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Adeline petite soeur – Chapitre 1

Adeline petite soeur - Chapitre 1



Cette histoire n’a que peu de passages coquins, mais nous tenions ma sur et moi à la partager enfin avec d’autres. Elle est tout ce qu’il y a de plus réel, de plus sincère. Nous l’avons écrite ensemble, comme tout ce que nous avons pu faire dans notre vie d’ailleurs. D’avance merci de votre attention et bonne lecture.

Il aura fallu attendre bien des années avant que nous n’osions parler de ce que nous vivons ma petite sur et moi. Je me nomme Adrien, et elle s’appelle Adeline. Nous avons toujours été très proches, et d’autant plus quand elle a eu son premier chagrin d’amour. J’eus toutes les peines du monde à la consoler, moi qui pourtant avais toujours trouvé les mots pour ça. Un sombre idiot (pour rester poli) avait préféré la quitter juste parce qu’elle avait refusé de lui offrir sa virginité. Ce soir-là, elle pleura tant et plus, et tentant de la rassurer sur le fait qu’elle finirait par trouver celui qui saurait l’écouter, la comprendre et la respecter, je n’imaginais pas la portée de mes mots à cet instant. Elle me répondit juste : « un homme comme toi quoi ? »

D’abord flatté par sa réponse, je compris alors dans son regard qu’il y avait bien plus qu’une simple phrase. Ses larmes s’étaient arrêtées de tomber et elle me regarda d’une façon différente de toutes les autres fois. Elle déposa subrepticement un petit baiser sur mes lèvres puis se blottit dans mon cou en s’excusant, ne pouvant expliquer son geste. Je la serrais dans mes bras, sans lui en vouloir le moins du monde, mais j’avais envie de lui rendre ce baiser, réalisant tout ce que ce geste aurait comme conséquences. Je lui relevais pourtant la tête et l’embrassais de la même façon. C’est ce geste qui allait conditionner toute notre existence, car non contentes de s’effleurer, nos lèvres s’entre-ouvrirent et un baiser incestueux mais passionné scella notre destin. Là où le monde aurait vu une aberration, nous ne voyions en cet instant que magie, amour et tendresse. Ce n’était pas l’étreinte d’un frère et d’une sur, juste celle d’un homme et d’une femme dont les sentiments, bien qu’irréels et insensés, n’étaient plus véritables qu’en cet instant.

Nous restâmes de longues minutes à nous embrasser et nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre. Je pensais que la nuit passerait, et avec elle partirait cette hérésie sentimentale qui nous avait conduits à commettre l’impensable la veille au soir. Suite à l’effusion de ce baiser, c’est elle qui prononça au réveil un « je t’aime » furtif, à peine audible, mais qui reste le seul à ce jour à résonner encore dans ma tête. Je n’eus pas d’autre réponse que de l’embrasser à nouveau avant de rejoindre notre mère, qui nous attendait en bas pour déjeuner. Elle demanda à ma sur comment elle allait, et à sa réponse, ne vit en moi que le grand frère l’ayant une nouvelle fois consolée. Elle partit ensuite travailler, rassurée, et je restais seul avec celle que j’avais bien du mal à regarder autrement que comme la fille qui m’avait touché en plein cur. Il n’était pas vraiment utile de discuter d’ailleurs tant nos yeux parlaient pour nous. Travaillant ce jour-là, elle m’accompagna tout en s’accrochant à mon bras tout le trajet.

Elle me fit ensuite la promesse de venir me chercher le soir, avec dans cette promesse bien plus que l’envie de simplement se retrouver.

A peine la porte d’entrée fut-elle fermée que ma sur me sauta au cou et m’embrassa langoureusement en me disant qu’elle avait attendu cela toute la journée. Je ne pus, ni ne voulus me soustraire à ce baiser, j’en mourrai d’envie moi aussi. Le soir, une fois notre mère endormie, Adeline ne gagna pas sa chambre mais me rejoignit dans la mienne. Pensant naïvement qu’elle souhaitait juste avoir ma compagnie, je savais bien au fond de moi que nous allions commettre un nouveau pas vers la profondeur de l’inceste. Et c’est effectivement ce qui se passa. Je me levais, fermais la porte, vis Adeline se déshabiller face à moi, presque timidement, et je décidais de l’aider pour la rassurer un peu. Elle était nue face à moi, pure comme au premier jour, belle comme une déesse, pétale délicat d’une fleur qui vient d’éclore, de superbes seins en poire, un triangle d’or parfaitement épilé, une peau douce comme un drap de soie et des hanches fines, si fines… Elle plongea son regard dans le mien et me dit : « Je veux que tu sois le premier grand frère, fais de moi une femme sil te plaît.

» Se faisant elle commença à me déshabiller aussi de ses petites mains tremblantes. Mon sexe gonflé, jaillissant de mon slip, trahit toute mon envie de répondre à ses attentes. J’éteignis la lumière et l’allongeais sur le lit. Plus que parce que c’était ma sur, plus que le simple fait qu’elle était vierge, je voulais juste que cette première fois pour elle soit au-delà de la magie. Je lui offris alors les gestes les plus tendres, les caresses les plus douces, et les baisers les plus sensuels.

