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Ma Justine – Chapitre 3

Ma Justine - Chapitre 3



Chapitre 3 :

    Je poussais la porte d’entrée et montais directement à l’étage. Je marquais une pause devant la porte fermée de sa chambre. Je pris une grande inspiration, posa ma main sur la poignet et entra…

    Puis je là vis, Justine, elle était là debout face à moi avec un bandeau noir sur les yeux. Elle portait une robe noire qui lui arrivait à mi-cuisse et elle avait aussi des talons ce qui lui faisait gagner quelques centimètres.

    

    Elle m’avait forcément entendu rentrer mais je m’approchais d’elle sans bruit. On entendait plus que sa respiration légèrement saccadée. Je tournais autour d’elle, lui effleurant la main à un moment, ce qui la fit frissonner.

    Je me remis face à elle, fixant le bandeau qui cachait ses yeux. Je posais une main sur sa joue. Elle y pencha légèrement la tête dedans et c’est à ce moment là que je l’embrassais pour la première fois. Elle me rendit mon baiser et nous nous embrassions avec force et passion. C’est à ce moment là que mon excitation prit le dessus.

        

    Je la pris par les épaules et la retourna, une fois dos à moi je lui baissais la fermeture de sa robe et la faisait tomber au sol. Elle était là devant moi, en talons et en sous-vêtements toujours son bandeau sur les yeux. Elle portait un ensemble soutien-gorge et tanga blanc en dentelle qui ressemblait à celui qu’elle m’avait montré. Aucun de nous deux n’avait prononcé un seul mot et je décidais de rompre le silence en lui murmurant à l’oreille :

Tu es très belle ma soumise

Merci

    Je la retournais de nouveau face à moi et avec mes mains je lui appuya légèrement sur les épaules. Elle comprit et se mit à genoux devant moi. Malgré le fait qu’elle n’y voyait rien elle trouva facilement le bouton de ma braguette qu’elle défit avec ses doigts. Elle fit ensuite descendre ma braguette puis mon pantalon qui se retrouva sur mes chevilles. Cependant j’avais gardé mon téléphone à la main. Me voilà donc en caleçon avec mon sexe qui commençait à se sentir très à l’étroit. Mais Justine allait bientôt le libérer. En effet, elle attrapa mon caleçon au niveau de mes hanches et le fit descendre tout doucement sur mes chevilles.

    D’une de ses mains elle prit mon sexe et commença à le caresser légèrement. De son autre main elle me masser les couilles avec délicatesse. Puis elle m’embrassa le bout du gland. Elle descendit jusqu’à mes couilles en embrassant mon sexe. Et une fois arrivait en bas elle sortit sa langue et me lécha tout en remontant jusqu’à mon gland. Mais je ne pouvais plus attendre alors je lui donnais mon premier et non pas dernier ordre :

Maintenant suce moi

 

    La belle ne se fit pas prier et ouvrit la bouche. Puis elle enserra mon gland avec ses lèvres et descendit très lentement de quelques centimètres. Et elle remonta tout aussi lentement ce qui était très excitant. Elle se mit à accélérer la cadence en me suçant un peu plus vite et un peu plus fort. Avec ses mains elle continuait à me branler et à me malaxer les couilles ce qui n’était pas désagréable. Elle suçait vraiment bien cette salope et je ne pus retenir quelques gémissements. En entendant mes gémissements Justine se mit à avaler mon sexe de plus en plus profond si bien qu’il ne manquait que quelques centimètres pour qu’elle prenne entièrement en bouche mon sexe de 17 centimètres.

    Elle continuait de me sucer toujours son bandeau sur les yeux et je pris mon téléphone histoire d’immortaliser la scène. Je lançais l’appareil photo et pris quelques clichés de Justine en train de dévorer mon sexe. J’enclenchais ensuite le mode vidéo et commença à filmer. C’était fabuleux, le seul bruit qui venait troubler le silence de la pièce était le bruit de succion que faisait la bouche de Justine. Je terminais ma vidéo et posais mon téléphone sur son bureau qui était à moins d’un mètre.

    Justine me suçait toujours mais elle n’arrivait pas à prendre mon sexe entièrement dans sa bouche. Étant de bonne composition je décidais tout naturellement de l’aider, je pris donc sa tête dans mes mains et je commençait à enfoncer mon sexe au fond de sa gorge. Justine fut tout d’abord surprise, ses mains se crispèrent sur l’arrière de mes cuisses et elle se mit à tousser. Cependant après une légère résistance elle se laissa faire. Je sortais mon sexe de sa bouche pour la laissais reprendre son souffle. Elle était haletante et plusieurs filets de bave la reliait à mon sexe.

