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Valérie : l'insoupçonnée – Chapitre 9

Valérie : l'insoupçonnée - Chapitre 9



Le serveur arrive à point nommé avec les entrées, plutôt des amuses-bouches. L’excellent plat principal suit rapidement. Valérie et moi papotons plutôt de travail. Le dessert est simple (panna cotta) mais parfaitement réussi. Un expresso plus tard, nous remontons. Dans l’ascenseur, dans le couloir qui mène à la chambre, nous rions et nous embrassons. Nous profitons au maximum de ce moment à deux, conscient qu’il s’agit d’instants exceptionnels. Arrivés dans la chambre, nous nous enlaçons longuement avant de nous embrasser avec frénésie. J’allonge rapidement Valérie sur le lit et soulève sa robe. J’écarte son string pour lécher son abricot glabre et humide. Elle halète rapidement, gémit et jouit à trois reprises, consécutivement.

Valérie se redresse et se lève pour retirer sa robe avec élégance. Elle me chevauche et dit :

— Je ne sais pas si tu as suivi un cours, mais tu es un expert en cunnilingus.

Elle rit et s’empale sur mon sexe. Lascive, sensuelle, Valérie ondule langoureusement sur moi. Ses yeux sont plongés dans les miens. C’est très érotique et divinement excitant. Elle jouit encore une fois. Je me redresse et la couche lentement sur le lit, toujours planté en elle. Entre ses jambes, je vais-et-viens tantôt lentement, tantôt plus vigoureusement. Valérie demande du répit juste après son cinquième orgasme.

Je me retire, nous nous embrassons. Le désir revient très vite chez Valérie. Elle se tourne et se met à quatre pattes devant moi.

— Lèche-moi encore

Cambrée au possible afin libérer le passage à son sexe détrempé, Valérie gémit bruyamment. Remontant le long de sa fente, je suis à quelques centimètres de son petit trou. Je dépose des baisers dans sa raie sans y toucher. Rien à perdre, je dis :

— Je te lèche là aussi ?

Heureusement qu’il n’y avait aucun bruit dans la chambre : Valérie a murmuré un "Oui" et mes lèvres se déposent immédiatement sur la petite fleur rose foncée. J’y goûte du bout de la langue. Valérie ne gémit plus, elle semble attendre. Ma langue excite alors plus franchement la rondelle de la jolie brune qui exprime son plaisir par un premier "Oh mon Dieu !". J’écarte ses fesses et me fais plus intrusif. Lentement mais sûrement, Valérie se détend, se laisse aller au plaisir. Sa réticence, ses tabous laissent petit à petit leur place à la délectation d’être ainsi excitée. A mesure que l’anus de Valérie s’ouvre, je le pénètre de ma langue.

Je sodomise Valérie de courts et rapides allers-retours de ma langue. Mon majeur entrerait sans peine dans cet orifice désormais bien ouvert. Je ne compte plus les "Oh mon Dieu !" de Valérie qui se masturbe doucement.

Je me redresse alors et prend ma partenaire en levrette. Sans ménagement. De vigoureux coups de rein dès l’entame et un rythme qui va crescendo. Valérie prend cher et elle aime ça. Au plus fort de notre ébat, j’atteins un formidable orgasme. Long, intense, je le ressens des pieds à la tête. Puis le vide. Ma tête tourne et je dois m’allonger, un sourire idiot aux lèvres. Valérie pose sa tête sur mon épaule. Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Nous nous embrassons.

— Merci pour ce cadeau.

Valérie rougit.

— C’est à moi de te remercier, tu m’a rendue folle avec cette caresse. J’étais à deux doigts de jouir.

— Tu as réfléchi depuis l’autre jour ?

Elle sourit.

— Oui. J’en ai aussi parlé avec une amie qui m’en a dit beaucoup, beaucoup de bien.

— Beaucoup, beaucoup ?

— Elle m’a dit que c’était fabuleux et qu’un mec qui fait ça, c’est pas si fréquent.

— Et ?

— Et c’est vraiment le pied, oui !

Nous rions. Je dégrafe le porte-jarretelles de Valérie qui l’enlève ainsi que ses bas. Nus, nous discutons et rions dans le lit. Des douces caresses nous font tout oublier. Chaque seconde est vécue avec intensité.

Plusieurs dizaines de minutes plus tard, alors que je retrouve de la vigueur, Valérie se lève :

— J’ai un autre surprise pour toi.

Dix minutes plus tard, je l’entends sortir de la salle de bains. Elle apparait alors comme dans un rêve. J’ai quelques doutes sur ma vision, mais elle ne me trahit pas. Tout de blanc vêtue, Valérie porte une guêpière en dentelles, un string minuscule, des bas opaques et des escarpins, des gants de soie qui remontent au dessus de ses coudes et, comble de l’érotisme, elle a noué un collier ras-du-cou en dentelle. Elle pose, se tourne, rit. Je suis subjugué par sa beauté.

Valérie me rejoint sur le lit et masturbe doucement ma bite de sa main gantée. L’acte initial d’un rapport fabuleux de près d’une heure, une communion des sens souvent tendre, parfois coquine ou obscène. Nous partageons ce moment divin, repoussant autant que possible ma jouissance tandis que Valérie multiplie les orgasmes. Le lit inondé de sueur est le témoin de notre ardeur et de la passion qui brûle en nous. Le nirvana final dans la position la plus sensuelle et la plus tendre qui soit, celle du Lotus. Notre baiser qui n’en finit plus et les larmes de plaisir de Valérie.

De retour au lit après la douche, je prends la guêpière qui s’était retrouvée entre deux coussins durant notre ébat.

— Pour quelqu’un qui ne porte "quasiment jamais" de lingerie fine !

Valérie rigole.

— A part l’essai que j’avais fait au magasin, c’est la première fois que je la porte.

— Quel privilège !

— Elle m’a été offerte avec le collier de dentelles quand j’ai acheté ma robe de mariée. C’était pour la nuit de noces. Je ne l’ai jamais mise.

— Et les gants ?

— Ceux de mon mariage, les escarpins et le string aussi.

— Tu portais un si petit string sous ta robe de mariée ?

— Oui et j’ai regretté après coup, car en fin de soirée, certains se sont amusés à faire des photos sous les robes. C’était drôle sur le moment et la plupart des femmes ont joué le jeu, moi la première. Et dans le feu de l’action, il y en a eu deux photos où mon string n’est plus en place et dévoile allègement mon minou. Et une photo qui a dû être prise alors que je devais être penchée en avant. Bref, la netteté s’est faite pile au bon endroit : sur mon anus pas vraiment dissimulé par la ficelle blanche.

— Et ça a circulé ?

— Apparemment pas, car elles étaient prises avec un appareil photo numérique, celui d’un couple d’amis. Ma copine me les a montrées au moment de partir et elle les a effacée devant moi. Alors peut-être qu’elles ont été vues durant la soirée, mais c’est tout.

— Dommage

— Comment ça "dommage" ?

— J’aurais bien aimé voir ces photos.

Valérie m’embrasse doucement.

— Tu es un gros coquin.

Un dernier baiser et j’éteins la lumière. Valérie s’endort tendrement sur mon épaule et à cette moment-là, je ne crois pas qu’il puisse y avoir un homme plus heureux que moi.

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