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Alain, ancien professeur – Chapitre 7

Alain, ancien professeur - Chapitre 7



Lucas est tout déçu. Il a encore fait une faute. Manon et Enzo sont fiers de leurs réponses justes et Alain a de la peine à tempérer leur impatience.

— Du calme. Ce nest pas le moment de bâcler les révisions !

Une fois les rafraîchissements de fin de cours expédiés, Manon sattaque à Lucas.

— Déshabille-toi et fais-moi lamour !

Le garçon, inquiet du déroulement futur sempresse dobéir. Il ne sattendait pas à une telle demande quil nosait espérer.

— Et moi quest-ce que je deviens ? Rouspète Enzo. Jai gagné moi aussi !

— Cest vrai, admet Manon. Tas quà lenculer en même temps, suggère-t-elle après un instant de réflexion.

— Oh non ! Gémit Lucas qui interrompt son strip-tease.

— Cest ça ou rien, déclare la jeune fille. Si tu refuses, Enzo se fera une joie de me faire lamour.

— Tout de suite, sempresse celui-ci.

— Attends, Lucas na pas encore décidé.

Un combat se livre dans lesprit du jeune homme. Subir à nouveau la queue dEnzo le gêne. Ce nest pas quil na pas apprécié la dernière fois mais il a été vexé que cela se passe en public. Il sest imaginé que les autres avaient deviné quil avait aimé ça et sest senti affreusement diminué. Dun autre coté Manon est bien tentante. Il rêve depuis longtemps de lui faire lamour mais pas en présence dEnzo et surtout dAlain.

— Alors ?

Il soupire. Sil refuse, quand aura-t-il loccasion de se rattraper ? Peut-être lui en voudra-t-elle ? Plutôt que daffronter le risque il sabandonne à leur volonté.

— Jaccepte.

— Quest-ce que tacceptes ? QuEnzo me baise ?

— Non, de te faire lamour

Il termine de se déshabiller. Intimidé, il tente de soustraire aux regards sa virilité déficiente.

— Dis ? Implore-t-il à ladresse de la jeune fille. Tu ne te mets pas toute nue ?

— Tu y tiens ?

— Évidemment quil y tient et moi aussi, déclare Enzo.

— Bon daccord, tout le monde à poil !

Ils rangent leurs affaires sur les dossiers de chaise. Manon prend position sur le canapé cuisses écartées. Elle attire Lucas par la verge qui tressaute dans sa main.

— Allez mon gros ! Montre-moi ce dont tu es capable !

— Héla ! Héla ! Sinsurge Alain. Et vos capotes ?

Il tend deux préservatifs.

— Enfile-leur toi-même si tu y tiens, grommèle Manon qui aurait préféré sen passer.

— Une seconde alors.

Alain séclipse pour revenir avec de la margarine sur une soucoupe.

— Venez ici les garçons.

Il « habille » dabord Enzo qui maintient la raideur de sa queue en la caressant légèrement. Lucas plus émotif a perdu de sa rigidité.

— Allez ! Il ne faut pas flancher devant une dame. Elle va penser que tu ne la désires pas.

Il manipule la verge qui grossit sous ses doigts. Cest la première fois quil caresse ainsi un garçon. Il est surpris par le frisson de plaisir que cela lui procure.

— Ah ! Ça va mieux !

Il enfile le préservatif.

— Tourne-toi.

Lucas présente son postérieur. Alain prend une noisette de margarine dont il tartine lanus. Il en passe même à lentrée du sphincter en introduisant un index graisseux.

— Tu es prêt. Tu peux prendre place.

Il sécarte et va sasseoir face au canapé. Lucas sa queue en main savance entre les cuisses de Manon.

— Viens mon gros ! Transperce-moi Aaaah !

Il donne plusieurs coups de rein qui font gémir la jeune fille.

— Oui ! Vas-y ! Aaah !

— Eh ! Attendez-moi !

Enzo sapproche du couple.

— Tenez-vous tranquille un instant.

Il a de la difficulté à présenter la verge au bon endroit.

— Dites Alain, vous ne voudriez pas maider ?

Celui-ci sourit et se lève de son fauteuil. Il écarte les fesses de Lucas et fait saillir la rosette brune. Il essuie du doigt un surplus de margarine, létend sur le latex du préservatif puis présente la queue face à lorifice. Le bout sintroduit.

— Aah ! Gémit Lucas.

Enzo pousse. La hampe disparaît.

— Amusez-vous les enfants.

Les trois protagonistes peinent à trouver un rythme commun. Ils parviennent à coordonner leurs mouvements. La pièce semplit des soupirs, gémissements presque des cris des jeunes gens. Alain sagenouille à leur coté et contribue par ses caresses équitablement distribuées à tous, à la montée et léclatement de la jouissance

Le calme est revenu. Le premier Enzo se redresse. Alain ôte le préservatif et essuie le sexe avec une lavette humide quil est allé chercher dans la salle de bain. Manon se tortille et se dégage des bras de Lucas complètement anéanti.

— Passe-moi la lavette sil te plait.

— Attends !

Alain essuie les traces de sperme qui sourdent entre les lèvres rougies.

— Aah ! Ça fait du bien !

Elle retourne le pauvre Lucas qui gît sur le tapis.

— Eh ! Réveille-toi !

Il ouvre un il vague.

— Ben dis donc ! On peut dire que cela te fait de leffet ! Tas lair complètement vidé !

Enzo aide son copain à se relever.

— Emmenez-le sous la douche, propose Alain, cela le remettra daplomb.

— Bonne idée ! sexclame Manon.

Alain les suit avec leurs vêtements.

— Tenez et ne restez pas trop longtemps, il est tard.

Les trois jeunes gens senferment dans la salle de bain. Du salon où il sest réfugié, Alain entend les cris et les éclaboussures. Il sourit, il faut bien que jeunesse se passe ! Le silence qui suit linquiète plus. Que font-ils ? Refont-ils lamour ? Sans préservatif ? Il résiste à lenvie de les espionner. Il patiente quelques minutes et les voit sortir fringants, les cheveux humides.

— Jespère que vous navez pas tout mouillé dans ma salle de bain Ce nest pas grave, je nettoierai après votre départ.

Une fois seul, il se verse une bonne rasade de whisky. Ces jeunes ! Quest-ce quils lui réservent le jour où ils réussiront à répondre ? Arrivera-t-il avec leur aide à vaincre son handicap ? Ce serait trop beau. Non, cest sans espoir. Il ne pourra plus baiser quen imagination

Mardi après-midi. Alain se douche. Il se nettoie avec soin, noubliant aucun recoin. Il doit être parfait si Manon gagne le match des questions. Il sasperge à lexcès deau de toilette, choisi un boxer, polo et un pantalon clair. Il patiente avec un livre dans le salon. Tout à coup il se lève et relit les énoncés des exercices. Ne sont-ils pas trop difficiles ? Non, son élève doit les réussir. Il ricane en lui-même : Dire quau début des leçons, il envisageait de glisser une difficulté supplémentaire pour échapper aux exigences de la jeune fille et maintenant il a hâte de se soumettre à sa volonté ! Il reprend son livre quil feuillette sans conviction.

Le temps ne sécoule pas assez vite à son gré. Quatre heures et demie. Manon est en retard. Non ! La sonnerie le fait bondir et se précipiter vers la porte quil ouvre. La jeune fille lembrasse distraitement. Elle est soucieuse. Il devine quelle sest donné pour but de réussir les exercices et que rien ne la détournera de cet objectif.

— On commence tout de suite ? interroge-t-il.

Elle hoche la tête en signe dapprobation. Surtout ne pas se déconcentrer. Alain sourit de la voir travailler avec application. Elle évite daller trop vite, relit régulièrement corrige ses erreurs. Il souhaite quelle réussisse, non seulement pour découvrir la surprise quelle lui réserve mais surtout pour récompenser les efforts de son élève. Sans un mot elle tend sa feuille après une dernière relecture. Elle attend le verdict avec anxiété. Il na pas le cur de la taquiner et lui annonce tout de suite que les exercices sont justes.

— Mais tu les as pas corrigés !

— Je te surveillais pendant que tu écrivais et jai pu voir que tu as correctement répondu.

— Alors jai gagné !

— Oui, tu as gagné.

Elle soupire de soulagement.

— Faisons vite la leçon.

Il sourit devant son impatience

— Déshabille-moi !

Elle se tient droite devant lui. Il écarte les verres à moitié vides et lentraîne au milieu du salon sur le tapis. Il déboutonne le chemisier, écarte les pans sur les seins dont il suce les tétons.

— Ne me pelote pas !

— Pourquoi ?

— Quavec la bouche alors !

Il promène les lèvres sur la peau douce. Il défait la ceinture du jean et sagenouille en entraînant le vêtement sur les chevilles de la jeune fille. Elle jambe le tas et présente le ventre aux lèvres dAlain. Il agace le nombril, lèche la peau de plus en plus bas au fur et à mesure quil roule le mini slip sur les cuisses, terminant par un baiser dans les poils du pubis. Elle le repousse et termine dôter le dessous.

— Déshabille-toi aussi.

Il aurait préféré quelle sen charge mais sempresse de lui obéir.

— Viens ici, lui ordonne-t-elle une fois nu.

Elle lentraîne vers le canapé où elle sétend, un genou replié lautre pied sur le sol.

— Monte Non pas comme ça, corrige-t-elle quand il sallonge sur elle.

Alain reste immobile une seconde avant de comprendre. Elle lui demande de se placer tête-bêche ! Cest ça la surprise : une caresse simultanée !