C’est bien, lui murmurais-je, reprends ton souffle et recommence.

D’accord, me répondit-elle.

    Après quelques secondes de répit elle plaça mon sexe à l’entrée de sa bouche et d’elle même elle s’enfonça mon sexe dans la gorge. Je repris mon téléphone pour filmer car la scène était magnifique. Elle dévorait mon sexe à pleine bouche à tel point que son nez s’appuyait sur mon bas ventre. Mais je sentais le plaisir monter et il ne fallait pas que ça aille trop vite.

Arrête, lui ordonnais-je.

    

    Et instantanément, comme si elle avait reçu un choc électrique, elle arrêta sa fellation en gorge-profonde et recracha mon sexe trempé de sa salive.

T’es vraiment une sacrée bonne suceuse !

Merci… Merci Maître.

J’aime quand tu me parles comme ça petite coquine, maintenant à moi de te donner du plaisir. Debout !

    Cette salope de Justine se leva et je l’embrassa goulûment. Je me mis ensuite à dégrafer son soutient-gorge et à lui enlever son tanga. Une fois son tanga au sol je lui mis une petite fessée qui la fit sursauter. Puis je pris un de ses seins et la malaxa avec vigueur. Du bout de ma langue je titillais le téton de son autre sein. Je me mis ensuite à le mordiller légèrement ce qui la fit gémir. J’arrêtais de malaxer son sein pour diriger ma main vers son sexe. Je marquais une pause au niveau de son nombril, puis je dirigeais mes doigts vers ses lèvres intimes. Mes doigts entrèrent en contact avec son sexe, qui était trempé d’excitation. Je mordillais toujours ses tétons quand mes doigts commencèrent à caresser ses lèvres. Elle poussa un nouveau gémissement et mes doigts prirent la direction de son bouton d’amour. Ses gémissements étaient de plus en plus bruyants et au fur et à mesure que je caressais son clitoris ses jambes se mettaient à trembler. Elle avait du mal à se tenir debout et ses talons aiguilles ne l’aidaient pas.

T’aimes ça hein salope ?

Hmmm… Ouui.

Oui quoi ?

Ouiiii j’aime ça ! Répondit-elle en gémissant.

C’est bien petite salope, c’est bien.

Mais je suis pas une salope ! Dit-elle toujours en gémissant.

Pardon !?

Je suis pas une salope.

    

    J’arrêtais instantanément mes caresses stoppant ainsi ses gémissements. Je ne pouvais pas laisser passer ça, il fallait que je la punisse.

C’est ce qu’on va voir. Mets toi face à ton lit, c’est un ordre !

    Elle se mit face à son lit, en avançant à tâtons à cause de son bandeau, ne voyant pas très bien où je voulais en venir.

Penche toi en avant et appuies tes mains sur le montant du lit ! Cambre toi plus et écarte les cuisses !

    Elle m’obéit. La voilà donc cambrée, les mains appuyées sur le montant de son lit. Quant à moi, j’allais ramasser mon pantalon qui traînait par terre et en sortis la ceinture de mon peignoir. Je m’approchais de Justine qui n’y voyait toujours rien et fixais la ceinture autour du montant du lit. Je l’accrochais ensuite rapidement autour de ses poignets de manière à ce qu’elle soit complètement attachée.

Mais qu’est-ce que…

Tait-toi, l’interrompis-je, alors comme ça madame n’est pas une salope et me contredit ? Je vais devoir te punir !

Co-comment ça me punir ? Bégaya-t-elle, tu ne vas pas me fess…

    

    Mais elle comprit trop tard et la seconde d’après je lui assenais une violente claque sur les fesses. Elle poussa un petit cri de douleur mais cela ne m’arrêta pas. J’alternais entre fesse gauche et fesse droite, fesse gauche, fesse droite, fesse gauche, fesse droite… J’étais dans une sorte de transe, je n’en avais rien à foutre qu’elle souffre, je voulais la punir, la posséder ! Au bout d’une dizaine de fessées sur chacune de ses fesses des larmes commençaient à couler le long de ses joues et cela ne faisait que renforcer mon excitation. J’arrêtais ma punition, je lui fis une caresse légère sur le sexe et je m’approchais de son visage, à quelques centimètres de son oreille en lui murmurant :

Je te punirai chaque fois que tu me contrediras, me désobéiras ou lorsque ce sera nécessaire à ton éducation de sale chienne. C’est compris ?

