Histoires de sexe français Histoires gays

Vers la Réunion – Chapitre 1

Vers la Réunion - Chapitre 1



Rien de mieux que les départs en vacances. Mon cur est léger quand je pense aux temps libres passés sans penser à rien de négatif. Jécoute à peine le baratin de lhôtesse. Bizarre, je suis seule sur le siège : pas de voisins immédiats. Pourvu que ça dure. Le peu de froid en cabine fait que je demande une couverture. Il se fait tard, jai encore le temps de sommeiller un peu dici larrivée à Roland Garros, laéroport de la Réunion, encore 11 heures de vol.

Remicoulée, comme on dit chez moi, dans la couverture, un sommeil léger me repose un peu. Je sens la couverture se soulever : un homme est près de moi. Tant pis pour lui, je ne veux rien. Sauf que je le sens sapprocher tout près. Son regard doit se poser sur ma frêle personne, je le sens. Il me sourit. Je rends ce quil fait, je suis polie.

Nous sommes en plein ciel, lhôtesse fait sa tournée en souriant dun air préfabriqué. Dès son passage je sens une main sur le bras : mon voisin ose me toucher comme ça, sans rien demander. Lui aussi est sous une légère couverture. Sa main se pose sur moi, sur un genou. Il me donne froid au début et un peu chaud. Il ne va pas quand même oser aller plus loin, plus haut sur ma jambe. Nous nous regardons, il caresse la jambe. Son sourire me plaît bien. Je me détends. Il monte sa main. Cest plus fort que moi, jécarte les jambes au fur et à mesure de sa montée. Il arrive sur la chatte que jai découverte, par principe, depuis que jai décidé de ne plus mettre de sous-vêtement.

Il le sait que jai envie, je mouille depuis un moment. Il caresse la moule, je la lui ouvre encore un peu. Il entre deux doigts, caresse le clitoris avec le pouce ; de quoi me faire jouir. On peut voyager dune façon moins agréable. Je surveille lhôtesse : elle est tout à lavant. Ma main cherche à peine sa braguette, je louvre facilement pour sortir un mandrin pas possible. Sil me baisait jaurais des difficultés à laccepter. Je baisse le prépuce, passe un doigt sur le gland. Je reviens, mouille le doigt avant daller à nouveau sur lui.

Il pose sa bouche sur la mienne. Nos langues samusent ensemble. Mon doigt arrive sur lui. Je caresse lentement le gland : lui se tend. Il est très dur : je vais le faire débander vite fait. Son méat visiblement est bien ouvert. Il va jouir dans ma main, tant pis pour moi.

Sa queue appelle toute ma main. Je le tiens totalement dans ma paume. Il palpite comme moi. Il parle :

— A dix, nous jouissons ensemble.

Il compte doucement, je compte comme lui au fond de moi. Avant le moment voulu, je pars dans lorgasme. Ma main narrête pas son massage. Je sens son liquide chaud dans ma main. Je suis obligée de mettre de lordre dans ma toilette, tenir ma main droite écartée. Il maide pour rejoindre lallée. Avant de passer la porte des toilettes, il est derrière moi. Il tient la porte ouverte. Nous sommes tous deux dans létroite pièce.

— Nous avons encore le temps, encore 9 heures de vol.

Drôle de bonhomme ! Je passe ma main sous leau, il la prend dans sa main, la fait passer sous sa langue pour me lécher. Il chatouille la main, il donne envie de le toucher, lui, une autre fois, plus intimement. Assise sur la cuvette, jouvre encore son pantalon. Il bande à nouveau. Sa queue est trop grosse. Dans la main il grossit encore. Jessaie de le branler normalement. Je fais à peine le tour du membre. Tans pis, je vais essayer la suite, je sors la langue pour lécher la partie du gland juste sous le méat. Je commence un peu plus bas, par la peau tendue. Cest agréable de le sentir, avec son arrière odeur durine. Jarrive à caresser les couilles, à passer ma main entre les cuisses. Il les ouvre pour permette le passage indiscret. Je faufile la main, les doigts arrivent sur lanus. Je caresse la chose lentement, sans oser aller plus loin. Il est doux de ce côté aussi. Quand jessaie de le sucer, mes doigts caressent plus profondément. Jentre une phalange sans quil se gendarme. Il accepte plus que le bout dun doigt. Je doigte son cul avec son accord.

Il tend son pubis : ma bouche souvre le plus possible pour lavaler. Je lai entre ma langue et la joue gauche. Ma tête fait des va-et-vient.

Je mouille trop, il faut que je jouisse. Je me touche la moule devant lui. Il regarde ma main aller et venir sur le bouton. Je jouis seule, mes dents serrent un peu la queue. Je laurais mordu avec lorgasme qui dévaste mon bas-ventre.

Il me fait lever devant lui. Il se baisse un peu, il pose sa queue tendue sur mon entrée. Je le sens forcer un peu. Jaurais pu dire non, jaurais dû refuser. Il écarte les lèvres, je mouvre totalement. Il est au fond de moi. Il me fait du bien, malgré ou à cause de sa grosseur, je ne sais pas.

Je pars encore dans un autre orgasme. Je regrette que ce soit fini. Il me tourne le dos contre lui. Ses mains viennent contre mon bas-ventre. Il me fait aller un peu en avant. Sa queue frôle mes fesses, cherche la raie. Il veut me la mettre par derrière. Je ne veux pas. Il insiste à peine. Là, jai envie quil me déshonore. Je lui donne ce quil veut.

Il me fait mal, très mal mais cest bon à la fois. Je sens son gland passer lanus. Je le sens au fond de mes boyaux. Il me fait du bien. Il jouit comme moi. Je le retiens pas ses fesses. Hélas, nous arrêtons.

— Nous pouvons recommencer un peu plus tard, allons déjeuner, nous avons encore 6 heures de vol et ensuite nous pourrons nous aimer quand nous voulons chez moi comme tu voudras, tu en vaux la peine.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire