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Vacances au septième ciel – Chapitre 1

Vacances au septième ciel - Chapitre 1



Après vingt années de mariage, notre fils ayant quitté le domicile parental, j’ai décidé de fêter tes 45 ans dignement en te faisant la surprise d’un voyage en amoureux. Je t’ai caché la destination et t’ai juste demandé de prévoir des vêtements légers. Lorsque nous sommes prêts à partir, tu es très excitée, et tu me sautes au cou. Mes mains se posent naturellement sur tes fesses. Je remarque du coup que ta robe, les bras levés, t’arrive au ras des fesses. Le voyage va être sympa.

C’est une petite robe volante bleue, à fleurs, avec des boutons sur le devant. Tes cheveux sont attachés et une paire de lunettes de soleil est posée sur ta tête, comme un diadème. À 45 ans, tu es une femme au sommet de sa féminité et de son sex-appeal. Aucun homme ne résiste à ta poitrine lourde et ferme à la fois qui entre dans un bonnet D. La peau un peu ambrée, les lèvres pulpeuses ayant dû faire fantasmer plus d’un homme te donnent un charme méditerranéen qui éveille les fantasmes.

Je te fais les gros yeux en voyant la taille de ta valise ; j’avais dit, léger…😖 C’est pour me faire belle, me dis tu en m’embrassant tendrement. Comment veux-tu que je te résiste ?

Les valises dans le coffre et hop ! C’est parti !

Bien sûr, j’ai le droit à un interrogatoire en bonne et dûe forme, au sujet de notre destination. Tu fais semblant de bouder, essaies de me soudoyer en remontant ta robe, dévoilant tes cuisses luisantes de lotion. Tu passes ta main entre tes jambes en remontant doucement. Et quand je pose ma main sur ta cuisse pour faire de même, tu la rejettes vers moi en me faisant du chantage.

Voyant que je ne lâcherai rien, tu te mets à genoux, les seins tournés vers moi et commences à descendre la fermeture éclair de mon bermuda. Rapidement, tu te retrouves avec mon sexe en pleine main. Me fixant d’un air coquin en rapprochant ta bouche, tu me dis que tu pourrais être très gentille si moi aussi, j’étais gentil. Ta langue effleure mon gland, ton cou se contorsionne pour que tu puisses me regarder en me léchant le bout.

Tu souris et malgré tout, tu ne peux t’empêcher d’enfoncer ma bite dans ta bouche. Je suppose que tu dois être bien excitée, car tu avales mon membre comme une affamée. Tenant mes couilles fermement d’une main, tu enfonces ma bite entièrement dans ta bouche. Je lâche le volant d’une main et la pose doucement sur ta tête en exerçant une légère pression. Tu me suces comme une dingue de bite, au point où elle se retrouve trempée de salive.

Un chauffeur routier semble avoir apprécié le spectacle de ton petit cul exposé à la vitre et nous remercie en klaxonnant. Plusieurs autres camions que nous doublons font de même, d’ailleurs. Tu as un fan-club !!!

Tu as mis ta timidité de côté et ne réagit pas à ces klaxons. Tu t’appliques comme jamais, masturbant énergiquement ma bite, pour en faire sortir ta récompense. Je sens que je vais venir, je me raidis dans mon siège et appuie un peu plus sur ta tête. Lorsque le premier jet sort, j’ai l’impression de te remplir la bouche, il est rapidement suivi d’un second puis d’un troisième de moins en moins puissant. Cette sensation de ma bite qui se gonfle de sperme avant de se vider d’un seul coup est jouissive. Tu avales ce miel sans sourciller, gardant tes lèvres contre mon chibre jusqu’au dernier spasme. Tu termines ton travail en léchant mon sexe de haut en bas, et me regardes d’un air satisfait. "Alors, j’ai le droit à un indice ?"

Arrivés à l’aéroport, tu découvres assez vite où nous allons passer une semaine en amoureux. Il s’agit des Maldives, c’est la seule chose que tu sauras jusqu’à l’arrivée.

Tu sautes une fois de plus à mon cou, dévoilant tes fesses aux passagers en attente. Tu es trop sexy avec ta petite robe qui tombe avec légèreté sur ton cul rebondi. À chaque fois que je te vois, je retombe amoureux. J’adore t’observer quand tu fais la queue pour aller chercher des boissons, ou quand tu es assise sur un banc à attendre notre vol. Ta jupette doit affoler tous les hommes et rendre jalouses toutes les femmes.

D’ailleurs, au moment de monter dans l’avion, on nous fait passer par le tarmac, et monter dans l’avion par un escalier. J’aurais pu rester derrière toi pour protéger tes arrières. Mais c’est beaucoup plus marrant de te laisser te battre avec ta robe pour que les passagers qui te suivent ne loupent rien de tes jolies fesses. Le vol se déroule dans les câlins, on a prévu une couverture pour camoufler nos caresses, ta main qui me masturbe ou mes doigts qui jouent avec ta chatte.

De l’aéroport, un bus, puis un bateau pour rejoindre notre île ; et enfin l’arrivée au paradis.

L’île est entourée de cabanes individuelles montées sur pilotis, complètement entourées d’eau.

Une barque nous dépose à notre cabane et nous nous retrouvons enfin seuls. Ces cabanes tout en bois précieuses sont très luxueuses. La nôtre possède un grand lit face à la mer. Des voilages pendent du plafond. Elles sont placées de sorte de ne pas avoir de vis-à-vis avec les autres. Nous nous regardons et avons la même pensée en même temps. Tu ôtes ta robe d’un seul mouvement, pendant que j’enlève mes vêtements le plus rapidement possible. Et nous courons, tels deux gamins, vers la mer où nous sautons en nous tenant la main.

Une fois dans l’eau, très rafraîchissante après ce long voyage, nous nous embrassons langoureusement, tes jambes enserrent mes reins, et tes bras entourent mon cou. Ton corps collé au mien dans cette eau tiède a vite raison de mon sexe qui devient de plus en plus dur.

