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Baby-sitter par des jumelles – Chapitre 1

Baby-sitter par des jumelles - Chapitre 1



Baby-sitté par des jumelles

Bonjour à tous, je m’appelle Arthur et je vais vous raconter une histoire. Elle est inspirée de faits réels : à vous de démêler le vrai du faux.

Et pour commencer je vais me décrire. Je m’appelle Arthur donc, j’habite à Suresnes, à côté de Paris, je mesure 1m65 (c’est petit oui), je suis châtain clair, les yeux bleus et au moment de cette histoire j’avais 18 ans. Mon pénis (puisque c’est ça qui intéresse tout le monde) mesure 25cm de long et 6cm de diamètre… Ceci est faux malheureusement. Mon pénis se situe dans la moyenne (je crois) : 15cm de long et 4cm de diamètre. Passons maintenant à l’histoire.

Ma mère a toujours été surprotectrice avec moi depuis ma naissance (elle a perdu un premier enfant avant moi) et cela continue même dans mon adolescence. Et croyez-le ou non, lorsqu’elle et mon père partirent en voyage pour un weekend long, elle me fit garder par une baby-sitter. Enfin plutôt deux baby-sitters. Il s’agissait en réalité des deux filles jumelles d’amis de la famille qui m’avaient déjà gardé quand j’étais plus jeune. Mais quand j’étais beaucoup plus jeune. J’avais aujourd’hui 18 ans et j’étais baby-sitter par des filles de 21 ans, cherchez la logique. J’ai eu beau en parler avec ma mère tout un après-midi, elle se fichait de mon avis et argumentait qu’elle désirait ma sécurité avant tout. Le débat était clos et les jumelles arriveraient vendredi à 19h.

Le vendredi la sonnette retentit à 19h précise. Les jumelles. J’étais sur mon lit en train de lire et j’avais un peu la flemme de me lever pour aller ouvrir. Je me demandais si j’allais les reconnaître après ne pas les avoir vues pendant plus de 7 ans. Au bout d’un moment ma mère alla ouvrir la porte :

 – Bonjour Léa, bonjour Manon. Oh, comme vous avez grandis ! Comment allez-vous ?

 – Bonjour madame, ça va très bien, et vous ?

 – Moi de même. Je suis ravie que vous soyez ici pour le weekend. Mon fils sera très bien gardé avec vous, j’en suis sûr.

 – Oui bien sûr madame, vous pouvez nous faire confiance.

Même depuis ma chambre je pouvais sentir dans leurs voix qu’elles étaient contentes d’être ici (sûrement grâce à la perspective de l’argent) mais qu’elles se fichaient un peu de ma mère, ou du moins qu’elles ne comprenaient pas vraiment pourquoi elles devaient garder un ado de 18 ans.

 – Arthur, où es-tu ? demanda ma mère.

 – Dans ma chambre, répondis-je.

J’entendis leurs pas se rapprocher de ma chambre, puis la porte s’ouvrit. Ma mère entra, suivie des jumelles. Et là, quelle ne fut pas ma surprise en les (re)découvrant 7 ans plus tard. Elles avaient 14 ans la dernière fois qu’elles m’avaient gardé, mais apparemment la puberté avait fait (et même très bien fait) son effet. Une irrésistible érection me pris à ce moment. Je ne m’en aperçus pas immédiatement, encore sous le coup du choc visuel, mais je crois que Léa et Manon la virent car elles esquissèrent un petit rire. Je pris alors vite mon oreiller avec lequel je tentais de cacher mon sexe dur. Heureusement ma mère n’avait rien vu, trop occupée à parler aux filles. Elles vinrent chacune me faire la bise.

Une fois les phrases d’usage faites ma mère et les jumelles retournèrent au salon. Je leur dis que j’arrivais dans deux minutes… le temps que mon sexe se calme en fait. Mais avant d’aller au salon laissez-moi vous décrire les jumelles. Elles sont brunes aux yeux verts, mesurent 1m60, ont un visage d’ange (mais différents car elles sont fausses jumelles) et des corps à faire bander un eunuque bien que n’ayant pas particulièrement de gros seins et de grosses fesses. Mais allons au salon.

