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L'Aurore d'une autre vie – Chapitre 11

L'Aurore d'une autre vie - Chapitre 11



CHAPITRE 11

Aurore me prit la main et m’attira dans sa chambre, j’eus juste le temps d’attraper mon "sac à surprises" et elle ferma la porte. Son lit nous attendait patiemment, la couette en vrac. Nous commençâmes à nous déshabiller avec chaleur et hâte ; j’ôtai son T-shirt turquoise pour découvrir un soutien-gorge noir dentelé très séduisant. Ma cousine déboutonnait ma chemise alors que j’étais en train de lui tenir les cheveux en l’embrassant dans le cou avec passion. "Je te désire", "J’ai envie de toi" Ces phrases je me les répétais en boucle dans ma tête, les pensais très fort, si fort même que je m’imaginais Aurore les entendre.

Mes mains passèrent de ses cheveux à l’agrafe de son soutien-gorge ; mais à ma grande surprise, ma cousine ne se laissa pas faire.

Bas les pattes ! Ne vas pas trop vite.

Et écartant mes doigts de cette fermeture, je les reposai juste en-dessous sur sa peau pour les faires glisser toujours un peu plus bas.

Elle aimait que je lui caresse les côtes ; lorsqu’elle en eût fini avec mes boutons, elle me tomba la chemise et mes mains retournèrent à sa cage thoracique sans lui palper la poitrine. Je lui touchais la taille lorsqu’elle décida de m’étreindre complètement dans ses bras.

Dans sa fougue, Aurore frotta ma jambe en relevant sa cuisse, cuisse qui se fit attraper par une main masculine bénévole de caresses ; sa peau était douce, chaude et frissonnante, je pouvais sentir la chair de poule de l’excitation sur cette jambe quasiment dénudée, les fesses couvertes seulement d’une jupe bleue océan.

Prends-moi, me susurra Aurore. Toute entière.

Je remontai ma paume le long de sa cuisse avant d’arriver à sa fesse, couverte du tissu d’une culotte "entière". Mon autre main dans son dos, je serrais plus encore la jeune fille contre moi en continuant ce baiser voluptueux. Mes premiers doigts, sous sa jupe, caressaient de leur bout la fesse d’Aurore qui s’y trouva très réceptive et commença à déboutonner mon pantalon pour le laisser tomber. Se trouvait dessous un boxer moulant, sexy, dont la bosse laissait transparaître l’intensité du désir que je pouvais ressentir pour cette fille.

Ma cousine se mit dès lors à genoux en caressant mon sexe encore prisonnier de cet habit. Le passage de ses doigts était fabuleux, puis elle se mit à mordiller délicatement cette bosse qui semblait lui plaire !

Alors, qu’est-ce que nous avons là ? C’est gros, dis donc !

Ça n’a visité personne depuis plus de deux semaines. Il n’y a plus qu’un seul vagin et qu’une seule bouche qu’il veut voir.

Hmmm, je sens que je vais bien m’entendre avec

Elle se remit à le mordre, les dents enrobées par ses lèvres. Mmmmhhhh Elle faisait de telles caresses et de tels baisers sur mon boxer que j’en devenais dingue, j’avais envie de sentir la chaleur de sa bouche, son palais, sa langue, ses joues.

J’en peux plus, Aurore. Sors-le de là, suce-le je t’en prie !

En me jetant un regard satisfait, elle baissa mon sous-vêtement qui fit jaillir ma verge droite et dure, le gland à moitié sorti. Ma cousine ne se priva pas de l’empoigner et débuta une toute douce masturbation avant le lui donner des baisers, de la caresser avec sa joue, d’embrasser sa base et de ventouser mes bourses. C’était un magnifique spectacle que de voir Aurore se délecter de ce membre, de prendre beaucoup plaisir. Elle décida finalement de le mettre en bouche et un frémissement me parcourut tout le long du corps ; j’avais oublié à quel point une bouche féminine pouvait être apaisante.

Aurore commença à bouger la tête tout le long du sexe qu’elle avait sur sa langue. Levant ses yeux, je pouvais plonger dans ce noir entouré d’un élégant gris-vert ; ses cheveux étaient retenus par un serre-tête très simple, mais lui donnant un air de jeune fille prude qui me plaisait. Ma cousine continua sa fellation en passant à la fois sur les côtés de l’objet de sa pratique : de l’un elle me le caressait avec ses lèvres ou sa langue, et de l’autre c’était avec sa main.

Je risque d’éjaculer, Aurore ! Elle t’a manqué on dirait ?

Oui, j’en avais tellement envie J’avais oublié comment elle était belle.

Gourmande ! lui souris-je.

Elle se releva et enleva sa jupe avant d’aller s’asseoir sur son lit, telle une sirène. Elle retira également ses ballerines et remua ses orteils, puis ôta son serre-tête avant d’élancer ses cheveux qui, à la fin et décoiffés, lui donnaient un côté plus sauvage avec ses dents blanches et son il malin.

Tu as pensé au lubrifiant ?

Oui ! fis-je en le prenant dans le sac. Même deux ! Parfum choco ou mangue ?

Mmmmh ! Je prends le chocolat !

Attrape !

Je lui lançai le tube pour qu’elle l’ouvre, le temps que je retire mon pantalon et mon boxer de mes pieds. Une fois parfaitement nu, je me dirigeai vers cette demoiselle encore en sous-vêtements ; elle étala le lubrifiant parfumé tout le long de mon sexe, une odeur chocolatée atteignit nos narines et Aurore, dans sa gourmandise, qu’elle fût pour le sexe ou pour le chocolat, me remit dans sa bouche et suça, lécha, aspira avec fougue, délectation, délice.

Peu après, elle s’écarta et me désigna toute la longueur du lit.

Viens, allonge-toi. On va faire un nouveau truc jamais fait ensemble. C’est pour ça que j’ai demandé du lubrifiant.

M’exécutant docilement et curieux de ce qu’elle allait me faire, me voilà dos sur le lit, le sexe droit comme un i, à attendre ce qui allait se passer. Allait-elle me faire une branlette espagnole ? L’idée me plaisait énormément. Aurore se posa finalement sur mes cuisses, lubrifia mon pénis et commença à doucement le caresser entre ses mains, l’enrober, le serrer doucement.

Une toute nouvelle sensation pour moi. En fait, ma vie sexuelle avec mon ex n’était vraiment pas folichonne, ça se limitait à du tripotage et à de la pénétration vaginale. Aurore, elle, me faisait voyager dans les plus hautes sphères du plaisir et de la joie, elle me faisait découvrir mon corps et celui des femmes, les facettes de la sexualité, je savais qu’elle en avait encore beaucoup à m’apprendre.

Jamais masturbation n’a été aussi douce et plaisante. C’est dix fois, cent fois différent que lorsque je le fais tout seul. De temps à autres, Aurore se penchait sur ma chose pour y passer sa langue avec délice ou l’enrober dans sa bouche. Mes bourses ne se retrouvaient pas en reste, car elles étaient elles aussi caressées ou embrassées par la jeune fille.

Sentir mon sexe écrasé dans ces deux mains douces et glissantes me procura des frissons sur la peau mais aussi à l’intérieur de mon corps, en haut de mon buste, dans mes épaules, mes bras se tendaient de plaisir, et voir mon gland calotté et décalotté entre ces doigts à intervalles réguliers faisait du meilleur effet. Même si ce n’était "que" une branlette manuelle et non une mammaire, Aurore me faisait tourner la tête.

T’es très dur, cousin. Ça te plaît on dirait !

Ooohhh Oooooh oui ! Continue, je t’en supplie ! Tes mains sont Aaaah !

Je n’eus même pas le courage de finir ma phrase tellement c’était mielleux. Je regardais toujours mon sexe glisser avec le bruit du lubrifiant entre ses doigts. Ma peau phallique s’étirait, retenue par mon frein, puis était remise ; étirée, remise ; étirée toujours dans une douceur et une patience garantissant mon plaisir et non pas ma douleur : en effet, la branlette comme ça trop rapide me faisait mal ; mais ce n’était pas la première verge à laquelle Aurore avait à faire, et elle avait fini par acquérir un certain art à donner un maximum de plaisir aux jeunes hommes ayant eu la chance de partager sa couche.

Ma cousine s’écarta pour pouvoir confortablement mettre sa bouche à hauteur de mon pénis et, posant trois doigts sur sa base, elle mit mon gland entre ses lèvres, puis enfonça encore un peu ce membre dedans sa bouche en fermant les yeux. J’entendis un gémissement de plaisir, elle y allait toujours très doucement et prenait le temps de me déguster. Elle montait et baissait ses doigts en même temps que ses lèvres, m’offrant à la fois une fellation et une masturbation ; ça me rendait complètement fou d’elle. Étant incapable de prononcer quoi que ce soit dans ce merveilleux moment, je ne pus que penser très très fort :

"Aurore, putain j’ai tellement envie de te pénétrer !"

Mais je n’en dis rien, car j’avais l’impression de ne jamais avoir été aussi bien sucé, elle y mettait tout son savoir-faire, tout son plaisir. Parfois, m’enlevant de sa bouche, elle me donnait quelques baisers sur mon gland dur, dressé de joie, en continuant de glisser sa main. Son nez se baissa de plus en plus vers mon aine, sa bouche embrassait la base intérieure de mon sexe et elle y appuyait son visage : j’adorais faire ça contre ses jolies mamelles, elle adorait le faire contre mes parties génitales ! Je sentis sa langue me laper les testicules avant qu’Aurore ne me les aspire dans sa bouche.

Ça va, j’ai pas des boules trop grosses ? plaisantai-je.

Je peux pas les prendre toutes les deux, elles sont très bien !

Ma cousine continua de se régaler en me rendant fou, elle était remontée vers mon pubis pour sucer mon tronc sur le côté. Elle écarta un peu la bouche en poursuivant sa caresse manuelle pour me regarder : un regard onirique, les yeux à la fois coquins et tendres, et son sourire ! Je lui caressai la joue en réponse avec un même sourire puis la fille se remit à califourchon sur moi, cette fois le clitoris toujours dans sa culotte touchant mes gonades. Toujours en me caressant, je pus sentir la fraîcheur du lubrifiant, contrastant avec la chaleur de mon corps, coulé sur mon gland et étalé par les mains délicates et expertes de la jeune fille. Elle réussit à m’attraper le vît de ses dix doigts pour perdurer la masturbation d’un peu toutes les manières possibles : enserrer ma chose, la caresser, imiter mes branlettes solitaires

Cousine, tu manques pas d’imagination !

Hu hu, merci ! répondit-elle dans un petit rire.

Pendant son petit "travail", je continuai de lui caresser les bras, les hanches ou les cuisses en regardant son ventre, son soutien-gorge encore en place, et surtout ses mains qui n’étaient jamais lasses. Même lorsque nous ne disions rien, elle riait de plaisir, de contentement, et tout simplement d’amusement à jouer avec mon sexe.

Alors, qu’est-ce que tu aimes ? Qu’est-ce que je dois faire pour te faire jouir ?

Deux choses s’il te plaît. Enlever ton soutien-gorge

Mhhumm, acquiesça-t-elle en s’exécutant.

Et me faire entrer en toi.

Ah non non non, sourit-elle. Tout ce que tu veux, mais pas de pénétration ! Pas maintenant !

Ah ! Bon ben frotter ton sexe le long du mien.

Ok, ça ça me va !

Elle écarta sa culotte sur le côté de ses lèvres avant de pratiquer la caresse que je venais de demander. Même si mon engin était plein de lubrifiant, je pouvais sentir l’humidité d’Aurore s’écouler un peu sur moi, et surtout sentir la chaleur de son vagin s’échapper sur ma chair. J’avais été idiot d’avoir demandé ça, puisque ça me donnait encore plus envie de m’introduire dans sa matrice ! La tentation de tenir mon sexe pour le redresser afin qu’il puisse disparaître dans son délectable orifice était d’une force inouïe, je me demandais bien comment je n’y succombai pas. Le fait de ne pas avoir de préservatif enfilé, peut-être.

Aurore reprit son jeu de mains en me caressant avec plus de frénésie, je me sentis un début d’abandon, d’explosion, de déversement. Elle sentait mon engin raide et semblait prendre beaucoup de plaisir dans cette masturbation.

Cousinette, je voudrais éjaculer sur tes seins !

Vas-y !

Je commençais à atteindre le bout du tunnel lorsque je me retirai pour me mettre à genoux face à elle. Elle en profita pour s’asseoir un peu mieux afin de bien aligner mon méat face à ses mamelons.

J’y suis presque, Aurore. Finis, finis !

Elle s’exécuta avec plaisir et transport, sa main glissait le long de mon sexe et ce fut le coup de grâce : ma semence alla se déverser en plusieurs jets puissants sur sa jeune poitrine et je laissai mon plaisir s’exprimer dans un grand râle. Je n’en avais rien vu, il me fallut quelques instants pour retrouver mes esprits. Lorsque mes idées furent à peu près de nouveau en place, la belle était en train de me caresser la bête en me lançant un regard ravi.

Regarde un peu ce que tu as fait !

Oh ! C’est de moi, ça ??

Évidemment ! De qui veux-tu que ce soit ? rit-elle.

Je constatai sa poitrine pleine de liquide blanc et opaque. J’avais du mal à croire que c’était moi qui avais pu émettre autant d’éjaculat, et en y réfléchissant ça n’a pas dû m’arriver souvent ! Ce qui me surprit beaucoup également, c’était que je ne me sentais pas m’être "vidé les couilles" comme on dit, j’en avais encore à donner ! Mais s’il y en avait autant, ça n’a pas été fait tout seul : la moitié du mérite, et peut-être même plus, revenait à Aurore.

Une fois qu’on eût bien admiré ma performance, ma cousine regroupa le liquide sur ses doigts pour le mettre entièrement à sa bouche tandis que je m’allongeai auprès d’elle, le sexe en érection plus molle.

Mmmmmh, il est vraiment bon ton sperme aujourd’hui.

Merci, cousine. Tes mains sont fantastiques, la complimentai-je en les embrassant.

On resta un moment sur le côté à nous embrasser et nous caresser. J’étais en train de palper son derrière pendant qu’elle passait ses mains dans mes cheveux en m’embrassant goulûment. Quelques minutes plus tard, je la tenais par la taille et nous étions en train de nous regarder dans les yeux.

Aurore Je regrette tellement d’avoir couché avec mon ex. J’aurais voulu être dépucelé par quelqu’un comme toi.

C’est flatteur et touchant, mais faut pas t’arrêter là-dessus grand cousin. Avant de passer à l’acte, mon meilleur pote m’avait dit "La virginité ça se perd pas comme ça, c’est pas juste une pénétration et hop on n’est plus vierge. C’est un certain niveau d’expérience, une fois qu’on est bien à l’aise avec le sexe et son corps.". Je trouve qu’il a raison. Parfois des gens n’ont besoin que d’une pénétration pour que ça soit bon, mais d’autres ont besoin de plusieurs fois.

Dans ce cas, je l’étais à notre première fois. Ma sexualité était triste avec mon ex, pas de fellation ou de branlette comme là. Le strict minimum. Grâce à toi je découvre des choses, plein.

Merci beaucoup. En plus vous les mecs vous pouvez "tricher" par rapport à nous : vous n’avez pas de "preuve" de votre virginité, votre queue elle reste pareille. Même si toutes les filles n’ont pas d’hymen ou le perdent en équitation ou en gym, ça reste un symbole.

Et toi, si c’est pas trop indiscret ?

Oui, j’en avais un. Déchiré au premier rapport. Mais si tu veux marquer le coup, à notre prochaine tu pourras dire que tu n’as jamais fait l’amour ; j’irai pas vérifier et "j’oublierai" nos rapports passés, si ça peut te faire plaisir.

Je ne vois pas trop l’intérêt de mentir, mais pourquoi pas si c’est juste pour "marquer le coup" comme tu dis Et toi Aurore, est-ce que tu as déjà dépucelé des garçons ?

Jamais, ils ont tous déjà trempé leur biscuit ailleurs. Mais ça m’aurait pas gênée de tomber sur un puceau. Après tout, quelques minutes après ce mot n’a plus vraiment de sens.

Elle n’avait pas tort et nous continuions à échanger quelques caresses et quelques baisers. En jetant un petit coup d’il à son réveil il n’était même pas tard : 22h44 ! Je pus sentir la main d’Aurore aller me caresser les testicules et l’envie d’avoir une érection revenir.

Hé Arnaud On remet ça ?

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