Les jambes écartées, m’offrant un boulevard vers ta chatte, je te pénètre d’un coup sec. Tes yeux se plissent de plaisir. Alors que mes mains pétrissent tes fesses, je joue avec ton corps et le percute avec ma bite en t’imposant un rythme nerveux. Après quelques minutes à te labourer le vagin, et après une journée pleine d’excitation, je jouis en toi en exprimant mon extase dans un râle. Nous restons ensuite à jouer dans l’eau un moment en nous caressant.

Alors que nous remontons sur notre terrasse, nous remarquons tous les deux au même moment qu’une femme est allongée sur son transat, dans le bungalow voisin. Celui-ci se trouve à plusieurs dizaines de mètres du nôtre, nous empêchant au premier regard, de repérer notre voisine immobile sur son siège. Alors que nous restons pantois, complètement nus à regarder cette femme, elle nous salue en levant son verre à notre intention. Il s’agit d’une femme blonde d’une cinquantaine d’années, assez sportive, au vu de ses jambes fines et de son ventre plat. Elle aussi est complètement nue et bronzée, dévoilant une poitrine énorme et un peu tombante. Elle ne semble pas gênée d’être surprise dans cette tenue et nous adresse un large sourire.

Nous lui faisons un signe de tête, puis nous précipitons vers le bungalow. En riant de la situation, nous nous embrassons. Nous croyant seuls au monde, on lui a offert un spectacle qui a l’air de lui avoir plu. Un petit coup de serviette et nous nous jetons dans ce gigantesque lit qui trône au milieu de la pièce. Nous plaisantons de cette première prise de contact avec nos voisins. Cela semble t’avoir excitée autant que moi, car tu écartes les jambes et appuies sur ma tête pour m’obliger à m’occuper de ta chatte.

Pour me motiver, tu me chuchotes : "mange-moi la chatte, mon salaud !!!". Face à un ordre aussi ferme, je ne me vois pas refuser et je commence à t’embrasser en descendant vers ton ventre. Je m’attarde un peu sur tes seins que je suce avec faim, je les mordille et lèche tes tétons. Je continue mes bisous sur ton ventre et reste quelques secondes sans bouger devant ta chatte.

J’écarte tes lèvres et plonge ma langue dans ton vagin. J’alterne en titillant ton vagin et ton clitoris. Je ressens ton corps vibrer quand je m’occupe de ton clito. Pour me motiver et m’exciter, tu pelotes tes seins avec tes deux mains.

Tout à coup, tu te lèves, me demandes de me mettre sur le dos et places ta chatte sur ma bouche, pendant que tu t’allonges sur moi pour t’occuper de mon sexe. Moi, j’ai une jolie vue sur ta chatte tout ouverte et offerte à ma langue. Ton petit trou de cul est très tentant, lui aussi. Tu n’as pas perdu de temps et tu t’affaires sur mon membre pour lui redonner sa rigidité. Rapidement, tes succions et le malaxage de mes couilles rendent vigueur à ma bite que tu avales comme une goulue. Après plusieurs minutes à m’aspirer le gland pour faire monter le sperme, je sens que ma bite va exploser. J’accélère ma langue sur ton clitoris, entrant un pouce dans ton cul. Tu te cambres, je me contracte. Et je lâche tout dans ta bouche sans te prévenir, je sens les contractions de ma bite entre tes lèvres, et le liquide chaud qui remplit ta bouche. Tu as ralenti le mouvement, mais tu continues à la sucer tendrement pendant que je détends tous mes muscles.

On finit par s’endormir dans ce grand lit, après un long voyage.

Lorsque nous nous réveillons, nous visitons un peu cette cabane. Le frigo est rempli de petits plats et de fruits. Une bouteille de champagne y a été déposée pour nous. Un jet-ski est à notre disposition pour retourner à terre. Et du matériel de sport et de détente est entreposé pour nos loisirs.

Pour ce soir, ça sera poulet froid et salade sur la terrasse, au bord de la mer. La nuit éclairée par la lune et les étoiles est très romantique. La mer est calme. Les clapotis de l’eau contre les pilotis sont comme une musique qui berce notre repas. Tu t’es faite toute belle pour ton amoureux. Tu portes une robe blanche très décolletée à laquelle j’ai un peu de mal à retirer mon regard.

Tes cheveux sont attachés, ils laissent voir de longues boucles d’oreilles argentées. Tes yeux brillent de bonheur et d’excitation. Je me noie dans ces yeux. Nous parlons à peine, rions un peu de notre exhibition face à notre voisine. De notre terrasse, un paravent nous cache de son bungalow, ce n’est qu’en descendant vers le ponton que l’on peut la voir. À la fin du repas, nous décidons d’aller nous baigner avant d’aller nous coucher. Nous éteignons les lumières pour nous retrouver dans l’obscurité. Je fais glisser ta robe pendant que tu déboutonnes mon short. Et c’est nus que nous nous dirigeons vers le ponton afin de nous glisser dans l’eau. Elle est encore très chaude à cette heure, tu n’as d’ailleurs aucun mal à y entrer. Quelles sont agréables ces brasses en tenue d’Ève dans cette eau si douce ! Alors que nous nous rejoignons pour nous embrasser, nos regards sont attirés par la lumière venant du bungalow de notre voisine.

Elle est elle aussi complètement nue, assise sur sa table de terrasse, les jambes écartées, les mains posées en appui derrière elle et la tête en arrière. Un jeune homme d’une vingtaine d’années, un Black sûrement du coin, est à genoux et lui lèche la chatte. Nous nous regardons et rions tout bas de nous retrouver voyeurs à notre tour. Dans l’obscurité complète, nous nous prenons dans les bras et comme la première fois, tu m’entoures les reins avec les jambes.

Pendant ce temps, le Black a enlevé son t-shirt, s’est levé et abaisse son short sous lequel il n’a pas de caleçon.

