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week-end à la ferme – Chapitre 9

week-end à la ferme - Chapitre 9



Suzette saisit la manivelle qui actionne le carcan de Paul et laisse redescendre celui-ci, il tente de rester debout mais la pièce de bois est si lourde qu’au bout d’un moment il est obligé de s’agenouiller pour que celle-ci vienne reposer sur ses trépieds. Suzette referme prestement le cadenas et Paul est a nouveau verrouillé le cul ouvert en levrette tout comme son épouse.

"tu aimerais voir ton homme se faire enculer" demande Suzette à Francine.

" je ne sais pas, oui, pourquoi pas" répond t elle.

"il n’y a pas de raison que ce soit toujours les femelles non! et il prendra peut être son pied aussi qui sait".

"oui peut être, pourquoi pas".

" mais moi je ne veux pas qu’on m’encule" hurlé je

" je pense que vu ta position tu n’as pas le choix" ricane Suzette et en s’adressant à Francine :

"je vais te détacher à une condition c’est que tu encules ton mari, ok"

"oui d’accord je n’en peux plus d’être comme ça, désolé chéri".

Une fois libérée Suzette entraîne Francine vers un placard dans le mur. Je n’arrive pas à voir ce qu’elles font et lorsqu’elles réapparaissent Francine est affublée d’un gode ceinture de belle taille.

"tu as le droit d’enculer les deux, je te conseille de commencer par toutou, ça te permettra de te faire la main, lui a plus l’habitude. En place toutou!" et Jacques se met en levrette devant Paul afin que celui ci profite du spectacle.

"tiens prends le tube de vaseline et à toi de jouer je te laisse faire. Au fait pour toutou ça n’est pas nécessaire tu peux y aller direct, moi je vais chauffer ton mari pendant ce temps". Suzette se couche sous moi à la hauteur de mon bas ventre et entreprend de me masturber en me disant tout un tas d’insanités qui ne tardent pas à avoir un effet positif sur ma verge, je recommence à bander. Je vois Francine qui s’agenouille derrière Jacques elle prend sa bite factice dans la main et place le gland en position, lorsqu’il le sent Jacques se cambre encore plus ouvrant vraiment son cul. Je ne peux m’empêcher de dire en voyant le spectacle :

"vas y Francine encule le ce gros porc, venge toi"

Elle me regarde et me sourit bizarrement puis donne un puissant coup de rein qui envoie le gode au plus profond des reins de toutou qui a un sursaut malgré tout.

"bien ma chérie, tu apprends vite, lime lui son gros cul" dit Suzette qui surveillait la manoeuvre.

Francine trouve vite le rythme et pistonne l’orifice de Jacques aussi bien que si elle était un homme, celui ci pousse des gémissements attestant qu’il apprécie . Pendant ce temps Suzette me pompe avec vigueur, je ne tarde pas à avoir une queue raide comme la justice.

"Francine ton mari est à point tu peux venir" dit elle.

Francine se retire des fesses de Jacques et vient se placer derrière moi, Suzette lui donne un préservatif qu’elle place sur le gode puis elle se remet sous moi et continue à me garder raide. Je sens les doigts de ma femme s’activer sur mes fesses puis un doigt enduit de vaseline vient me titiller l’anus, elle pousse je le sens entrer en moi, elle commence à l’agiter lorsque celui ci coulisse librement elle en rajoute un second, là l’affaire se corse mon sphincter se rebelle mais à force elle finit par avoir gain de cause. Elle me fouille à fond avec ses doigts, je dois admettre que contrairement à ce que je pensais cela n’est pas désagréable. Les doigts me quittent aussitôt remplacé par le gode,je sens la différence car c’est plus dur et plus froid. Francine accentue la pression et le gland pénètre mon fondement, elle continue mais là ça commence à faire mal.

"j’ai mal chérie, arrête ça ne rentrera pas" lui dis je et elle me répond

"et tu crois que moi je n’avais pas mal la première fois et même les suivantes, alors maintenant tu vas enfin pouvoir te rendre compte du sacrifice que j’ai fait pour toi. Comme tu me l’as si souvent dit, ça fait juste un peu mal au début et après tu ne sentiras plus rien ça ne sera que du bonheur".

Je sens le gode me pénétrer lentement, je lâche un aïe de souffrance mais la progression continue inexorablement, enfin je sens le ventre de ma femme contre mes fesses elle est entièrement en moi. La fellation de Suzette atténue la douleur, puis Francine commence des mouvements de va et vient qui m’arrachent encore un cri. Je serre les dents, petit à petit la douleur disparaît remplacée par une sensation de plaisir émanant tant de ma bite que de mon anus et je me surprend à dire :

"vas y encule moi ma chérie, mets moi la à fond"

"tu vois qu’il aime, tous les mêmes, vas y lime le pour qu’il m’envoie son foutre dans la bouche".

Francine me saisit aux hanches et s’acharne sur mes fesses, le gode rentre et sort sur toute sa longueur, je sens la jouissance monter dans mes reins, je ne tiens plus je lâche mes giclées de sperme au fond de la bouche de Suzette elle me tète, me traie extirpant jusqu’à la dernière goutte de ma liqueur. Quel pied une fois de plus!

"de mieux en mieux ton sperme Paul" dit Suzette en se passant la langue sur les lèvres.

"Francine vient ici et grimpe sur cette table" ordonne la matrone

"pourquoi faire ?"

"grimpe je te dis" répète t elle en élevant un peu la voix ce qui ne rassure pas trop mon épouse donc elle finit par obéir.

"viens approche toi du bout et écarte tes jambes " je vois que de chaque côté de la table pendent 2 lanières en cuir qui sont elles mêmes fixées à la table. Francine se met en place et Suzette lui attache les chevilles, elle est debout jambes écartées.

"bon maintenant tends tes bras vers moi" elle lui fixe à chaque poignet un bracelet de cuir qui sont reliés entre eux par une chaînette, un peu comme des menottes.

"mets toi assise " ordonne t elle.

Une fois Francine assise, Suzette se saisit d’une commande électrique reliée avec un câble électrique à un palan fixé au plafond, je ne l’avais pas vu jusqu’à présent. Elle actionne un bouton et le crochet descend lentement, une fois arrivé à la hauteur de Francine elle saisit ses poignets passe la chaînette dans le crochet et le verrouille.

"mais vous allez faire quoi à la fin " s’énerve mon épouse.

Suzette ne répond pas et actionne le bouton de remonté, le crochet monte entraînant Francine, elle est maintenant debout sur la table jambes écartées bras levés au ciel totalement impuissante.

"viens ici toutou et tire un peu la table" Jacques obéit et tire la table ce qui met Francine complètement en porte à faux, le corps à 45 °. Elle résiste un moment puis la fatigue venant se laisse aller, elle pend littéralement au bout du crochet dans une position assise les jambes tendues et ouvertes.

Suzette la remonte un peu juste pour laisser la place afin que toutou puisse se coucher sur le dos, sous Francine. Je crois que je commence à comprendre ou ils veulent en venir.

Suzette s’approche de toutou et commence à le masturber, elle a vite fait de redonner toute sa vigueur au membre sur dimensionné. Celui ci pointe vers les fesses de ma femme comme un stalagmite.

"voila Paul c’est à ton tour de jouer et dis toi bien que si tu ne le fais c’est moi qui le ferais. Tu vas descendre ta femme lentement sur la bite de toutou jusqu’à ce qu’il rentre dans un orifice, c’est égal lequel de toute façon on lui fera les deux" et elle me plaque la commande dans la main, je ne peux voir le visage de Francine car elle est dos à moi. Et puis pourquoi pas elle ne s’est pas fait prier pour m’enculer tout à l’heure et mon doigt appuie sur le bouton de descente. Lorsqu’elle sent le contact du sexe sur ses fesses elle se raidit et plie les bras pour se relever. Ce manège dure plusieurs fois puis vaincue par la fatigue elle se laisse aller comme un pantin, j’appuie, le gland disparaît entre les fesses mais vers quel orifice j’appuie a nouveau, 3 ou 4 cm de plus, Francine semble assise sur le sexe de toutou puis elle glisse d’un coup.

"ahhhh mon dieuuuuj ,mamannnnnnnn" crie t elle.

Suzane va voir et me dit

"c’est bon elle l’a dans la chatte, tu peux y aller descends" je redonne un petit coup sur le bouton.

"c’est bon elle est rentrée à moitié" jubile Suzette.

Je donne une dernière impulsion et laisse mon doigt sur le bouton.

"ahhhhhhhhh quelle est grosseeeeee!" je remonte jusqu’à voir la moitié du pieu de chair.

Francine souffle comme si elle accouchait, je la redescend a fond et la laisse ainsi un instant, Suzette en profite pour lui astiquer le clito, elle commence a gémir. Je m’amuse alors à alterner les montées et descentes. A un moment je la remonte et prend soin de laisser juste le gland en elle pendant que Suzette lui malaxe les tétons d’une main et de l’autre frotte vigoureusement le clito

"ahhhh ouahhhh c’est bon, enfonce là, empale moi dessus je veux la sentir entrer dans mon ventre à nouveau , ohhhhhhh ALLEZZZZZ"

Quel retournement de situation c’est Francine à présent qui implore qu’on l’empale sur la colonne de chair.

"là, je peux te dire qu’elle est fin prête, excitée comme elle l’est c’est le meilleur moment pour lui mettre dans les fesses" me dit Suzette.

Je la relève un peu pour dégager le gland que Suzette prend vite en main pour le positionner sur l’entrée anale, elle me fait signe de descendre ce que je fais aussitôt.

"c’est bon il est rentré, à toi de jouer, tu fais selon ton envie" me dit elle.

Francine n’a rien dit, preuve que le traitement infligé à son anus au départ est efficace.

"je veux jouirrrrrrrrrr , j’ai trop envieeeeee" crie t elle

Elle se balance au bout du crochet remuant ses fesses sur le membre fiché en elle, Suzette a entrepris de la doigter de la chatte et du clito, elle gigote dans tous les sens, j’appuie sur la descente.

"ahhhhhhhhhhhhh,salaud j’ai malllllllllllll"

La vue de ce spectacle réveille mes instincts primaires, de voir ce vit monstrueux rentré dans le cul de Francine me fait perdre les pédales et mon doigt pousse le bouton de descente et ne le relâche pas. Je vois le sexe monstrueux disparaître dans le fondement de mon épouse, elle pousse un vrai cri de bête à l’agonie, elle souffle comme un phoque, ses fesses reposent maintenant totalement sur le ventre de toutou. Elle tourne sa tête vers moi, elle est méconnaissable, tout son Rimmel a coulé.

"tu vas jouir du cul maintenant petite salope" lui dit Suzette.

" vas y pistonne la" me dit elle.

J’obéis et alterne à nouveau les montées et descentes. Au début Francine recommence a crié comme une folle puis lentement se calme et ses cris sont remplacés par des gémissements, il faut dire que Suzette fait tout ce qu’il faut pour ça, elle la tète pendant que ses doigts s’activent entre les cuisses de mon épouse. Ses supplications ont changé de nature.

" ouiiiii je la sens, elle m’éclate complètement le cul vas y Suzette lèche moi, baise moiiiiiii, fais moi jouirrrr, mon dieuuuuuu j’ai les entrailles en feu, donne moi ton foutre, gicle en moi salopard défonce moi, remplis mon cul de ta semence ouii ouiii , encoreeeee"

jamais je n’ai entendu mon épouse parler aussi crûment, elle est littéralement en transe.

"allez, allez, perfore moi mon cul avec ta grosse bite, fais gicler ta semence et toi salope enfonce tes doigts à fond dans ma chatte, remplissez moiiiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, toi aussi gros porc, je sens tes jets de foutre qui se répandent dans mes intestins, ouiiiii ouiiii encore , encoreeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh je meurssss".

Quellle jouissance, je n’ai jamais vu mon épouse avoir un orgasme d’une telle intensité. Lentement elle se calme, sa tête est retombée sur le côté elle est totalement à bout de forces. Je la remonte. Au moment où le sexe de toutou s’extirpe du conduit anal un flot de sperme dégouline sur ses couilles, c’est impressionnant la quantité qui s’écoule. Toutou descend de la table afin que je puisse déposer Francine dessus. Suzette lui enlève les entraves aux mains

"alors petite miss, tu avais déjà joui comme ça ?" lui dit Suzette.

" non jamais, c’était tellement fort entre ça et le chien j’aurai du mal à choisir, les deux étaient simplement démentielle, je suis complètement vidée"

"mais tu sais que ça n’est pas fini mon ange"

"oh non s’il vous plaît je n’en peux plus"

" mais si tu verras ça ira, le corps humain a des ressources insoupçonnables crois moi, et puis vous n’êtes venus ici que dans un seul but celui d’avoir du plaisir et jusqu’à présent ça a été le cas non!"

"oui c’est vrai je le reconnais"

"Pour te permettre de te reposer un peu on va s’occuper de Paul maintenant , tu es d’accord".

"oh oui je veux bien "

"regarde et profite du spectacle".

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