— Oh ! Tu sens bon !

Il frémit lorsque des doigts habiles décalottent sa verge.

— Aah !

— Noublie pas de me caresser en même temps.

Il se penche vers le sexe voilé de poils et y dépose les lèvres au moment où une bouche souvre sur son gland

Ils se caressent sans un mot ayant peur de rompre la magie de linstant par une parole malencontreuse. Le silence nest troublé que par les bruits de succions qui ajoutent à lérotisme de la scène.

— Aaah !

Alain ne peut retenir le gémissement. Manon a introduit lindex dans son sphincter.

— Oh !

— Qu’est-ce quil y a ? interroge-t-il inquiet.

— Rien, rien Si ! On dirait que tu durcis !

Il lui semblait aussi que son érection était de meilleure qualité. La jeune fille amplifie la caresse anale combinée avec le ballet de ses lèvres et de la langue sur la verge qui sallonge.

— Oui ! Tu es presque raide.

Pour prouver ses dires elle appuie sur la hampe qui résiste avant de plier.

— Enfin, cest pas le Pérou mais il y a du progrès.

Il est déçu. Un instant il a espéré être guéri. Il doit déchanter. Elle comprend son désarroi et tente de le consoler.

— Tu sais, tu mavais pas habituée à une telle vigueur de ta part. Laisse-toi caresser sans arrière pensée, tu verras que cela reviendra.

Elle enfourne le gland et sactive sur lanus. Elle a raison se dit-il. Sa guérison ne peut être aussi rapide. Pour la satisfaire au mieux et la remercier, il mordille le clitoris et inspecte vagin et anus.

— Ouiii !

Chacun de son coté multiplie les caresses. Alain est fier de sa résistance. Sa queue raidit à nouveau, merveilleuse sensation quil pensait ne plus éprouver. Il sacharne sur le sexe de Manon et a le plaisir de la sentir vibrer. Il étanche à coups de langue les gouttes de liqueur qui sourde du vagin.

— Aaah !

La jeune fille se tétanise à nouveau. Elle resserre les cuisses, maintenant prisonnière la tête qui continue ses caresses buccales, déclenchant un deuxième spasme de jouissance.

— Aaah !

Alain est aux anges. Au bout de quelques secondes, Manon reprend sa sucette et arrive au bout de la résistance de son partenaire.

— Mmmh !

Elle ne lâche son trophée que lorsquil sest entièrement vidé dans sa bouche. Épuise, Alain roule en bas du canapé sur le tapis où il reste étendu le souffle court. La jeune fille sassied.

— Ben dis donc ! Je te savais pas si habile ! Me faire prendre mon pied deux fois de suite sans me baiser ! Ça métait jamais arrivé.

Il veut la remercier mais nen a pas la force. Il se met à quatre pattes avant de se relever péniblement.

— Tu viens dans la salle de bain ?

— Je te suis.

Ils sinstallent dans la cabine de douche et saspergent deau tiède. La fraîcheur relative le réveille.

— Merci.

Elle samuse à caresser le sexe au repos mais ses manipulations tout en faisant un bien fou à Alain nont pas deffet visible.

— Il te faut quelque chose dans le cul ?

Elle avance un doigt indiscret vers lanus. Il se dégage.

— Non, ça suffit, une autre fois, on verra.

Il lui semble quinsister maintenant, détruirait à tout jamais lespoir de renouveau. Il se positionne dans le dos de la jeune fille, lenlace et caresse sa poitrine pendant que leau dégouline contre leurs corps serrés. Il peut enfin toucher les seins quil avait négligés jusquici à cause de leur position.

Elle se lasse la première de ce jeu.

— Sortons, jai froid.

Il lenveloppe dun drap de bain et la frotte doucement. De retour dans la salle à manger elle lui demande mutine :

— Alors ma surprise ?

— Tu es adorable.

— Je mérite bien un baiser nest-ce pas ?

Elle se colle contre lui. Leurs lèvres se joignent. Il a la satisfaction de sentir son sexe grossir. Manon sen aperçoit aussi et masse la grosseur de sa cuisse.

— On dirait que tu vas mieux.

— Tais-toi, tu vas proférer des bêtises !

Elle éclate de rire et reprend ses lèvres.

— A jeudi, lance-t-elle sur le seuil.

Oui, à jeudi car il le devine ses élèves vont réussir les exercices. Il le faut, il a hâte de découvrir ce quils lui réservent bien quil en ait une petite idée. Enzo ne va pas laisser passer cette occasion de se venger et pourra compter sur laide de Manon qui voudra confirmer leffet de la pénétration anale sur la tenue de sa queue. Déjà une simple introduction digitale lui a permis de retrouver une fugace raideur. Il peut espérer un meilleur résultat sil se fait sodomiser. Mais cela ne va-t-il pas lui faire mal ? Il souhaite que non.

A suivre

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