Il exhibe un sexe déjà en érection de belle taille. Tu me regardes, alors d’un air coquin. Lui, attrape son pieu d’une main et l’enfonce dans le vagin de la blonde, au début en le rentrant à moitié, puis après quelques coups de reins, entièrement dans sa chatte. Elle se cambre sur la table et se caresse les seins.

Ça a l’air de t’exciter autant que moi. Tu m’embrasses de biais en continuant à mater cette scène de baise. Ma bite est aussi devenue très dure devant ce spectacle, tu en profites pour t’asseoir dessus et commencer à la chevaucher. Par mimétisme, tu prends le rythme de nos voisins. Lui entre et sort entièrement son énorme bite en accélérant et en pilonnant notre voisine qui a l’air de prendre son pied. Au bout d’un moment et malgré la distance, nous entendons ses cris de gémissements (elle a joui, l’autre cochonne). Lui retire son sexe, aide sa partenaire à se mettre à genoux et se masturbe en dirigeant sa bite vers la bouche ouverte de cette femme. Devant cette scène, tu sembles très excitée et accélères le mouvement. C’est pratiquement quand il éjacule sur son visage que je jouis en toi en évitant de faire trop de bruit pour ne pas nous faire remarquer. Oh purée, la cochonne ! Alors que le Black quitte sa cabane, elle se baigne dans la mer pour nettoyer la semence de son amant.

Nous n’osons plus bouger pour rester discrets. Cette première journée était pleine d’émotions.

Le lendemain, nous nous réveillons comme dans un rêve. Dans les bras l’un de l’autre, complètement nus, nous nous réveillons à l’aide de caresses et de petits bisous. Mes mains ne peuvent s’empêcher de caresser tes seins, de descendre sur tes hanches et tes fesses. "Jai faim !" me dis-tu. Pas de problème, j’appuie sur un bouton prévu à cet effet sur le téléphone de la chambre. Une dizaine de minutes plus tard, quelqu’un frappe à la porte. Alors que j’allais crier d’entrer, tu me mets la main sur la bouche et me demandes d’attendre. Tu sors du lit, fonces toute nue vers la porte et ouvres à un employé de l’hôtel qui semble ravi de l’accueil. Tout excitée de ton effet et exhibant un large sourire, tu le précèdes jusqu’au centre de la pièce. Lui, te suis sans lâcher tes fesses des yeux, et a bien du mal à te regarder dans les yeux quand tu lui fais face. Amusée par l’effet que tu lui fais (au vu de la bosse qui apparaît dans son pantalon), tu le fixes des yeux en souriant.

Le plateau posé, tu le raccompagnes jusqu’à la porte en exagérant un peu le déhanché de ton postérieur.

La porte refermée, tu cours jusqu’au lit et me sautes dessus comme une gamine, toute fière de sa bêtise. Tu m’embrasses à pleine bouche, mes mains se posent naturellement sur tes fesses. "Jai vu que tu lui avais mis la main aux fesses avant qu’il sorte, petite cochonne !"

Je vais t’étonner pendant ces vacances, me dis-tu. C’est fini la Cécilia timide ! Tu vas découvrir Cécilia la petite salope.

Tu descends alors jusqu’à ma bite qui est déjà tout excitée, et l’avale entièrement. Je ressens la succion de tes lèvres et la pression de ta langue contre mon sexe. Ta bouche qui effectue des va-et-vient, ta tête qui monte et qui descend font monter la sève de mes couilles à mon gland. Tu presses fermement la base de ma bite et t’assois dessus. Ta chatte est trempée d’excitation. Tu me chevauches en pressant fermement tes seins.

J’aurais dû dire au livreur de rester un peu.

J’ai envie d’une autre bite dans mon cul.

Tu saisis une nouvelle fois mes couilles, lèves tes fesses et les reposes en plaçant mon gland à l’entrée de ton cul. Excitée comme tu es, il entre rapidement dans ton anus. Ton bassin effectue des petits mouvements pour aider la pénétration, puis rapidement, tu t’assois complètement dessus. Tu t’empales complètement sur ma bite, avec un léger sourire de plaisir. Elle se trouve à l’étroit dans ton anus, ce qui décuple les sensations. "Défonce-moi, mon petit serviteur ! Il adore ça mon petit cul !" J’accélère alors ton mouvement en claquant mes reins contre les tiens. Toujours en position assise, je sens tes fesses se poser à chaque coup sur mes couilles, enfonçant ma bite au plus profond. Tu continues à te peloter les seins, ça m’excite à mort. À un moment, je sens mon sperme envahir mon sexe, je le retiens quelques secondes et lâche tout dans ton cul.

Tu continues quelques instants à bouger tes fesses sur mon membre, puis t’allonges finalement sur moi en m’embrassant. "Alors, elle te plaît ta petite salope ?" La journée s’annonce bien…

Une douche plus tard, bien sûr à deux, agrémentée de quelques attouchements mutuels, nous voilà partis en "ville" pour nous promener. C’est jour de marché aujourd’hui de quoi faire le plein de fruits, sucreries ou alcool pour réchauffer nos soirées. Tu es très "habillée" aujourd’hui, tu portes un minishort d’où essaient de s’échapper tes petites fesses. Le t-shirt qui couvre ta poitrine nue, est aussi décolleté, sur le haut, le bas que sur les côtés. Chaque mouvement que tu fais découvre un bout-de-sein, ce qui m’excite beaucoup… Et je ne dois pas être le seul, vu le regard des hommes que l’on croise.

Comme une jeune fille amoureuse, tu t’arrêtes régulièrement pour me sauter au cou et m’embrasser. Bien sûr, quand tu m’entoures le cou de tes bras, ton t-shirt découvre la moitié de tes lolos, ce qui a l’air de t’amuser beaucoup. Régulièrement, ma main s’égare sur tes petites fesses et remonte le long de ta colonne vertébrale. Parfois, tu me laisses un peu pour aller chauffer un vendeur en lui mettant ton décolleté sous les yeux. Tu oses même en suivre certains dans leur boutique, te retrouvant seule avec ces hommes à la peau ébène. Me reviennent en mémoire les images de la veille et de notre voisine en train de se faire défoncer par un Black. Un petit sentiment de jalousie m’envahit juste avant que tu réapparaisses en me souriant. Tu prends des risques, te dis-je. "tu es jaloux ?" un peu…

Ce midi, pas de cuisine, on se fait un petit resto. Tu es trop belle quand tes yeux brillent de bonheur. Je me noie dans tes yeux et dans ton décolleté dont j’ai du mal à quitter des yeux. Tu es de loin la femme la plus belle et sexy du coin et tu fais ton petit effet. Le serveur et quelques clients ne peuvent s’empêcher de te fixer des yeux. Tu le sais et tu en joues. À un moment, tu renverses un verre d’eau qui se vide comme par hasard sur ta poitrine. Tu te retrouves avec le t-shirt trempé. Il épouse alors la forme de tes seins et de tes tétons qui pointent à cause de la fraîcheur de l’eau. Le serveur se précipite pour t’éponger et se rincer l’il par la même occasion. Tu te lèves alors et traverses le restaurant pour te rendre aux toilettes. La plupart des clients se retournent à ton passage, matant tes lolos à travers le tissu mouillé. L’effet sexy est exagéré par le mouvement de tes seins lorsque tu marches. J’adore regarder tes petites fesses qui se dandinent.

L’après-midi, on décide d’aller à la plage de l’hôtel, où sont alignés des transats. On est repassés par le bungalow et tu t’es transformée en parfaite plagiste. Une paire de tongs, un bas de maillot de bain noir très petit et mignon, et un paréo très transparent pour couvrir très légèrement ta poitrine. Tu es encore une fois trop sexy avec tes tétons et la forme de tes seins qu’on devine à travers ce tissu léger.

Une fois à la plage, nous choisissons deux transats et leurs parasols, où nous posons nos affaires. Sitôt arrivés, tu défais le nud de ton paréo et découvres ta poitrine. Tu as l’air aussi excitée que moi d’exhiber ton corps devant les autres vacanciers ; tes tétons pointent comme jamais. Un serveur nous apporte deux cocktails après avoir pris commande. Nous en sirotons une gorgée et décidons de faire trempette dans un premier temps. Quelques brasses et attouchements plus tard, tu m’abandonnes à ma natation et décides d’aller faire bronzette.

Alors que j’échange quelques ballons avec un enfant et son père, je remarque que tu as trouvé un volontaire pour t’enduire de crème solaire. Notre serveur, assis sur le bord de ton transat, est en train de te masser le dos. Tu ne perds pas de temps !!!

Fais-toi plaisir, je me vengerai ! 😕

Je prends sur moi et continue à jouer avec mes nouveaux amis.

Au bout d’un moment, je remonte vers le transat, ton masseur est toujours en action. Une femme blonde allongée me sourit. Je lui rends son sourire sans la reconnaître. Il faut dire que mes yeux sont obnubilés par son imposante poitrine nue et bronzée. "Bonjour, cher voisin !" me dit-elle. Mais bien sûr, il s’agit de la locataire du bungalow voisin au nôtre. L’autre cochonne blonde !

Je lui rends son bonjour.

Je vois que votre amie est occupée, Moussa est très doué de ses dix doigts. Ça vous dit une petite coupe en ma compagnie ?

Elle me tend alors une coupe déjà servie, que je prends en m’asseyant sur le transat voisin du sien. Elle me pose plein de questions sur nous deux ; me parlant ouvertement de sexe. Elle m’avoue qu’elle est là pour s’amuser. Son mari est un riche homme d’affaires qui la délaisse pour son travail. Tout en me parlant, elle se caresse innocemment les seins ; ce qui a pour effet de faire gonfler quelque peu mon sexe dans mon short de bain mouillé. Elle comprend bien l’effet qu’elle produit et fixe des yeux mon érection, sans aucune gêne. Après avoir appris qu’elle s’appelait Céline, et convenu que le tutoiement serait plus pratique ; elle me demande de lui passer de la crème sur le dos. "Ton amie n’est pas jalouse, au moins ?"

Je regarde alors dans ta direction, le jeune Moussa prend bien son temps pour te passer la crème et semble s’attarder sur tes fesses…

Jalouse ? Non pas du tout !

Elle se retourne alors, écrasant ses énormes seins sur le fauteuil ; ceux-ci dépassant de chaque côté. Elle attrape alors les ficelles de sa culotte, tire dessus et se retrouve les fesses à l’air.

Ce nest pas ça qui va ramollir ma bite. Je commence donc à étaler l’ huile sur son corps qui est très ferme, sans défaut. Mes mains effleurent parfois sans (presque) faire exprès, les côtés de ses seins. Elle s’est arrangée pour que son bras frotte contre mon caleçon. Elle me regarde en souriant et me demande de ne pas oublier le bas. Le message est clair, je continue donc par le bas de son dos, puis ses fesses rondes et fermes. Je sens son corps se trémousser lorsque mes mains passent entre ses jambes, qu’elle écarte légèrement ; me laissant entrevoir sa chatte toute rasée. Les jambes terminées, elle se retourne brusquement et se retrouve entièrement nue face à moi. Ses deux mamelles se retrouvent à quelques centimètres de mes yeux ; et effectivement, son bas-ventre est parfaitement épilé. Elle a l’air ravie de l’effet qu’elle me fait, je dois être tout rouge.

Posant sa main sur ma cuisse, elle me remercie du coup de main et attrape le flacon d’huile et se masse les seins avec. Je vide ma coupe d’un trait et la remercie pour le verre en lui disant au revoir. En me dirigeant vers toi, je tente de camoufler cette érection. Ton serveur a fini son travail et tu bronzes sur le dos en exhibant tes lolos.

Tu ne t’es pas trop ennuyée, sans moi ?

