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vive les fêtes ratées – Chapitre 4

vive les fêtes ratées - Chapitre 4



Résumé des chapitres précédents :

1. Un soir, une sur aînée revenue d’une soirée ratée surprend son frère Clément en train de se masturber devant des vidéos pornographiques. Après un petit moment de gêne et de moqueries gentilles, Hélène se montre très compréhensive et initie son frère au véritable amour physique, une première réussie qui leur donne envie de continuer.

2. Après des jours et des jours d’attente, les parents des protagonistes laissent enfin leurs rejetons seuls pour aller dîner chez des amis. La soirée commence fort car Hélène veut essayer la sodomie, ce qui est finalement accompli. Les sens apaisés et affamés, ils descendent à la cuisine où ils retrouvent les plats préparés par un petit frère toujours soucieux de bien faire…

3. Après une discussion complice, Hélène demande à son frère de pouvoir le regarder alors qu’il regarde des vidéos pornos, curieuse. Après quelques instants de plaisir solitaire, Clément obtint qu’elle ne reste pas simple observatrice, la belle imposant toutefois ses étranges conditions.

De cette soirée merveilleuse, mon cur et ma caboche eurent besoin de plus de temps pour se remettre que mon service trois-pièces, pourtant bien endolori. Cela avait été tellement bon, profond et tranquille. Un trop court moment d’éternité.

Car au retour des parents, le maussade quotidien reprit dans toute sa désolation, rendu même horrible par une conjonction de facteurs qui saignait à blanc nos instants libres tel un odieux vampire.

Cela avait été tout d’abord notre chère mère qui recommença à souffrir d’une de ses crises de tendinites chroniques. Ses douleurs lancinantes à la hanche la conduisaient à rester à la maison, de mauvaise humeur et dépendante de nous pour les tâches domestiques. Un jour, elle faillit nous découvrir ensemble sur mon pieu, nous contraignant à abandonner par sécurité nos séances de massage.

Puis Hélène se transforma en assistante sociale au bénéfice d’une de ses grandes amies, qui – parait-il – morflait méchamment de la séparation de ses parents… J’avais parfois l’impression qu’elle fuyait surtout l’atmosphère et les devoirs de la maison, mais ce devait être mon côté aigri qui me faisait interpréter les choses sous cet angle. Car moi, dans tout ça, je devais faire bêtement face à des difficultés scolaires certaines.

Lorsque j’avais été dans l’attente de cette soirée où j’avais pu posséder Hélène de toutes les manières possibles, j’avais cru que mon incapacité à me concentrer sur mes cours était due à ma seule impatience. En fait, cet état semblait plutôt parti pour durer et mon cerveau n’arrivait plus à imprimer d’autres choses que des pensées incestueuses, qui alternaient entre la béatitude profonde et l’amertume insatisfaite.

La plupart du temps, je réalisais pleinement ma chance : une fille fantastique m’avait déniaisé, une belle blonde que j’aimais depuis ma naissance. Mais j’avais beau être heureux, les sentiments de frustration, d’attente fébrile me bouffaient le crâne. Quand je voyais Hélène au lycée, je ne pouvais pas aller l’enlacer comme les autres couples le faisaient. Je ne pouvais parler d’elle à personne. Une angoisse, diffuse aussi, venait me visiter plus souvent qu’à son tour. C’était juste trop beau pour durer. Même si Hélène me rassurait de la plus aimable manière, m’embrassant au détour d’un couloir ou me laissant la caresser lors de nos trop rares moments d’intimité, je me faisais des films catastrophes non-stop. Entre un beau gosse m’enlevant ma sur, un scandale né de notre découverte ou autre, les possibilités de fin cruelle étaient multiples.

Du coup, à ma troisième note scolaire voisine de la température moyenne de Strasbourg au mois de décembre, mes parents, prévenus par un prof, me secouèrent les cloches et me menacèrent logiquement de réduire mon argent de poche et mes autorisations de sorties. Par bonheur, Hélène était dans le coin et intervint avec brio et autorité :

— Attendez, ses prochaines interros, c’est de l’angliche et de la bio. Je vais le faire bosser… Allez, on va dans ta chambre Clément.

Mes parents s’attendaient à me voir protester par fierté, mais j’acceptais avec empressement, ce qui fit afficher une mine perplexe à mon père. Ma mère hocha, elle, positivement la tête et expliqua :

— Très bien… enfin chéri, tu n’as pas remarqué qu’ils se chamaillent moins ces derniers temps ? C’est bien de grandir les enfants ! Allez, on vous laisse tranquille…

Ainsi nanti de la bénédiction maternelle, je suivis ma sur en ne cachant plus mon sourire dans les dernières marches de l’escalier, les yeux rivés sur le cul d’Hélène. Hélas mon sourire se défit vite alors qu’elle se déroba vite à mon embrassade sitôt la porte refermée.

— Bas les pattes, le cancre. Qu’est-ce que tu crois ?

— Hein ? Mais…

— Qu’est-ce que c’est que ce bordel au lycée ?

— Tu vas pas t’y mettre aussi ?

— Qu’est-ce qui se passe ?, redemanda-t-elle le plus sérieusement du monde.

Merde. Je n’étais pas contre cette belle sollicitude mais un peu plus de lubricité m’aurait convenu aussi. M’enfin… autant profiter de cette oreille. A voix basse je confiais :

— Rien, comme je te l’ai déjà dit : c’est juste que j’ai du mal à arrêter de penser à toi en ce moment. Surtout qu’on arrive plus à avoir un moment tranquille ensemble : ou maman est toujours là, ou tu es chez ta copine.

— Claire à besoin de moi en ce moment, va pas faire ta jalouse !

— Je sais, je sais, mais c’est pénible, tu es là si proche : à la maison, au lycée… mais je ne peux pas t’approcher et ça me rend marteau.

Son expression se fit plus douce et nos lèvres se rejoignirent un instant, puis reprirent leur distance pour permettre à ma sur de me répondre :

— C’est gentil, mais il va falloir quand même reprendre vite fait tes esprits. Tu crois qu’avoir les parents sur le dos, sans thunes, va justement te donner plus de liberté ?

— C’est sûr… mais…

— Y a pas de mais. On va vraiment bosser.

Hélène me fixa un moment, se mordit la lèvre inférieure et ajouta :

— Voilà ce qui va se passer ces prochaines semaines : toute note en dessous de la moyenne, tu peux toujours te brosser pour que tu reposes tes mains sur moi. De 10 à 12, tu auras le droit à un bisou. 12 à 15 je te laisse me peloter en prime. 15 à 17 bonus branlette. 17 à 20, je te suce en final.

— Hein ?

Hélène éclata de rire et je la rejoignis aussi un peu après, à la fois inquiet mais émoustillé.

— Tu sais motiver c’est clair, mais ça veut dire qu’en dehors de ça… Mercredi, papa emmènera maman à l’hôpital pour sa consultation, on avait une à deux heures tranquilles, j’avais pensé que…

— Formidable, ainsi tu auras plein de temps pour réviser.

La note suivante fut donc pour moi l’occasion de constater la fermeté d’Hélène sur son barème. C’était un contrôle fait avant mise en place de ces règles, où j’avais récolté un 11 très moyen, plus grâce à la facilité du sujet et de bons restes qu’un réel travail. Durant l’heure institutionnelle de travail qu’elle m’avait imposé, ma sur accepta de m’embrasser du bout des lèvres, répondant mollement à mes mouvements de langue et éloignant mes mains dès qu’elles se posèrent sur ses flancs :

— Pour 11 c’est tout ce à quoi tu as droit, frangin. On va reprendre les verbes irréguliers en boche.

— C’est pas juste, tu vois bien que je suis sur la bonne voie !, je tentais d’argumenter pour l’apitoyer.

— Prends-moi pour une conne. Tu aurais dû avoir minimum 15 à ce genre de truc. Tu me fais honte, me dit-elle d’un ton sévère.

