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weekend avec mon beau père et Max – Chapitre 2

weekend avec mon beau père et Max - Chapitre 2



J’avais pris plaisir à me faire baiser par le chien. Mon beau-père Jean et son père Marcel étaient eux aussi ravis que je me sois pliée aussi facilement à leur fantasme. Après m’avoir baisée dans la grange ils m’entrainèrent nue à travers la cour de la ferme. Nous entrâmes dans la maison et je découvris un deuxième chien. Couverte de sperme, ils m’encouragèrent à aller me doucher, ce que je fis.

— Mets juste un string propre mais reviens nue !! Lança Marcel

Lorsque je fus propre, je les rejoignis dans la cuisine et m’installa pour manger les pâtes. Marcel m’installa à côté de lui. Les hommes parlèrent entre eux. De temps en temps un chien passait. D’instinct je fermais mes cuisses. Marcel passa une main pour me les écarter.

— Garde-les ouvertes, tu es une chienne, c’est normal qu’ils te reniflent, dit-il

Mon beau-père souriait, excitait que je me transforme en chienne. A la fin du repas, je me levai et servis le café à chacun. Ils me caressèrent au passage et me matèrent les seins et les fesses avec instance. J’avais gardé mon collier noir en cuir autour du cou. Je fis la vaisselle et Marcelle se plaça derrière moi. Il me pelota doucement les seins et colla son membre flasque contre mes fesses. Il m’embrassa le cou et passa ses doigts sur ma chatte pour la masser. Je commençais à nouveau à sentir le plaisir monter en moi.

Au bout de dix minutes, il se détacha de moi.

— On va se laver et après on revient avec toi, faire une balade dans les bois, dit Jean

Je patientais sagement assise dans la cuisine. Les chiens étaient partis se coucher.

Ils réapparurent nus mais propres. Ils me prirent par la main et nous sortîmes. Marcel avait un petit sac avec lui. Il faisait chaud. J’enfilais des tongs et sortais nue. Le soleil réchauffait mes seins. Entourée par mes deux gardes du corps, nous pénétrâmes dans la forêt et nous marchâmes 10 minutes.

Arrivés à l’entrée d’un champ, ils m’amenèrent contre un arbre. Marcel sortit un foulard du sac.

— Laisse-toi faire, on va jouer !!

Avec de l’appréhension, je le laissais faire. Il m’attacha les poignets à la branche au-dessus de moi. Les seins vers l’avant, les fesses arquées vers l’arrière, j’étais à leur merci. Jean s’approcha et laissa couler du miel sur mon corps. Il commençait à bander. Jean commença à lécher le miel, en s’appliquant à bien passer sur mes tétons qu’il mordillait. Marcel se tenait derrière moi, sa bite épaisse contre mes fesses. Il se frottait en soupirant.

J’aimais être leur jouet, alors je gémis pour les exciter un peu plus. Marcel laissa glisser son doigt vers ma fente que j’entrouvris un peu plus. Il joua avec l’entrée de ma chatte et sans prévenir enfonça d’un coup un doigt. Je poussais un petit cri de surprise. Jean se mit à me lécher le clitoris avec appétit. Sa langue chaude me faisait du bien. Il humidifiait ma fente. Mes lèvres gonflaient.

— Lèche-moi, je suis ta chienne, fais-moi du bien, lui dis je

Il aimait entendre ces mots et ça m’excitait.

Jean sortit du sac un gode de taille moyenne. Il le posa sur mes lèvres.

— Suce-le comme à la maison, mouille le bien, pour qu’il glisse bien dans ta chatte, dit-il

— Oui, montre-nous que tu aimes sucer et lécher, ma petite chienne chaude, dit Marcel

Je voulais leur faire plaisir. Je me mis à sucer avec application l’objet long.

Marcel s’en empara peu de temps après et toujours derrière moi, il me remonta les fesses. Rapidement, il m’inséra la fausse bite. Il la faisait tourner, jouait avec l’entrée de ma chatte, appliquait des mouvements doux puis des coups brusques qui m’arrachaient des gémissements. Jean recommença à me lécher le minou. Il attrapa à nouveau le sac et sortit un gode plus large et long. Accrochée à la branche, je ne pus que me soumettre à eux. Ce gode écarta plus ma chatte ruisselante. J’étais vraiment en chaleur prête à me faire baiser par n’importe quoi. J’avais envie de me mettre à 4 pattes et de donner ma croupe à tous les mâles de passage.