 – … reviendrons lundi matin vers 10h mais vous pourrez partir avant puisque j’imagine que vous avez cours. Et d’ailleurs, que faites-vous comme études ?

 – Je suis en troisième année de médecine, dit Manon.

 – Et moi en école de commerce.

Ahlala, belles et en plus intelligentes. Je rentrai dans le salon et m’assis à côté de ma mère dans le canapé. Les filles étaient en face et alors qu’elles échangeaient des banalités avec ma mère je ne pouvais décrocher mon regard de leurs magnifiques visages et des courbes de leurs corps. Manon s’en aperçut et toussota, ce qui me fit prendre conscience de mon attitude un peu déplacée.

Une fois que ma mère eut fini de parler, elle dit qu’elle était déjà un peu en retard et devait partir immédiatement. Elle me prit dans ses bras, me fit plein de baisers et me donna les recommandations pour garder la maison en bonne et due forme jusqu’à lundi. Je lui dis qu’à force je les connaissais par coeur et elle partit enfin.

Avec les jumelles nous décidâmes de manger maintenant ainsi on aurait du temps pour discuter et jouer ensuite. Le repas se passa normalement tout comme la soirée. On a joué à plusieurs jeux de société et à des jeux de carte. Et mon regard était très souvent attiré par leurs jolies formes. Une fois minuit passé je regagnais ma chambre et les jumelles allèrent dans la pièce adjacente qui était celle de mes parents. Je me déshabillai, enfilai mon caleçon de nuit et me mis dans mon lit. Je pris mon livre et commençai à le lire. Pendant ce temps les jumelles parlaient de garçon dans l’autre pièce. Je pouvais l’entendre car nous habitions un très vieil immeuble et les murs n’étaient pas vraiment épais. J’entendais des bribes de conversation mais j’essayais de me concentrer sur mon livre. Tout à coup je crus entendre mon nom. Je posai mon livre et collai mon oreille au mur pour bien entendre.

 – Et t’en penses quoi d’Arthur ? Il a beaucoup changé depuis la dernière fois qu’on l’a gardé.

 – Ça c’est sûr qu’il a changé, et plutôt bien je dirais.

 – C’est vrai. Et t’as remarqué, il n’a pas arrêté de nous regarder depuis qu’on est arrivé.

Mince, j’étais vraiment cramé alors.

 – Haha oui, j’me souviens de sa tête quand on est allé dans sa chambre.

 – J’me souviens aussi de sa tête mais pas que. T’as vu l’érection qu’il s’est chopée ?

 – Oui très bien. On lui fait de l’effet apparemment.

 – Et comment. On est parfaite en même temps.

 – Haha, t’as bien raison. Eh, tu crois qu’il est encore puceau ?

 – Je sais pas, mais vu comme sa mère le protège ça ne m’étonnerait pas. Mais pourquoi tu demandes ça au fait ? Tu veux te le taper ou quoi ? Il a à peine 18 ans j’te rappelle.

 – Et alors. C’est une expérience comme une autre, et il est plutôt mignon et musclé. Pendant le weekend on peut essayer de lui faire des avances discrètes et on voit s’il est réceptif. Tu me suis sur ce coup ?

 – Je sais pas. C’est vrai qu’il est mignon mais… Je sais pas si c’est une bonne idée.

 – En quoi ce serait une mauvaise idée. Au pire il accepte pas, et si ça se trouve il ne sera même pas réceptif à nos avances. En plus, ça fait combien de temps que t’as plus de petit copain et que t’as pas fait l’amour ? J’crois bien que ça fait quelques temps et moi aussi. Y’a pas de mal à se faire du bien.

 – Bon ok. On peut essayer ce weekend alors.

 – Ah, enfin une décision sensée de ma soeur chérie. On essaiera demain. Viens là que j’te fasse un bisou.

J’entendis le bruit caractéristique du bisou à travers la cloison.

 – Ah mais Léa ! Pourquoi tu m’embrasses sur la bouche ?!

 – On va peut-être bientôt faire l’amour au même garçon en même temps, j’espère qu’il faudra plus qu’un bisou pour te dégoûter.

 – Mouais. Bon, bonne nuit.

 – Bonne nuit soeur adorée.

J’entendis le cliquetis des interrupteurs des deux lampes de chevet de la chambre des jumelles. Elles s’étaient couchées. Je repensai alors à la conversation qui venait d’avoir lieu de l’autre côté du mur et bien que me sentant flatté des compliments qu’elles avaient pu faire, je trouvais vraiment étrange le fait de vouloir coucher avec moi. J’étais encore puceau et je ne me voyais pas forcément perdre ma virginité comme cela. Je me demandais comment allait se passer ce weekend qui promettait d’être étrange.

C’est ce moment que choisit ma meilleure amie pour m’appeler sur mon portable. La sonnerie était au maximum, je fus pris d’un élan de panique et sans réfléchir j’ai décroché et dit : « Euh salut Inès, j’te rappelle plus tard… ». J’ai lancé mon portable, toujours paniqué, et me suis rendu compte que j’avais peut-être parlé un peu fort. De l’autre côté de la cloison j’entendis que Léa et Manon se réveillaient.

 – T’as entendu ça ? En fait on entend super bien à travers les murs.

 – Ça veut dire que lui aussi nous a entendu à l’instant. Il a sûrement entendu toute notre conversation à son propos.

 – Ah oui, mince. Bah on n’a qu’à aller le voir et lui dire franchement.

 – Ok, j’te suis.

« Merde », pensais-je. Comment j’allais bien pouvoir me sortir de cette situation. J’entendis les pas devant ma porte de chambre puis la poignée tourna. Je vis la tête de Léa dépasser du battant de la porte. « On peut entrer ? » demanda-t-elle. J’acquiesçai timidement de la tête. Les deux filles entrèrent. Elles étaient habillées de pyjamas qui moulaient parfaitement leurs corps. Mon appréhension diminua proportionnellement au volume de mon sexe qui augmentait sous ma couette. Deux des plus belles créatures que je connaisse se trouvaient dans ma chambre, un vendredi soir, en tenue légère, mes parents absents. Perdre ma virginité avec elles n’étaient peut-être pas si mal finalement. Mais je gardais toujours une certaine réserve. Elles s’avancèrent un peu plus dans ma chambre, chacune d’un côté du lit double, puis s’y assirent.

 – Euh, excuse-nous de te déranger mais… on voulait parler de certaines choses avec toi. Voilà, en fait, on te trouve plutôt attirant avec ma soeur et on se demandait si, euh, comment dire… si on te plaisait aussi, ou pas ?

 – Euh oui, enfin, vous êtes toutes les deux très gentilles et sympathiques… donc oui.

 – Merci, c’est gentil, mais on voulait plutôt savoir si… je sais pas comment dire…

 – Est-ce que t’es puceau Arthur ? demanda sans détour Manon, au grand étonnement de Léa (et de moi aussi).

 – Euh… oui… enfin, quel est le rapport ?

 – Est-ce qu’on te plaît assez pour que tu veuilles bien nous faire l’amour à moi et Léa ?

 – Euh… je… c’est que…

A ce moment Manon commença à enlever son haut de pyjama. Elle l’enleva si délicatement, on aurait dit un ralenti. J’admirais ses formes, ses deux magnifiques seins, peut-être du 85C. Ses cheveux retombèrent telles des plumes sur sa peau blanche. Je devinais qu’elle rougissait. Elle me regarda, puis sa soeur. Je ne pus contenir mon érection, mon caleçon et ma couette n’y faisaient rien, une bosse s’était formée et les jumelles n’avaient pas manqué de la remarquer.

 – Je crois que ton corps parle pour toi Arthur. Je prends ça pour un « oui » alors, dit Manon.

Elle se pencha alors vers moi et déposa un baiser aux coins de mes lèvres. Je ressentis un frisson dans ton mon corps. Jamais je n’avais éprouvé une telle chose (je n’ai jamais eu de petite amie, ni n’avais embrassé de filles en soirée, j’étais plutôt timide). Quand je rouvris les yeux Léa était en train d’enlever elle aussi son haut. Elle était tout aussi élégante que sa jumelle. J’avais deux déesses aux seins nues dans mon lit. Je me pinçais pour me prouver que ce n’était pas un rêve. Léa posa sa main sur la couette et avança jusqu’au niveau de mon pénis dressé. Elle le toucha quelques secondes puis retira la couette. Le caleçon était la toile du chapiteau et mon sexe en était le mât. Elle décala les morceaux de  tissus pour faire apparaitre mon sexe en érection. Les deux filles se jetèrent un regard complice. Léa pris alors mon membre entre ses doigts délicats. Elle se mordillait la lèvre inférieure, rajoutant un aspect de fragilité à son visage d’ange. Telle Eve, ses cheveux bruns tombaient sur ses seins pâles. A ce moment j’avais perdu toute ma crainte et mon seul souhait fut qu’elle croque ce fruit défendu. Elle commença à faire de doux mouvements de va-et-vient. Je pus remarquer qu’une tâche se formait au niveau de l’entrejambe de Léa : apparemment l’excitation et le désir était très forts chez elle vu toute la mouille que sa chatte produisait. Mais ce fut Manon qui s’approcha de ma verge la première. Elle y déposa délicatement ses lèvres et y déposa un baiser. Elle me regarda dans les yeux, je crus défaillir tellement ses deux émeraudes sur son visage étaient jolies. Elle continua à embrasser ma verge tandis que Léa me branlait. Puis elle commença à mettre quelques coups de langue et vint finalement englober mon gland avec ses lèvres parfaitement dessinées. Léa descendit sa main sur mes boules et les malaxa avec beaucoup de doigté, et en même temps me pris la main et la fit monter sur ses seins bien fermes. Elle descendit ensuite son autre main qu’elle glissa sous son bas de pyjama et commença à se masturber. Elle voulait sûrement que ceci dure plus longtemps mais apparemment pas Manon car elle me suçait de plus en plus le frein du pénis pour que j’éjacule vite. Je ne tenais plus et en quelques secondes je sentis mon sperme remonter et sortir de mon sexe pour venir s’étaler sur mon bas-ventre et sur les lèvres de Manon.

 – Eh Manon, pourquoi tu le fais éjaculer tout de suite ? demanda, agacée, Léa.

 – T’inquiète pas, avec nous il va repartir direct.

 – Euh, je suis pas sûr de ça, leur dis-je.

Elles comprirent qu’il faudrait sûrement m’exciter un peu avant que mon sexe ne reprenne sa forme dressé. Léa proposa alors à Manon de me faire un petit show lesbien. Manon accepta avec plaisir mais elle revint d’abord vers mon pubis pour y lécher ma semence. Elle l’avala sans frémir et en proposa à Léa. Cette dernière accepta de la tête et Manon vint lui faire un baiser avec mon sperme sur les lèvres et dans la bouche. Leurs langues s’emmêlèrent devant mes yeux. Manon mis la tête de Léa en arrière et se plaça au-dessus pour y verser le sperme. Un filet de sperme et de bave coula dans la bouche de Léa qui l’engloutit en un instant. Je sentis alors que mon sexe reprenait des forces mais je ne voulais pas que le spectacle s’arrête. Les jumelles continuèrent de s’embrasser passionnément. Leurs lèvres se mêlant les unes aux autres, leurs langues dansant dans leurs bouches. Je trouvais ce spectacle magnifique. Leur souffle court, leurs mouvements et leur beauté d’ange les faisaient paraitre si fragiles et désirables à la fois. Puis Léa entrepris de descendre petit à petit le long du corps de sa soeur. Elle l’embrassait à chaque endroit, s’arrêta plusieurs secondes sur ses seins, léchant et suçant ses mamelons. Manon avait l’air de particulièrement apprécier, ses légers gémissements la trahissaient et elle s’allongeait de plus en plus sur le lit. Puis Léa continua sa descente, ses mains glissant sur la peau nacrée de Manon, elle embrassa le ventre et arriva juste au-dessus du pubis. Les deux filles échangèrent un regard puis Léa pris les bords du bas de pyjama et le retira lentement des jambes de sa soeur. Manon parut d’abord un peu gênée et voulut un instant cacher son sexe parfaitement rasé mais rapidement un magnifique sourire se dessina sur son visage. Léa lui écarta doucement les cuisses et fis quelques baisers à l’intérieur tout en se rapprochant de sa vulve. Ses lèvres se posèrent délicatement sur son mont de Vénus. Puis elle sortit sa langue de sa bouche et lécha le clitoris de Manon. Cette dernière fut prise d’une espèce de frisson qui lui traversa le corps, elle inspira fortement puis sa respiration s’accéléra. Léa suçait ce bouton d’amour avec passion, comme si sa jumelle avait été son plus grand amour. Elle variait parfois en léchant les lèvres de la vulve ou en insérant sa langue à l’entrée du vagin et revenait ensuite au clitoris. Les gémissements et la respiration de Manon se faisaient de plus en plus bruyants. Son corps était parcouru de légers spasmes de plaisir. Elle écarta ses bras et sa main vint buter contre mon sexe qui s’était déjà redressé à la vue de ce magnifique spectacle. Manon me regarda en souriant puis pris mon membre dans sa main. Elle le masturba au rythme des coups de langue que sa soeur lui procurait. Si seulement vous pouviez voir ce que je vois actuellement : deux princesses de conte de fées sur mon lit en train de se donner et de me donner du plaisir. Cette première fois est pour l’instant très réussie. Et je crois que c’était aussi la première expérience lesbienne pour Manon vu le plaisir qu’elle prenait. Elle dit à sa soeur que j’avais repris des forces. Léa leva la tête, vit mon sexe tendu entre les mains de Manon et sourit. Elle me proposa de venir la rejoindre. J’acceptai avec joie, je retirai mon caleçon et me plaçai à côté de Léa entre les jambes de sa soeur. Elle me montra comment faire puis se fut mon tour. Je suçais doucement son clitoris et ses lèvres puis j’insérai ma langue dans son vagin. Manon se cambra légèrement et soupira : « Oh oui, j’en veux plus ». J’enfonçai alors doucement mon index et mon majeur dans son vagin. Elle se cambra encore un peu plus. Pour lui procurer encore plus de plaisir je léchais en même temps son bouton d’amour. Je sentais la cyprine qui commençait à couler de sa vulve. Pendant ce temps Léa était en train de lécher les seins de sa speur. Manon lui prit la tête entre les mains et apporta sa bouche contre la sienne. Elles s’embrassèrent passionnément puis j’entendis Manon murmurer à l’oreille de Léa : « Viens, je veux te donner autant de plaisir que ce que tu m’as donnée ». Léa vint alors placer sa chatte humide devant le visage de sa soeur. Manon s’agrippa à la taille de sa jumelle et commença à lécher cette vulve toute offerte. Cela faisait plusieurs minutes que Manon dévorait sa soeur et je sentais que l’orgasme n’était pas loin, j’augmentai alors la cadence de mes va-et-vient dans son vagin et de mon suçage intensif de son clitoris et quelques secondes plus tard les deux soeurs eurent un orgasme simultané. Leurs corps se raidirent et leurs respirations devinrent plus courtes, puis des petits cris de plaisir vinrent accompagner l’orgasme. Les deux filles et moi nous étendîmes sur le lit et nous nous embrassâmes pendant plusieurs minutes. Je sentais leurs deux corps chauds m’enlacer et j’adorai ça. Après avoir récupérées un peu de force, Manon commença à me masser les boules et le sexe et dit à sa soeur avec un brin de malice dans le regard :

 – Je crois que maintenant c’est à Arthur de se faire bichonner.

 – T’as bien raison, à toi l’honneur, dit Léa avec mystère.

Je ne compris pas immédiatement puis Manon redressa son buste puis mon sexe et se plaça au-dessus de moi. Elle humidifia ses doigts avec sa salive et m’en étala sur le gland, mais vu comme elle avait mouillé quand je l’ai doigtée je pense que cela était inutile. Ses yeux verts émeraude se plantèrent dans mes yeux bleus saphir puis elle s’empala doucement sur mon phallus qui me faisait mal tellement je bandais. Elle descendit doucement en fermant les yeux et en soupirant de bonheur, je sentais son vagin se serrer autour de mon sexe. Elle débuta alors de lents mouvements de va-et-vient. Je remontais mes mains sur sa taille pour l’aider dans ce mouvement. Son vagin était tellement lubrifié que nous n’avions aucun mal à coulisser l’un dans l’autre. L’expression sur son visage montrait qu’elle s’abandonnait totalement. Après avoir regardé sa soeur se faire empaler, Léa continua à m’embrasser. Elle approcha ses seins de ma bouche et je ne tardais pas à les dévorer tels deux petits bonbons. Puis elle me glissa discrètement à l’oreille : « Moi aussi j’ai envie que tu me bouffes la chatte ». Elle se positionna alors au-dessus de mon visage et j’ai commencé à la lécher. J’ai ensuite enfoncé deux doigts dans son vagin. Elle ferma les yeux et un sourire apparut sur son visage. Elle mit ses mains sur ma tête et la poussa doucement vers sa vulve pour qu’elle puisse avoir encore plus de plaisir. On aurait dit qu’elle voulait la faire rentrer. Je sentais qu’elle en voulait encore plus alors je mis trois doigts dans son vagin et avec mon autre main je glissai mon index dans son anus. Elle poussa un petit cri de surprise mais bien vite ses mouvements de bassin me firent comprendre qu’elle en voulait un peu plus profond, ce que je lui donnai sans hésiter. Son orgasme arriva dans la minute. Je me dis qu’elle n’avait peut-être jamais pratiqué de sodomie et que ce pourrait être une première pour nous deux. Son orgasme l’avait privé de force et elle s’était affalée autour de ma tête. J’embrassai ses cuisses, ses bras, son ventre, sa bouche, je voulais tout embrasser de ce si magnifique corps. Après quelques minutes à s’embrasser Léa alla croquer les seins de sa soeur. Manon était en plein extase. Puis Léa l’embrassa, elles se dévoraient la bouche, j’avais l’impression qu’elles se mettaient la langue le plus loin possible dans la bouche. Pendant ce temps je montais mes mains jusqu’aux seins de Manon et les malaxai. Je faisais rouler ses mamelons durs entre mes doigts. Petit à petit les mouvements de Manon sur mon sexe s’amplifièrent. Sa respiration se faisait plus saccadée. Léa vint alors placer ses doigts au niveau du clitoris de sa soeur pour la faire jouir plus vite et lui mit en plus un doigt dans l’anus. Manon eut l’air surprise un instant mais son orgasme arrivait. Elle amplifia elle-même ses allers-retours sur mon sexe, du coup je l’accompagnais encore plus fort pour que mon pénis rentre encore plus loin dans sa chatte et Léa accéléra ses mouvements sur le clitoris. Quelques secondes plus tard, Manon fut submergée par une vague de plaisir immense et elle s’effondra sur moi, haletante et encore parcouru par les spasmes de son orgasme.

Manon n’avait pas encore récupérée que Léa me dit : « Viens, j’ai envie de me faire prendre en levrette ». Elle se positionna alors à quatre pattes, son dos cambré et ses magnifiques fesses offertes à mes yeux qui n’en demandaient pas tant. Je vins placer mon sexe à l’entrée de son vagin et le fis se lubrifier avec la cyprine qui coulait sur le sexe de Léa. J’enfonçai lentement mon membre dans sa chatte humide. L’intérieur était chaud comme la braise. Je m’agrippai à ses hanches pour m’aider à aller encore plus loin en elle, puis je débutai mes va-et-vient. Mes cuisses et mes boules claquaient contre ses cuisses et sa chatte. Parfois je me penchais pour attraper ses seins et les toucher en même temps que je la ramonais.  Pendant ce temps Manon nous regardait en se masturbant et en se léchant les doigts. Elle vint ensuite placer son sexe devant sa soeur qui y fourra la tête immédiatement. Sa langue entrait dans le vagin de sa jumelle au rythme de mes coups de boutoir. A un moment, Léa me dit : « J’ai adoré quand ton doigt était dans mon cul, ça te dis d’aller un peu plus loin ? ». Elle n’eue pas le temps de finir sa phrase que j’étais déjà à l’entrée de son anus. Elle tempéra mes ardeurs en disant que si on ne lubrifiait pas cela risquerait de faire mal. Elle mit alors de la bave sur ses doigts et s’en enduisit l’anus. Je fis de même avec sa cyprine, sur son anus et sur mon gland. Je mis ensuite mon gland sur son anus et commençai à rentrer mon sexe à l’intérieur. Léa serra ma couette du plus fort qu’elle put. Même lubrifié avec de la cyprine c’était plus difficile de rentrer dans ce trou. Je dis alors à Léa de se détendre si elle voulait que mon sexe rentre sans faire trop mal. Elle détendit alors ses muscles, dont son anus, et je pus lentement y insérer mon phallus. Cétait beaucoup plus étroit que le vagin et je sentais les muscles se contracter autour de mon sexe. Une fois que j’en eus enfoncé la moitié, je commençai les allers-retours. D’abord tout doucement puis de plus en plus vite et loin. La respiration de Léa était bruyante, apparemment elle sentait bien que j’étais là. Une légère grimace barrait son visage mais une fois que je fus entré jusqu’à la garde et que mes mouvements étaient plus régulier elle commença à prendre beaucoup de plaisir. Je titillais en plus son clitoris avec une main. Après avoir pris un rythme normal elle se remit à sucer Manon qui attendait en se masturbant. Les mouvements de son magnifique cul sur mon sexe m’hypnotisaient, et ses muscles à l’intérieur de son anus me faisaient encore plus de sensations, si bien que je sentais que je n’allais pas tarder à éjaculer. J’augmentai alors la cadence de mes coups de boutoir dans l’anus de Léa : « Oh oui ! Encule-moi plus fort ! Vas-y ! Jouis en moi ! ». Sa tête et son corps entier s’agitaient et aux bouts de quelques secondes elle eut son premier orgasme anal. Ses yeux furent à la limite de se révulser, son corps fut parcouru de spasmes et ses muscles se contractèrent autour de mon pénis, ce qui me fit jouir encore plus vite. Comme elle me l’avait dit, je jouis en elle tout le sperme que j’avais. Ma semence chaude remplit son anus entièrement. Je me retirai et m’allongeai sur mon oreiller, histoire de reprendre des forces. Léa était encore sous le coup de l’orgasme, la tête dans la couette et le cul en l’air. Manon s’empressa d’aller derrière sa soeur et elle lécha l’entrée de son anus. Mon sperme en dégoulinait encore. Elle récupéra tout ce qu’elle put avec ses doigts et sa langue, et une fois qu’elle se fut délectée de tout le sperme à l’extérieur elle écarta l’anus de sa soeur pour aller chercher à l’intérieur et ne pas perdre une goutte de mon sperme. Apparemment le goût lui plaisait. Manon allongea alors sa soeur sur le dos et se plaça au-dessus d’elle pour commencer un 69. Manon suçait goulument le clitoris et les lèvres de Léa. Une fois que cette dernière eut repris ses esprits elle lécha aussi la vulve de sa jumelle. La vue de ces deux corps parfaits, comme emboités l’un avec l’autre, fit se lever mon pénis plus rapidement que prévu. Je me masturbais en regardant ces deux déesses se lécher mutuellement. Léa mit un doigt dans l’anus de Manon, qui ne tarda pas à lui rendre la pareille. Léa devait encore être sensible de l’anus car elle se cambra un peu et poussa un soupir. Puis elle reprit ses léchouilles de plus belles. On aurait dit un chien qui lapait dans sa gamelle d’eau. Léa avait la même langue agile qui allait titiller le clitoris de sa sur à qui cela faisait apparemment très plaisir vu comme elle dégoulinait de cyprine. Puis Manon me regarda avec envie :

 – Moi aussi j’ai envie de me faire enculer.

 – Ok, j’arrive. Mais avant il faudrait que je me lubrifie la bite.

 – T’as qu’à utiliser la bouche de ma sur, vu comme je mouille ça doit être bien humide là-dedans.

 – Avec joie, lui dis-je.

Je regardai alors Léa et elle me faisait « oui » de la tête, avec un grand sourire en plus. Les jumelles se positionnèrent toujours en 69 mais au bord du lit pour que je puisse être à l’aise. La gorge de Léa m’était offerte et je n’allais pas m’en priver. J’approchai mon sexe de la bouche de Léa et elle se mit à le lécher, puis je commençai à m’enfoncer dans sa gorge. Je voyais sa gorge se soulever à l’endroit où passait ma bite. Je l’enfonçai jusqu’à la garde puis Léa eut un haut-le-cur. Je retirai alors mon membre pour qu’elle puisse reprendre sa respiration. Une fois cela fait je me réintroduisis en elle et commençai des va-et-vient. Ses bruits de gorge me faisaient encore plus bander (était-ce seulement possible ?) et régulièrement je sortais mon sexe pour qu’elle reprenne sa respiration. Des filets de bave commençaient à se former et à couler sur son visage et sur ma bite. Mais Manon qui, pendant ce temps, dévorait toujours la chatte de sa soeur, se montra impatiente : « Dépêche-toi Arthur, j’en peux plus, je veux te sentir bien profond en moi ». Je sortis alors de la gorge de Léa et me présenta devant l’anus de Manon. Les jumelles prirent chacune de la mouille l’une de l’autre pour en lubrifier l’anus. Je mis ensuite mon gland à l’entrée, puis commençai à pousser. La rentrée se fit plus rapidement qu’avec Léa et je pus presque immédiatement commencer à ramoner le cul de Manon. Elle se cambra davantage pour que mon sexe racle bien sur les bords et que cela lui procure un maximum de plaisir. Comme je sentais qu’elle était un peu plus sauvage je pris ses cheveux dans une main pour lui tirer la tête vers l’arrière et pour que ma bite vienne encore plus s’enfoncer dans son cul. Puis je sentis que Léa me léchait les boules à chaque passage. C’était très agréable mais elle ne s’arrêta pas là et goba entièrement mon paquet dans sa bouche. Le fait que je bouge moi-même mais aussi les coups de langue qu’elle mettait sur mes boules me faisaient chavirer. Je n’allais pas tarder à éjaculer encore une fois. Je mettais toute mon énergie à enculer Manon puis je leur dis que j’allais jouir. Les filles se placèrent alors à genoux au sol en tendant leurs langues. Je compris ce qu’elles désiraient et me masturbais du mieux que je pus. La jouissance mettait du temps à arriver alors les filles sucèrent encore mon sexe et mes boules. La bave sur mon pénis et dans leur bouche faisait faire du bruit à chaque aller-retour autour de mon sexe ce qui m’excita encore un peu plus. Au bout de quelques instants je sentis que l’orgasme arrivait. Les filles se remirent dans leur position et ma semence sortit alors de mon sexe et vint s’étaler sur leurs visages, dans leurs bouches et sur leurs seins. Elles avalèrent tout le sperme, chacune léchant le corps de l’autre, puis s’embrassèrent pendant de longues secondes. Une fois qu’elles n’avaient plus de sperme sur elles nous allâmes nous mettre sur mon lit, moi au milieu des deux filles, et nous continuâmes à nous embrasser de longues minutes. Nos langues se mêlaient et dansaient dans nos bouches. Petit à petit je descendis mes mains au niveau de leur vulve et je les doigtais chacune avec une main. Leurs mouvements de bassins aidaient à décupler l’intensité. Elles se mirent à gémir un peu, puis les gémissements se transformèrent en petits cris et en grimace de plaisir. J’augmentais la cadence des allers-retours dans leur vagin pour les faire venir encore plus vite et au bout de quelques minutes elles se cambrèrent et eurent un orgasme simultané. Je leur fis lécher mes doigts qui étaient enduis de leur cyprine toute fraîche. Elles léchèrent avec délicatesse et application. Leur respiration s’apaisa peu à peu et elles vinrent chacune dans mes bras pour me faire un dernier baiser plein de passion. J’avais à mes côtés les deux plus belles femmes que je connaissais, elles étaient dans mon lit et nous venions de faire l’amour. C’était, je pense, une première fois plus que parfaite. Et peut-être pas la dernière du weekend. Un sourire se dessina sur mon visage et je les embrassai chacune une dernière fois. Puis le sommeil nous gagna.

L’écran du téléphone se ralluma pour signifier la fin de la communication. L’appel avait duré plus d’une demi-heure…

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