Ceci dit, elle remonta son genou assez durement sur mes parties où elle put sentir que j’étais assez raide, tant ce simple baiser suffisait à mon excitation. Ce n’était pas particulièrement violent ni destiné à faire mal, dans mon état de manque c’était même plus une rude caresse, mais je feignis de marquer le coup et compris que je devais faire profil bas.

— Bien maîtresse… Je savais que j’aurais dû faire espagnol…

Le fait est que ces séances de travail portèrent assez vite leurs fruits : cette proximité et l’attention d’Hélène me sécurisaient sur son intérêt pour moi… et que dire des contreparties qu’elle avait promis… Concentré sur des objectifs clairs, je me mis à bosser comme jamais, finissant par associer mentalement de façon un peu inquiétante travail scolaire et érotisme. Un exo de math bien fait, et j’imaginais la main d’Hélène sur mon torse. Une dissertation rondement menée et je voyais ses cuisses s’ouvrir… J’en vins même à maudire les profs de ne pas organiser plus souvent de contrôle, et surtout, de ne pas les rendre plus vite… et je pense qu’Hélène aussi attendait la bonne nouvelle pour mettre fin à sa propre abstinence, vu la façon dont elle me récompensa pour un très honnête 16.

Elle me demanda de patienter une journée, pour pouvoir profiter de la sortie en course des parents : normalement, l’un de nous était habituellement de corvée pour les aider, mais elle plaida admirablement l’impérieuse nécessité de me faire réviser et nos géniteurs acceptèrent même avec le sourire, fiers d’avoir des rejetons aussi sérieux. La salope en tira même une promesse d’augmentation de son argent de poche, devant son investissement avec son cher petit frère. Elle était donc doublement ravie au départ de la voiture familiale et nous nous retrouvâmes rapidement sur mon lit, nous embrassant férocement. Là, il n’était plus question pour elle de refréner mes ardeurs et je sentais qu’elle avait aussi envie que mes mains parcourent son corps. Sans s’opposer, elle me laissa la déshabiller et s’attaqua d’elle-même à mon propre T-shirt et pantalon, me laissant tout de même en caleçon pour le moment.

« Je m’occuperai de lui plus tard…, me promit-elle en massant mon sexe à travers le tissu.

Je répondis à peine, déjà trop heureux de retrouver le creux de son cou. Ma main put descendre librement de sa nuque à son cul, et mes doigts s’introduisirent dans le sillon de ses fesses. L’extrémité de mon majeur sentit même une humidité encourageante au début de son sexe, mais je réussis à me retenir de m’y aventurer plus profondément, craignant tout de même qu’elle estime que mes droits à pelotage n’allaient pas jusque-là. Par bonheur, j’allais vite découvrir qu’Hélène ne partageait pas ma définition étroite de ce mot, au contraire… toutefois, je pense que c’est cette prudence qui, en m’imposant de ralentir le rythme pour prendre le temps de caresser ses seins, l’intérieur de ses cuisses, participa grandement à augmenter son excitation et son plaisir, lui faisant perdre le contrôle d’elle-même. Comme ses baisers devenaient plus avides ! Quand elle allait à ma rencontre, la bouche de ma sur s’ouvrait, sa langue anticipant de se mêler à la mienne. Je léchais ses lèvres alors que mes mains se firent plus possessives, agrippant fermement ses hanches.

Je crus parvenir à l’orgasme quand elle suça ma langue et que son pelvis frotta un long moment contre mon sexe, tandis qu’elle tressautait entre mes bras. Son cou et son visage étaient rouges de passion. Mes mains trop sages, elle les guida d’elle-même vers sa chatte et je la pénétrais bientôt sans plus de retenue, d’un puis de deux doigts. Ses mouvements se firent plus désordonnés et sa respiration plus rapide…

Cependant, au lieu de me laisser continuer, ma sur me repoussa contre le matelas, pour retrouver la maîtrise de la situation. Allongé sur le dos, je la vis finir par enlever mon caleçon qui ne recouvrait de toute façon plus qu’à moitié mon sexe. Ce simple mouvement de tissu failli de nouveau me faire franchir les portes de la félicité, mais par bonheur sa main ne se reposa pas tout de suite sur mon phallus. Hélène remonta vers moi à quatre pattes, m’embrassa de nouveau, puis fit passer sa poitrine devant ma bouche. Je suçotais ses mamelons, embrassais son ventre alors qu’elle continuait son mouvement pour me présenter son sexe. Ses cuisses enserrant ma tête, je pouvais voir son magnifique cul juste au-dessus de mon nez tandis que je dardais ma langue le plus énergiquement possible. Certes, ce 69 était fortement asymétrique : loin de sentir la bouche d’Hélène sur mon gland (j’aurais sans doute dû avoir 17 !), je ne sentais que ses cheveux toucher mon bas-ventre et mes bras, immobilisés par ses jambes, ne pouvaient la caresser comme je le voulais. Toutefois, enfin, je goûtais de nouveau à son jus secret et ma tête était enfouie au plus profond de son intimité.

Si ma sur aînée arriva au début à maintenir une position qui ne m’était pas trop inconfortable, ses cuisses finirent par s’ouvrir plus largement, laissant le poids de son corps reposer sur moi. Son dos s’arqua selon des rythmes saccadés. Elle gémissait maintenant sans discontinuer et mes coups de langue s’accélérèrent. Mon nez et ma mâchoire souffraient quelque peu de cette montée vers le plaisir, et mes poumons protestèrent quand Hélène se redressa pour s’appuyer plus profondément encore contre ma bouche, oubliant quelque peu que son frère avait besoin de respirer… mais je n’en avais cure et emporté moi aussi par l’excitation, si j’avais pu, j’aurais empoigné ses cuisses pour coller sa chatte encore plus étroitement à mes lèvres.

Heureusement, Hélène jouit avant que je ne sois asphyxié ou que mon nez soit brisé et je sentis son vagin se contracter autour de ma langue tandis qu’elle poussa un feulement rauque qui manqua de me faire venir par son seul son. Ma sur reprit sa respiration peu à peu et bougea encore son bassin contre mon visage, de façon plus douce cette fois, pendant quelque temps avant de se relever. J’étais heureux et fier de lui avoir donné cet orgasme, toutefois, je ne retins pas un soupir de soulagement alors que je retrouvais l’air libre et pus de nouveau bouger les bras. Mon visage devait être assez éloquent car, après m’avoir observée, elle pouffa et vint se lover contre moi.

— Oh pardon, mon petit frère. J’ai failli te tuer ?

Encore un peu groggy, j’accueillis son retour à mes côtés en massant ma mâchoire et je mis un peu de temps à répondre :

— Tuer… je ne sais pas, mais c’était physique niveau souffle. J’ai l’impression d’avoir fait plusieurs longueurs sous l’eau !

Hélène rit de nouveau :

— C’est vrai que tu es tout mouillé…, dit-elle en me léchant la joue.

A petit coup de langue, elle sembla savourer sa propre odeur et enfin sa main se posa sur mes bourses, puis sur ma verge, qu’elle commença à enserrer plus étroitement.

J’avais retrouvé mes esprits et profitais de l’instant pour la caresser de nouveau. Immédiatement après un orgasme, je savais sa chatte sensible et dans ma position, je ne pouvais de toute façon pas y accéder, mais ma main se posa naturellement sur ses hanches et, de là, glissa jusqu’à son petit trou qui dans ses grands mouvements, avait lui aussi bénéficié de mon attention. Encore lubrifié par ma salive, je le sentis bien ouvert et la première phalange de mon majeur s’y aventura, suspendant un moment les caresses d’Hélène. Elle gémit et se déplaça de quelques centimètres pour que je puisse mieux continuer. Reprenant sa masturbation, elle me murmura à mon oreille :

— Tu as bien aimé me prendre par là ? Tu voudrais recommencer ?

— Oui, tu veux ?, je fis plein d’espoir.

— Oui, je veux aussi… mais ce sera pour une autre fois, fit-elle implacable.

Je voulus répondre mais son poignet droit s’activa et me fit taire… Elle commença à imprimer un rythme rapide, la main bien serrée autour de mon sexe… trop serrée même car le mouvement tirait assez vivement sur la peau de mon gland, me lançant à chaque fois que sa main parvenait à la base de mon membre. Ce fut l’excitation qui l’emporta sur la douleur, et, en grognant, je vins à mon tour. Hélas, loin de relâcher son emprise, Hélène continua de plus belle, sans doute encouragée par mon orgasme. Elle voulut me parler de nouveau mais j’immobilisais vite sa main par la mienne et son sourire vainqueur se transforma en expression perplexe alors que je l’informais :

— Doucement ! C’était plutôt rude.

— Ah ?… heu… désolée. C’était trop fort ?, demanda-t-elle en se faisant plus douce, opération facilitée par le lubrifiant de mon sperme.

Je pris le temps d’apprécier la caresse avant de répondre :

— Pas vraiment : j’aime bien quand tu serres fort, mais le mouvement tirait trop sur la peau. Comme ça, ça serait mieux…, dis-je en guidant sa main et lui montrant à quelle hauteur il convenait de commencer.

Hélène, si elle écouta attentivement et effectua quelques mouvements, me faisant produire mes dernières gouttes de semence, s’arrêta vite malgré mes protestations outrées :

— Ce n’était qu’une assez bonne note, me rappela-t-elle.

— C’est pas juste : je t’ai léché pendant une heure, comme tu voulais, et toi, tu m’as à moitié écorché ! Je me demande qui récompense qui dans cette affaire !

Le front de ma sur se fronça et je vis de la colère dans ses prunelles :

— C’était donc horriblement pénible ? Tu veux arrêter ? OK, me mit-elle au défi.

— Non, non… excuse-moi., je m’empresserais de prononcer, observant les yeux d’Hélène passer de la lueur de colère à celle de la victoire. Mais bon… quand même…

— Il ne tient qu’à toi d’obtenir plus…, fit-elle en se levant, essuyant distraitement sa main souillée sur son t-shirt qu’elle ramassa avant de sortir de ma chambre.

Et plus, je l’obtins effectivement, grâce à un contrôle de vocabulaire en anglais, du merveilleux par cur stupide, et une interro de math où je pus tricher de façon éhontée. Respectivement 20 et 19, rendus le même jour. Mon large sourire me valut de me faire vanner par un de mes copains, qui se foutait de ma transformation en premier de la classe, mais je savais ce que cela signifiait. Ce sourire dura donc jusqu’à la maison et au repas du soir, où je dévisageais ma chère Hélène en prédateur. Elle capta mon regard et me retourna une expression interrogative… cependant elle ne fut pas la seule à percer mon petit manège.

— Hé bien Clément ? Quest-ce que tu as à regarder ta sur comme ça ?, fit ma mère curieuse.

Mon cur manqua un battement, mais je me repris vite, osant :

— Oh, c’est juste que j’ai gagné… une sorte de pari. Hélène, tu te souviens de ce que m’avais dit lors de notre dernière grande séance de révision ?

— Mmm… mmm, opina-t-elle en me regardant avec comme un air de mise en garde.

— Et bien aujourd’hui on m’a rendu un 20 et un 19, je continuais néanmoins. J’en connais une qui va devoir le reconnaître…

Mon père et ma mère me félicitèrent bruyamment et j’eus le droit à un verre de vin que je bus sans doute un peu vite. Porté par l’audace et l’alcool, je fis remonter mon pied le long de la jambe de ma sur pour finir par s’inviter dans son entrecuisse. Hélène se raidit et commença à bafouiller :

— Hé, arrête ça…

— Oh, ton frère à bien le droit de te charrier un peu !, fit mon père avec bonhomie. En plus, c’est grâce à toi qu’il a remonté la pente. Tu devrais être plutôt contente, non ?

