Histoires de sexe lesbien Histoires de sexe travesti Histoires érotiques de couples amateurs

Dommage que les vacances finissent… – Chapitre 1

Dommage que les vacances finissent... - Chapitre 1



Assis sur sa terrasse, Michel déguste le pastis qu’il vient de se servir. Il fait un temps splendide en ces derniers jours du mois daoût. Une fois de plus il se congratule davoir acquis cette maison dans ce village de la Drôme. Que de vacances, heureuses lui semble-t-il, ont-ils passés, là, lui, sa femme Jacqueline et leur enfants, François et Catherine! Il pousse un gros soupir. Cest loin tout ça Il a dépassé les 68 ans, ses enfants se sont mariés, ont eu eux même des enfants qui ont grandis, sa femme na pas résisté au cancer qui la rongeait depuis plusieurs années

La maison est devenue trop grande car les jeunes préféraient aller au bord de mer plutôt que dans la moyenne montagne. Il pensait la vendre quand, il y a deux ans, sa fille a acheté la maison voisine. Depuis, Michel a fait abattre le mur de séparation et creusé une piscine entre les deux bâtisses. Il sest installé à demeure, ne conservant en ville quun petit appartement pour les mois dhiver.

Cette année Catherine est venu passer un mois de vacances avec sa fille Annie 19 ans et Marco 21 ans son neveu, le fils de François. Les autres petits enfants de Michel ont été expédiés par leurs parents dans un camp dadolescent. Les deux grands ont préféré venir dans le village plutôt que de sinvestir dans une association qui restaure de vielles demeures comme leur avait proposé François. Michel sourit. Au début du mois il avait un peu peur de la cohabitation entre les deux cousins qui les années précédentes ne cessaient de se chamailler, mais à part quelques éclats de voix tout sest bien passé. Il faut dire que la piscine mise en route pour la première année y fut pour beaucoup, au grand plaisir du grand-père heureux de les voir sébattre.

Dans quelques jours cest la fin des vacances Fred le mari de Catherine va bientôt venir chercher sa famille. Michel aime bien son gendre qui semble rendre sa fille heureuse. Il a moins daffinités avec la femme de François avec qui il ne sest jamais senti à laise. Peut-être que lannée prochaine cela saméliorera car son fils lui a promis de passer les prochaines vacances au village.

Tout à coup la porte fenêtre donnant sur la piscine chez sa fille souvre avec fracas. Annie déboule suivie par Marco. Les deux jeunes plongent dans la piscine. Michel fronce les sourcils: Cette petite dévergondée est sortie les seins à lair! Les voisins vont encore faire des gorges chaudes. Ce nest pas faute davoir averti sa petite fille, mais ces jeunes, ça nen fait quà leur tête! Ça y est! Il voit le rideau de la maison den face bouger Ils doivent être à la fenêtre à épier Ma foi si cela leur fait plaisir Lui de son coté admire la jeune fille comme si ce nétait pas Non, pas de ça Michel! Malgré lui un picotement agréable se développe dans son bas ventre et ce nest pas lattitude des deux jeunes dans la piscine trop près lun de lautre qui va le calmer.

— Veuillez vous tenir convenablement! leur crie-t-il. Les voisins vous regardent.

— Bah! Quelle importance! De toute façon on sen va bientôt, répond-elle.

Il veut répliquer, mais Annie coupe la conversation en entraînant son cousin sous leau. Michel termine son verre de pastis et rentre le rincer. Au même moment Catherine sort en courant vers la maison de son père. Michel lui sourit. A 42 ans cest une très belle femme qui ressemble de plus en plus à sa défunte épouse. Son gendre Fred a de la chance, surtout si elle est aussi imaginative au lit.

— Papa! Papa!

— Quest-ce quil y a?

— Oh Papa! Papa!

Il remarque alors les cheveux en désordre, le chemisier à moitié déboutonné sur un sout Elle ne porte pas de soutien-gorge! Sa poitrine ballotte librement, ce nest pas dans ses habitudes! Quest-ce qui peut la bouleverser à ce point?

— Quest-ce quil y a? répète-t-il.

Elle parcourt les derniers mètres et se jette dans ses bras.

— Papa! Oh Papa!

Michel jette un coup dil vers la fenêtre des voisins. Ça ne loupe pas, le rideau a bougé! Il entraîne sa fille à lintérieur.

— Quest-ce quil y a ma chérie?

Il veut lasseoir dans un fauteuil, elle résiste, le pousse sur une chaise et sinstalle sur ses genoux la tête contre son épaule.

— Papa! Aime- moi!

— Mais je taime ma chérie.

— Aime-moi Comme il y a vingt ans.

Michel se retrouve brusquement transporté 20 ans, non 22 ans en arrière. Il caresse doucement les cheveux de sa fille.

