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Vacances en italie – Chapitre 1

Vacances en italie - Chapitre 1



Cet été, pour les vacances, ma compagne et moi avons décidé de louer une villa pendant 10 jours dans le sud de lItalie. Dans la mesure où mon meilleur ami et moi sommes inséparables depuis l’enfance et que les deux couples sentendent très bien, c’est tout naturellement que nous avons eu l’idée de proposer, à Sylvain et Louise, de nous accompagner. Non seulement, cela nous permettrait de partager les frais de séjour mais grâce à cela, nous pourrions passer dagréables moments. Nous embarquons donc les 4 dans ma voiture pour une vingtaine d’heures de route. Ayant toujours aimé les longs trajets, cest tout naturellement je prends le volant en premier. A ma droite, côté passager, se trouve à Sylvain.Lui et moi sommes très différents, alors que je suis plutôt petit et trapu, un mètre 70 pour 85 kilo, mon ami mesure près d’un mètre 90 pour un peu plus de 70 kg. Je suis blond tendant vers le roux aux yeux verts. Quant à lui, il a des cheveux bruns rasé à 0 et les yeux noisettes. Côté personnalité, nous sommes tout aussi différents, alors qu’il est très introverti de prime abord, moi je suis plutôt l’inverse. J’ai toujours aimé vivre à 100 à l’heure et expérimenter pas mal de choses. Alors que lui, est plutôt terre-à-terre préférant le confort de son quotidien.

Sur les banquettes arrières, il y a les filles, Sophie, ma compagne, 1m45 pour une cinquantaine de kilos, petite blonde à forte poitrine, et Louise, la moitié de Sylvain, 1m65 pour je dirais un peu moins de 70 kg, cheveux noirs et yeux bruns également. Bien quelle soit un peu plus en chair que Sophie, elle a une plus petite poitrine et des hanches un peu plus larges. Il n’en demeure pas moins quelle un corps très harmonieux et quelle reste très belle. Mon ami a d’ailleurs beaucoup de chance. Tout comme Sylvain et moi, niveau personnalité les filles sont très différentes. Sophie est plutôt dans mon style, elle n’a aucun tabou et aime expérimenter de nouvelles choses. Louise, par contre, est beaucoup plus sage. Maintenant que tout le monde est présenté, nous pouvons démarrer.

Nous partîmes de bon matin, malgré que nous étions début juillet, il faisait encore nuit.Je conduisis les 3 premières heures, mon ami pris le relais et ainsi de suite. Comme à chaque départ de vacances l’ambiance régnait dans la voiture, musique entraînante plaisanterie à gogo, petits jeux avec quelques moments de calme laissant place à quelques conversations plus ou moins philosophiques. Cela fait 18h que nous roulons. C’est à mon tour d’être au volant, Sophie qui est à mes côtés a pour consigne de discuter avec moi afin d’éviter lendormissement. Sans être un expert en la matière, je peux dire qu’elle a failli à sa mission à en croire le filet de bave au coin de ses lèvres. Sylvain est à l’arrière, côté passager, lui et Louise, sont également tous deux assoupis.

Je commence à avoir mal au dos, je me redresse donc sur mon siège et dans mon mouvement, je pense apercevoir quelque chose de surprenant dans le rétroviseur central. Innocemment, je fais mine de l’ajuster afin de voir ce qu’il se passe sur la banquette arrière et alors que je les pensais endormis, c’est un tout autre spectacle qui soffre à moi dans le petit miroir. Je pensais que Louise était innocemment allongée la tête sur les genoux de Sylvain mais, bien au contraire, sa main sétait discrètement glissée dans son short et si je ne m’abuse pas, elle était occupée à le caresser. Je n’en crois pas mes yeux, je suis tellement stupéfait que par réflexe je me retourne pour m’assurer que je ne rêve pas. Je ne me trompe pas, elle tripote mon meilleur ami alors que nous sommes, Sophie et moi, à quelques centimètres d’eux. S’apercevant que je me suis retourné,Sylvain me fait un clin d’il pour que comprenne quil faille que je reste silencieux. Ensuite, d’un regard, il désigne Sophie sans doute pour me demander si elle dort. Dun bref signe de tête, je le rassure. La situation est très excitante, je peine à me concentrer sur la route, je ne sais pas pourquoi mais cette petite séance de voyeurisme m’enivre au plus haut point. Alors que jobserve toujours du coin de loeil les deux coquins, Sophie finit par ouvrir les yeux. Alors qu’elle s’apprête à parler, je mets mon index sur ma bouche, montre nos amis du doigt et imite quelqu’un en train de dormir pour lui faire comprendre ne pas de ne pas faire de bruit. Elle acquiesce d’un signe de tête. En vrai, je ne veux pas les déranger car même si je dois avouer être un peu jaloux de Sylvain, je ne veux pas le priver de ce moment.

