et celles plus nombreuses de nos voisins, l’alcool coule à flot et tous sans exception commencent à être bien chaud, Annie la première qui avale vodka, rhum et whisky sans jus de fruit, un comble quand on la connaît !

Une petite partie du groupe dont Christine décide d’aller danser, l’autre dont nous faisons partie reste à discuter toujours un verre à la main.

Annie est affalée sur le siége et la jupe remonte sans problème jusqu’au string qui lui entre dans le sexe mais au lieu de le lui dire, je passe ma main derrière ses fesses,(un joli petit cul bien rebondi), tire un peu plus dessus pour la monter encore … et sens la main de son voisin de droite qui lui tripote les fesses avec vigueur et certainement le sexe étant donné la position basse de la main

Contre toute attente, au lieu de faire un scandale et lui mettre mon poing dans la gueule, je ne dis rien et continue comme si de rien n’était. Rassuré par mon silence, il continue avec moi le tripotage du cul de madame qui, les yeux hagards, se laisse faire. A priori, en dehors du fait que les autres matent les seins et la culotte de mon épouse, personne ne s’est aperçu de rien ou fait semblant.

’ Allons tous danser ’ lance l’un d’eux, ’ ok ’ répond un autre.

Et nous voilà tous partis sur la piste, Annie bien encadré par son peloteur qui me lance un coup d’oeil et moi-même. C’est lui en premier qui l’enlace et l’invite à danser sur un slow, rejoint par un second larron qui se place derrière. Je rejoins le bar à deux mètres de la piste et observe. Celui dans le dos lui soupèse et lui caresse les seins amoureusement alors que l’autre a complètement relevé la jupe et lui malaxe les fesses sous le string, avec vigueur. Son cul est prodigieusement excitant et ressemble à une jolie pêche délicatement séparée par une raie sans fin.

Ma femme a du retrouver un peu ses esprits et se débat mais elle est fermement tenue et n’arrive pas à s’échapper, sa bouche se retrouve bâillonnée par un baiser langoureux. Une main a quitté un sein et a plongé dans le slip et lui caresse son sexe rond, épilé et gonflé. Après quelques petites minutes de rébellion, Annie cesse peu à peu de s’agiter et chacun l’embrasse à tour de rôle passant de devant à derrière et ainsi de suite. Annie répond maintenant favorablement à leur baisers et caresse les verges au travers du pantalon Je vois le string glisser doucement le long des jambes pour finir par terre, éjecté par un petit mouvement du pied puis piétiné par les danseurs. Annie a toujours la jupe relevée au dessus de la taille et plusieurs danseurs touchent en passant son petit cul d’amour. L’animateur annonce la fin du slow et envoie la musique qui prévient que les gogo-girls entrent en scène. En effet des cages descendent du plafond avec de superbes jeunes femmes qui se dénudent. C’est l’excitation générale.

Dans leur coin mes deux lascars enlacent toujours leur proie la tripotant sans relâche, des mains inconnues les ont rejoint et la caressent, un inconnu est derrière elle et lui écarte les fesses frotte son sexe sur le long de la raie des fesses, se baisse un peu puis la prend en levrette Mon épouse se penche un avant afin de favoriser la pénétration.

Je ne vois plus tout ce qui se passe, un groupe de sept, huit personnes l’entourent et lorsque j’arrive péniblement à me rapprocher en arguant que c’est mon épouse qui est au milieu, je trouve ma femme complètement à poil hormis ses bas, à quatre pattes, en train de se faire baiser par un autre type énorme du style motard américain.