Ils me détachèrent. Marcel attacha une laisse à mon collier et je me dirigeais à 4 pattes vers un tronc d’arbre à terre. Ils m’installèrent sur le dos. Chacun était bien dur avec le gland lubrifié. J’avais envie de m’occuper d’eux et leur donner du plaisir. D’un commun accord, ce fut d’abord Jean qui se positionna au-dessus de ma tête. Marcel me tenait les mains. Jean entrouvrit mes lèvres et enfonça son gland dans ma bouche. Il grognait. Je m’appliquais à lécher sa queue pour qu’il soit satisfait. Puis, Marcel prit sa place.

— Vas-y ma petite chienne, fais ton travail avec papi Marcel. Fais-moi plaisir.

Ils ne jouir pas dans ma bouche. Ils me relevèrent et ouvrir la barrière du pré. Mes pieds nus se dirigèrent vers un étalon noir. Je compris d’instinct ce qu’ils attendaient de moi. Effrayée je voulus m’enfuir mais ils me retinrent.

— Tu avais promis d’être notre chienne tout le weekend. Tu voulais que je fasse ton apprentissage. On est ici car tu t’es fait jouir sans autorisation. Tu es punie !! Me rappela Jean

Le cheval continua de manger son herbe. Je caressais sa croupe.

— Caresse son sexe, m’ordonna Marcel. Il aime ça. Vas-y doucement il gicle vite !!

Je m’agenouillais au niveau du membre et me mis à le caresser doucement. Il durcit vite. Je continuais en massant parfois le bout puis toute la bite. La queue devint énorme et dure. Ça m’excitait. Je l’imaginais entre mes cuisses dégoulinantes de mouille. J’étais hypnotisée par cette bite d’étalon. J’avais envie de me faire saillir comme avec le chien.

Marcel passa sa main sur ma nuque qu’il caressa, puis il poussa ma tête vers la bite. La queue sentait fort, une odeur sauvage. Je sortis le bout de la langue et recueillis quelques gouttes de sperme. Excitée je me mis à lécher l’étalon avec plus d’insistance. Il avait arrêté de brouter et se laissait faire. J’ouvris plus grande ma bouche et je laissais la bite du cheval rentrer autant que possible. Il giclait parfois quelques gouttes. Marcel et Jean me relevèrent et m’installèrent sur une botte de paille. Sur le dos, les cuisses ouvertes je me laissais faire. Marcel attira le cheval qui vint vite de lui-même. Le cheval était presque au-dessus de moi. Je pris la queue et je commençais à la faire glisser en moi. J’étais étroite pour lui, je dus forcer poussant un fort gémissement. Une fois introduit, je me mis à bouger les hanches, à le branler dans ma chatte. Il me remplissait. Je voulais le satisfaire. Les deux hommes se branlaient à côté de moi en fixant ma chatte. J’aurais voulu les accueillir tous les trois en même temps.

L’étalon se mit à faire glisser son braquemard avec puissance, m’arrachant des cris de plaisir. Je voulais sentir son sperme chaud s’écouler en moi, me remplir comme une jument. Mon doigt glissa sur mon clitoris gonflé. Je me caressais sans aucune retenue, heureuse d’offrir ce spectacle à Jean et Marcel. Je jouis en hurlant de plaisir en même temps que le cheval. Je sentis son foutre me remplir, m’inonder et couler le long de ma raie du cul. Le cheval se retira et s’éloigna un peu. Marcel passa son doigt dans ma chatte et me fit gouter le sperme du cheval. Je léchais avec plaisir. Jean posa une tasse sous mes fesses, je me relevais un peu et je fis sortir une forte quantité de sperme. Il me tendit la tasse et je bus.

— Va nettoyer la queue du cheval, m’ordonna Jean

Je marchais jusqu’au cheval, et je m’accroupis devant la bite. J’écartais mes cuisses, laissant voir ma chatte baignée de sperme frais aux deux hommes. Je la nettoyais avec ma langue, bien comme il faut.

Puis, je revins vers Marcel et Jean.

— Mets-toi à genoux !! dit Marcel

Je m’exécutai. Leur membre était prêt à exploser. Marcel le premier mis sa bite devant mon visage. Il se branla, du bout de la langue, je venais caresser le gland. Le sperme éclata sur mon visage et ruisselait. Je le nettoyai proprement. Jean ne me laissa rien faire. Il n’en pouvait plus.

— Je t’ai vraiment appris à être une bonne chienne, une salope !! Tu es celle que j’ai le mieux éduquée.

Il éclata sur ma langue, m’obligeant à sucer son gland à la fin de sa jouissance.

Heureux, ils me relevèrent et m’embrassèrent en remerciement pour avoir était une bonne chienne. Pendant, le chemin du retour, le foutre de l’étalon continua de couler le long de mes jambes. Je trouvais ça délicieux et me dit que c’était une expérience parfaite, à recommencer.

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