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week-end à la ferme – Chapitre 11

week-end à la ferme - Chapitre 11



C’est une vision inqualifiable de voir ce cul distendu à ce point par ces deux objets, c’est une image qui mériterait de figurer au Guiness.

"Et en plus elle à l’air d’aimer ça" me dit Francine.

"Oui, j’aime ça ,tu devrais essayé avec ton petit cul de citadine, rappelle toi comme tu as joui quand Jacques t’as mis son braquemart dans les fesses" ricane Suzette.

"Ah voilà les cafés, va les déposer au sol à côté de ta femme" dis je à Jacques

"Chérie tu veux un café au lait"

"Oui je veux bien, mais il n’en a pas ramener" me répond Francine.

"Mais si il y en a et plus que tu crois, prends une tasse et mets la sous une mamelle de Suzette ensuite tu prend le sein entre tes mains et tu le presse" lui dis je.

Francine obéit pose la tasse saisit une mamelle et presse, aussitôt un jet puissant de lait fuse dans le café.

"C’est incroyable cette grosse vache a du lait" me dit ma femme totalement stupéfaite.

"Continue, elle a de la réserve, mets en dans les 3 tasses" Nous dégusterons tous les trois notre café au lait de femme.

"C’est bon!" me dit Francine.

"Oui spécial comme goût, mais pas mauvais" répliquai je.

"Vous m’avez fait découvrir un truc, je ne savais pas qu’elle avait du lait je vais en profiter à l’avenir" dit Jacques qui a enfin retrouvé la parole.

"J’ai une idée, on va aller la traire comme une vulgaire vache" nous dit il.

"Oh oui je veux voir ça "applaudit Francine.

"Avec cette appareil ,"

" Mais non pour des mamelles pareilles il faut une vrai trailleuse" dit Jacques.

"On va l’emmener dans la salle de traite, je vais chercher une brouette" j’en profite pour détacher suzette du sol et la mettre debout mais ne lui enlève pas ses entraves aux jambes et ni les deux gods.

"Vous n’allez quand même pas me traire comme une vache, c’est du matériel qui est fait pour les animaux pas pour les seins de femme " pour la première fois je sens une certaine inquiétude dans la voix de Suzette, enfin quelque chose qu"elle n’a jamais expérimenté. Jacques arrive, nous la chargeons dans la brouette direction la salle de traite, pour nous y rendre nous passons par l’écurie ou je remarque un poney endormi. On dirait qu’ils ont gardé un spécimen de chaque animal qu’ils avaient auparavant. Plus loin il y a même un magnifique percheron.

"C’est Faro notre plus vieux cheval, on n’a pas eu le coeur de s’en séparer alors il finit sa vie ici." nous explique Jacques.

Nous voila arrivés à destination, nous déchargeons Suzette et la posons au sol, je cherche une fixation au sol et fini par trouver un anneau qui fera l’affaire j’y attache Suzette pendant que Jacques prépare le matériel.

"Toutou tu vas pas faire ça, et si jamais ça m’arrache les tétons"

"On est plus aussi fière tout à coup, si les vaches l’ont supportées alors toi aussi puisque tu en es une" lui réplique Francine.

Suzette est à quatre pattes les mamelles ballantes comme le pis d’une vache

"ça y est c’est prêt,j’ai démarré le compresseur, ça aspire, c’est bon" me dit Jacques.

"Francine fais lui bander les tétons"

Ce que s’attelle à faire mon épouse avec un côté un peu sadique si j’en juge par les petits cris étouffés de Suzette.

"Ca y est c’est bon ils bandent comme une petite bite" me dit Francine.

"Vas y Jacques"

Il approche le premier suceur du téton, celui ci est aspiré directement, puis au tour du second. Les deux suceurs pendent au bout des seins de Suzette, avec le poids des tuyaux en plus ceux ci sont littéralement étirés comme des ballons de fête foraine. Jacques appuie sur un bouton et la succion commence

"ahhhh ça fait mal Jacques arrête" gueule Suzette, mais la vision du lait qui se met à couler dans les tuyaux transparents nous captivent tous les trois et personne n’a cure des supplications de la vache laitière. Celle ci se calme d’ailleurs d’elle même au bout d’un moment et commence à pousser des gémissements. Je fais signe à Jacques d’arrêter la traite un petit moment. En m’adressant à lui.

"Et si tu allais chercher Sultan pendant que Francine lui enlève les gods"

"Oh j’ai mieux que ça et il s’en va"

Au bout d’un moment il revient en tenant ( je n’en crois pas mes yeux et Francine non plus) le poney par l’encolure.

"Vous n’allez quand même pas la faire monter par ça" lui dit Francine un peu choquée.

"Moi ça me va parfaitement, il faut au moins ça pour cette grosse truie’ dis je.

"Oui mais il y a un problème, il faudrait le faire bander" dit jacques.

"Tu peux t’en charger" dis je à Francine.

"Mais j’ai jamais fait bander un cheval, moi, je ne sais pas comment faire" me réplique t’elle.

Suzette qui a compris commence à gueuler, paniquée

"Pas avec lui il est trop long il va me défoncer le ventre"

"T’inquiète on veillera au grain et puis je suis sûr que tu en as envie salope comme tu es" lui dis je.

"Allez vas y" dis je à mon épouse.

Elle s’agenouille à côté du petit cheval passe une main sous lui et part à la recherche du sexe.

"Ca y est je tiens son sexe, je fais quoi maintenant" me dit elle.

"Comment ça tu fais quoi! mais tu le branles, pardi"

Francine entame des mouvements de va et vient, au bout d’un moment je vois le sexe qui commence à se développer doucement. Il s’allonge, s’allonge jusqu’à devenir une belle bite d’une trentaine de cm, plus longue mais un peu plus fine que celle de jacques mais avec une extrémité plus grosse. La main de Francine glisse le long de la tige, je saisis la bête par la crinière et la tire vers le cul de Suzette sur le dos de laquelle j’ai jeté une espèce de couverture qui traînait par là. Le poney semble avoir compris ce que l’on attend de lui ou est ce l’odeur dégagé par les fesses de Suzette qui le stimule en tout cas il lui grimpe sur le dos, son sexe bat contre son cul et passe par dessus car le postérieur de Suzette est trop bas, le poney repose ses pattes à terre et instantanément son sexe fléchi mais tout en restant gonflé. Le cheval trépigne d’impatience.

" Relève ton cul " lui dis je.

"Allez vous faire foutre, bande de salauds " me répond t’elle.

"Attends j’ai ce qu’il faut " dit Jacques et il s’en va, quelques instants après il revient avec un tréteau réglable. Je la détaches du sol et la raccroche plus haut à un autre anneau fixé dans le mur qui devait servir dans un autre temps à attacher de vrais vaches. Ensuite nous installons le tréteau sous le ventre de sa femme et le montons à la hauteur adéquate.

"Francine quand il lui regrimpera dessus tu lui tiendras sa bite et tu la dirigeras sur l’anus " dis je à ma femme.

"Avec plaisir, j’ai très envie de voir cette queue s’enfoncer dans son gros cul comme elle l’a fait avec moi" me répond t’elle.

"Et toi Jacques dès qu’il sera dedans tu remettras la trayeuse en route ok. Allez on y va" rien qu’à l’idée de ce qui va se passer je bande comme le poney. Dès que celui ci sent qu’il peut regrimper sur la femelle sa bite se tend à nouveau comme un ressort, c’est incroyable Francine et moi n’avions jamais vu ça.

"T’as vu comme il bande de nouveau,, il a vraiment envie de lui la mettre" me dit mon épouse. Le sexe bandé à mort bat l’air de haut en bas, puis la bête saute sur le dos avec ses pattes avant, mon épouse saisit le chibre et le place sur l’orifice, à peine sent il le contact de la muqueuse qu’il donne un puissant coup de rein, sa bite plie un quart de seconde puis s’engouffre dans le conduit

"ahhhhhhhhhhhhh putain elle me râpe l’anus, ça fait mallllllllllllllll" gueule Suzette.

Le lait recommence à couler dans le tuyau.

"Règle la trayeuse à fond" dis je à Jacques.

Aussitôt les mamelles de Suzette s’aplatissent comme si une pompe à vide les aspirait, le lait coule plus vite. Le poney la pilonne, enfonçant son membre en entier dans le cul offert.