Son peloteur du début est maintenant dans sa bouche, une grande bouche capable d’accueillir au moins deux verges de bonnes dimensions, des mains la pelote de partout. Il lui faut peu de temps pour qu ’elle se retrouve couverte de sperme sur la figure, le dos et les cheveux. Et elle s’active, sa croupe, les cuisses ouvertes au maximum, ne cesse de bouger et elle suce maintenant plusieurs sexes alternativement ou ensembles. Je bande comme un fou en voyant ma femme se faire baiser comme une chienne et j’aimerai bien maintenant profiter de l’orgie. Le groupe ne cesse de grandir et elle a du soulager maintenant au moins dix hommes. La frénésie gagne la salle car on entend des cris de femmes et l’on voit des effets féminins voler de toute part. Les videurs essaient d’intervenir mais en vain, certains même profite de l’occasion et l’un d’eux s’envoie aussi Annie.

On amène une table et on l’allonge à plat ventre dessus, puis après une rapide lubrification à la salive, et l’entrée de quelques doigts, elle se fait enculer qui le veut bien, la bouche toujours pleine avec les seins entre bonnes mains. Ce n’est plus maintenant qu’une bête de sexe.

Le calme revient peu à peu, bizarrement la police n’est pas intervenue, a t’elle seulement été appelée ? J’aide Annie à se relever, elle en profite pour chercher ma braguette, Je la mets debout de force et retournons dans notre box. Les autres en ont fait autant, ils sont plus ou moins habillés, griffés ou encore en érection. Christine est là, elle aussi, à moitié nue, elle s’approche de moi, me gifle, se met à genoux et me soulage par une pipe magistrale, elle s’approche d’Annie l’allonge sur le canapé, sort un concombre de je ne sais ou ??? et se met à la goder frénétiquement. Puis elle se met en tête bêche et commence à la sucer, la laver du sperme qui dégouline de son sexe, elle prend ensuite une bouteille et commence un long va et vient dans les deux orifices à sa portée, les hommes encore valides remplacent rapidement la bouteille et les femmes jouissent ensembles sous un dernier déluge de sperme.

Ensuite….. Ce n’est pas fini, mais je vous laisse deviner.

3) Le concert

Heureux, nous étions heureux ; En effet nous nous étions inscrits pour un concert en plein air chose que nous n’avions pas fait depuis plus de vingt cinq ans.

Le jour ’ J ’ était enfin arrivé. Aller-retour en car, pour la tranquillité.

La journée s’annonçait ensoleillée et chaude, Annie avait mis sa petite jupette plissée et son débardeur et moi mon Lewis et polo. Nous avions tout de même prévu une petite laine, les soirées dans la région pouvant être fraîches, même à la fin du moi de mai.

On aurait cru une jeunette de vingt ans avec sa jupe courte, très courte et son haut qui laissait deviner sa poitrine nue aux emmanchures évasées. Il est vrai que pour sa quarantaine avancée, Annie était belle, avec une poitrine et un corps que beaucoup de femmes, même plus jeune, pouvaient lui envier. Ce qui lui permettait de sortir sans soutien gorge et de continuer à porter des strings, slip brésiliens ou rien dessous dans ses humeurs coquines.

Nous attendions avant de monter dans le car et discutions avec un jeune couple tout juste marié et qui attendait leur premier enfant, madame, une très belle femme, était enceinte de trois mois pour être précis. Sinon La population était diversifiée : Quelques personnes de notre age, quelques jeunes séduits par des groupes de notre génération, et malheureusement une bonne trentaine plutôt de type loubard de tout âge, appartenant à une même bande à ce que je pouvais en juger. Mais peut importe, une fois sur place nous nous séparerions et de plus j’avais peut-être des ’ à priori ’ négatifs.

Nous nous étions présentés dans les premiers afin de pouvoir choisir nos places et dès que la porte du car fut ouverte nous nous installâmes sur la banquette du fond sur la droite, moi prés de la vitre et Annie à coté de moi.

Mal nous en pris car, hormis le jeune couple qui s’était installé deux rangées devant nous, la bande de loulou suivit dans la foulée et vint s’installer à coté et devant nous. Ils occupaient à eux seuls, plus de la moitié du car.

Et le car se mit en route.

Au bout d’une trentaine de minute, bercée par la route, ma femme s’endormit sur mon épaule.

Le groupe autour de nous restait calme, tout se passait pour le mieux.

’ Ca va chauffer ’ me dit le plus âgé de la bande, assis à coté de nous et qui devait avoisinait les soixante ans. Tatoué à loisir, les cheveux rasés, balafré sur une partie du visage, il ne m’inspirait guère confiance.

’ Oui ’ pourtant c’est un groupe qui commence à avoir de la bouteille mais toujours la pêche ’ dis-je

’ C’est vrai ’, ’ un p’tit coup avec nous ’ me dit-il en me tendant une bouteille de bière, ’ Pas de la bière, mais c’est bon ’, ’ Moi c’est Paulo ’

N’osant pas trop refuser, je me présentais, prenais la boisson et trinquais avec eux. C’était amer mais pas mauvais du tout et passait tout seul.

Annie s’affalait de plus en plus et il poussa un peu ses acolytes, se poussa un peu aussi afin qu’elle puisse s’allonger.

’ Votre femme ? ’

’ Oui, depuis vingt cinq ans ’ répondis-je

’ Plutôt jolie ’

’ Merci ’

Le temps passait et la boisson coulait à flot, nous discutions de chose et d’autres pendant que la troupe commençait à s’agiter et à fumer, je ne sais trop quoi, il est vrai que cela commençait aussi à me tourner sérieusement la tête.

Annie était maintenant allongé, les fesses bloquées par son voisin, les jambes à moitié pliées et sa tête sur mes cuisses, en glissant la jupe avait remonté et on lui voyait maintenant le début de sa fesse gauche. La tête me tournait de plus en plus mais je me sentais très bien, euphorique et joyeux..

’ Ca fait toujours ça au début mais on s’y fait très vite, trop vite, après il en faut plus ’

Ceci disant, Paulo, passait sa main sur la partie découverte de la fesse d’Annie et remontait la jupe, je ne disais rien, à vrai dire j’avais l’impression de voir le spectacle comme une tierce personne et cette grosse paluche sur le cul de ma femme ne m’importunais pas au contraire, je trouvais cela joli et érotique, il continuait de tripoter gentiment les cuisses et le cul d’Annie toujours assoupie.

Sa main passa longuement sur la raie des fesses pour redescendre sur la fente du sexe au dessus du string.

’ Encore bien ferme ’ dis-je à Paulo, ’ Les seins c’est pareil ’ et joignant le geste à la parole, je relevais le petit débardeur et révélais la poitrine appétissante de ma femme.

Paulo vérifia de suite si mes dires étaient vrais et attrapa le sein à sa portée, doucement il le soupesa et titilla la pointe qui répondant au toucher, se redressa.

Petit à petit, sensible aux caresses prodiguées, Annie commença à bouger et à lancer des petits ’ humm ’ dans son sommeil. Elle se mit complètement sur le dos et s’installa confortablement en allongeant les jambes sur Paulo et son voisin.

Dans la manoeuvre la jupette remonta suffisamment pour laisser apparaître son joli string rouge qui cachait à peine son sexe bombé. Je continuais de peloter les seins d’Annie pendant que Paulo prenait le sexe à pleine main et le malaxait fermement. Son acolyte caressait les jambes et des cuisses qui s’entrouvraient de plus en plus.

Annie commença à ouvrir les yeux et mit un petit bout de temps avant de réaliser la situation, elle essaya de se relever.

’ Qu’est ce que vous faites vous êtes fous ’ dit-elle surprise et inquiète.

’ Tiens-la ’me dit Paulo en l’empêchant de crier avec sa main. Je m’exécutais avec un air détaché et bloquais Annie pendant que Paulo lui mettait un mouchoir devant la bouche et le nez. Je trouvais tout ça étrange mais laissez faire.

Je ne sais pas ce qu’il y avait sur le mouchoir mais Annie se calma rapidement et se mit à sourire, l’air hébété, un peu paumée.

Paulo recommença à pétrir doucement le sexe déjà humide.

’ Elle mouille déjà la salope ’ dit-il en me regardant.

