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week-end à la ferme – Chapitre 10

week-end à la ferme - Chapitre 10



Suzette apostrophe Jacques

"toutou va chercher ce que tu sais"

Jacques s’absente un moment et revient avec un drôle d’appareillage

"c’est une mini trayeuse électrique "explique Suzette

"ah bon et ça sert à quoi"répond Francine

"ben! à traire pardi, on va traire ton mari tu es d’accord" répond elle

Suzette vient derrière moi me prend la bite dans la main et commence à me masturber, très vite je bande à nouveau:

"vous faites quoi là?" lui dis je inquiet.

"Tu le verras bien assez tôt, toutou branche l’appareil"

J’ai compris ils vont me traire la bite comme une vulgaire vache.

L’appareil branché ronronne doucement puis Suzette saisit l’embout d’une main et de l’autre me tient la queue, elle l’approche et ma bite et littéralement aspirée par le tire lait. La sensation de succion n’est pas désagréable, toutes les 2 ou 3 secondes ma queue subit un effet de ventouse, c’est alors que Suzette me tartine la raie avec le même miel qu’elle a utilisé tout à l’heure pour Francine. Elle me doigte l’anus avec aussi en n’en mettant le plus loin possible à l’intérieur.

"Sultan viens ici" le chien répond illico et commence à me lécher la raie:

"putain, mais vous êtes cinglés enlevez moi ce clebs" que je hurle mais rien n’y fait, entravé comme je suis je ne peux que subir. Je me résigne après tout pour le moment cela n’est pas désagréable, je regarde Francine qui m’observe avec un petit rictus sur les lèvres et me dit:

"bonne jouissance mon chéri, je te souhaite que ça te fasse autant de bien qu’a moi tout à l’heure"

Ce qui n’ai pas fait pour me rassurer quand je pense à la souffrance qu’elle a endurée au début de sa sodomie.

La machine me pompe avec une régularité de métronome, la langue du chien me fouille l’arrière train, je dois reconnaître que cette sensation contribue à me faire bander encore plus fort.

Suzette vient devant moi et me frotte ses fantastiques mamelles sur le visage puis elle se retourne se baisse écarte ses fesses de ses mains et en fait de même avec son cul.

"T’aimerais me mettre ta queue dans le cul hein! mon salaud t’aimerais bien vider tes couilles dedans, tu veux savoir l’effet que ça fait d’avoir une bite chaude dans le cul, je peux te dire que c’est génial et tu vas t’en rendre compte de suite, Sultan grimpe!"

Aussitôt le chien saute sur mon dos et commence à chercher l’entrée.

"Enlevez moi cette bestiole, bande de tarés" mais j’ai beau gueuler rien n’y fait, Suzette se penche vers la machine et actionne un bouton aussitôt la cadence de la succion augmente et se fait plus forte, au même moment Sultan a trouvé l’ouverture et m’enfonce son pénis au fond des reins.

Je ne sais plus, le plaisir et la douleur se confondent aucun ne prend le pas sur l’autre, puis petit à petit c’est le plaisir qui gagne les va et vient de Sultan dans mon rectum me chauffe les reins la succion sur ma bite devient infernal, j’ai le cerveau qui entre en ébullition. Je ne sens même plus Sultan, juste un liquide chaud qui se déverse dans mon cul par saccades et me frappe les intestins, je n’en peux plus, ma verge lâche à son tour sa liqueur, du fond de ma gorge sort un râle inintelligible, telle une bête je n’extériorise de la voix.

"AAAARRRGGHHHHHHHh, PUTAIN que c’est bon! LA VACHE!!!!! sale chienne tu vas me faire mourir de plaisir" je suis littéralement terrassé par l’orgasme, je sens le sperme de Sultan couler le long de mes cuisses et la machine qui continue à pomper ma queue. Sultan s’arrache de mes fesses je ne sens même plus la douleur ,c’est à ce moment là que toutou vient se placer derrière moi et commence à m’enfoncer sa trompe dans le cul. Je suis encore tellement shooté par ma jouissance, en plus le conduit a été lubrifié par Sultan que je le sens à peine me pénétrer, par contre la longueur n’étant pas la même je sens son gland qui me touche les intestins et cette saloperie de machine qui continue à me pomper, je recommence à bander.

"C’est qu’il en veut notre Paul, tu as vu Francine il a l’air d’apprécier la queue de toutou regarde il bande à nouveau" dit Suzette en riant.

"Vas y toutou, éclate lui la rondelle, notre Paul a envie de jouir on dirait"

Jacques me crochètent aux hanches et commence une sarabande endiablée sur mon cul, je sens son pieu entrer et sortir de mon rectum et j’avoue que j’aime ça, être écartelé de cette façon et sentir ce pieu brûlant me fouiller le conduit, je bande une énième fois. Le contact de la bite de Jacques qui effleure à certains moments ma prostate me fait cracher le peu de sperme qui restait encore dans mes couilles, jacques se lâche également m’envoyant une bonne dose de son foutre qui se mélange à celui du chien, ça dégouline de partout hors de mon anus.Suzette arrête la machine et ouvre le récipient qui a recueilli mon sperme et se dirige avec vers Francine qui a assisté les yeux exorbités à toute la scène.

"Tiens avale la semence de ton mari ma chérie"

"Francine me regarde droit dans les yeux porte le récipient à ses lèvres et avale le tout. Dire qu’elle n’a jamais voulu avaler mon sperme jusqu’à ce jour, je n’en reviens pas"

"Alors les citadins ça vous plaît votre petit week-end à la campagne" lance Suzette.

"On peut dire qu’il est plein de surprises mais pourquoi nous avoir drogués et attachés" dis je.

"Mon cher Paul, si on vous avait proposé toutes ces galipettes gentiment il est certain que vous n’auriez jamais accepté, alors que là vous avez fait des découvertes que vous avez appréciés il me semble" répond Suzette.

" Oui tu as tout à fait raison, hormis la peur que j’ai ressentie par moment mais au vu du résultat je ne regrette pas, je n’ai jamais autant joui, surtout avec une telle intensité je pense que Paul ne me contredira pas, n’est ce pas mon chéri" lui dit Francine.

" Je dois admettre que tu as raison malgré la douleur qui me taraude encore l’anus" lui dis je.

" C’est le pied, alors on va pouvoir continuer" jubile Suzette.

"Quand tout sera fini, je m’offrirai à vous et vous pourrez me faire ce que vous voudrez tous les deux." dit elle.

"Francine je vais te libérer, je pense que tu as eu le temps de remarquer que nous ne sommes pas des sauvages et que tu peux me faire confiance" lui dit Suzette.

"Et pour Paul ?" demanda t’elle.

"Pour lui on va encore attendre un peu " réplique t’elle en souriant, cela ne me disait pas âme qui vaille. Une fois défaite de ses liens mon épouse vient vers moi et me dit:

"Ca va mon chéri, on a joui au delà de nos espérances je commence à y prendre goût, pas toi"

"Moi aussi, mais mon cul a un peu plus de mal à l’accepter" lui répondis je.

"Il va s’habituer exactement comme le mien" répondit elle.

Suzette revient vers moi défait le cadenas de mon carcan et me remet debout grâce à la manivelle.

"C’est quoi cette nouille informe qui pendouille entre tes jambes " me dit elle.

"Francine va lui redonner de la consistance "ordonne t’elle à mon épouse. Celle-ci s’agenouille à mes pieds commence à me caresser le sexe puis au bout d’un moment le prend en bouche. Je ne tarde pas à avoir une érection conséquente.

"Tu as déjà baiser un animal?" me demande Suzette.

"Ca va pas non"

"Eh bien ça va être encore une fois une première, une de plus " dit elle.

"Francine tu vas aller avec toutou et c’est toi qui va choisir" dit elle à ma femme. Les voila partis tous les deux me laissant seul avec mon "bourreau". Elle vient vers moi et me dit:

" Je suis certaine que tu as soif je vais te donner un peu à boire" elle attrape un petit tabouret et vient le déposer à mes pieds puis elle monte dessus. Elle saisit un de ses seins entre ses mains approche le téton de ma bouche et le presse comme un citron aussitôt une giclée de lait s’écrase sur mes lèvres.

"Mais vous avez du lait! comment est ce possible" lui dis je totalement stupéfait.

"Ca t’épate hein, quand j’ai eu mon second enfant je l’ai allaité aussi et j’aime tellement ça que quand ça s’est terminé j’ai continué avec des petits d’animaux de la ferme et je le fais toujours, alors ouvre et boit ou mieux tète " me dit elle et elle me fourre son téton dans la bouche. Je commence à aspirer et effectivement le liquide chaud gicle dans ma bouche. Vous vous rendez compte, à 45 ans je suis en train de téter une femme qui me donne son lait, en plus c’est très bon. Je tire sur le mamelon comme un mort de faim jusqu’à ce que plus rien ne sorte.

"Oh mais c’est qu’il m’a vidé ma mamelle le petit coquin" me dit elle, attends je vais te faire un autre cadeau, elle descend du tabouret et présente son cul fellinien devant ma bite dressée.

"allez vas y enfonce toi ou tu veux" elle se baisse un peu coinçant mon gland dans sa raie, je n’attends plus donnant un puissant coup de rein, je sens mon sexe s’enfoncer immédiatement dans un orifice chaud et onctueux. Je me démène comme je peux, accroché à mon carcan. Elle me laisse faire pendant quelques instants puis se retire.

"C’est bon hein mon cochon! mais attend tu vas pouvoir continuer bientôt" dit elle avec un sourire,c’est à ce moment là que la porte s’ouvre et qu’arrive Francine suivi de Jacques tenant en laisse une chèvre.

"C’est pour toi mon chéri" me dit Francine.

"Comment ça c’est pour moi, mais t’es malade!"

"Mais non! c’est une découverte de plus, Jacques m’ a juré que c’était aussi bon qu’avec une femme, alors je veux que tu essaie"

"C’est hors de question, t’as pété un câble ma parole"

Francine ne m’écoute plus elle tourne la chèvre et la pousse à reculons contre mon ventre, Suzette vient derrière moi et me saisit par les hanches, Jacques tient la tête de l’animal, ma femme attrape ma bite et dirige le gland sur l’orifice baveux.

"Elle est en chaleur, ça va rentrer tout seul" dit Suzette en même temps qu’elle me pousse en avant. Ma queue s’enfonce directement à fond dans la vulve animal. L’instant de surprise passé et après m’être calmé je dois reconnaître que la sensation est en effet identique qu’avec une chatte humaine.

"Allez baise là" me dit Francine pendant qu’elle s’enfonce deux doigts dans la chatte et qu’elle débute une séance de masturbation, Suzette me lâche et vient se placer de l’autre côté devant moi et entreprend une manoeuvre identique. Jacques s’est enduit le gland de miel que la chèvre commence à lécher. C’est une vision totalement surréaliste que j’ai devant les yeux, digne d’une bacchanales lucifériennes. Devant cette image mon sexe grossit de plus en plus et l’envie de jouir me tenaille, je commence donc à pistonner la vulve de l’animal. Je me retire jusqu’à la pointe du gland puis m’enfonce d’un coup en entier, je réitère plusieurs fois, puis pris d’une folie frénétique je viole ce cul animal aussi vite que je le peux, la jouissance monte dans mes reins.

"T’as vu Francine il va cracher son foutre, ça te dis? sinon je le prends pour moi" dit Suzette.

J’y crois pas! au moment ou je suis prêt à exploser dans le ventre de la chèvre Francine retire vite ma queue et la prend dans sa bouche, je ne contrôle plus rien, les jets laiteux fusent hors de mon gland et vont s’écraser au fond de la gorge de mon épouse. Elle attend jusqu’à ce que je me sois vidé totalement puis retire sa bouche, lève sa tête vers moi, me regarde droit dans les yeux et déglutit.

"J’aime ton foutre Paul, j’en veux encore" dit elle et se retournant s’empresse de ramper vers Jacques qui est lui aussi au bord de l’explosion à force de se faire lécher le gland par la chèvre.

Francine attrape son braquemart et le dirige vers ses lèvres, elle ouvre la bouche et pose le gland juste à l’entrée sans le faire pénétrer, elle n’attend pas longtemps la liqueur convoitée jaillit du méat, je vois très bien les salves laiteuses gicler vers le fond du gosier de mon épouse, elle se penche en arrière transformant sa bouche en réceptacle à foutre, ça y est toutou arrête enfin, la bouche de mon épouse déborde de sperme se retournant à nouveau vers moi et me fixant dans les yeux comme tout à l’heure elle débute la déglutition, elle savoure cela comme un met divin.

Ma femme s’est transformée en une vrai salope.

"Eh ben ma Francine tu vas être plus salope que moi si ça continues, là tu m’épates,tu fais des progrès rapides et tu apprends vite" la félicite Suzette.

"Paul, j’ai une bonne nouvelle pour toi, tu viens de gagner ta liberté et c’est le moment d’inverser les rôles comme je vous l’ai promis" me dit Suzette

Elle s’avance vers moi, défait le cadenas et soulève la moitié du carcan, je me dégage vite fait des fois qu’il lui viendrait l’idée saugrenue de le rabaisser. Je m’affaire à défaire les liens de cuir qui entravaient mes jambes. Ouf! enfin libre de mes mouvements, malgré toutes les jouissances que j’ai connues ces dernières heures rien ne vaut la liberté de mouvement. Je me tourne vers Suzette et lui dis.

"Mets toi à genoux grosse salope ça va être ta fête maintenant" je suis comme fou je voudrais lui faire subir en une fois tout ce que j’ai enduré depuis le début. Je lui attache les poignets avec les mêmes entraves dont elle s’est servi pour Francine, l’attache à l’anneau du sol avec le cadenas de mon carcan puis lui fixe les écarteurs aux genoux et aux chevilles comme elle l’avait fait pour nous. Je cherche autour de moi, mes yeux tombent sur un martinet accroché au mur, je m’en saisis et l’abat sur les fesses sans défense. Elle pousse un cri mais je continue ma vengeance, au bout d’une dizaine de coups Francine viens vers moi et me dit:

"Attend je veux vérifier quelque chose" elle s’approche du cul marbré par les traces de lanières et enfonce sa main dans l’entrejambe de la suppliciée.

"Tu te rends compte, elle mouille! elle aime ça cette chienne" me dit elle.

"Va prendre le plug et fourre le lui dans le cul " dis je à mon épouse.

Elle enfonce l’objet et commence à le gonfler ne s’arrêtant qu’au moment ou enfin Suzette la supplie. La dimension atteinte est phénoménale, n’importe quelle femme serait déjà déchirée depuis longtemps, on pourrait sans problème y enfonçait un magnum de champagne. Soudain j’ai une idée saugrenue, j’appelle Jacques qui arrive de suite et lui ordonne:

"Tu vas nous faire trois café et dépêche toi" il tourne les talons de suite

"trois café! mais pourquoi " me dit Francine.

"Tu vas voir je suis sur que cela sera la première fois de ta vie que tu en boiras du comme ça. Tiens, enlève lui son corset en attendant que je vois ses mamelles pendre dans le vide " lui dis je.

Francine s’affaire à déboutonner le vêtement, au moment ou elle l’enlève les seins lourds retrouvent la gravité et tombent, les tétons effleurant le sol

"fouille un peu et trouve quelque chose à lui mettre dans la chatte à cette truie"

Francine ouvre les armoires et au bout d’un moment exhibe un god d’une taille encore supérieure à la bite de Jacques.

"Ca fera l’affaire, à toi de jouer"

Francine s’approche d’elle et s’agenouille elle se tourne vers moi et me dit

"Il ne reste pas beaucoup de place le plug occupe tout l’espace"

"Vas y fouille, cherche, pense à ce qu’elle t’as fait, elle n’hésiterait pas" lui dis je.

"Oui c’est vrai tu as raison" mais ma Francine est une maligne, elle dégonfle le plug, puis présente le gland artificiel devant la chatte ,le saisit à deux mains et pousse.

"Ca y est ça rentre" crie t’elle.

"Vas y mets lui jusqu’au fond " mais en fait tout le god, d’une trentaine de cm, disparaît.

"C’est incroyable, elle a un vrai cul de vache" me dit mon épouse et elle recommence à gonfler le plug.

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