Mon pied continua son manège et Hélène ne bougea plus, observée par notre père qui attendait une réponse. Le rouge qui lui montait aux joues m’excita et me poussa à me faire plus insistant encore : du bout du pied, je touchais désormais son mont-De-Vénus. Enfin, d’une petite voix, elle dit :

— Oui, c’est bien…

— Il faut que vous continuiez, s’empressa d’ajouter ma mère pour mon plus grand plaisir, Moi aussi ma sur m’aidait pendant mon collège et mon lycée, ça m’a fait un bien fou.

Sans pitié, mes attouchements se poursuivirent. Au-dessus de la table, Hélène demeura immobile, les mains plaquées de part et d’autre de son assiette qu’elle ne touchait plus. En dessous, ses cuisses s’entrouvraient puis se refermaient avec des soubresauts et je sentais parfois son bassin s’avancer pour se frotter plus fortement sur mon pied. Cette attitude étrangement soumise de ma sur ne faisait qu’augmenter ma confiance. Je me sentais protégé des dieux et favorisé par le destin. Aussi j’osais :

— Oui, d’ailleurs… j’ai un assez gros boulot que j’aimerais bien commencer à regarder avec toi Hélène qui nécessite l’accès au PC pour faire des recherches. Comme il est en plein salon près de la télé, je me disais que vous pourriez peut-être aller au ciné ce soir ?

— Tu nous fous dehors ?, fit semblant de s’offusquer mon père, qui tourna la tête pour regarder l’ordinateur, effectivement proche du coin canapé. C’est vrai qu’il est pas bien placé ce truc, il faudrait le mettre autre part…

— Mais pour ce soir je ne sais pas, dit ma mère qui regarda sa montre. Il est déjà 20 heures…

— Je pourrais ranger la table, j’argumentais en fils modèle. Ce n’est pas toi qui te plaignais de ne plus sortir ? Vous êtes larges pour la prochaine séance. Y a le dernier film avec Bacri, il parait qu’il est pas mal du tout.

Mon cur commença à s’emballer lorsque je vis ma mère sourire et regarder son mari avec un haussement de sourcil. Celui-ci se pencha vers Hélène et lui étreignit l’épaule, déclenchant chez elle un serrement de cuisses qui enferma mon pied.

— Ah, vraiment, tu nous l’as transformé Clément… Mais toi, tu ne dois pas travailler aussi ? Ça te va ?

— Oui, répondit-elle toujours avec la même petite voix.

— OK. C’est vraiment le monde à l’envers : les vieux sortent, tandis que les jeunes font le ménage et restent bien sagement à la maison ! dit-il en continuant de rire. Je vais quand même vérifier les séances.

Je priais tout le temps que papa s’assurât de la faisabilité de la chose, mon pied toujours aussi bien au chaud. Maman nous causait d’un air enjoué, mais je n’arrivais plus à comprendre ce qu’elle disait, tant j’étais troublé par Hélène, qui me lançait des regards qui alternaient entre inquiétude et plaisir.

Quand mes parents partirent de table, je dus ruser pour parvenir à me lever sans que mon érection fût visible et les raccompagnais même jusqu’à la porte. Ma grande sur, qui était restée assise, tenta de renouer avec son ironie habituelle :

— Tu en fais trop.

Néanmoins, ses paroles n’étaient pas très convaincues et je voyais sa poitrine se soulever rapidement. Peut-être était-ce mon imagination, mais en observant cette poitrine, j’en crus discerner ses tétons pointant. Profitant toujours de mon élan, je répondis du tac au tac :

— Je fais exactement ce qu’il faut… et ce dont j’ai envie. Viens par là, lui intimais-je.

Je m’attendais à ce qu’elle m’envoie sur les roses et me remette à sa place, mais étonnamment, elle obéit et je l’entraînais vers le salon où je la laissais au centre de la pièce debout sur le tapis, tandis que je fermais les rideaux. Je revins derrière elle et posais mes mains sur ses hanches, puis les remontais pour lui enlever son t-shirt et dégrafer son soutien-gorge. Ses seins ainsi libérés me montrèrent effectivement des mamelons qui semblaient réagir plus que favorablement à l’ambiance et je les fis rouler entre mon pouce et mon index, toujours dans son dos. La respiration de ma sur était rapide et elle s’accéléra encore quand je déboutonnais son pantalon et glissais mes doigts dans sa culotte.

Bien collé à elle, je malaxais un de ses seins tout en explorant son sexe, bien humide. Hélène soupirait et vacillait sur ses jambes. Elle voulut plus écarter les cuisses, mais son équilibre était encore plus difficile et je la soutins jusqu’à ce que nous nous retrouvassions tous les deux à genoux sur le tapis. Là, elle se laissa aller et s’appuya davantage sur moi, sa tête basculant sur mon épaule. Avoir sa joue, son oreille près de ma bouche me donna un instant l’envie de l’embrasser, mais je me concentrais sur sa chatte, mon index et mon majeur bien profond en elle. Dans cette position, je sentais tout le poids de son corps dans le creux de ma main et j’aimais cette sensation de la soulever légèrement alors que je la pénétrais avec toute la force de mon bras droit. Ma main gauche n’était pas plus délicate et je continuais à enserrer sa poitrine assez fermement. C’était la première fois que je me permettais d’être si possessif et directif avec ma sur, cependant Hélène semblait apprécier ces caresses vigoureuses s’abandonnant totalement à moi. Sa respiration s’était muée en petits cris et elle se cambrait pour se faire encore plus ouverte. Mes doigts dégoulinants de mouille sentaient sa chatte se contracter de plus en plus vite et je vis ses mains commencer à caresser son propre corps, se rejoignant sur sa chatte pour m’inviter à rester en elle… Mais je me retirais brutalement et l’empêchais de se toucher davantage, enserrant ses mais par les miennes contre ses cuisses.

— C’est toi qui dois me donner du plaisir, Hélène. Dis-je en me relevant et en défaisant enfin mon pantalon qui me faisait souffrir le martyre depuis que j’avais commencé à lui faire du pied durant le repas.

Cette décision risquée fut payante et, si je vis un éclair de frustration naître, il enflamma l’obéissance de ma sur plutôt que sa colère et je la vis, toujours à genoux, se tourner vers moi et ouvrir largement la bouche, les yeux à moitié fermés. Devant ce tableau érotique, cette langue tirée même de la manière la plus explicite, je faillis jouir immédiatement, mais je réussis à me contenir et présentais mon sexe devant le visage d’Hélène. Elle eut à peine le temps de toucher mon gland avec la pointe de sa langue que je m’introduisis dans sa bouche mes mains placées sur son crâne. Si j’avais encore quelques hésitations à continuer dans ce registre, ma sur les fit disparaître en avançant d’elle-même, cherchant à me happer plus loin qu’elle ne l’avait jamais fait. Mon sexe disparut presque entièrement entre ses lèvres et frappa le fond de sa gorge. Elle eut un hoquet et recula, mais maîtrisa ce réflexe et revint à la charge, comme mécontente d’elle-même. Par je ne sais quel miracle, je réussis à profiter de ce traitement un petit moment, observant ma verge avalée par ce si joli visage.

Un instant, quand elle se retira pour souffler, le menton et les joues maculées de bave, je fus visité par une sorte de remord… mais je repensais à la dernière fois, où j’avais été pareillement utilisé par mon aînée et je replongeais en elle avec une nouvelle vigueur. Je ramenais ses cheveux en queue-de-cheval dans ma main gauche pour pouvoir mieux la détailler et de ma droite caresser son visage, sa gorge, prendre sa mâchoire pour bien la présenter à mon sexe. Hélène leva les yeux vers moi. L’effort avait rendu flou ce regard, cependant, j’y lus aussi un désir d’être utilisée qui me poussa à oublier mes dernières retenues. Véritablement, je commençais alors à baiser sa bouche, mes reins accompagnant ses mouvements de tête.

Après une dizaine d’allées et venues, je me retirais pour lui permettre de respirer, admirant les fils de salive qui rejoignaient mon gland à ses lèvres. Afin de profiter d’un spectacle que je ne pensais que dévolu aux films pornos, je reposais ma verge sur le côté de son visage et lui demandais de se masturber devant moi. Comme dans un état second, ma sur obéit, à la fois heureuse de pouvoir reprendre haleine et d’assouvir une envie visiblement pressante et impérieuse, vu les gestes presque furieux qu’elle imposa à sa chatte. Ce tableau était trop excitant et je sentis moi aussi que je n’allais pas pouvoir me contenir plus longtemps : après avoir frotté mon sexe sur le pourtour de sa bouche, je m’introduisis de nouveau jusqu’au fond de sa gorge, notant que la montée du plaisir empêchait ma sur de m’accueillir avec autant d’application qu’au début. Toutefois, je ne m’en formalisais pas. Moi aussi, j’étais à bout et le simple fait de revenir dans cet endroit humide et chaud, quitte à heurter parfois ses dents, me comblait.

Chacun de nous était d’ailleurs concentré sur son propre plaisir et Hélène ne semblait plus me voir ni m’entendre, subissant juste l’invasion de sa bouche qu’elle me laissait user comme je le voulais, tandis qu’elle achevait de se mener à l’orgasme avec ses doigts.

Ses cris et sa respiration rapide provoquaient sur ma verge d’ultimes caresses et je ne pus me retenir alors que je la vis se raidir et ne plus contrôler ses lèvres, laissant couler un important flot de bave de son menton. Ce flot devint vite plus épais et blanc alors que mon sperme se déversa dans sa bouche, se mêlant à sa salive abondante. Si ma sur eut un mouvement de recul, celui-ci sembla plus dû à la surprise qu’au dégoût car elle s’arrêta vite. Hélène ne lutta pas contre mes mains, bien agrippées à sa tête, qui lui imposèrent mon sexe tout le temps que je me vidais, donnant de derniers coups de reins pour en extraire la dernière goutte. Au contraire, son propre orgasme passé, sa langue et sa bouche reprirent leur travail et Hélène s’appliqua pour me sucer et me lécher, tandis que je parvenais à peine à rester debout. Les jambes flageolantes, je me retirais pour reprendre mes esprits.

Devant le tableau de ma sur nue à genoux, une main toujours entre ses cuisses, les joues, le cou et la poitrine marqués de foutre, j’eus un peu honte, mais, après avoir repris son souffle, elle me sourit et pointa le bout de sa langue sur ses incisives. Sa main s’activa de nouveau, bien que plus calmement sur son mot de Vénus, et de l’autre elle étala mon sperme sur sa poitrine pour empêcher des gouttes de descendre plus bas que son nombril.

— Eh bien on dirait que tu as apprécié. Tu n’as jamais crié aussi fort.

— Ha bon ?, répondis-je un peu surpris, ne m’en ayant absolument pas rendu compte.

Un peu rassuré par son attitude, je ne m’étais toutefois pas totalement débarrassé de ma gêne à l’avoir si fermement agrippée et souillée, de mon comportement même depuis le repas.

— Excuse-moi si… j’aurais peut-être dû…

Elle rit, même si la coloration rouge de ses joues était plus due à un rien d’embarras que des restes de sa jouissance :

— Non… ça va… c’était assez excitant aussi, pendant le repas quand tu m’as fait du pied… même si c’était un peu trop risqué à mon goût. Et puis… c’était pour un 19 et un 20 quand même.

Ma sur se releva en faisant toujours attention à ne rien laisser couler sur le tapis et s’éloigna vers la salle de bain :

— En tout cas, c’est toi qui nettoies tout dans le salon et qui ranges la table, moi je vais prendre une douche !

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