Les loubards les plus en avant dans le car s’étaient rapprochés et encombraient l’allée centrale, buvant fumant et faisant du bruit, ils nous isolaient du reste du car. Annie semblait bien, je ne sais pas ce qu’elle avait respiré mais cela l’avait désinhibé. Paulo continua de la caresser, écarta le string et commença à promener son index sur la fente en un lent va et vient pour lui introduire un doigt dans le sexe, sexe qui jusqu’à ce moment n’avait jamais connu quelqu’un d’autre que moi.

Les caresses continuaient à faire leur effet car ma femme écarta de nouveau les jambes.

Paulo pris son cran d’arrêt puis coupa les cotés du string qui dévoila un sexe bombé, trempé et parfaitement épilé.

’ Vraiment un beau petit lot, tu ne pensais tout de même pas la garder pour toi tout seul ’ me dit-il

’ Hé! Le crasseux, vient ici ’ dit-il à l’un des loubards

Le crasseux tenait plus du clochard qu’autre chose, à moitié déjanté, sale, les dents restantes pourries et les fringues rafistolées.

’ Montre-lui la bête ’ dit Paulo.

Le crasseux déboutonna maladroitement sa braguette de pantalon, sorti un sexe qui aurait laissé Rocco Siffredi sans souffle, pendant que Paulo triturait seins et sexe avec un plaisir non dissimulé.

’ Depuis dehors, elle me fait bander ta salope avec le bout de tissus qui lui sert de robe, à chaque fois qu’elle se baisse, on lui voit le cul ’

’ Colle la bite de mon pote dans la bouche de ta femme ’ me dit-il.

J’attrapais le sexe monstrueux et le guidais dans la bouche d’Annie en le branlant . Elle commença à le sucer doucement puis avec fougue levant de temps en temps sa tête de mes cuisses afin de mieux l’avaler, pendant ce temps Paulo la godait avec la petite extrémité d’une batte de base-ball. Crasseux accéléra le mouvement de va et vient et finit par lui éjaculer dans la bouche et sur le visage. Annie avala le maximum de semence et récupéra ce qu’elle put en passant sa langue autour de la bouche. Crasseux essuya sa bite avec les cheveux de ma femme et s’éloigna.

’ A toi la branlette ’ dit-il à un autre de ses hommes. Pendant ce temps Paulo avait retourné sa batte de base-ball et empalait Annie qui jouait de la croupe avec véhémence; La batte dégoulinait, tellement elle mouillait.

A priori nous n’étions pas seuls dans l’action, je vis en effet que le jeune couple était entouré par quelques loubards.

La branlette arriva sorti son sexe, se masturba et éjacula rapidement, avant d’arriver dans la bouche, il se répandit sur les seins d’Annie. Et le ballet ne faisait que commencer et environ une demi-heure après, elle avait épongé une dizaine d’hommes.

Elle était maculée de sperme, avait des suçons sur les seins et ressemblait à une chienne en chaleur. Paulo dit à l’un de ses hommes ’ Amène-moi les deux tourtereaux ’

Léa et son mari furent amenés sans ménagement.

Léa était aussi très belle, ils lui avaient baissé son short et ouvert le chemisier, elle ne portait ni slip, ni soutien-gorge, ses seins étaient laiteux, ronds et bien droits, gonflés pas sa grossesse, son ventre commençait à peine à rondir et son sexe était tout aussi épilé que celui d’Annie. Elle pleurait, son sexe dégoulinait de sperme qui tombait dans le short en bas des jambes.

Son mari lui avait un bleu à l’oeil, ils n’avaient pas été drogués mais menacés et frappés, je commençais à retrouver mes esprits, et me rendais compte de la situation et de tout ce qui se passait.

’ Tiens le jeunot, ton cadeau de mariage ’ dit-il au mari de Léa en désignant Annie.