"Oh putainnnnn! c’est bon, il me bourre jusqu’au fond, ahhhhhhhh mes tétonssssss c’est géniallllllllllll ouiiiiiiiii videz moiiiii remplissez moiiiiiiiii, ahhhhhhhh je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii il a lâché son foutre dans mon cullllllllllllllllllll"

Au même moment le sexe du poney s’extirpe du rectum ramenant avec lui un flot de semence. Les seins sont vidés aussi, plus rien ne coule, Jacques arrête la machine. Suzette souffle comme une locomotive à vapeur je la détache du mur et la mets debout. Jacques ouvre le récipient et fait une grimace en connaisseur.

" C’est une bonne laitière, il y en a au moins un litre" dit il puis il se dirige vers Suzette et lui plaque le bord du contenant sur les lèvres.

"Allez ma grosse vache bois, tu en as besoin c’est normal que ça te revienne puisque c’est à toi" il lève le pot sa femme commence à boire, le lait déborde de ses lèvres coule sur son cou, ses seins, vers son mont de vénus ou il se mélange à la touffe pubienne et finit par goutter au sol le long des poils, d’ailleurs le poney s’en régale en léchant tout ce qui tombe. Je m’approche d’elle et lui pince un téton en lui disant.

"Ils sont bien vidés, ta crémerie va pouvoir en fabriquer du tout neuf"

"Ca te plaît de me soumettre, tu n’aurais jamais osé faire ça avec ta femme, hein mon cochon! Mais j’ai bien joui t’es un inventif toi!, jamais on ne m’avait encore fait un truc comme ça"

Là elle marque un point.

"On lui fait quoi d’autre maintenant?" jubile Francine qui s’est prise au jeu et qui a soif de vengeance.

Je me tourne vers Jacques et lui demande:

"Qu’est ce que vous avez d’autres comme animaux"

" Ben on a gardé un bouc avec la chèvre, une vache et un veau, le cheval, le poney, et deux autres chiens qui sont dans une grange pour la gardée car j’y ai tout mon matériel agricole que je n’ai pas encore vendu, un rotweiler et un dogue allemand"

"Et elle est loin cette grange"

"Non à 200 m par le petit chemin" répond Jacques.

"On peut y aller avec la brouette"

"Oui sans problèmes" me répond t’il.

"Alors on y va et on emmène madame, tu as une objection"

"Non, elle a dit que vous pouviez lui faire ce que vous voulez alors je n’ai aucune objection, la prochaine fois elle sera moins présomptueuse" me dit il avec un petit rire.

"Alors on y va" dis je en me tournant vers Suzette qui n’a rien entendu de notre conversation.

"Vous m’emmenez ou" demande t’elle.

"Tu verras c’est une surprise" lui dis je en ricanant.

Nous la rechargeons sur la brouette et quittons la salle de traite en faisant le chemin inverse arrivés dans l’écurie Jacques rattache le poney à sa place.

Francine me secoue le bras et me dit.

"Tu as vu ça "me dit elle en me désignant de son index le cheval qui est toujours debout impassible nous fixant du regard.

"tu as vu comme il bande regarde la taille de son sexe c’est hallucinant" dit elle

En effet le brave percheron a une trique d’enfer son sexe doit faire pas loin des 70 cm de longueur et un diamètre d’une dizaine de cm .Le bout ressemble a un gros champignon, plus gros que le reste de la colonne de chair. Francine est subjuguée par l’engin.

"Vas y touche le si tu as envie " lui dis je.

"Tu crois que je peux" dit elle.

"Bien sur tu peux, il est vieux et calme il ne bougera pas" dit Jacques.

Francine s’accroupit à côté de lui et tend la main vers l’objet de sa convoitise, le caresse délicatement puis referme ses doigts dessus.

"C’est doux et brûlant" me dit elle.

"C’est normal, la température corporelle d’un cheval est plus élevée que la nôtre, elle tourne autour de 38°" nous explique Jacques.

"Branle le un peu pour voir" dis je à Francine.

Elle entame un mouvement de masturbation sur l’énorme vit après 2 ou 3 aller retour le cheval se met à hennir.

"Il à l’air d’apprécier ce que tu lui fais" dis je à mon épouse.

"Ben oui, tu m’étonnes, ça fait au moins 5 ans qu’il n’a plus monté une jument" dit Jacques.

"UNE JUMENT! mais nous en avons une pour lui " dis je en désignant Suzette.

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