Et oui tout a un début (et une fin d’ailleurs) !
Je ne pense pas que beaucoup de filles deviennent prostituées si jeunes sans que le destin ne les poussent un peu.
Pour Valérie le destin s’appelait Hervé et il était son propriétaire.
Elle était logée depuis plus d’une année déjà dans un petit studio et les propriétaires habitaient quelques étages plus bas dans le même immeuble. A chaque début de mois Valérie apportait le chèque (de ses parents) pour régler le loyer. C’était Hervé qui visiblement s’occupait des finances du couple.
A chaque fois il lui disait d’entrer et discutait un peu avec elle la questionnant sur ses études, avec ou sans sa femme.
Valérie n’avait jamais rien remarqué d’anormal si ce n’est de la sympathie pour sa locataire.
De son coté Valérie trouvait que Hervé était un bel homme, la quarantaine épanouie, mais n’avait aucune vue sur lui (l’idée ne lui traversait même pas l’esprit).
Le destin de Valérie a donc basculé un soir où, comme d’habitude, elle portait son chèque du mois. C’était un jeudi.
Hervé la fit rentrer, il était seul.
Il lui expliqua que sa femme et ses enfants étaient de sortie pour la préparation d’un spectacle de danse.
Il lui dit de s’assoir et lui demanda comment se passait sa vie d’étudiante.
Il lui demanda surtout comment ça allait niveau finances, Valérie lui répondit la vérité c’est-à-dire qu’elle vivait correctement mais ne pouvait pas faire de folies.
Hervé lui dit alors que si lorsque sa famille était de sortie elle le laissait venir dans son studio de temps en temps alors il lui rembourserait discrètement le loyer.
Valérie était comme figée, ne comprenant même pas trop de quoi il s’agissait.
Hervé lui laissa son numéro de portable en lui disant qu’il n’imposait rien, que c’était à elle de décider.
De retour chez elle Valérie pensa beaucoup à ça !
Elle était imide à cette époque, pas trop sure d’elle, et ses expériences avec les hommes de son âge l’avaient laissée sur sa faim.
D’un autre coté elle s’était toujours intéressée au sexe, s’était toujours beaucoup caressée en imaginant des scénarios érotiques.
Même toute jeune elle se rappelait le trouble qu’elle avait ressenti avec un simple film comme Angélique lorsqu’elle était à demi-nue vendue comme une esclave …
Quelques jours après Valérie envoya un SMS à Hervé (elle n’osait pas lui parler) pour lui demander ce qu’il voulait exactement.
Il répondit : "Pour cette fois te voir nue avec des bas et jouir sur toi … c’est tout".
Elle n’avait pas de bas, elle en acheta le mercredi, unis, noirs, autofixants. Il lui fallu des heures pour envoyer le SMS disant qu’elle acceptait mais, un doigt titillant son clitoris trempé elle l’envoya. A 19h30 elle devait être nue sur son lit en train de se caresser et laisser la porte d’entrée non verrouillée.
Elle y pensa toute la journée, ne pouvant se concentrer sur rien d’autre… le temps n’avançait pas. Peu de temps avant l’heure fatidique Valérie se déshabilla, mit les bas, se regarda dans la glace. Elle se dit que ses seins étaient trop petits et qu’elle aurait du se raser un peu le sexe (Valérie n’a pas une pilosité excessive sur le corps mais son sexe est naturellement très fourni avec une épaisse toison noire assortie à ses cheveux). Elle se mit sur le lit et commença à se caresser. Plus l’heure avançait plus elle avait peur et plus elle était excitée.
Elle entendit la porte s’ouvrir … et Hervé était là l’observant … sans la moindre pudeur elle écartait les jambes face à lui, gémissait, léchait ses doigts trempés.
Elle faisait ça comme dans un rêve, comme si ce n’était pas elle qui se comportait de la sorte. Comme convenu Hervé ne la toucha pas, il s’approcha du lit, sorti son sexe et se masturba en même temps que Valérie.
Plus Valérie gémissait et tortillait son cul plus Hervé devenait gros et dur. Il se mit à insulter Valérie, la traitant de tous les noms et, à son grand étonnement, elle adora ça (mais de toute façon il avait bien raison de lui dire qu’elle était une trainée, c’était la pure vérité puisqu’elle avait accepté de faire ça).
Il eut très rapidement envie de jouir sur ses bas et Valérie jouit aussi de concert lorsqu’elle vit les abondantes giclées de sperme blanc s’étaler sur ses jambes gainées de noir. Hervé ne semblait plus très à l’aise, surement un peu gêné, ne sachant trop si Valérie voulait continuer ce jeu. De son coté Valérie avait le sexe qui palpitait et avait envie d’un second orgasme.
Hervé lui donna en espèces un "cadeau" et lui dit que si elle voulait continuer il ne donnerait plus cette somme que pour quelques chose de plus "sérieux" maintenant. "Tu es d’accord pour aller plus loin Valérie ?" dit-il …
Valérie récupérait le sperme qui coulait de ses jambes, le mettant précieusement dans le creux de sa main.
En guise de réponse elle porta lentement la main à sa bouche, lécha soigneusement tout le sperme et avala ce nectar en regardant Hervé dans les yeux.
"Oui je suis d’accord Hervé … mais appelle moi Vanessa lorsque tu viendras me prendre comme une pute".
