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Vie professionnelle – Chapitre 2

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. - Chapitre 7



Cela fait 6 mois maintenant que je suis à ce nouveau poste de directeur dagence pour un grand groupe français de conseil.

Jai été recruté par la direction pour reprendre ce petit monde en main et redresser lactivité dans un contexte assez particulier de crise interne.

Jai introduit alors la rigueur, lambition et la motivation dans léquipe en même temps quune certaine convivialité et lamélioration des résultats, couplée à celle de lambiance, a été significative.

Je garde pour ma part une certaine distance avec mes collaborateurs tout en participant à la bonne ambiance, en mettant en valeur et en avant les points positifs et les personnes.

Je suis un peu plus proche de mon assistante, Charlotte, peut-être parce que nos bureaux sont mitoyens avec une porte communicante toujours ouverte, ce qui est pratique pour travailler ensemble. Cest une jeune fille qui, malgré son attitude un peu dilettante, est finalement très motivée du moment quon lui fait confiance et quon lui donne de quoi faire, apprendre. Japprécie beaucoup de lavoir car malgré son jeune âge elle se débrouille très bien et quand elle narrive pas à faire ce que je lui demande, nhésite pas à me le dire à temps.

On a eu deux fois déjà loccasion de passer un début de soirée tous les deux à lagence pour boucler un compte de résultats mensuels un peu délicats et nous avons pu travailler ensemble avec un diner livré par un traiteur pour loccasion. Diners en tout bien tout honneur bien sûr mais qui a été loccasion de se connaitre un peu mieux sous des aspects moins professionnels. Jai appris quelle avait prévu demménager sous peu chez son copain dans un appart neuf. Ça langoissait un peu, et dautres choses de sa vie perso. Moi aussi je me suis un peu dévoilé considérant la réciprocité normale. La seconde fois je lai un peu plus observé quà laccoutumée. Cest un joli brin de fille, châtain clair avec de petits yeux rieurs et un sourire très expressif. Assez classique dans ses vêtements, du moins au travail.

Aucune ambiguïté entre nous cependant.

Une fin daprès-midi en rentrant de déplacement, jouvre un mail mexpliquant quelle narrive pas à faire exactement ce que je lui ai demandé et si je pouvais laider quand je serai disponible. Je passe la tête et Charlotte nest pas à son bureau. Je retourne à mes occupations et quelques minutes plus tard, je la vois revenir et sinstaller. Elle ne ma pas vu semble-t-il. Je décide de finir mes nouveaux mails puis daller la voir ensuite.

Mes mails étant finis dêtre lus je me lève et je passe la tête dans son bureau. La porte est placée à côté delle, derrière son bureau. Je ne mapproche pas particulièrement en silence mais elle ne ma semble-t-il entendu quau dernier moment et elle sursaute assez violemment en changeant rapidement de page à lécran. Elle me parait très nerveuse et je remarque assez rapidement que ses joues sont toutes roses et son regard troublé. Je reste 5 secondes, à la fois pour la jauger et aussi pour quelle se remette. Puis on commence à travailler sur ce que je lui ai demandé. Je lui explique exactement et elle sapplique à comprendre, poser des questions puis une fois que je suis sûr quelle a bien compris je la laisse faire en finissant par plaisanter que je corrigerai la copie demain en fin daprès-midi.

La journée suivante se déroule sans rien de particulier. Quand je passe, Charlotte est toute concentrée à la préparation de ce dossier et je len félicite. Elle me répond en plaisantant quelle veut avoir une bonne note et ainsi éviter tout problème. Je suis légèrement interloqué par la fin de sa phrase javoue mais ne rebondit pas dessus.

La fin de journée venant elle mappelle pour me dire quelle a fini. Je me rends auprès delle pour revoir cela ensemble. Elle doit être certainement peu concentrée aujourdhui car il y a pas mal derreurs dinattention et importantes.

Je lui fais part de mon mécontentement et elle me dit quelle fera tout pour que ce soit bouclé avant la fermeture de lagence. Elle me dit cela en regardant ses chaussures, assez embêtée. Je lui dis daller prendre un café avant de sy mettre et la voilà qui part. Je maperçois avoir oublié de lui demander des informations et un document et comme je pars en rendez-vous dans 2 min, je nai pas le temps de lattendre.

Je cherche dans son pc et tombe en changeant décran sur un site web que je connaissais bien dhistoires érotiques. Le récit affiché est une petite histoire de soumission comme on peut en trouver tant sur le web. Je nai pas le temps, donc je cherche et trouve enfin mes informations. Je garde ce que jai vu pour moi et je pars.

En revenant à 19 heures, lagence est fermée mais la lumière à lintérieur me fait dire que Charlotte a dû rester.

Je la trouve en train de finaliser et elle est très concentrée sur son écran. En me voyant, elle maccueille avec le sourire en mannonçant que tout doit être bon.

Je prends un siège et vérifie à côté delle et effectivement tout est parfait, comme je le lui avais demandé.

Tout souriante, elle me demande quelle est sa note et je lui dis quelle mérite une excellente note en ajoutant quelle avait cependant été déconcentrée avant de sy mettre sérieusement. Elle rosit légèrement. Je continue en disant que la note aurait été vraiment mauvaise si elle avait continué comme ce matin, certainement assortie, en plaisantant toujours, dune légère punition.

Je la vois regarder encore ses chaussures comme une petite fille et rosir davantage. Je ne sais pas si elle jouait la comédie ou non et javoue ne pas savoir sur quel pied danser car pour moi la limite est claire et passe dêtre franchie.

Elle susurre que ses erreurs mériteraient pourtant quelque chose et je reprends en riant et en lui proposant une fessée.

Elle murmure un presque inaudible « oui »

Je comprends son petit jeu, son texte, peut-être même ses sursauts parfois. Jai deux possibilités : y jouer également ou tout arrêter.

Elle sapproche de moi lentement, le regard toujours baissé sur ses chaussures. Le temps semble se dilater autour de nous. Mon tempérament très joueur ne peut que minciter à poursuivre et je me tourne sur mon fauteuil vers elle.

Comme dans une sorte dautomatisme, elle se penche au-dessus de moi pour se positionner sur mes genoux, moffrant ainsi son postérieur à mon regard et à mes mains. Sa jupe me laisse entrevoir la lisière de ses bas. Elle se cambre davantage en prenant appui sur le fauteuil et sur mes genoux pour creuser encore davantage sa chute de rein.

Je pose ma main sur son genou et la remonte lentement, appréciant le crissement de ma peau sur ses bas couleur chair, profitant de ce moment si délicieux où la jolie novice soffre à de nouveaux plaisirs, ose sortir un peu de ses habitudes, des sentiers battus pour découvrir de nouvelles sensations, de nouvelles expériences.

Je retrousse lentement la jupe de Charlotte jusquà sa taille, et ses jolies fesses, encore innocentes et bien mises en valeur par un shorty en dentelle bleu mapparaissent alors. Ce très joli derrière ainsi exposé et offert dans lambiance particulière dun bureau et dune situation incongrue mais ô combien jouissive, me donne soudain lenvie de le fesser de manière retentissante. Comme pour marquer véritablement ce début, cette première, tel le 1er coup de gong ! Incertain et hésitant sur le force a appliqué pour marquer le coup tout en restant dans le ludique, tout comme sur le rythme. Je navais encore jamais administré, prodiguer ainsi une fessée. Dans le feu de laction dune levrette endiablée oui, mais là, cétait bien différent Fesser une femme, tout en étant novices tout deux sur ce sujet a quelque chose dintimidant de prime abord.

Pris dans laction, la force et le rythme memportent dans une sorte de danse, dun genre nouveau qui laisse bien loin de lesprit tout calcul pour tout simplement se laisser porter, emporter telle une musique, ou la respiration dun être vivant.

Jétais à la fois en harmonie avec moi-même, mon corps, mais bien sûr Charlotte ! Je nai pas apprécié je pense à sa juste valeur son ressenti lorsque la première fessée sabattit sur elle. Pas fait attention si elle sétait mordue la lèvre, si son visage sétait crispé ou ouvert sous le coup de la surprise et de la force de la fessée originelle.

Je pense quelle eut mal au premier coup. La douleur fut certainement physique, mais psychologique et morale aussi.

Ses fesses se contractèrent sous leffet de la fessée reçue, instinctivement. Immédiatement je maperçus dun oubli de ma part ! Je lui avais laissé son shorty. Je passe mes mains de part et dautre et elle comprend en soulevant son bassin pour faciliter la manuvre.

Avant davoir pu penser à quoi que ce soit, ma main sabat de nouveau sur ce joli fessier offert. Un petit cri semble mourir étouffé entre ses lèvres. Cest alors que linstant arriva celui où tout le corps de la fessée résonne des ondes de chocs et plaisir tout en se tendant totalement vers la main qui, bientôt, va senlever. Sentir son corps, son esprit, ses pensées et son désir se tendre, se projeter sur la paume de ma main, cela semble tordre véritablement la réalité pour faire que cela saccomplisse.

Ce qui fut le cas bien sûr. Et alors, une fois cette fessée prodiguée, tout le corps de Charlotte semble reconnaitre cette main, quelque part salvatrice, et ensuite sapaiser.

En attendant la suite

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