L’inconscience nous ayant déjà enlevé toute inhibition, toute raison, je pointais délicatement mon gland sur l’entrée de sa grotte, humide de plaisir à n’en point douter. Elle blottit sa tête dans mon cou et me dit dans un soupir plein d’amour : « vas-y, je suis prête. » Et d’un petit mouvement de bassin, je pénétrais doucement en elle. Je fis juste quelques mouvements, de plus en plus profond pour ne pas aller trop loin, trop vite d’un seul coup. Quand je sentis la résistance de son hymen, je croisais mes doigts avec les siens, plongeais mon regard dans ses grands yeux bleus et poussais une ultime fois jusqu’à rompre la fine paroi de sa virginité avec une délicatesse infinie. Elle poussa un petit gémissement, ferma les yeux, m’enserra de ses jambes et me laissa continuer, moi le guide de ses sensations, moi l’homme en qui elle avait placé cet espoir de vivre cette première comme un rêve, moi le frère qu’elle aimait. Durant ces longues minutes, Adeline s’abandonna à moi entièrement, et je fis mieux que mon possible pour lui offrir LE souvenir impérissable, quoiquil en fût des raisons et conséquences de cet acte.

L’orgasme final arriva au même moment pour nous deux et c’est avec un baiser que je dus étouffer son cri. Elle me serrait tant et plus, comme pour me forcer à rester en elle encore une seconde, encore une minute, juste encore un peu pour ne pas perdre cette sensation incroyable qu’elle ressentait en cet instant.

Quatre ans passèrent après cette nuit mémorable, quatre années durant lesquelles Adeline et moi vivions chaque nuit des moments intenses et pourtant toujours considérés contre nature. A mesure que les lunes passaient dans le ciel, je lui faisais découvrir tous les plaisirs insoupçonnés et insoupçonnables, passant de la simple levrette à la sodomie, de la fellation au cunnilingus dont j’étais si friand, et dont elle devint rapidement adepte inconditionnelle. Le nombre de ses premières fois fut un vrai régal pour nous deux, même si aux yeux de tous nous n’étions qu’un frère et une sur comme tant d’autres. Elle faisait se dresser et gonfler ma queue comme aucune autre n’avait su le faire, et sa petite fleur s’ouvrait au moindre effleurement de ma part ; j’adorais sentir ses tétons dressés contre mon torse, la chaleur de sa main sur mon dos, entendre chacun de ses spasmes quand ma tige dressée fièrement entrait en elle, voir cette poitrine bouger en cadence quand elle me chevauchait ou encore le divin creux de ses reins quand je rendais ses honneurs à son fessier.

Et si d’aventure on nous questionnait sur notre célibat, nous répondions rien qu’un silence ne prêtant à aucun sous-entendu. Le soir venu nous nous retrouvions sous la couette, sous un drap et nos corps se mêlaient dans une danse érotique sans pareille. Je me suis souvent demandé comment notre mère, qui dormait à l’étage du dessous, ne nous entendit jamais.

J’ai ce souvenir de vacances où nous étions partis quinze jours juste à deux l’été suivant, loin de tout le monde connu. Une plage naturiste, un beau soleil, il ne nous en fallut pas plus pour nous ébattre librement sur la plage ou dans l’eau. Le soir dans notre bungalow, nous remettions ça autant que nous le pouvions. Nous fîmes même cela dans le train du retour, pas très glamour comme endroit certes, mais Adeline avait des envies que je ne pouvais lui refuser. Non, elle n’était pas insatiable, non, je n’étais pas obsédé par son corps de déesse, nous avions juste des pulsions incontrôlables que nous ne tenions vraiment pas à refréner. Le souvenir le plus piquant fut cette soirée entre amis où nous dansions tous les deux (personne depuis longtemps ne trouvait à redire sur cela) et elle me glissa à l’oreille « j’ai envie de toi maintenant ». Nous sortîmes en toute hâte de la salle pour trouver le premier coin venu. Je me souviens qu’elle n’avait pas mis de string sous sa jupe la coquine, et que ce furent dix minutes des plus intenses lors de nos ébats.

Mais Mère Nature nous rappela douloureusement sa présence par deux fois quand, après nous avoir enlevé notre père, nous prit aussi notre mère quelques années après. Orphelins adultères, c’est pourtant de cette manière que nous parvînmes à surmonter la douleur. Devant la tombe de nos parents, nous échangeâmes un baiser non pas pour les braver par-delà la mort, mais pour leur montrer que nous étions heureux, que leurs enfants seraient unis à jamais. Nous nous aimions en silence, nous nous aimions en secret, nous nous aimions car c’était là notre destin. C’est à ce moment-là que nous scellâmes définitivement ledit destin en nous faisant la promesse de ne jamais se quitter quoiquil arrive. Un an après, nous avons pris un appartement ensemble dans une autre région, mais juste assez grand pour que nous y soyons heureux. Nous savions pertinemment qu’aucun enfant ne viendrait à naître au sein de notre couple, c’était sans doute là le prix à payer pour notre amour, car il y a toujours un prix à tout hélas.

Mais il y a des années maintenant, je suis tombé amoureux de ma petite sur, et elle est tombée amoureuse de son grand frère. Il n’y a pas de loi contre ça, pas de loi contre le bonheur d’être ensemble.

Merci de nous avoir lus jusqu’ici, et puissiez-vous connaître ce même bonheur au centuple. En tout cas, nous partageons le nôtre avec vous de bon cur, soyez heureux.

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