— 22 ans et un deux trois mois 22 ans trois mois, ma chérie

Il ouvre la porte au coup de sonnette impératif. Catherine en larmes se jette dans ses bras.

— Papa, Papa!

Il a juste le temps de refermer la porte et dentraîner sa fille dans le salon. Elle le pousse sur le canapé et se blottit contre lui assise sur ses genoux.

— Papa, Papa, je suis mal malheureuse

Encore une déception amoureuse, pense-t-il, une de plus. A 20 ans sa fille fait des ravages parmi les étudiants de sa faculté, ce qui ne va pas sans certains inconvénients pour elle La preuve

— Si tu me racontais la cause de ce gros chagrin.

Catherine enfouit la tête contre le cou de son père. Il câline les cheveux courts. Des cheveux, la main glisse sur lépaule dénudée car la jeune fille ne porte quun caraco maintenu par deux fines bretelles en ce mois de mai particulièrement chaud. De toucher la peau douce lemplit dun émoi inconnu. A sa grande honte, un début dérection emplit son pantalon. Il nose bouger car Catherine dans ses sanglots se tortille sur son bas ventre, ce qui naméliore rien. Il éprouve lenvie irrésistible de la sentir contre lui, peau contre peau. Ce nest plus sa fille quil a dans les bras, mais une magnifique créature, sensuelle et de surcroît malheureuse. Troublé par ce désir dinceste, il veut repousser la jeune fille qui saccroche désespérément à lui. Il ne sait que faire. Son sexe sest développé, il est impossible que Catherine qui remue toujours sur ses genoux ne sen aperçoive pas. Il est honteux du plaisir quil sent monter en lui, mais ne fait rien pour le contrarier.

Tout à coup un petit bout de langue vient lécher son cou. Cela sonne le glas de ses fragiles résolutions. Il prend la figure de sa fille à deux mains et parcourt le visage en semant des petits baisers, sur le front, les yeux, les joues la bouche Une langue frétillante vient à la rencontre de ses lèvres. Il ne résiste plus et accepte le baiser

Les mains de Michel, livrées à elle-même caresse le dos de sa fille, glissent sous le caraco et remontent vers la poitrine libre. Il frémit quand ses doigts enveloppent un doux mamelon et que le téton érigé trace une ligne sur sa paume, la ligne de sa chance pense-t-il en cet instant. Catherine consent à lâcher ses lèvres pour ôter le frêle vêtement et offrir ses seins aux caresses paternelles.

La jupe rejoint rapidement le caraco sur le tapis tandis quelle déboutonne la chemise, patouille dans les poils de la poitrine et samuse avec les petits tétons. Une fois le mini slip enlevé, il la prend dans les bras, lemmène dans la chambre et la dépose sur le lit. Elle lui sourit, magnifique, belle à en mourir et lui tend les mains pour lattirer. Il quitte en vitesse pantalon et slip pour venir sallonger auprès delle. Leurs lèvres se rejoignent à nouveau, elle glisse sous lui, écarte les cuisses La verge dure se retrouve par miracle juste au bon endroit, il na plus quà avancer de quelques centimètres pour accomplir lirréparable. Un dernier scrupule le retient et cest Catherine qui dun coup de rein rageur vient semmancher sur la hampe rigide

— Aah!

Cest tout ce quelle dira durant le long échange. Ils font lamour sans hâte, avec douceur. Il sent léclosion du plaisir de sa fille, surveille son développement et ne se laisse aller quaprès la certitude quelle a joui

Il reprend ses esprits le premier. Il ramasse ses affaires et sort de la chambre. Quand il revient avec les habits de Catherine, celle-ci na pas bougé, étalée, les yeux clos, impudiquement belle sur le couvre lit. Quelques gouttes suintent de sa chatte rose. Michel détourne le regard et pose les vêtements sur une chaise avant de rejoindre la salle de bain.

Quand il ressort de longues minutes après, sa fille nest plus là. Il na même pas pu lui demander la raison du gros chagrin responsable de sa venue

Vingt-deux déjà et le souvenir est aussi vivace que le premier jour. Jamais sa fille na fait la moindre allusion à ce qui sétait passé, jamais elle ne lui en a parlé malgré ses tentatives, discrète il faut dire. Et voilà quaujourdhui Le rappel de ces moments délicieux réveille sa virilité. Pas possible que Catherine ne sen aperçoive pas! Si! Elle masse doucement des fesses la protubérance qui se développe.

— Quest-ce qui te bouleverse à ce point?

— Aime-moi papa, aime-moi!

— Mais

— Je ten supplie Papa, tout à lheure Aime-moi

Comment résister à une telle invitation? Comme la première fois, il emprisonne la figure aimée dans les mains et parcourt le visage de baisers. Catherine, impatiente colle sa bouche contre celle de son père et la fouille de la langue. Il répond avec fougue tout en caressant un sein.

