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Vacances en camion, foutre dans le fion – Chapitre 3

Vacances en camion, foutre dans le fion - Chapitre 3



Cabot lèche le sperme de son maître. Sa langue qui passe entre mes fesses me fait déjà décoller. Savoir ce que sera la suite me rend encore plus excité. A chaque fois que la langue du chien touche mes couilles ou ma bite je manque d’éjaculer. Si cela continue, j’aurai vite les baloches vides. C’est pourtant une torture que je vis car j’ai maintenant une énorme envie de me faire enfiler par le chibre canin et pour l’instant il se contente de me lécher. Il a peut-être été dressé pour ça : rendre fou d’impatience les personnes qu’il va défoncer.

Pendant ce temps, Robert m’attache et je me retrouve à la totale merci du chien, écartelé comme une étoile de mer. Je le supplie de faire monter Cabot au plus vite sur mon dos, mais lui rigole de me voir si affamé. Puis je ne sens plus rien. Guy qui est assis à côté de moi vient d’attraper l’animal pour se faire lécher les parties. Merde ! il est à moi ce chien ! Il est pour mon cul. Puis je ressens une sensation au niveau de l’anus que j’ai déjà ressenti. Robert me frotte à nouveau de fion avec du gingembre. C’est juste une piqûre de rappel, s’il en met trop, Cabot risque d’avoir la queue irritée. Et pour ne pas prendre de risques, avant que la saillie canine ne commence, Robert m’enfile pour bien faire pénétrer l’aphrodisiaque anal. Il y va doucement, il ne veut pas éjaculer juste me masser le fion pour éliminer le surplus. C’est comme pour les pommades massez jusqu’à pénétration !

J’étais déjà avide de bite mais j’ai l’impression de me transformer en trou géant, en gouffre à sperme. Guy vide le contenu de sa capote sur mon dos et mes épaules. Cabot s’empresse de venir lécher cette matière dont il raffole clairement. Et plus il lèche, plus il avance pour atteindre le sperme sur mes épaules. Je sens son fourreau frotter contre mes fesses ; la sensation du pelage contre ma peau m’électrise et je pense alors qu’une des raisons de l’engouement de certaines personnes pour  la zoophilie est à chercher dans cette dualité entre peau humaine et pilosité animale. Il commence à donner des coups de reins et peu à peu son sexe se dégage de son enveloppe. J’ai du mal à bouger dans la position où je me trouve mais tente de pointer le cul dans la direction du chien. Je n’ai plus qu’une envie : me faire prendre.

Ça y est, il est en moi. Il me ravage le fion tant il s’agite frénétiquement. Je ferme les yeux tant le plaisir est douloureux. Le salaud est bien monté et il ne prend aucune précaution. Mon cul est une enclume et je reçois ses coups de marteau. Je ferme les yeux, je suis ailleurs. J’espère que cela durera longtemps. Il me laboure, me déchire, je n’ai jamais pris un tel pied. Je sens ma bite se recroqueviller et le petit bout de queue pendille comme une limace, au rythme des coups de reins de Cabot. J’ai l’impression de pisser, à moins que ce soit du liquide séminal qui s’écoule. Je n’ai pas l’usage de mes mains pour vérifier. Je voudrais me toucher, me masturber mais à quoi bon, je dois avoir un sexe de bébé tellement je me sens devenir femelle. Robert à bien fait de m’entraver les mains : dans l’incapacité de me caresser, ma jouissance est décuplée.

Cabot redouble d’efforts, sa queue n’est pas encore entièrement entrée. Je sens qu’il lutte pour faire pénétrer la base, plus large. Si ça rentre je vais douiller. Pourvu qu’il y parvienne ! Robert s’assoit devant moi et il me glisse sa queue dans la bouche. Il voit bien que j’ai du mal à me concentrer sur la fellation, aussi le voilà qui prend la direction des choses. Il me baise la bouche. Il reste un peu soft pour commencer mais je sens que c’est juste pour le début. Quand son chibre sera bien lubrifié par ma salive, il augmentera la cadence.

Cabot est parvenu à ses fins. Au moment où la base de sa bite est entrée j’ai senti une vive douleur mais qui s’est rapidement changée en plaisir. J’ai ouvert grand ma bouche pour gémir et Robert en a profité pour s’enfoncer entièrement. Il m’a attrapé par les oreilles et il se sert de ma tête comme d’un masturbateur. Je sens la queue de Cabot enfler en moi, j’angoisse mais je prends un pied comme jamais. Je ne vois plus rien, j’ai les yeux révulsés de plaisir.

Le chien ne remue presque plus mais je le sens se déverser en moi. Je devine un orgasme anal en train d’arriver. C’est lent et encore loin, mais ça va être énorme. Je ne suis plus qu’une cuve à foutre canin. C’est ce que j’ai envie d’être à cet instant. Robert continue à me pilonner la glotte, je bave et gargouille à tout instant. J’aimerais réussir à avaler sa queue en entier, me retrouver le nez écrasé contre son pubis et le cul rempli de foutre. Je dois avoir les oreilles toutes rouges tellement Robert me les tire pour faire coulisser son chibre. Ses poils pubiens me chatouille le bout du nez, j’y suis presque, j’ai du mal à respirer mais quand il me laisser avaler un peu d’air j’émets un bruit d’aspirateur.  Me voyant prêt du but et soucieux de m’aider, Guy appuie sur ma tête pour faire entrer les derniers millimètres. Je suffoque, de la bave s’écoule par mes narines. Robert éjacule à cet instant et du sperme se retrouve propulsé par le nez. Impression bizarre, mais je me sens complètement à leur merci et j’adore ça.

L’orgasme arrive, d’une puissance insoupçonnée. Mon corps ne répond plus à mes ordres, il se démerde tout seul. Je sens mes sphincters se contracter. Cabot se met à couiner en sentant sa queue serrée par mes muscles, il essaye de se dégager et tire en arrière. La boule est trop enflée pour passer mais il tire encore et encore, c’est douloureux, mais plus il tire et plus je me contracte, involontairement. Je me crispe pour le retenir. Parce que je veux le garder en moi le plus longtemps possible et pour éviter la douleur que procurerait cette boule si elle sortait à plein volume. J’aime les grosses dilatations mais je ne suis pas prêt pour une telle ouverture. Forcément plus je le serre, plus il essaye de se dégager. Heureusement je peux compter sur l’aide de Guy qui essaye de le garder en place. Cabot lève une patte et essaye alors de se retourner. Il y parvient malgré l’intervention de Guy. J’essaye de crier, mais la bouche pleine, le son est étouffé, d’autant que j’ai la bouche pleine de sécrétions.

Sous le coup de cette exquise douleur, je jouis encore une fois. Je sens ma queue qui laisse échapper mon foutre. Je ne sais pas si je bande ou pas, mais je me vide. Il me faut de longues minutes avant de reprendre pied. Cabot est encore soudé à moi mais les contractions ayant cessé, il est plus tranquille et attend patiemment d’être libéré. J’ai encore envie, mais mon corps dit non. Ce n’est pas qu’il refuse de recommencer mais je me sens partir dans le sommeil. Guy s’en va me saluant et me traitant de belle petite chienne, tandis que Robert se fait nettoyer par la langue de son chien.

   ─ Reste allongé sur la banquette. Dors si tu en as envie. Je vais rouler un peu et je m’arrêterai lorsque je sentirai moi aussi la fatigue arriver.

J’acquiesce d’un mouvement de la tête, sobrement accompagné d’un son que je ne parviens même pas à articuler. Robert me fait passer une couverture et je dors déjà d’un il. Cabot me lèche le visage à coups de langue affectueux. Il semble vouloir me remercier de lui avoir bien vidé les couilles. Je me recule au fond de la couchette pour lui laisser un peu de place et je m’endors, enlaçant le chien contre moi, comme si j’étais sa petite femelle.

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