Ou-ou-ouui, sanglota-t-elle.

Alors comme ça tu n’es pas une salope ?

Si, répondit-elle toujours des larmes coulant de son bandeau.

Si quoi !?

Si je suis une salope !

C’est bien. Maintenant je vais pouvoir à nouveau te faire gémir de plaisir. Écarte plus tes jambes ! Lui ordonnais-je.

    Elle écarta un peu plus ses jambes, je plaçais une de mes mains sur son cul endolori avant de m’asseoir de manière à avoir son sexe juste au dessus de ma tête. Je lui embrassais les jambes, puis je remontais vers l’aine et au moment où le posais le bout de ma langue sur son clitoris elle se mit à gémir et ses jambes commencèrent à trembler. Je m’appliquais de plus en plus sur son sexe, je passais ma langue sur ses lèvres et lui mordillais légèrement son bouton d’amour. Après quelques minutes de ce traitement elle gémissait de plus en plus fort et ses jambes tremblaient à chacun de mes coups de langues. J’arrêtais mon cunnilingus juste avant qu’elle n’atteigne l’orgasme, je me relevais et lui dis :

Ça t’as plu petite pute ?

Ouu-ooui, répondit-elle le souffle court.

Tu as envie que je te fasse jouir ? Tu as envie que je te prenne ?

Oui, j’en ai envie, me répondit-elle.

Alors dis-le SALOPE !

Fais moi jouir ! Vas-y prends moi ! Prends moi comme une chienne !!!

    Justine était toujours cambrée, les poignets attachés au montant de son lit et les jambes écartées. Je me plaçais derrière elle et je la fis se baisser encore plus de sorte qu’elle soit presque en angle droit appuyée sur son lit. Je plaçais mon sexe à l’entrée de son vagin. Et je l’attrapais par les hanches avant de la pénétrer d’un coup.

OOOOOOOOOH OOOUUUUUI ! Hurla-t-elle de plaisir.

    Je la prenais violemment, je la limais cette pute ! Justine prenait son pied, elle n’arrêtait pas de hurler. J’avais envie de filmer la scène mais mon téléphone était trop loin, tant pis ! Je lui mettais quelques fessées en même temps que je la prenais, ce qui ne faisait qu’accentuer ses cris de plaisir. Voulant raffermir ma position de dominant et son rôle de soumise je lui attrapais les cheveux et les tirais vers moi. Elle eut l’air un peu surprise mais s’accommoda rapidement de ce nouveau traitement, penchant la tête en arrière et se cambrant d’avantage.

OH OUI OH OUI OOOOH OOOOUUUUII !!! JE VAIS JOUIR CONTINU JE T’EN SUPPLIE !!

Oui vas-y tiens prends ça salope !

OOOH OOUIII JE SUIS UNE SALOPE, UNE PUTE, UNE CHIENNE EN CHALEUR, JE SUIS TA SALOPE !! OOOOH OOOOUIIIII JE JOUIS AAAH C’EST TROP BOOON, OOOOH OUUII !

    Elle avait eu un orgasme terrible, de la mouille coulait le long de ses jambes et elle tremblait encore. Elle était à moitié effondrée sur son lit mais je n’en avais pas fini avec elle : il fallait moi aussi que je jouisse.

C’est bien tu as été une bonne chienne mais maintenant tu dois finir ton travail et avaler ma semence.

Vas-y fais moi goûter à ton sperme !

Je vais te détacher, ensuite je t’enlèverai ton bandeau. Après tu me feras jouir avec ta bouche et tu recueilleras tout mon sperme dans ta bouche et sur ton visage de pute. Mais attention interdiction d’avaler sans ma permission ! Et aucune goutte par terre, sinon tu nettoieras avec ta langue. Compris ?

Oui j’ai compris mais je suis pas du genre à gaspiller.

 

    Je la détachais puis je lui enlevais son bandeau. Elle m’avait sucé, je l’avais attachée, fessée, insultée et baisée mais c’était la première fois que je croisais son regard cet après-midi. Nous nous sommes fixés un bref instant et je l’embrassais avec force une main posée sur ses fesses.

Tu as été une très bonne chienne cette après-midi, lui dis-je avec un léger sourire.