— Excuse-moi Papa.

Elle ôte son chemisier. Il patouille la poitrine offerte.

— Viens Papa!

Ils se déshabillent à la hâte. Cest vite fait: la jupe à faire glisser sur les cuisses, elle se retrouve toute nue. Mon dieu que lui est-il arrivé pour quelle se promène ainsi sans dessous? sinterroge-t-il. Il na pas le temps dapprofondir car sa fille descend le short doublé et libère la queue frémissante. Il jette son t-shirt sur les vêtements qui jonchent le carrelage.

Catherine sallonge sur le canapé et tend les bras à son père. Il sapproche, commence à embrasser les seins. Ce nest plus la poitrine triomphante de la jeunesse mais pour lui elle est plus émouvante. Il sattarde à suçoter les tétins qui dardent comme des petits pénis. Ses lèvres parcourent le ventre toujours plat malgré trois grossesses, atteignent le pubis. Michel sourit devant la touffe de poils brun bien taillés qui voilent la fente. Catherine se soigne, cest signe dun bon équilibre sentimental. Il fouille dans la mini forêt et découvre le petit appendice sensible.

— Ouiii!

Saura-t’il conduire sa fille au plaisir clitoridien comme il parvenait avec son épouse? Oui! Les gémissements ne mentent pas! Il a de la peine à maintenir en place le bassin qui se dérobe devant la langue indiscrète. Il se délecte de la liqueur du plaisir qui sourde entre les petites lèvres. Catherine roule la tête de part et dautre. Elle agrippe les cheveux de son père et le force à entrer la langue dans le puits damour. Après la langue, Michel fouille dun, puis de deux doigts tout en mordillant le clitoris.

— Aaaahhh!

Un long gémissement accompagne lorgasme de Catherine, un spasme de jouissance emprisonne la figure de Michel entre ses cuisses.

Elle relâche son étreinte au moment ou étouffé il allait sextraire.

— Viens!

Elle lattire en elle. Comme la première fois, le gland se présente au bon endroit, mais Michel, aujourdhui na plus de scrupule, et il senfonce en vainqueur dans lorifice tant désiré. Elle fait plus que subir, avançant le bassin à chaque coup de boutoir. Elle lenserre entre ses cuisses et ses talons qui se referment sur les fesses.

Ils tombent du canapé sans se désunir. Dun coup de rein rageur Catherine parvient à prendre le dessus et chevauche son père dune galopade échevelée. Cette débauche dénergie le fait sourire. Il la laisse se démener tout en soutenant les seins qui ballottent à portée de ses mains. Le carrelage est frais, presque froid, le short rentre douloureusement entre ses épaules, il nen a cure, tout à la joie de sentir sa fille bien aimée parvenir à la jouissance.

— Aaah! Aaaah! Aaaaahh! Mmmmmh!

Elle seffondre sur lui épuisée. Lui a déjà libéré son sperme mais a réussi à conserver une raideur jusquà léclatement de lorgasme de sa fille. Il lenserre de ses bras.

— Ma chérie ma chérie

Lanesthésie du plaisir se dissipant, Michel ressent le froid du carrelage.

— Excuse-moi ma chérie, ce nest pas très confortable.

— Oh pardon Papa!

Elle libère Michel et laide à se relever et sasseoir sur le canapé.

— Ouf! Je nai plus 20, non, 40 ans tu sais

Elle sourit au rappel de leur première fois et se blottit contre lui.

— Merci ma chérie, merci Jen rêvais depuis si longtemps

— Moi aussi Papa, moi aussi.

— Pourquoi ne disais-tu rien? Je nattendais quun signe de toi.

— Je ne sais pas A cause de maman peut-être

Le fantôme de la disparue rôde un instant entre eux. Catherine caresse la poitrine de son père, sa main descend sur le ventre, fouille dans les poils et se referme sur la tige molle. Il la laisse faire, cest tellement agréable.

— Si tu me disais maintenant ce qui ta à ce point bouleversé? parvient-il à dire tout en triturant un bout de sein.

— Oh jai honte Papa, jai honte!

— De ce que nous avons fait? Je ne comprends plus.

— Oh non! Pas ça!

— Alors? Tu avais promis, lui rappelle-t-il devant son silence.

— Jai honte tu sais.

— Tu me las déjà dit, mais pourquoi?

— Cet après-midi

— Quoi cet après-midi?

— Dans la chambre dAnnie, je lai vue avec Marco entrain De Euh

— Entrain de faire lamour? lencourage-t-il devant son hésitation.

Catherine regarde son père étonnée sans lâcher la verge quelle enroule autour dun doigt.

— Tu étais au courant?

