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elle 20 ans, lui 70 ans… – Chapitre 12

elle 20 ans, lui 70 ans... - Chapitre 12



–    Bonjour, j’ai finalement pris mon après-midi, je peux donc venir plus tôt, à vous de me dire l’heure qui vous convient.

Justine en lisant le texto de Victoria souriait, elle m’envoya aussitôt un message pour me demander mon avis. Ma réponse fut immédiate.

–    Pas de problème, dis-lui 15h30 je serais derrière ma télé à vous regarder.

Justine n’avait pas cours le vendredi après-midi et en profita pour faire un peu de rangement avant la venue de Victoria.

A 15h00, elle était prête.

Elle avait pris une douche, mis de jolis sous-vêtements, une petite jupe et un chemisier. Elle avait laissé ses jambes nues et portait des escarpins ouverts avec un talon ni trop haut ni trop bas.

Je me suis connecté à l’appartement vers 15h15, elle était assise dans le canapé et lisait je ne sais quel livre.

A 15h25, Victoria était à la porte du studio. Justine lui ouvrit.

–    Bonjour, j’espère que je ne suis pas trop en avance.

Elle s’avança et fit la bise à Justine.

–    Non, pas du tout, je lisais un peu en vous attendant.

–    Et que lisiez-vous, si cela n’est pas indiscret?

Justine fit entrer Victoria et l’invita à s’asseoir tout en continuant la conversation.

–    Un livre du XIXe, « les chansons de Bilitis »

–    Je ne connais pas.

Justine n’avait pas choisi ce livre au hasard, mais Victoria n’avait pas percuté.

Justine avait espéré que Victoria lui en demande plus sur le sujet du livre, mais celle-ci changez de conversation.

–    Je vous ai amené la robe à retoucher, j’espère ne pas trop abuser

Elle sortit la robe de son sac.

–    Elle est très belle, mettez-là que je puisse prendre les mesures.

Victoria se déshabilla devant Justine.

Elle portait une jupe noire et un top assorti. Quand  ceux-ci furent enlevés, Justine complimenta Victoria.

–    Voilà de la belle lingerie. J’aime beaucoup.

Victoria portait une parure de lingerie fine très chic, composée de dentelle et de satin. Cela donnait un effet très glamour.

–    Merci, mais, je vous rassure, j’aime porter de la belle lingerie, mais je ne vais pas au travail dans cette tenue, comme j’avais le temps de repasser chez moi, je me suis changé, en ayant des sous-vêtements plus proche de ce que je mettrais avec la robe, cela permettra de mieux ajuster les retouches.

Elle ajouta aussi qu’elle avait pu faire ce détour par chez elle car Bernard n’était pas là cet après-midi.

Je regardais tout cela avec intérêt, Victoria était vraiment une très belle femme.

Justine a la fraicheur de la jeunesse et les formes d’une femme en devenir, ces seins sont petits et mignons, ses hanches ne sont pas encore vraiment sculptées alors que Victoria a une poitrine arrogante qui pointe fièrement son désir d’être l’objet de toutes les convoitises, ses hanches dessinent une féminité provocante et attractive et ses fesses sont un véritable hymne à la caresse.

Elle regardait Justine et j’avais une vue de la  callipyge Victoria admirable.

Justine admirait Victoria avec sincérité. Elle n’avait jamais regardé une femme de cette manière jusqu’à maintenant et elle n’avait jamais pensé prendre plaisir à regarder le corps d’une autre femme.

Elle demanda à Justine de se retourner, sans même chercher un prétexte.

Celle-ci s’exécuta.

Victoria ignorait la vraie raison de cette demande.

Justine voulait me permettre d’examiner le verso après avoir vu le recto. Il me faut avouer, que quelque-soit la face, le spectacle est magnifique.

Je pouvais voir Justine hésiter.

Elle n’osait pas s’approcher de Victoria, elle avait pourtant envie de la caresser, de laisser sa main se promener sur ce corps si parfait.

Elle savait que Victoria ne dirait rien et qu’elle l’encouragerait même, mais elle n’osait pas.

Finalement, elle prit un mettre ruban et s’approcha de Victoria pour lui prendre les mesures.

L’une comme l’autre savaient que ce n’était qu’un prétexte pour un contact physique, car il s’agissait de faire des retouches sur une robe et non de faire un patron

Victoria écarta un peu les bras, Justine enroula le ruban autour de ses hanches.

–    92

Elle énonçait les chiffres à voix haute pour moi.

Ses mensurations me laissaient rêveur, le coquin de Bernard avait vraiment choisi un morceau de choix.

–    Vous faites beaucoup de sport ?

–    Je fais des cours de fitness 3 à 4 fois par semaine ?

–    Oui, cela se voit

Justine palpait les fesses de Victoria sans que cette dernière y trouve à redire et la félicité pour sa plastique.

Elle s’était accroupie devant elle pour prendre les mesures et quand elle se leva, elle faillit trébucher.

L’avait-elle fait exprès, je n’en savais rien, mais Victoria la rattrapa avant qu’elle ne tombe et la rapprocha d’elle.

Justine était maintenant dans les bras de Victoria, elles se regardaient, yeux dans les yeux sans rien se dire.

Je me délectais du spectacle, Victoria s’approcha doucement de Justine, leur lèvre à quelques centimètres, je pouvais sentir la tension entre elles.

Victoria semblait toute aussi troublée que Justine, était-elle aussi novice en la matière ?

Je n’en sais rien, mais elle n’osait pas plus que Justine à prendre la décision du baiser qui était pourtant imminent… à portée de lèvre.

Finalement, tout bascula, leurs lèvres s’effleurèrent, se caressèrent pour in fine s’offrir mutuellement un baiser gourmand et passionné.

Je ne saurais dire qui a été à l’initiative, mais aucune ne semblait regretter ce baiser lesbien, bien au contraire.

Les mains accompagnèrent l’étreinte et parcouraient le corps de l’autre avec puissance, ni l’une ni l’autre n’offrait de résistance, elles s’offraient plutôt la volupté de caresse féminine et précises.

Victoria dégrafa la jupe de Justine qui lui tomba au pied, puis déboutonna le chemisier de Justine. Elles étaient maintenant toutes les 2 en sous-vêtements.

–  Les retouches ne seront certainement pas pour aujourd’hui !

pensais-je à voix haute.

Beauté d’une femme mure et plantureuse s’associant avec tendresse  à une jeune femme plus longiligne, mais tout aussi agréable et féminine.

 J’étais aux premières loges et ne manquais rien de cette algarade pacifique de leur corps-à-corps passionné.

Elles se pelotaient, s’embrassaient, se tripotaient avec avidité. 

Elles se retrouvèrent sur le canapé, Justine fit glisser le tanga de Victoria, ses doigts empruntèrent le sentier de Venus de sa comparse qui rapidement l’imita en lui enlevant son shorty.

Elles étaient maintenant toutes les 2 nues, elles se suçaient l’une après l’autre les seins, se  titillaient les tétons  ou agaçant les tétins de l’autre pour le plaisir de chacune.

Leurs courbes s’enlacent et s’emboitent, l’instant est simplement magique et sensuel.

Elles simulèrent le coït en s’embrassant avec leurs lèvres intimes et finirent par un 69 qui leur apporta un véritable orgasme.

2 fleurs qui se caressent pour m’offrir un spectacle grandiose.

Regarder 2 femmes faire l’amour comme elles le firent fut un festin de roi pour mes yeux et un plaisir divin pour mon esprit.

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