Non et toi ? C’est moi qui te fais cet effet-là ?

On rigole de ce moment. Je te raconte que j’étais très tenté de lui glisser mes doigts dans la chatte.

Tu me réponds d’un air coquin que ton masseur, lui, ne s’est pas gêné. Et que tu n’as pas osé le repousser pour ne pas le vexer.

Je comprends mieux pourquoi ça a duré si longtemps.

Après une fessée bien méritée sur ton petit cul que tu me tends bien volontiers, nous regagnons notre cabane. Pour attiser ma jalousie, tu n’hésites pas à faire un détour pour aller faire un bisou sur la joue de ton "masseur". Un regard un peu noir pour moi ; un grand sourire pour toi ; nous quittons cette plage. Pour te faire pardonner, tu me sautes au cou, toujours à moitié nue sous ton paréo. "J’ai envie de toi", me susurres tu.

C’est arrivé dans notre logement, que je te jette sur le lit, te plaque contre le matelas et te pénètre la chatte puis le cul avec une violence qui semble te plaire énormément.

Après avoir joui sur tes fesses de cochonne, nous nous enlaçons en fermant les yeux un petit moment.

Ce soir, on se fait une petite sortie. L’hôtel est équipé d’un bar lounge où l’on peut danser. Une douche, un petit maquillage qui te donne un air encore plus cochon, une petite robe blanche très courte et un peu transparente, des hauts talons blancs, tu es prête à rendre fous tous les hommes de la soirée.

Le bar est très sympa. L’ambiance est feutrée. Nous nous asseyons dans un canapé devant une table basse où l’on commande deux cocktails. La lumière est tamisée et l’on distingue difficilement les autres clients. Une petite piste de danse se trouve au milieu de l’établissement.

L’alcool et l’ambiance aidant, je suis très excité ce soir. Mes mains ne cessent de glisser sur ton corps, remontant ta robe, caressant tes seins. Entre deux gorgées, nous nous embrassons au rythme d’une musique envoûtante. Je suis à deux doigts de te violer sur le sofa, quand nous sommes interrompus par un serveur qui pose un seau à champagne sur notre table en désignant la personne qui nous l’a adressée. Sans surprise, Céline notre voisine lève son verre à notre intention. Je lui fais donc un petit signe pour qu’elle nous rejoigne.

Tu n’es pas jalouse, ma chérie ? te dis-je à l’oreille, d’un air revanchard.

Elle s’avance alors vers nous, une coupe vide à la main. C’est une femme superbe, une longue chevelure blonde qui descend jusqu’à ses fesses, un teint bronzé, un corps parfait dans une robe moulante, et surtout une poitrine lourde et encore très bien tenue pour son âge. Comme toi, elle ne semble porter ni culotte ni soutien-gorge.

À son approche, tu te colles à moi. Serais-tu un peu jalouse ? En tout cas, cette femme est très belle et un peu de concurrence pourrait être très excitant.

L’ayant rencontré le premier, je fais les présentations. Au moment de vous embrasser, Céline pose ses lèvres sur les tiennes. Surprise, tu ne réagis pas. "Tes lèvres sont superbes, Cécilia. J’en avais trop envie. J’espère que ça ne te choque pas ?"

Nn, non… bredouilles-tu, toute gênée.

Alors qu’elle s’assoit à côté de toi, je sers trois coupes de champagne que je vous tends.

Nous papotons et buvons pendant un moment. Toi, tu t’es détendue et tu commences à apprécier notre amie, autant que moi. Elle, est très tactile, et te prends souvent la main, pose la sienne sur ton genou, te parle dans l’oreille en t’embrassant sur la joue. Moi aussi, je continue à te caresser tendrement. À un moment, je me retrouve avec ma main sur ta cuisse droite au même moment qu’elle pose la sienne sur ta cuisse gauche. En nous regardant d’un air complice, nous écartons tes jambes, chacun de notre côté. Tu te laisses faire et même écartes un peu plus tes cuisses. Nos mains remontent chacune le long de tes jambes jusqu’à atteindre ta chatte dénudée et toute mouillée. Dans le même temps, nos doigts s’entrecroisent pour pénétrer dans ton vagin. Ils glissent et jouent avec ton clitoris. Céline a rapproché son visage et t’embrasse langoureusement. Nos doigts jouent avec ta chatte et tu as l’air d’être en extase.

C’est encore Céline qui met fin à ce moment en te prenant par la main et en t’emmenant vers la piste de danse. Vous vous retrouvez à danser une danse latine très sensuelle. Vos corps sont collés l’un à l’autre. Vos seins sont compressés les uns contre les autres. Vous êtes très excitantes à vous caresser comme des cochonnes. Je constate que tu te laisses aller. D’une main, tu lui pelotes les fesses, pendant que l’autre pétrit ses gros seins. De nombreux clients apprécient le spectacle donné par ces coquines.

La soirée bien avancée, Céline nous propose de passer chez elle pour vider une nouvelle bouteille de champagne.

Pourquoi pas !!! Et c’est bien éméchés et excités que nous arrivions dans son bungalow. Je m’effondre dans un canapé, et tu viens t’asseoir sur moi en relevant ta robe et en découvrant tes fesses. Tu commences à déboutonner ma chemise. Alors que j’essaie de t’empêcher, en te rappelant que notre hôte allait arriver ; tu arraches ma chemise en envoyant valser des boutons un peu partout. Ta bouche est en furie et mange la mienne avec rage. C’est à mon pantalon que tu t’attaques lorsque Céline réapparaît avec une bouteille et trois flûtes. Pensant que ça allait t’arrêter, au contraire, tu enlèves ma ceinture avec violence et dégrafes les boutons d’un seul coup. Tu tires mon pantalon sur mes chevilles et te mets à genoux entre mes jambes. Mon sexe est déjà en érection. Tu le masturbes énergiquement en approchant ta bouche. Au début, doucement avec la langue puis brusquement dans ta bouche, tu me suces comme jamais.