Loïc jeta un regard sur moi, l’air désolé et s’approcha de mon épouse. Paulo se poussa, enleva la batte de base-ball de son intimité et installa Annie les seins contre la banquette, au milieu face à l’allée, les genoux au sol.

’ Prend la, personne n’a encore pris sa chatte ’ dit-il.

Loïc enleva son pantalon et le sexe durci, enfila Annie qui reculait sa croupe pour mieux sentir son partenaire, elle attrapa Paulo par la cuisse, le rapprocha, sorti sa verge et se mit à la sucer avec frénésie

’ C’est une vrai nympho, ta gonzesse ’ me dit-il.

’ A ton tour d’avoir du plaisir, on a du savoir-vivre ’ me dit-il en riant grassement. Il intima l’ordre à Léa de s’approcher.

Elle vint s’asseoir sur mes genoux et pleurait discrètement

’ Je suis désolé ’ lui murmurais-je à l’oreille, maintenant avec toute ma lucidité

’ Je sais ’ me dit-elle

Je lui caressai le visage essuyais ses yeux et l’embrassais tendrement sur la joue. Elle me rendit mon baiser. C’était fou, j’avais envie de l’embrasser, de l’étreindre, j’étais vraiment attiré par Léa, au-delà du sexe mais c’est elle qui me dit ’ Je suis contente d’être dans vos bras ’ et elle pris ma bouche pour un baiser fougueux.

Pendant quelques secondes nous nous sentions seuls au monde. Nous nous enlacions, embrassions, caressions comme deux amants amoureux et c’est logiquement que nous fîmes l’amour… devant les autres.

Loïc vida son jus dans Annie qui jouissait pour la troisième fois. Paulo sorti de sa bouche se plaça derrière lui lubrifia l’anus avec sa salive et l’encula sans plus de commentaire.

Les loubards avaient pris le contrôle du car et personne ne disait mot

Léa et Annie eurent le droit à de nombreux nouveaux assauts ainsi que quelques femmes de l’avant du car. Elles se firent remplir tous les trous séparément ou en même temps plusieurs fois. J’avais autant de mal pour Léa que pour Annie qui avait l’air de bien s’envoyer en l’air, enfin la drogue contenue sur le mouchoir excusait sa fougue. Loïc était dépité et ne bougeait plus

Annie attrapa d’autorité Léa par la taille se mit à lui caresser les seins et la coucha sur la banquette. Paulo l’aida dans son initiative et tritura la poitrine à son tour pendant qu’Annie se mit à lécher le minou de Léa, crasseux en profita pour explorer l’anus de ma femme qui écarta les cuisses pour mieux être enfilée. Paulo se fit tailler une pipe par Léa qui commençait à succomber à la langue experte de mon épouse. Ils jouirent tous les quatre presque en même temps

Paulo rentra sa verge, remis de l’ordre dans sa tenue, appela ses hommes et pris la parole

’ Comme vous avez pu le constater, nous nous sommes emparés du car. Nous en avons profités pour vous donner un peu de plaisir, mais maintenant vous récupérez vos fringues et allez tous descendre au prochain arrêt ’

Et en effet quelques kilomètres plus tard, le car s’arrêta.

Ils récupérèrent tous les téléphones portables et nous laissèrent en slip et soutien gorge pour les femmes qui en portaient, en pleine cambrousse.

A priori Ils ne craignaient ni d’être reconnu, ni d’être dénoncés, heureusement pour notre vie.

Et ils partirent, nous laissant meurtris sur le bord de la route.

Nous fûmes récupérés quelques heures après grâce à un automobiliste qui prévint les autorités.

Personne n’entendit plus jamais parler du car volé et de ses occupants.

Notre plainte n’eu jamais de réponse et cela passa comme un fait divers sur les journaux.

Annie retrouva ses habitudes mais dut suivre une thérapie pendant quelques semaines

Je revois souvent Léa, nous sommes devenus amants et c’est bien là le coté positif de cette histoire

Si vous pensez que ce récit est simplement une fiction, regardez les journaux de fin mai.

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