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A la recherche du plaisir – Chapitre 1

A la recherche du plaisir - Chapitre 1



Marie

Je m’appelle Marie et je me prépare car ce soir mon fils Pierre veut me fêter mon anniversaire. Aujourd’hui il y a tout juste 50 ans que je naissais. Je suis veuve depuis quelques années, j’ai vécu une grande histoire d’amour avec mon défunt mari. J’avais à peine vingt ans quand j’ai rencontré Louis qui avait dix ans de plus que moi et avait fait vu de chasteté, je me suis offerte à lui et, neuf mois après, j’accouchais seule dans ma chambre de jeune fille de mon fils aîné. Dans notre petit village, dans ces années 50, ce fut un énorme scandale et Louis dut s’exiler et me laisser seul. Cinq ans plus tard je l’ai rejointe pour me marier avec lui. Nous avons eu une vie extraordinaire et deux autres garçons.

Je m’apprête à mettre un chemisier avec une jupe sur mes sous-vêtements en dentelle blanche, j’adore la dentelle. Je mets un peu de rouge sur mes lèvres, ce sera la seule touche de maquillage pour ce soir. Nous n’avons jamais vraiment fêté mon anniversaire et je suis étonné de la décision de pierre. Nous vivons tous les deux dans un modeste appartement de banlieue depuis que mes deux fils aînés ont quitté la maison. Je suis infirmière et travaille de nuit à l’hôpital, ce soir je suis de repos et peux profiter de cette soirée.

Je rejoins Pierre dans la salle à manger où la table est mise. Les assiettes sont en place sur une jolie nappe blanche, au milieu trône un chandelier avec trois bougies allumées, blanches aussi. A mon étonnement une bouteille de champagne est mise en évidence

Dîner au champagne ce soir ?

Oui ! Cinquante ans cela se fête.

C’est beaucoup une bouteille pour deux.

Tu dis toujours « nous ne devons pas gâcher » et tu ne travailles pas ce soir.

Le dîner est simple, des toasts au foie gras, suivi de fruits de mer, et pour dessert un gâteau fraisier. Je bois très rarement de l’alcool et lorsque j’en bois c’est toujours très peu. Ce soir, le champagne m’enivre, je n’ai pas voulu « gâcher ». J’arrive à me tenir à table mais en me levant à la fin du dîner je titube et me dirige vers la chambre avec l’aide de Pierre.

Il m’aide à me déshabiller, m’enlève mon chemisier et ma jupe, je me retrouve en sous-vêtements devant lui. Je n’ai jamais été pudique devant mes fils, cela ne m’a jamais gênée de me déshabiller en leur présence pour me mettre au lit. Avec mon travail je vivais en décalé avec eux et me couchais au moment où ils partaient pour leur journée de travail ou d’étude. Je faisais toujours les mêmes gestes, enlevais mes vêtements puis mon soutien-gorge pour me retrouver en slip et seins nus, je passais une chemise de nuit, je dors toujours en chemise de nuit, et enlevais mon dernier sous-vêtement. Ce soir c’est Pierre qui réalise ces gestes et me met au lit. Je lui demande de venir dormir avec moi cette nuit. L’alcool me rend folle et je pense à Louis et je veux qu’il me prenne sans penser que c’est mon fil. Je remonte ma chemise de nuit sur mon ventre et laisse la partie inférieure de mon corps à sa vue et l’invite.

Dans mon état semi-comateux je le sens venir sur moi, écarter mes jambes. Je devine qu’il a des difficultés pour me pénétrer mon corps est inerte, mon sexe est sec. De la façon dont il s’y prend je sais qu’il ne connaît pas le corps des femmes. Il force le passage et panique, il me fait mal et je positionne mon sexe pour qu’il puisse arriver à rentrer en moi. A peine a-t-il réussi qu’il lâche une dose de sperme. C’est fini, il se retire et se met sur le dos à mon côté en soufflant. Je suis persuadé que c’est la première fois. Son sperme dégouline entre mes cuisses. Je repense à mes relations avec Louis quand nous faisions l’amour. Le seul plaisir que j’avais c’était le sien. A mon époque très peu de femmes prenaient plaisir et jouissaient. Après l’acte j’étais contente que la semence de mon mari se répande en moi, il m’avait honoré. Je lui avais donné ce plaisir de me pénétrer et me montrais de façon concrète et crue sa satisfaction.