Céline s’est mise à genoux à côté de toi et te tends un verre ainsi qu’à moi. Tu prends une gorgée, poses le verre, et l’embrasses longuement en continuant à me masturber. D’un regard, tu lui tends ma bite sur laquelle elle se précipite. Elle m’attrape par les couilles qu’elle presse fermement et avale entièrement ma bite en effectuant des allées et retours.

Tu te lèves alors pour lui laisser la place entre mes jambes.

À genoux entre mes jambes écartées, elle baisse les bretelles de sa robe et découvre ses deux obus qu’elle attrape avec les mains. Elle place ma bite en sandwich entre ses mamelles et la masturbe avec. Toi tu t’es placée derrière elle et tu poses tes mains sur les siennes pour presser sa poitrine. Entre deux, ta robe est tombée au sol et tu es complètement nue contre elle, à l’embrasser dans le cou. Cette vision de ces deux cochonnes m’excite au plus haut point. Après avoir branlé mon sexe avec ses seins quelques minutes, vous vous placez de chaque côté pour lécher, sucer, manger ma bite et mes couilles. Parfois vos lèvres se touchent, vos langues s’entremêlent, vos mains caressent le corps de l’autre. À ce rythme, elle ne va pas tarder à exploser.

Sentant mon sexe durcir sur le point de craquer, Céline l’engouffre dans sa bouche et le suce avec fougue. Toi, tu l’attrapes par les cheveux et appuies sur sa tête pour l’enfoncer sur mon pieu.

Au moment où je vais jouir, vous placez vos deux bouches devant ma bite qui explose dans leur direction. Le sperme éclabousse vos visages de salopes. Vous terminez en me léchant et suçant le reste du sperme sur mon sexe, puis vous léchez le visage de l’autre à la recherche des dernières gouttes.

Et hop ! Tout le monde à l’eau ! Et l’on finit tous dans la mer qui est encore chaude à cette heure. Dans l’eau, vous ne vous lâchez plus, vous caressant et vous embrassant tendrement, vos doigts fouillant dans la chatte de l’autre. Vous êtes trop belles, les seins écrasés les uns contre les autres. À un moment, elle te demande de t’asseoir sur le ponton et commence à te lécher la chatte avec amour. Toi, les jambes écartées, tu es aux anges, tes yeux sont pleins de plaisir. Changement de rôle ! Elle prend ta place et tu t’appliques à lui manger son minou, ce qu’elle semble apprécier fortement, vu les gémissements qu’elle produit.

Cette scène m’excite beaucoup et ma bite en redemande. Je la glisse alors doucement dans ta chatte, te prenant par-derrière pendant que tu t’occupes de Céline. J’essaie de te pénétrer doucement pour ne pas gêner ton action. C’est alors que tu te retournes et que tu me demandes de te la mettre dans le cul. "Chanceuse !", te dit ta partenaire. Un ordre est un ordre. Je commence par insérer un doigt dans ton anus, puis deux en effectuant des va-et-vient. "Prends-moi tout de suite", m’ordonnes-tu. J’insère alors mon gland dans ton petit trou, puis en te tenant par les hanches, introduis la moitié de ma bite, puis après quelques coups de reins, la totalité. Mes couilles cognent contre tes fesses à chaque coup de boutoir. Tu continues à la lécher comme une affamée, elle ne contrôle plus rien, se contorsionne, se mord les lèvres, puis enfin, jouit dans une exclamation de bonheur. Te voilà toute à moi, j’accélère la cadence, te martyrisant ton petit cul à chaque coup violent.

Tu te cambres, je te pétris les reins. Ton amie est redescendue dans l’eau et te pelote les seins. Je finis par jouir dans ton anus, mon corps est parcouru par un frisson. Nous nous embrassons, tes lèvres passent des miennes à celles de Céline…

… Le réveil est difficile. Mon crâne menace d’exploser, j’ai abusé sur le champagne, hier. Je me retourne vers toi, et surprise ! Tu es enlacée dans les bras de Céline. En fait, nous ne sommes pas rentrés chez nous et nous nous sommes endormis tous les trois dans son lit. Vous êtes belles toutes les deux, l’une contre l’autre.

Je me lève en évitant de vous réveiller et me dirige vers la cuisine pour préparer un petit-déjeuner.

Je me dis que nous sommes dingues d’avoir fait cette expérience, mais que c’était quand même très excitant.

Un café bu, un croissant avalé, je pique une tête dans l’eau en attendant le réveil des princesses. Se baigner nu est définitivement très agréable. Lorsque vous apparaissez, tu portes une nuisette transparente prêtée par notre amie. Malgré vos cheveux ébouriffés, vous êtes très sexy toutes les deux. Quand je sors de l’eau, mon sexe à demi érigé ne cache pas mon excitation. Je t’embrasse sur la bouche, n’osant pas faire la même chose avec Céline, l’euphorie de la veille n’étant plus d’actualité.

Après avoir discuté de notre soirée, je décide de rester à faire bronzette au bungalow cet après-midi, pendant que vous en profiterez pour faire quelques emplettes.

Pour moi, baignade, plongée avec masque, et farniente. Et pour vous, boutique de vêtements, de chaussures, de lingerie, ainsi que passage chez l’esthéticienne.

À votre retour, le soir, j’ai déjà préparé l’apéro, et allumé le barbecue. Tu me montres toute excitée, les diverses tenues et accessoires, que Céline a insisté à te payer, prétextant qu’il fallait bien que l’argent de son mari serve à quelque chose. Tu me racontes les divers soins que tu as reçus chez l’esthéticienne, et de ce massage qui t’a détendue. Tu sembles ravie de cet après-midi passé avec ta nouvelle amie.

La soirée se passe plus calmement cette fois. Après avoir mangé et bu quelques verres, notre amie retourne à son bungalow pour la nuit. Nous décidons de partir de bonne heure pour une excursion de deux jours en 4X4.

Le lendemain, nous voilà partis à trois avec notre conducteur et guide, Moussa (que vous avez choisi à deux)

Céline et toi prenez la banquette arrière, pendant que je prends la place passagère à côté de Moussa.

Le début du voyage est calme, tu es allongée, avec la tête posée sur les cuisses de Céline avec un plaid qui te recouvre. Au fur et à mesure que le soleil se lève, la chaleur augmente et tu te découvres, laissant apparaître tes jambes nues que ne cache pas beaucoup ta mini-robe volante. Moussa a réglé son rétroviseur intérieur sur toi. Au bout d’un moment, tu te rassois au milieu de la banquette, t’accoudant à nos sièges. Je remarque (et je ne suis pas le seul) que tu écartes largement les jambes, exhibant ta chatte nue et rasée. Moussa a l’air d’apprécier la vue sur tes petites lèvres. Une bosse dans le short en est la preuve. Je remarque que ta main gauche s’attarde sur son épaule de temps en temps. L’air est très chaud, et nos corps transpirent. Tu as déboutonné plusieurs boutons de ta robe, laissant apparaître une partie de tes seins en fonction des soubresauts de la route. Ton décolleté semble aussi humide que ta chatte.

Tu fais très, salope qui a envie de se faire démonter, comme ça…

Au bout d’un moment, tu t’assois dans le fond de ton siège, tout en gardant tes jambes bien écartées.

Ta copine en profite pour glisser sa main entre tes cuisses pour venir caresser doucement ta chatte. Moussa a de plus en plus de mal à se concentrer sur la route et la voiture fait quelques embardées.

Voyant l’effet que tu produis, tu décides de jouer avec le pauvre homme. Tu passes une main dans ton décolleté et te pelotes un sein que tu sors de ta robe. De l’autre main, tu défais les derniers boutons de ta robe qui est maintenant totalement ouverte. Ta main recouvre celle de Céline qui s’active dans ta chatte. Tes yeux se ferment de plaisir. Parfois, tu jettes un coup d’il dans le rétroviseur en souriant. Elle te pousse contre la portière, maintient tes jambes écartées et plonge sa tête entre tes cuisses. Sa langue joue brutalement avec ton clitoris pendant que ses mains te pressent les seins.

Tu te contorsionnes d’excitation sur la banquette. Ta main gauche agrippe l’épaule de Moussa qui ne bronche pas. Lorsque tu jouis, tu te relèves un peu, tes seins nus sortent de ta robe, tu maintiens sa tête contre ta chatte pendant tes convulsions. Céline se redresse alors et t’embrasse longuement sur la bouche. Je suis à la fois excité et un peu jaloux. Vous finissez la route, enlacées.

Nous voilà arrivés à notre première destination. Moussa nous explique qu’il va falloir marcher sur des chemins de montagne pendant quelques heures. Il nous remet à chacun un sac à dos et nous demande de nous préparer à cette randonnée.

Bien sûr, vous êtes obligées de quitter vos petites robes et d’enfiler une tenue plus appropriée.

Sans aucune gêne, vous laissez tomber vos robes au sol, vous retrouvant toutes nues, pour notre plus grand plaisir.

Encore une fois, le regard de Moussa posé sur tes formes me rend un peu jaloux.

Vous en jouez et minaudez en vous habillant. Tu es toute mimi, déguisée en Lara Croft, avec des chaussures de marche, un petit short kaki et un t-shirt à bretelles sans soutien-gorge. Et c’est main dans la main que vous suivez Moussa sur le sentier, et moi fermant la marche. Pendant le trajet, ponctué de railleries et de pause que vous nous imposez régulièrement ; vous multipliez les caresses et les baisers. Parfois, tu te rappelles que je suis là et viens m’embrasser langoureusement.

Au bout d’une longue marche, nous arrivons devant une chute d’eau qui tombe dans un petit lac. L’endroit est paradisiaque, comme dans les films.

Moussa nous annonce que nous sommes arrivés et que nous allons passer la nuit, ici.

Il défait son sac et commence à monter les tentes pendant que vous vous déshabillez toutes les deux et vous plongez dans l’eau fraîche, complètement nues.

J’aide Moussa à monter le campement pendant que vous jouez dans l’eau. Vous vous embrassez beaucoup et vous caressez, toutes excitées par ce contact avec l’eau.

Vous vous amusez à nous narguer, en vous tripotant, nous appelant à vous rejoindre.

L’essentiel installé, Moussa et moi nous déshabillons, nous retrouvant aussi à poil. J’avoue qu’il a un sexe impressionnant, même au repos. En rentrant dans l’eau, je remarque que ton regard est focalisé sur la partie basse de son anatomie. Néanmoins, tu te diriges vers moi et te jettes dans mes bras. Tes jambes s’agrippent à mes reins. Tu m’embrasses à pleine bouche et m’attrape la bite qui est déjà toute dressée.

Tu en profites pour t’empaler dessus. Je te tiens par les fesses pour t’imposer un rythme. Tu es bien excitée, te dis-je ? Je pense que l’énorme bite de Moussa n’y est pas pour rien. Tu m’avoues que tu aimerais bien y goûter.

Il pourrait venir te prendre par-derrière, pendant que je continue à te pénétrer ?

Tu es dingue !!! Je n’oserai jamais !

Ose me dire que ce n’est pas un de tes fantasmes ! Si tu veux, je l’appelle ?

Non ! Ne fais pas ça, tu es fou ! Fais-moi l’amour.

Nos deux comparses font la même chose que nous. C’est très excitant de faire l’amour à côté d’un autre couple. Moussa laboure sa partenaire qui semble être aux anges. Ses gros seins s’agitent à chaque coup de reins. Moussa se fait plaisir à les prendre à pleine bouche.

J’imagine que tu es aussi excitée que moi devant ce spectacle, mais pas pour les mêmes raisons.

