Sylvie avait comme lui remplit une fiche sur le site de rencontre à la mode. Elle recherchait soi-disant une rencontre sérieuse. Et après 2 semaines de mail, tchat et appels téléphoniques elle avait décidé Thomas à une rencontre.
Le jour J est venue, Thomas se rend à l’hôtel convenu pour l’apéritif. Il trouve une jeune femme aux formes généreuses. Disons-le toute de suite, Sylvie est grosse.
Comme la discussion s’éternise ils vont déjeuner au restaurant.
De fil en aiguille Sylvie lui propose un massage chez elle et il accepte.
Sortant à poil de la douche, il trouve l’énorme cul de Sylvie à peine dissimulé par un paréo et ses petits seins dissimulé sous la chevelure blonde. Le massage commence. Une demi-heure plus tard, épuisée pas son effort, elle s’allonge à côté de lui. Thomas se tourne vers elle et commence par la frôler.
Puis affamé, il se met à lui brouter le minou ce qu’elle semble adorer :
— Oh ! Tu me bouffes bien la chatte.
— Hum hum ! Slurp slurp.
— T’aime la mouille ?
— Je suis gourmand.
Thomas cale les grosses cuisses sur ses épaules et bouffe la fente. Il passe ses mains sous le gros cul. La mouille déborde sur ces joues alors que 2 doigts il commence à branler Sylvie.
Puis la position change, Sylvie se met en 69 pour une fellation.
— Donne ta queue, j’aime sucer.
— Oui, suce-moi.
— J’adore ta queue.
— Ah ! Oui ?
— Hum elle est bien épaisse, comme j’aime.
Sylvie se délecte du gros nud et sa langue agile tourne autour avant que sa bouche enfourne le manche. De temps en temps elle prend le membre à pleine main pour lécher les couilles et remonter jusqu’au gland. Thomas se relève, Sylvie à 4 pattes sur le lit, il se met à baiser sa bouche.
— T’es une gourmande ?
— Hum hum, oui.
— Une grosse gourmande.
— T’aimes ?
— Tu as un cul magnifique.
— Salaud !
— T’aime te faire prendre ?
— Oui, surtout en levrette, par une queue à gros gland.
Ni une, ni deux, Thomas remonte sur le lit, la chatte humide de Sylvie, accueille la bite au gland épais. Ne pensant pas au lendemain, Thomas, défonce la fente offerte. Faisant gémir sa nouvelle conquête.
— Fais- toi plaisir !
— T’es sûr ?
— Ouiiiiiii.
Ce salaud tape le fond de la chatte à grands coups de boutoir, en s’agrippant à l’énorme fessier qui lui est exposé. Il tâte la résistance de l’anneau bien que Sylvie lui a avoué sensible du cul.
Sylvie se cambre de multiple fois sous les coups de queue.
— Salaud tu me défonce comme j’aime.
— Salope !
— Ouiiiiiii.
— OUI ?!
— Oui, j’suis une salope.
— J’vais t’en donner de la queue !
— Vas-y prends moi, avec ta grosse queue.
A ces mots, SES mots, Thomas accélère et fini par envoyer la sauce dans le vagin de cette pouliche.
— Oui, inonde-moi la chatte !
— Prends, PRENDS !
Elle lui sourit comme satisfaite par cet assaut.