Quelques instants plus tard, je me réveille. Je suis en chien de fusil, le sperme de mon fils colle sur mes cuisses, mais sa pénétration a excité mes sens je sens mes lèvres entrouvertes et humides avec un reste de perme qui s’est dilué dans ma cyprine. Collé à moi dans mon dos, pierre m’enlace de ses bras et son sexe dur appui sur mes fesses. Les effets de l’alcool diminuant, je reprends peu à peu mes esprits et mon sexe avec la mouillure qui se répand sur mes cuisses redemande une pénétration……

Pierre

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de maman. Je vis seul avec elle depuis un an, depuis que mes frères sont partis de la maison. Elle a cinquante ans aujourd’hui et n’a pas de distraction, elle s’est occupée de ses enfants et travaille de nuit comme infirmière. Je souhaite lui faire plaisir, un plaisir simple. J’ai préparé des toasts au foie gras, acheté des fruits de mer et un gâteau. J’essaie de rendre ce repas romantique avec une table bien mise et jolie, une nappe blanche et des bougies. J’ai acheté une bonne bouteille de champagne pour accompagner le repas, maman ne travaille pas ce soir. Je suis son garçon préféré, toujours joyeux mais très timide avec les personnes que je ne connais pas et surtout les filles.

Comme d’habitude elle vient à table habillée simplement et uniquement du rouge sur les lèvres. Elle est contente de la présentation et du repas que nous allons déguster. En mangeant nous parlons de mes études de droit que je commence cette année à la fac. Maman qui ne boit jamais d’alcool, ou juste une goutte dans les grandes occasions, finis plusieurs coupes de champagne et je comprends à la fin du repas qu’elle a trop bu et qu’il est temps d’aller se coucher.

Je l’aide à regagner sa chambre et je vois qu’elle va avoir du mal à se préparer pour se mettre au lit. Je la déshabille, enlève son chemisier et sa jupe, elle a une belle lingerie en dentelle blanche. J’enlève son soutien-gorge et découvre sa superbe poitrine. Malgré ses trois grossesses elle a de très beaux seins que je regardais discrètement le matin avant de quitter l’appartement quand elle enfilait sa chemise de nuit. Ce soir je suis juste à côté et je commence à avoir une érection. Je passe une main subrepticement pour toucher ses seins et m’excite, c’est la première fois que je touche la poitrine d’une femme.

Je lui enfile sa chemise de nuit pour enlever ensuite son slip. Je perdure à la lettre le rite qu’elle suit tous les jours. Elle n’a jamais pris soin de son corps et j’ai vu une fois son sexe velu. C’était un jour qu’elle dormait après une nuit de travail et je devais la réveiller en début d’après-midi pour qu’elle se rende à un rendez-vous. En sortant du lit sa chemise retroussée a laissé à ma vue l’origine du monde, ce tableau de Courbet, qui représente un sexe en gros plan. Ce sexe poilu m’avait choqué à l’époque, c’était très différent des sexes des créatures que je voyais sur papier glacé, aujourd’hui il m’attire. Maman, une fois prête se couche avec mon aide et me demande de dormir avec elle se. Je me déshabille et m’installe à côté d’elle. Elle remonte le bas de sa chemise de nuit et m’invite à l’amour. L’excitation est trop forte, c’est ma mère, mais je veux la posséder, posséder une femme pour la première fois. J’écarte ses jambes et veux la pénétrer.

A mon étonnement je n’arrive pas, mon sexe est tendu, mais je ne parviens pas à forcer cette porte, je ne comprends pas, j’ai peur de faire mal, je panique.

Tout à coup, je sens mon membre rentrer dans cet antre mais la surprise et la joie de la réussite me font éjaculer aussitôt. Je remplis le ventre de maman de ma semence. Je suis déçu, je n’ai profité de rien, je me retire penaud et m’allonge sur le dos. Une première complètement ratée.

J’ai dû m’assoupir, je me réveille en chien de fusil contre le corps de maman, je sens une humidité au niveau du haut de ses cuisses, une odeur s’échappe de ce liquide, cette odeur et cette humidité me provoquent une érection comme je n’ai jamais ressenti jusqu’à cet instant.

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