— Non, mais cela ne me surprend pas. Leur changement dattitude lun envers lautre ces vacances est révélateur. Souviens-toi comme ils se chamaillaient les années précédentes. Ainsi tu les as surpris Cest cela qui te bouleverse?

— No non.

— Alors?

— Jétais au seuil de la chambre incapable de bouger Elle était couchée sur le dos, Marco entre ses cuisses écartées. Je me disais quil fallait que je les sépare mais je nen faisais rien, fascinée par lérotisme de la scène Je ne sais pas ce quil ma pris, mais au lieu de les laisser terminer je me suis avancée vers le lit Je me suis assise à leur coté Oh jai honte Ma fille ma souri, ma pris la main et la posé sur sa poitrine Un frisson ma parcouru au contact de cette chair tendre Oh jai honte Quand Marco sest relâché, ils mont cajolé Je me suis laissé faire Je me suis retrouvé nue entre eux deux leurs mains exploraient mon corps Annie ma embrassé sur la bouche Oh ses lèvres! Quel merveilleux baiser Puis Annie sest couché sur moi je sentais sa poitrine glisser contre mon ventre elle a embrassé mes seins quils étaient durs sous ses lèvres Puis sa bouche a atteint mon sexe La fouillé Oh sa langue! Jai honte Je me suis laissée léchée, suçotée, mordillée le sexe par ma fille Quelle honte Que cétait bon Puis ils mont allongé sur le coté Annie devant, Marco derrière Je sentais sa queue sintroduire entre mes fesses Annie ouvrait mon vagin de deux doigt le gland glissait Jai tellement mouillée que je nai senti lintroduction que lorsque ses poils ont chatouillé mes fesses Cétait bon Annie qui triturait mon clitoris tout en monopolisant mes lèvres Je caressais sa jeune poitrine Ils mont fait lamour tous les deux Jétais bien La jouissance ma envahi. Ça a duré Ça nen finissait pas Cétait Cétait merveilleux Moi entre ces deux enfants Entrain de jouir comme jamais Jai reçu comme une décharge électrique quand les jets de sperme ont envahi ma chatte Un dernier frisson ma secoué lorsque la verge molle a glissé hors du vagin Que cétait bon Ils mont embrassée tendrement et sont sortis de la chambre

Pendant ce monologue entrecoupé de silences que Michel se garde bien dinterrompre, Catherine caressait la queue de son père qui raidissait peu à peu.

— Dis! On dirait que mon récit te fait de leffet!

— Je ne peux rien te cacher.

— On va arranger ça.

Les doigts de Catherine se referment sur la tige en une douce masturbation qui atteint rapidement son but. Quelques filaments de sperme viennent sécraser sur le carrelage.

— Voilà, tu es calmé?

— Tu es un amour, la remercie-t-il dun baiser sous loreille Quas-tu fait quand ils sont partis?

— Jai mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Tout à coup lhorreur

— Lhorreur? Tu nexagères pas un peu?

— Euh Si Disons la honte de ce qui venait de se passer ma submergée Tu te rends compte? Je venais de faire lamour avec Marco et Annie, avec ma fille et mon neveu!

— Et tu as joui!

— Oui, cest même le plus terrible dans lhistoire. Je me suis habillée à la hâte

— Ça, je lavais remarqué, tu avais oublié tes sous-vêtements.

— Oh! Cest pas vrai?

— Si je tassure, puis tu es venue te réfugier chez ton père chercher du réconfort.

— Exactement.

— Et celui-ci a lâchement profité de ton désarroi.

— Lâchement? interroge-t-elle dans un petit rire.

— Cest ce que nous prétendrons si quelquun nous fait une remarque.

— Qui?

— On sait jamais, les enfants par exemple

— Ils nont rien à dire ceux-là!

Catherine se dégage, ramasse sa jupe, la défroisse et lenfile.

— Tu pouvais rester nue, tu sais, cela ne me dérangeait pas.

— Il faut que je rentre, jai le repas à préparer Tu manges avec nous?

— Non, pas ce soir, tout est prêt à la cuisine.

Catherine enferme ses seins sous le chemisier quelle boutonne soigneusement.

— Comment me comporter avec eux maintenant? Que leur dire?

— A ta place je ne ferai rien et agirai comme dhabitude. Ce sont eux qui ont pris linitiative nest-ce pas? Ils sont majeurs et doivent prendre leurs responsabilités.

— Tu crois?

— Jen suis sûr. A mon avis tout se passera bien.

— Pourvu que tu aies raison.

Un dernier baiser sur les lèvres, une caresse à la verge ratatiné, Michel regarde sa fille franchir la porte qui donne sur la piscine.

— Quel après-midi! Bon dieu, quel après-midi! Si je mattendais

Avec un sourire il se rhabille

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire