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Anne offerte aux paysans par son mari et le Promoteur – Chapitre 3

Anne offerte aux paysans par son mari et le Promoteur - Chapitre 3



Avant de repartir de chez les bouseux, je me suis rafraîchie, lavée, on ne sait jamais.

De retour au siège social de Georges.

A ce stade rien ne doit venir contrarier le pervers promoteur, en colère.

Mon mari me recommande de tout accepter, jusqu’au bout de ses folies, verbales ou physiques, de suite ou prévues pour ces cultivateurs le weekend end prochain…

Georges, Assis à son bureau :

« Anne ! Mets-toi â poil tout de suite. Je réfléchis mieux »

De suite j’enlève tout. Nue bien cambrée, mains sur les hanches, j’attends son ordre, toute poitrine dressée, face à lui.

Il vient.

« Viens là, salope, donne moi  ton cul, courbe-toi ! »

Je lui offre mon cul tendu, il plante 2 doigts, direct, dans ma chatte, sans précaution ! Fouille, il est en exploration de son territoire !

« Mais bordel tu mouilles encore petite pute. T’arrête jamais ! Toi ! »

Je me retiens arc-boutée au bureau. Il me moule à son aise. Je bombe mes fesses et dégage ma chatte par devant, avec ma main.

Disponible, je facilite son assaut.

C’EST IMPORTANT, JE SAIS CE QU’IL VEUT.

Il est très remonté! Vous verrez,  je ne trompe pas.

« Penche toi plus Bordel encore plus ! Chienne ! JE VEUX QUE TU PROUVES  que tu es â MOI !»

Je plaque ma frimousse sur le bureau, ouvre grandes les jambes, campée, re tend mon cul vers lui, carrément, la croupe très haute !

«Je suis à vous Georges, À VOUS ! Faites ce que vous voulez ! »

La… !

Une violente série de claques, gifles, non dosées, pleut sur ce cul exposé sans défense Largement solliciteur !! Je lui étale une croupe bienveillante, indulgente, de mieux en mieux, je tortille !

Il assène ses frappes. Sèchement. Plusieurs fois. Des petites courtes, rapides. Des fortes, fortes, brossées…! Il introduit 2, 3, 4 doigts dans ma fente trempée !

Deux doigts dans ce trou de balle si souple ! Main gauche ou droite.

« Alors salope ! Dis-moi encore ! »

« Je suis À VOUS, Georges, À VOUS ! »

« ENCORE SALOPE ! CRIE-LE !! »

« OUI Georges OUI !! FESSE-MOI ! » Je le crie.

On voit bien qu’il triomphe de joie, je suis sa propriété. Hors de lui à cause de cette colère il s’enivre du bruit de mes fesses…

Le tutoiement est une grosse faute, je fais exprès.

« Ne me tutoie pas !! Garce ! Je t’interdis »

Il redouble ses coups, secs, mordants, soutenus, liftés avec sadisme parfois.

Une fessée d’enfer pleine de stupre ! Aspiration sauvage, fulgurante.

Je ne m’apitoie pas, ne proteste pas, j’escorte chaque gifle d’un feulement, gémissant, presque soupir de plaisir…je suis acclimatée à ce défoulement, là aussi j’ai appris à en jouir…

« Ca te plait ma chienne bouffeuse de queues noires ! Salope !

Quand ton cul sera rouge je t’encule !! »

« Oui Georges ! Oui ! Prenez mon cul, il vous réclame.

C’est si bon, j’espère tellement  ! »

Mon mari est là, il apprécie tout le chemin parcouru, il sourit.

« Tu as vu Alain ta femme ? Salope de chienne de garce comme elle en veut ? Comment elle a sucé et baisé ces paysans ? Une torpille de sexe ! Et là… Posée, elle me supplie de la bourrer !! Dis moi, ça existe ? Une mangeuse pareille ! Quel bol !

Plus tu la traites plus elle plie et réclame sa pitance ! »

« Oui mon pote ! Baise-la .Fais-toi sucer avant ! Tu rentreras mieux !

Ta bite en elle, c’est chez toi ! Vrai ! Je lui dis toujours. Prend, Soulage-toi ! Ça te fera du bien ! Ne te retiens pas mon ami ! »

Et bien allons-y ! Mari, amant, du moment qu’ils le disent ! Ça doit être vrai !

Ce salaud de promoteur me retient  contre la face glacée du bureau. Il infiltre mon nid d’amour de son gros pouce, enveloppe la moule de la main et enfile 3 doigts dans le conduit trempé.Il malaxe tout l’intérieur avec rage, force !

Le pouce et l’index se rejoignent, massent la cloison intime, si fine.

Je goûte avec bien-être cette sensation chaude.

Je suis possédée, baisée et sodomisée par cette main forcenée.

C’est brutal, bestial, Divin ! JE L’ABOYE !!  Puisque je suis une chienne !

J’ai un très violent spasme de plaisir.

Je lui « cède » de nouveau mon cul, un peu plus. Obligeante, respectueuse.

Georges double en tapes courtes, sèches, une par une, petits intervalles, 10 minutes !

« Tu veux ? Salope ? »« Oui Georges ! » « Oui qui ? » « Oui mon Maître ! »

« Et ton mari ? Chienne. Ton mari ! »

« OUI ! Mes Maîtres !! Oui encore. Prenez moi Georges tout de suite ! J’ai envie !

Et quand vous le commanderez,  je me soumettrai à vos clients ! Frappez !  »

Il le faut, je dois l’exciter.

« Tourne toi et suce ! Gobe-moi ! Lèche ! Mets le bien au fond, je veux sentir ta glotte ! Petite pute ! Prépare-moi la bite! »

Il faut l’apaiser ! Je suis donc sa salope, chienne et gentille, mon cher mari s’excite en bon voyeur, ravi, Leurs affaires embellissent, je ne suis pas prête de les décevoir…

Finalement Georges baise ma bouche, debout, sans suspendre. Il gère sa cadence, son rythme, que pour lui.

A sa manière, son habitude. Un goujat !!

Alors que son gland est tout au fond, mon nez dans les poils de son pubis, Il choisit de se répandre, à longs jets sur mes joues, m’asperge de sperme.

Je me presse pour écluser le reste à la source. Je le laisse propre.

« Ah !! Ça va mieux ! Bon dieu ! Je suis plus léger. T’es trop bonne ! Essuie ! »

Pour sa queue, je ne fais qu’avec ma langue, une serviette éponge vivante !

Moi je laisse sécher le jus pour le rendre fier. Plus tard un mouchoir!

« Alain, merci mon ami ! Tu sais « notre » petite délurée, c’est la seule qui me retourne les tripes. Elle me fait bander juste en la voyant. Je ne l’imagine qu’à poil ! Nom de dieu. Elle m’obsède.

Je l’exigerais bien sur ma queue jour et nuit. T’es content d’elle toi ? »

« Oui Georges, depuis qu’on te connaît, elle s’éclate. Toujours à vouloir du cul…

Je ne la tiens presque plus. Même mon pote Jean Paul, qui l’a formée avant toi, ne la reconnait pas ! Pourtant avec lui c’est peu dire qu’ elle a été tronchée, offerte à fond et tout… C’est moi qui te remercie !

Tu lui procure des mecs, des bites, c’est riche en variété. J’ai même plus à chercher.

Elle progresse, c’est bon pour notre boulot, alors … Je signe !»

« Regarde-moi ce sourire, Georges ! Elle est si magnifique toute nue. Elle espère tes consignes pour cette semaine avec les ploucs du 77 »

« Oui on en parle de suite, j’ai hâte de voir ! »

Après des ablutions pour Georges et moi, on se dispose sur le canapé, moi toujours nue, eux habillés.

J’ai l’ordre de maintenir mes cuisses largement écartées, vulve affichée, saillante …

Je suis demi couchée, la nuque calée sur l’accoudoir épais, la jambe droite sur le canapé, l’autre pendante le pied à terre.

Grande ouverte prête à me caresser, c’est l’exigence de Georges !

Il chérit cette pratique de me placer, dans nos réunions (même sérieuses) avec Alain ou son associé. Ça le stimule !

Il reprend son rôle de PDG pour établir un plan de bataille.

« Bon, on fait d’abord le bilan de ce qu’ils ont aimé. Gil m’a expliqué ! »

« Ils sont « abasourdis » de ta façon de sucer, la légèreté de ta langue.

Comment tu dégustes la bite avec cet appétit. Comment tu absorbes le jus avec gaîté, tu n’avales pas, tu te désaltères ! Tu bois à la fontaine. Ça les fascine !

Ils te réclament »

« Après, dans l’ordre, ton corps remarquable à pétrir, chaleureux, plantureux… Plein.

Ta chair si ferme et élastique, elle épouse la main, se met en forme sous la caresse.

Ils se passionnent par ta peau douce, ces tétons toujours durs et dressés, ton bourgeon de chatte  délicieux à pourlécher, si délicat et sensible, la taille les a étonnés ! »

« Ta façon de bouger, de t’abandonner, de te découvrir intégrale avec largesse.

Ce « VRAI DON » de toi ! Ton adoration, ta vénération grandiose pour la queue !

Une cinglée de la bite ! » 

« Ah oui, Autre chose ! Ton langage super provocant, bandant, crû, ta franchise.

Si tu veux baiser tu le dis ! Sucer,  tu demandes ! C’est formidable !!!

Les hommes ont envie d’écouter cette proclamation de salope ».

« Quand tu lui as demandé de t’enculer !! C’était GENIAL !

Il en salivait d’émotion ! Bouleversé, en me racontant ! »

« Il m’a confié que mes rivaux ont amenés 3 putes pro.

A Toi, toute seule, tu les as fait cracher 5 fois, tu as triplé le score, SURTOUT SANS CAPOTE, tu les as purgés en concrétisant ce vœu secret. Une langue, une bouche qui broute sans rempart ! C’est une Grosse avance, ils en sont enflammés !

Il a dit : « Fabuleuse cette donzelle ! il me la faut ! »

 

Il veut te prêter à ses voisins pour frimer ! »

« Merci Georges ! Je suis heureuse, si vous l’êtes »

« Oh ! Anne ! T’emballe pas ma chienne, t’es loin d’avoir gagner»   

« Dis donc ouvre-moi cette chatte ! Caresse-toi ! »

« Allez ! Tu crois berner tonton Georges ? »

« Échauffe-moi ! je cherche mes idées ! »

Je me cale et commence une branlette hyper brûlante, exhibitionniste, chatte déballée béante, je me languis, je capitule, abdique pour lui. Je le fixe dans les yeux. Presque amoureuse ! »

« Dites moi ce que je dois faire ! Je leur cèderai. Tout ce qu’ils exigeront.

Y a que vous qui compter pour moi !!!»

« Ils seront 5, possible d’autres amis, je ne sais pas. En tous cas des vieux comme nous !! » Eclat de rires des deux.

« Ça y est ! Je sais ce que tu vas faire ! JE VIENS DE TROUVER. C’est vraiment leur fantasme, si j’ai bien noté. Comme pour moi, mon associé, mes ouvriers noirs, tu lècheras à pleine langue PARTOUT ! »

??? Je tremble ??

Il convoite que je liche les culs !

(C’est vrai, j’avais aimé cette soumission mais c’était spécial).

« Vous désirez vraiment que je suce et pourlèche partout ? Les anus ? »

« T’AS PAS LE CHOIX Anne, Je l’impose ! Ne discute pas ! C’est un ordre ! »

« Et puis Merde ! Branle-toi plus vite ! Motive toi, Penses y fort et jouis !

Tu es à moi tu réalises POUR MOI ! Que Par MOI !! »

« Alain ? Ton avis pour la forme ! Et Vite ! »

« Chérie, c’est un nouveau pas, j’aime cette idée, je suis pressé de le vivre… ! 

Tu vas te sentir grandir, je suis sûr, vraiment c’est drôlement bien ! Bonne initiative Georges !».

Au bout de ma masturbation, je me pincette les tétons pour aider, je dévisage ces 2 salauds qui se régalent, je me lâche, pour enlever la pression, je jouis doucement …

Ça ne leur échappe pas. Ils pouffent, ils ont gagné.

« Bon je mets une condition … »

« RIEN DU TOUT ! Bébé. Pas question. Tu m’OBÉIS ! Tu vas être leur esclave !

Te soumettre à la demande. Je le veux. Tu dis oui ! Point ! »

« OUI !  OUI ! JE VOUS FERAI PLAISIR BIEN AU DELÀ DE VOS ATTENTES ! Georges.

Humblement, respectueusement, s’il vous plait…

Je vous supplie…je demande juste la propreté »

« Je PROMETS  d’être leur esclave, une servante aimante, consentante, docile,  apprivoisée, soucieuse de les combler, les rassasier, apaiser leurs avidités.

Je vais accomplir tous leurs fantasmes, leurs divagations…

Je lècherai leurs culs avec grand coeur, rapacité, obligeance, vénération, même avec affection, au gré des caprices, toute la journée »

«Vous ORDONNEZ. J’OBÉIS Georges ! »« C’est ma vie ! » 

« J’y vais seule, Samedi et dimanche, vous serez content de moi»

« Ah la bonne heure ma gourmande ! Tu me plais en Soumise. Je te préfère là !

C’est bien ! Tu as raison, continue !, Te voir OBÉIR ,c’est ma loi à MOI !»

Ricanements et rires plus que satisfaits, cruels !

«La nouvelle est réjouissante, je la fais «circuler » discrètement. Je veillerai perso à ta demande, elle est acceptée !!»

« Tu pourras te surpasser sur ces corps d’hommes. Délicieux TERRAIN DE JEU, tu y as pris goût, je le sais !! Tu le réclames, en toi, tu lorgnes, tu veux triompher, vaincre, ça te manque ! Hein ? Dis moi Cochonne !»

« Oui Georges Oui ! J’affectionne de plus en plus d’être votre putain, je me réalise, je m’accomplis,  je comprend mieux le vice, cette saveur de débauche, pour VOUS.

Prêtez-moi. Offrez-moi. Vendez-moi ! ».

« GIL et ses amis vont bouillir d’impatience et de convoitise !!» « Tu vaux entre 4 et 5 millions, dans ce marché. Ils vont se battre » « Ils te négocieront entre eux, à qui aura la meilleure part. A toi de placer les enchères, ma petite garce !! »

« Je t’expliquerai. Je jubile d’avance »

Je ne tarderai pas â savoir.

En aparté Alain, ce mari béat, me dit : « T’es quand même gonflée, t’es pire que moi pour promettre ! C’est une bonne cause, j’approuve ».

Assez vite vous lirez ce weekend fou avec les paysans…

et les voisins.

Des surprises…

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