Nous restons une partie de la journée à batifoler dans l’eau, nous reposant parfois sur la berge. Je remarque que dans nos jeux, tu t’arranges pour te rapprocher du beau black. À plusieurs reprises, tu t’accroches à ses bras, colles ton corps contre lui, ou montes sur son dos. J’imagine combien tu dois être excitée de toucher ce corps musclé, de frôler son sexe. Je ne reste d’ailleurs pas sans rien faire et profite de bataille d’eau pour attraper Céline. Elle ne demande pas mieux et frotte ses fesses contre mon sexe qui réagit à ce contact. Parfois, mes mains glissent sur ses énormes seins, ou ses fesses. De moins en moins timide, elle attrape même ma bite qu’elle masturbe quelques secondes.

Après une journée bien excitante vient la soirée plus calme. Nous nous retrouvons devant un feu de bois, les esprits bien échauffés par la journée passée et les nombreux verres d’alcool ingurgités.

Le moment est propice aux confidences et nous parlons de nos fantasmes. Tu avoues rêver de faire l’amour avec plusieurs hommes.

Et sous l’effet de l’alcool, tu oses dire que Moussa t’excite beaucoup.

Céline a alors une idée et nous propose d’échanger nos couples pour la nuit.

Tu me regardes d’un air apeuré, passer d’un fantasme à la réalité n’est pas si facile. Je te dis alors que nous sommes ici pour nous amuser et que ce qu’il se passe sur cette île restera ici.

Sans te laisser plus de temps pour réfléchir, Moussa se lève et te porte jusqu’à sa tente où vous disparaissez. Céline non plus n’a pas perdu de temps et a fait tomber sa robe, se retrouvant nue debout devant moi. Elle me tend la main et nous entrons dans l’autre tente. Elle me baisse le short pendant que j’enlève mon t-shirt et se jette sur mon sexe en érection, en l’avalant d’un seul coup. À genoux devant moi, elle me suce en me malaxant les couilles. S’arrêtant parfois pour me masturber énergiquement en me fixant des yeux. Ma bite est maltraitée, mais j’adore ça. Après quelques minutes, elle me pousse dans le lit et vient s’asseoir sur ma bite. Mes mains passent de son petit cul tout rond qui s’agite à ses mamelles que je pelote et suce sans arrêt. Elle est très excitée et mouille énormément, jusqu’à ce qu’elle convulse de plaisir.

Après plusieurs minutes, alors que je sens que je vais jouir, Céline se retire et recommence à me sucer comme une affamée. J’explose alors dans sa bouche de cochonne. Elle avale jusqu’à la dernière goutte et continue à me lécher la bite jusqu’à ce qu’elle ramollisse.

Vu la proximité des tentes, je devine ce qu’il se passe dans ta tente. Moussa est plus endurant et continue à te labourer la chatte. Chaque coup te fait gémir de plaisir. Parfois un bruit de fessée se fait entendre. On dirait qu’il te prend en levrette et qu’il a trouvé ton péché mignon. Je t’imagine en train de te faire défoncer par son énorme gourdin. Je suis un peu jaloux, bien que j’en profite aussi.

J’entends les coups de ses reins qui claquent contre tes fesses. Il doit te l’enfoncer entièrement, le salaud. Puis je l’entends te dire de tout avaler. Il doit te tenir par les cheveux pour se vider dans ta bouche. Bizarrement, ça m’excite de t’entendre te faire maltraiter par un autre que moi. Je sais que tu n’attends que ça. Céline sentant ma bite durcir en profite pour placer sa chatte au-dessus de ma bouche et recommence à me sucer. Nous faisons l’amour une partie de la nuit et nous endormons chacun dans les bras de nos amants.

Le réveil est un peu bizarre, nos regards trahissent un peu de honte mêlée au plaisir. Tu viens m’embrasser comme pour effacer cette nuit de débauche. Puis nous plongeons une dernière fois avant de reprendre le chemin du retour.

Pour le retour, nous sommes assis tous les deux à l’arrière, ta main ne lâche pas la mienne et nous nous câlinons pendant tout le voyage.

Arrive le dernier jour de nos vacances que nous passons à bronzer sur les transats. Complètement désinhibés, nous sommes nus tous les deux, je te regarde amoureux, allongée, ton bronzage fait ressortir le blond de tes cheveux. Je repense à toutes les coquineries que nous avons réalisées pendant ces vacances, pour beaucoup grâce à Céline.

Toc toc ! C’est justement elle qui entre dans le bungalow, vêtue d’un unique paréo transparent. Elle nous salue et se dirige vers toi, attrape une bouteille de lotion solaire et commence à te masser le corps. Elle insiste bien sûr sur tes fesses et tes seins, ce qui me fait bander rapidement. Elle t’embrasse longuement à pleine bouche en titillant ton clitoris que j’imagine déjà très humide. Elle nous dit qu’on va lui manquer et nous propose une dernière soirée qu’elle nous promet inoubliable. Nous ouvrons une première bouteille de champagne que nous dégustons tous les trois dans la piscine. Après s’être excités tous les trois dans l’eau, et avoir vidé une deuxième bouteille, elle décide de t’emmener dans son bungalow pour vous préparer pour notre sortie. Nous nous donnons rendez-vous chez elle dans une heure.

Après avoir pris une douche, enfilé un pantalon de toile et une chemise légère, je vous rejoins et entre dans le bungalow de notre amie sans m’annoncer. Vous êtes assises dans un canapé avec une coupe à la main. Je vois dans tes yeux que l’alcool commence à faire son effet.

Tu as enfilé une robe blanche courte et moulant tes fesses, très décolletée à l’avant et à l’arrière. Tu portes des hauts talons blancs et tes cheveux sont attachés en chignon avec quelques mèches dans tes yeux qui te donnent un air de petite cochonne.

Céline porte une robe courte et moulante en résille qui ne cache rien de son corps nu en dessous.

Vous êtes en mode salope, toutes les deux, ce soir.

Quand je te rejoins dans le canapé, tu t’assois sur moi, face &agrave%

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