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d'innocentes caresses – Chapitre 1

d'innocentes caresses - Chapitre 1



Julie, Chantal et Léa entourent Sylvie qui pose sa bicyclette.

— Alors ? Quest ce quil ta fait ? Raconte-nous !

— Ben ça sest passé comme vous laviez dit. Javais pris soin denfiler une jupe courte ainsi que vous maviez conseillé et jai fait semblant de tomber en vélo devant chez lui. Ça na pas loupé : il sest précipité à mon secours, ma relevé et ma soutenu par

— Chut, elle arrive ! intervient Julie en voyant Muriel se pointer.

Elles se retournent pour accueillir la nouvelle venue avec un large sourire.

— De quoi parlez-vous ? demande celle-ci.

— Oh, rien ! On va se promener ?

Muriel est intriguée. Cest sûr, depuis quelle est arrivée, cela fait presque une semaine, ses copines de vacances lui cachent quelque chose. Elles ne parlent plus comme les années précédentes des garçons et de leurs petits flirts : Chaque fois quelle sapproche delles, les conversations cessent brusquement, comme si elles partageaient un secret dont la jeune fille est exclue. Cela la vexe. Elle décide de les espionner discrètement pour savoir de quoi il retourne.

Le lendemain après-midi elle surprend Léa déclarer aux autres :

— Incommodée ou pas, cest mon tour aujourdhui. Je ne le cède à personne !

— Tu y vas comme ça, sans vélo ?

— Oui, Pourquoi pas ? Dailleurs il mencombre plus quautre chose.

Cela arrange Muriel qui pourra facilement la suivre. Elle lui emboite le pas sans se faire remarquer. Elles se dirigent, lune suivant lautre, vers le quartier où habite en permanence Lucien, le grand-père de Muriel. « Je pourrais en profiter pour dire bonjour à Papy », pense-t-elle. Justement elle laperçoit en train de jardiner. A sa grande surprise Léa interpelle le bonhomme qui lâche ses outils pour laccueillir. Son étonnement grandit quand elle voit son grand-père la guider par lépaule vers la maison.

Son grand-père ! Elles connaissent son grand-père ! Le voilà leur secret !

Muriel rentre chez elle pensive. Que peuvent faire ses copines avec lui ? Pas baiser car il est de notoriété publique que Lucien nest plus capable de faire lamour, cest même un sujet de plaisanterie dans la famille car dans le passé il était un chaud lapin. Alors que font-ils ensemble ? Rongée de curiosité, elle décide dinterroger directement son grand-père le lendemain.

— Quest ce que tu as fait avec Léa ? attaque-t-elle bille en tête.

— De quoi veux-tu parler ?

— Inutile de nier je tai vu la faire rentrer. Quest-ce que vous avez fait ?

— Ça ne te regarde pas.

— Si tu ne me le dis pas, je raconte à tout le monde que tu reçois en cachette des toutes jeunes filles.

Lucien regarde attentivement Muriel.

« Cest quelle est devenue une belle nana, encore plus jolie que ses copines. Ah, si elle nétait pas ma petite fille ! »

— Nai-je pas le droit de les recevoir ?

— Cest louche ! Quest-ce que tu leur fais, quelles reviennent ?

— Cest que cela doit leur faire plaisir.

— Nélude pas, avoue !

Lucien prend une décision : « Tant pis elle laura voulu, ça passe ou ça casse ! »

— Si je refaisais avec toi ce que jai fait à ta copine, cela répondrait à ta question ?

Muriel hésite, où ça va la mener ? Dun coté elle se doute quils nont pas enfilé des perles, de lautre connaissant Léa cela létonnerait que la jeune fille accepte nimporte quoi même de son grand-père.

— Comme tu veux Papy ! acquiesce-t-elle du bout des lèvres.

— Et tu ne diras rien à personne.

— Cest si grave que ça ?

— Promets !

— Je jure de ne rien dire, tes satisfait ?

— Bien, entrons.

Il lentraine à lintérieur en posant la main par-dessus lépaule sur un sein. Muriel frémit mais le laisse faire. Elle ne dit rien non plus quand Lucien agace le tétin en le titillant. Elle ne réagit que lorsque de son autre main il tente de déboutonner le corsage. Honteuse davoir accepté la caresse elle se dégage.

— Tas pas honte Papy ! Peloter ta petite fille ! Tu mériterais que jen parle à Maman !

— Tu as promis de ne rien dévoiler, noublie pas.

— Je ne reviens pas sur ma promesse. Tamuser comme ça avec mes copines, déjà que cest pas bien mais avec moi cest un inceste et cest défendu !

— Mais non ce nest pas un inceste ! Tout juste dinnocentes caresses -caresses que tu avais lair dapprécier, entre parenthèses. Si je te faisais lamour, là oui ce serait un inceste ! Et tu sais très bien que jen suis incapable. Et puis, cest toi qui as insisté pour savoir ce que nous faisions Léa et moi.

— Mais je savais pas.

— Ne sois pas naïve. Tu te doutes bien que ce nest pas pour mes beaux yeux quelle et ses amies viennent.

— Je te déteste ! A lavenir je ne te ferai plus que des visites de politesse.

— A ta guise Muriel !

La jeune fille claque la porte en partant.

— Ça a cassé ! Quel dommage ! soupire Lucien, jaurais bien aimé continuer Enfin, heureusement quil me reste ses copines

Mécontente delle-même, Muriel grommèle le long du chemin qui la conduit à la maison de vacances de ses parents. La caresse sur sa poitrine était douce et agréable. Cest vrai quelle lappréciait mais elle est furieuse que son grand-père sen soit rendu compte.

Laprès-midi, en rejoignant ses copines elle remarque labsence de Chantal. Quand celle-ci revient en vélo une heure plus tard, les autres filles lentourent mais voyant que Muriel les regardent cessent de linterroger. La jeune fille comprend que Chantal a rendu visite à Lucien.

— Quest-ce quelles peuvent lui trouver ! grommèle-t-elle.

Le soir dans sa chambre sa masturbation coutumière ne lui apporte pas le réconfort connu. Le souvenir des attouchements sur sa poitrine lobsède. Cétait vraiment agréable. Cétait idiot davoir découragé ses flirts quand ils tentaient de toucher ses seins, regrette-t-elle ! Elle essaye de reproduire sur son corps les gestes de son grand-père mais ce nest pas la même chose. Tard dans la nuit, elle prend la décision de retourner chez lui ! Tant pis pour les conséquences, il la bien dit : les caresses ne sont pas un inceste !

Lucien est étonné de la voir sur le seuil lorsquil ouvre la porte en réponse au coup de sonnette.

— Cest toi Muriel ? Que veux-tu ?

— Je Euh Tu pourrais

Non, elle ne peut pas avouer quelle brûle quil la caresse comme la veille. Elle sen tire par une pirouette.

— Euh Tu ne mas pas bien dit ce que tu faisais à mes copines.

Lucien parvient à cacher sa satisfaction.

— Entre ma chérie, je vais tout te dévoiler mais il ne faudra rien dire.

— Je serai muette comme une carpe.

Il la fait asseoir sur le canapé.

— Tu sais, cela leur arrive de me rendre visite à bicyclette et, je ne sais pas pourquoi peut-être le sable sur le bord de la route, régulièrement elles tombent devant chez moi. Chaque fois, tu penses bien, je me précipite pour secourir limprudente et lui propose de lexaminer pour voir si la chute na pas fait de dégâts. Je linstalle sur le canapé, là, à ta place et lui demande tout de suite dôter sa culotte et de se mettre à plat ventre.

— Oh Papy !

— Ben oui, comment veux-tu que je contrôle autrement que ses fesses ne sont pas blessées.

— Elle accepte ?

— Toutes ont obéi.

— Quest-ce que tu leur fais après.

— Si comme elles tu enlevais ta culotte, je pourrais te montrer. Ce serait plus facile pour expliquer.

— Oh Papy !

— Cest à toi de voir.

Lenvie de caresses et la curiosité sont les plus forts. Après un instant dhésitation Muriel ôte son slip et sallonge à plat ventre.

— Elles se mettent comme ça ? demande-t-elle.

— Exactement, répond Lucien qui soulève la jupe pour dévoiler les fesses roses. Je vérifie avec la main quil ny pas décorchure, poursuit-il en joignant le geste à la parole.

Il caresse le postérieur offert. La jeune fille soupire daise. Encouragé, il insinue les doigts dans la raie et glisse un bout dindex dans le petit trou.

— Tu leur fais ça Papy ? Ça métonnerait que cet endroit soit blessé lors dune chute de vélo, sétonne Muriel.

— Je dois vérifier que du sable ne sest pas introduit, affirme-t-il sans rire.

Il enfonce une phalange et la ressort.

— Je demande ensuite à la fille de se retourner, pour contrôler que devant non plus il ny a de dégâts. Peux-tu faire comme elle ?

— Cest nécessaire ? demande Muriel que la caresse culière commence à émouvoir.

Il sourit. A peu de chose près Julie avait fait la même réflexion.

— Absolument ! Je ne pourrais pas autrement continuer mes explications.

La jeune fille obéit et sallonge sur le dos.

— Relève ta jupe Écarte un peu les jambes Oui comme ça.

Il reste un instant muet devant le spectacle et se ressaisit rapidement.

— Tu vois, dit-il en fouillant dans la vulve, je massure ainsi quil ny a pas de sable caché parmi les replis de la chair.

Les yeux fermés, Muriel ne voit pas, mais elle sent. Jamais ses masturbations solitaires ne lui avaient procurées un tel plaisir ! Elle a bien compris que son grand-père, sous prétexte de démonstration, la caresse éhontément mais cest si bon ! Un soupçon de moralité lui fait néanmoins objecter :

— Mais Mmh ! Moi, je ne suis Aah ! Pas tombé dans Mmh ! Le sable !

— Veux-tu savoir ce que je fais à tes copines oui ou non ?

La douceur de la caresse étouffe la velléité de révolte de Muriel. Des doigts habiles décapuchonnent le petit clitoris.

— Aaaah ! soupire la jeune fille qui nest plus quun pantin dans les mains de son grand-père Mmmh ! gémit-elle lorsque des lèvres chaudes sucent le petit bout de chair.

Lucien est aux anges. Depuis le temps quil rêvait de tenir sa petite fille dans ses bras ! Il lèche la vulve rose, déguste avec gourmandise la rosée du plaisir, introduit un doigt dans le vagin sans insister (cest fragile une vierge), force doucement lanus brun.

— Mmmmh ! Aaaah ! Ouiiii ! Mmmmmh ! Mmmmmmmmmh !

Un spasme de jouissance secoue la jeune fille. Lucien la laisse récupérer quelques instants.

— Alors cétait bon ?

— Tu Tu es un pervers Papy ! Profiter ainsi de la crédulité de mes amies !

— Crédulité mon il ! Elles savent très bien ce quelles viennent chercher. Est-ce ma faute si elles nassument pas quelles adorent se faire tripatouiller et quelles ont besoin dun prétexte. Tu ne mas pas répondu, cétait bien ?

Il sait quelle a joui mais veut lentendre de sa bouche.

— Mais oui cétait super Papy ! Je comprends maintenant pourquoi mes copines reviennent te voir !

— Je suis heureux de ton plaisir. Ne bouge pas, je tapporte à boire.

Il revient avec un verre de jus dorange. Muriel a déjà renfilé sa culotte et tapote sa jupe.

— Tu ten vas déjà ? Je nai pas fini de te montrer ce nous faisons tes amies et moi !

— Maman ma demandé de faire quelques courses. Je reviens demain après-midi.

— Euh Tu ne pourrais pas passer le matin ?

— Pourquoi le matin Je vois, laprès-midi est réservé à mes copines, nest-ce pas ? Je viendrai le matin, soit rassuré.

Elle dépose une bise sur la joue râpeuse. Au moment de franchir le seuil, elle se retourne :

— Dis Elles ne sont pas si innocentes que ça tes caresses !

— Tu joues sur les mots. Tant quil ny a pas de pénétration, il ny a que demi-mal. Tu reviens demain, sûr ?

— Je ne manquerai ça pour rien au monde.

Il sourit en la voyant se diriger en vélo vers le centre commercial. Elle est adorable sa petite fille, tellement avide de plaisir.

— Vivement demain ! En attendant quelle sera la copine qui viendra cet après-midi ?

Tout en pédalant, Muriel repense à Lucien. Elle ne doutait pas quil était si habile. Quest-ce quil la fait jouir ! Le pied ! Cest la première fois quelle éprouve un tel orgasme. Cest autre chose que les caresses solitaires sous la douche ou entre les draps ! Elle a hâte de le revoir, saura-t-il lémouvoir autant le lendemain ? Que leur relation puisse être qualifiée dinceste ne la perturbe pas : comme dit son grand-père, tant quil ny a pas pénétration

Dans laprès-midi, cela lamuse de voir ses amies faire des cachotteries quand Julie rentre de sa visite à son grand-père.

— Si elles savaient ! murmure-t-elle.

Le lendemain, fidèle au rendez-vous, elle sonne chez Lucien.

— Tu as promis de me montrer noublie pas, attaque-t-elle dès le pas de la porte.

— Je naurais garde doublier. Entre sil te plait.

Comme le premier jour, il pose la main par-dessus lépaule sur un sein et titille le tétin. Muriel sourit et ne dit rien cette fois ci lorsquil dégrafe le corsage, glisse la main et caresse un mamelon.

— Tu devrais enlever le soutien-gorge, implore-t-il.

— Cest comme ça quelles font ?

— Euh Oui, oui !

Obéissante, elle quitte son chemisier et le sous vêtement et se présente poitrine nue devant son grand-père.

— Tu Tu es magnifique, balbutie celui-ci admiratif.

— Ils te plaisent tant que ça ? Je trouve mes seins pas assez gros.

— Ils sont parfaits. Voudrais-tu ressembler à une vache laitière ? Prends-en soin, ils le méritent.

Il dépose un baiser sur un tétin et le fait rouler entre ses lèvres.

— Mmh ! Tu leur fais Mmh ! Comme ça ?

— Euh Oui, oui !

Cest faux, il se contente de peloter Comme il le fait en ce moment avec lautre sein. Muriel soupire daise : que ces caresses sont agréables ! Le plaisir nest peut-être pas aussi profond que la veille mais presque aussi émouvant ! Son esprit senvole : ce nest plus son grand-père qui la cajole mais Jean-Luc son soupirant au lycée. Cest décidé, elle le laissera faire lannée prochaine sil tente de la peloter. Elle retombe brusquement sur terre en entendant Lucien.

— Euh Quest-ce que tu dis ?

— Je disais quelles savent me remercier, tes copines.

— Ah ? Quest-ce quelles font ?

— Ben Euh Elles me caressent elles aussi.

— Comme ça ?

Muriel en souriant, glisse la main dans la braguette de Lucien.

— OuOui Mmh ! Comme ça Mmh ! Et aussi elles em Mmh ! Embrasse Mmh !

Muriel a compris. Par ses nombreuses lectures elle sait que les hommes adorent quand on les suce. Son grand-père ne fait pas exception ! Elle extrait de sa gangue de tissus une verge imposante mais désespérément souple, pose dessus un baiser mais nose pas la prendre en bouche : cest si gros ! Après un instant dhésitation, elle se lance et englobe le sexe.

— Aaah ! Oui, comme ça Mmh !

Muriel fait rouler le gland sous la langue.

— Ouiii ! Aaah ! Mmmh ! Tu fais ça mieux Mmh ! Que tes copines Aah !

La jeune fille active sa sucette. Lucien sent le sperme monter. Pour la première fois il est préférable davertir sa petite fille, on verra un autre jour sil parvient à lui faire avaler. On a toutes les vacances pour ça.

— Aaah ! Je Je vais jouir !

Muriel sait ce que cela veut dire (les cours déducation sexuelle ont leur utilité). Elle ôte précipitamment le sexe de sa bouche et le masturbe.

— Aarrgghh !

Quelques gouttes suintent du méat quelle essuie consciencieusement. Elle se rhabille pendant que Lucien récupère.

— Aah ! Muriel tu mas fais un immense plaisir !

— Je suis contente que cela tai plu. Cest la première fois que je fais ça, tu sais. Jai pas été trop maladroite ?

— Tu tes fort bien débrouillée. Ça pourra te servir à lavenir : Si un garçon devient trop entreprenant et que tu ne veux pas quil te fasse lamour, caresse-le ainsi, ça le calmera un moment.

— Merci du conseil Papy. Je dois men aller maintenant.

— Tu veux pas rester encore un peu ?

— Non, je peux pas.

— Demain si tu viens, je tapprendrai dautres manières de se faire plaisir

— Jai hâte dêtre à demain ! dit-elle en lembrassant sur les deux joues.

Il la regarde disparaitre un sourire ému aux lèvres. Cest mieux, bien mieux que de se faire sucer par une prostitué !

— La prochaine fois je lui demanderai de se déshabiller, murmure-t-il, et je linitierai aux caresses simultanées.

La suite des vacances sannonce passionnante entre Muriel le matin et ses copines laprès-midi. Il regrette de ne pouvoir les recevoir en même temps. Ah ! Caresser sa petite fille et ses amies entrain de se faire plaisir, quel fantasme ! Mais cela doit rester un rêve. Ce serait imprudent : leurs rencontres doivent rester secrètes

Quelques semaines plus tard Muriel vient faire ses adieux.

— Grâce à toi Papy jai passé des vacances inoubliables, je ten remercie.

— Je suis content quelles taient plu. Moi aussi jen garderai un très bon souvenir

En passant le coin de la rue, Muriel voit arriver sur un vélo Julie en jupe courte qui vole au vent de la course. Sans surprise elle assiste à la chute simulée. Lucien se précipite à son secours, faisant un signe de connivence à sa petite fille. Lhomme mûr et ladolescente, serrés lun contre lautre, se dirigent vers la maison. Muriel sourit lorsquune main soulève la jupe et se pose sur les fesses.

— On ne le changera pas, murmure-t-elle amusée

Les circonstances de la vie ont fait que Muriel na plus revu Lucien. Plusieurs années ont passé, elle sest marié, a eu des enfants mais se souvient toujours avec émotion des vacances de ses seize printemps quand son grand-père lui faisait découvrir le plaisir lors de relations incestueuses Non pas incestueuse, juste dinnocentes caresses !

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