Et c’est pas fini, me répondit-elle avec un clin d’il tout en s’agenouillant devant moi.

    Elle approcha sa bouche de mon gland, y déposa un baiser avant de m’avaler entièrement le sexe. Sa fellation était divine et je sentais que je n’allais pas tenir longtemps. Elle me pompait avec vigueur tout en me branlant et au bout de quelques minutes je sentis l’orgasme approcher. L’instant d’après j’éjaculais avec force dans sa bouche. Justine eut d’abord un petit sursaut de surprise mais retrouva rapidement ses moyens. A la troisième giclées de sperme sa bouche était pleine et ne pouvait plus accueillir ma semence, elle ouvrit donc la bouche ce qui fit couler un filet de sperme sur son menton dont une partie atterrie sur sa poitrine et l’autre sur le sol. Je pris mon sexe et le dirigeais vers son visage et elle se prit quatre autres giclées sur la joue, dans les cheveux, sur le front et dans les yeux. Cette jouissance avait était merveilleuse ! Je reprenais mes esprits et dirigea mon regard vers ma chienne : le spectacle était magnifique ! Elle avait la tête penchée en arrière pour que mon sperme ne coule trop de sa bouche mais cela n’empêchait pas à quelques goûtes de couler de son menton jusqu’à sa poitrine. Son visage n’avait pas été épargné, elle avait du sperme jusque dans les cheveux et elle était même obligé de garder un il fermé.

Ne bouge pas, lui dis-je, tu es vraiment magnifique comme ça !

    Elle eut un léger rire ce qui eut pour effet de faire couler un peu de sperme en dehors de sa bouche directement sur le sol. De mon côté je saisissais mon téléphone pour conserver une image de cette magnifique scène. Elle vit mon téléphone mais n’eut pas l’air de s’offusquer plus que ça alors je pris une dizaine de clichés.

C’est bon tu peux avaler petite chienne.

    Et en deux gorgées elle avait avalé tout le sperme qu’il y avait dans sa bouche et elle se léchait même les lèvres.

Tu aurais pu me demander la permission avant pour les photos quand même.

La permission ? Je me la suis donné tout seul la permission petite pute et puis je fais ce que je veux, lui rétorquais-je.

C’est vrai qu’avec moi tu fais ce que tu veux, après tout je suis ta petite chienne ahah ! En tout cas s’était merveilleux ! Jamais je n’avais joui comme ça, on recommence quand tu veux ! Par contre je peux aller me débarbouiller à la salle de bain ? J’en ai plein la gueule.

T’inquiètes pas pour ça on va recommencer par contre je vais devoir te mettre une fessée pour ton impertinence, je n’ai pas besoin de ta permission.

    

    Et là Justine fit quelque chose d’inattendu : elle me fit un clin d’il et se retourna tout en se penchant me présentant ainsi ses fesses :

Vas-y, mets moi la fessée que je mérite.

 

    Elle avait encore les fesses rouges et je ne voulais pas trop l’abîmer alors je lui mis deux légères fessées, qui étaient plus symboliques que douloureuses.

J’ai fait de toi une vraie salope

Aha oui c’est possible, et pour mon visage ?

Pour ton visage t’as des doigts et une langue non ? Alors tu me lèches tout ça et vite ! Et oublie pas de nettoyer le sol !

    Justine passa alors ses doigts sur son visage recueillant le sperme puis elle mit ses doigts dans sa bouche et les lécha avec gourmandise tout en me regardant. Cette salope avait beaucoup de potentiel me dis-je intérieurement. Elle se mit ensuite à quatre pattes et lécha les quelques gouttes de semence qui étaient tombées et en se relevant elle passa une dernière fois sa langue le long de mon sexe. Quant à moi je regardais l’heure : il était presque 17h.

Je vais te laisser petite salope, il faudrait que je rentre chez moi.

D’accord, me répondit-elle, mais revient vite me baiser.

T’es devenue une vraie chienne en chaleur dis moi ! Mais ne t’inquiètes pas je vais encore te baiser un paquet de fois.

    

    Je me rhabillais, j’embrassais une dernière fois ma soumise Justine qui était restée nue. D’ailleurs son baisé avait un léger goût amer, très certainement mon sperme. Je sortais de sa chambre, puis de sa maison. Sur le chemin du retour je consultais toutes les photos que j’avais prise en me disant que cette après-midi avait été des plus agréables et j’allais profiter à fond de Justine, ma soumise.

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