De plus en plus excité, je décide de tenter ma chance. Je mets ma main sur la cuisse de ma partenaire et la caresse quelques secondes attendant qu’elle pose sa main sur la mienne comme elle en a lhabitude. Cela fait, je la lui saisit pour venir la mettre sur mon entrejambe. Elle me fait des gros yeux en retenant son bras dans un mouvement de résistance. Ensuite, elle se retourne subitement pour regarder ce qu’il se passe derrière mais, de là où elle est, elle ne peut voir que Sylvain, qui garde les yeux fermés faisant semblant de dormir, ayant compris où je voulais en venir. Elle finit par se laisser faire et ne retire pas sa main lorsque je la pose sur la bosse qui déforme mon pantalon. Bien au contraire elle commence à me caresser calmement tout en restant sur ses gardes.

Désireux den avoir plus, je finis par ouvrir ma braguette pour en sortir mon sexe. Elle me refait des grands yeux pour que je range la bête déjà bien bandée. Afin de faire semblant de la rassurer, je fais mine de taper un il derrière moi, pour m’apercevoir que Sylvain se trouve à présent dans la bouche de Louise. Il me fait un clin d’il, que je lui rends discrètement, et d’un signe de tête, qui se veut rassurant, jinvite ma compagne à continuer sa douce oeuvre. Je m’étais déjà fait branler en conduisant mais jamais pendant que quelqu’un se faisait sucer sur la banquette arrière. Il savérait que ce petit côté, à la fois exhibitionniste et voyeur, avait un effet aphrodisiaque que je ne lavais jamais ressenti auparavant. Sans doute à cause de l’adrénaline. Je ne tarde pas à jouir dans les mains Sophie et alors que j’observe mon ami dans le rétroviseur, je m’aperçois quil a rempli la bouche de sa partenaire de jeu quasi simultanément.

De manière très hypocrite, je fais semblant de conduire comme si de rien n’était et bizarrement mes trois compères sont toujours endormis, enfin cest ce quils font croire.Je décide de faire un arrêt non programmé, sur la première aire de repos que je croise, je pense que Sylvain et moi avons besoin de nous rafraîchir les idées. Bizarrement, je n’ai besoin de prévenir personne lorsque nous nous arrêtons, je ne suis pas encore garé que mes compagnons de voyage sétirent faisant semblant dimmerger d’un sommeil profond. Intérieurement je suis pris d’un énorme fou rire. Sylvain et moi sortons des toilettes alors que les filles y sont encore. Voulant gagner du temps nous leurs avons demandé d’acheter quelque chose à grignoter afin de se trouver loin des oreilles indiscrètes.

— Et ben mon cochon! On s’emmerde pas à ce que je vois!

— Tu peux parler ! C’est pas moi qui était si excité à l’idée de mater son pote sen faire tailler une qu’il a sauté sur sa meuf à peine éveillée pour qu’elle le branle.

— Quest-ce que tu voulais que je fasse d’autre? Au moins pendant qu’elle était concentrée sur ma queue, elle vous a laissé tranquille. En plus, je suis certain que la perspective de voir quelle me touchait ta fait le même effet quà moi!

— Non peut-être! Au début je trouvais l’idée quelle me caresse dans votre excitante, mais le fait dêtre surpris sachant comment cela sest terminé, la été encore plus. Je n’avais jamais pensé à truc, non ?

-Qu’est-ce que tu sous-entends? dis-je dubitatif.

— Vu comme cela nous a plus, à peine avaient-elles terminé que javais envie de recommencer ! Je suis sur que cest le même pour toi et, ne mens pas, je te connais comme si je t’avais fait!

— Ouais mais arrêtons de fantasmer, déjà imaginons que les filles apprennent ce quil passé, elles nous tuent! Alors leur proposer de recommencer, je veux pas faire le rabat joie mais je suis septique.

— Tu sais, on va passer 10 jours ensemble, si on est suffisamment intelligent, il y a moyen dutiliser cette proximité pour les inciter à réitérer l’expérience. Il faut juste veiller à amener les choses correctement en suscitant le désir et linterdit tout en leur faisant penser que cest un concours de circonstance qui nous pousse à tenter lexpérience

— Rien don ne peut plus simple. Dis-je pour le narguer

— Je vois que tu en doute mais, crois-moi, si on sy met à deux, on ne peut que y arriver. Tu as déjà vu quelquun nous résister ? Dit-il cherchant à me motiver comme un général le ferait avec ses troupes.

— Écoute, on en reparlera plus tard car les filles arrivent. En tout cas, je dois quand même avouer que cela est très tentant!

— On fait quoi alors, on tente le coup?

— On en reparlera mais, là, silence, les voilà !

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